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Ils finissent par me faire un signe, " dans 5mn ", et indiquer une direction. Je les y retrouve. Ils sont tout excités ! On arrive chez JB, petit appart dans une maison typique, chambre nue avec grand lit sur des tomettes. Douche pour JB, pendant Jeannot et moi on boit un coup ; et finalement tout le monde est douché et à poil, et la bite raide. Je leur dis de s'allonger sur le lit et de me laisser faire. Ils roulent un joint, épaule contre épaule. Je commence par un long massage des 4 pieds, meurtris par des heures debout, et un léchage attentif qui les fait encore plus halluciner. Quand je replie une première cuisse, les deux, synchrones, relèvent tout, contents que je leur bouffe le cul ; et je leur bouffe longtemps, sensible à leurs petits gémissements et à la beauté du spectacle. Je suce ensuite les deux énormes chibres en dégustant avec application, et constatant leur ressemblance et la générosité de Dame Nature ; mes regards en disent long sur mon plaisir... Je m'empale ensuite sur Jeannot en embrassant JB ; après quelques mouvements lents, je me fais bien percuter. Et puis on change de bite et de lèvres. Je leur fais un petit show en me renversant entre leurs jambes étendues et relève les miennes : j'en tiens une et me doigte à 3 doigts de l'autre main. Je me lime avec violence le trou qui dégouline de mouille. Leurs doigts prennent le relais, un puis deux chacun ; ils se branlent de l'autre main et moi j'ai attiré leurs pieds que je lèche. Quand ils se mettent à fouiller férocement, le plaisir est trop grand, et ma tête bascule en arrière... JB s'extirpe pour venir me refaire une gorge profonde, et Jeannot saisit mes chevilles en l'air et m'encule. Et on rechange : en levrette JB me monte tandis que je lèche le cul de Jeannot. Il écarte bien ses fesses et moi les miennes et JB n'en revient pas de la dilatation que me font ses 22.
Il décide alors que c'est le moment des doubles. Jeannot rallonge les jambes et je vais m'empaler sur sa queue. On s'embrasse pendant qu'il me pistonne brièvement ; et le gland de JB s'insinue. Je gueule, Jeannot me tient la tête et m'observe. Putain ! c'est énorme ce que je me prends ; les deux gars m'encouragent, gémissent quand enfin JB est au fond. Je regueule. Les mouvements commencent très lentement ; je ressens de terribles décharges électriques. Ils alternent pour limer et de temps en temps bourrent ensemble. J'explose du cul et jouis, mais c'est loin d'être fini : les jeunes sont pleins d'énergie et se lâchent seulement maintenant : démontage, déboitage en règle, cris, han !, insultes, encouragements, félicitations, JB me tire par les épaules et Jeannot pousse sur mes hanches. Je ne sais plus où je suis, je ne sens plus que ma bouche où tourne la langue de Jeannot et mon cul aussi bien dilaté que ramoné.
Tout dominateur qu'il est, JB est bientôt submergé par un plaisir qu'il n'a peut-être jamais ressenti aussi violemment ; il gueule d'une force ! prévient son pote, et son bassin devient plus brutal et plus désordonné : " putain !!... mes couilles !!!... " et j'ai l'impression d'être encore plus éventré quand chaque décharge lui secoue les reins. Jeannot n'a pas ralenti, au contraire : il veut rejoindre son copain, et doit sentir la chaleur qui s'est répandue en moi. Il doit prendre un de ces pieds entre mes parois inondées et le barreau bien glissant de son pote ! Il m'enserre la taille et il est vaillant car JB s'est effondré à moitié sur moi. Ca y est, il hurle presque dans mon oreille, effrayé de ce qui monte, passe dans les aigus et se vide à grands coups, ce qui tire de nouveaux gémissements à JB. Mais celui-ci sort enfin de mon cul ; j'en sursaute. Jeannot aussi se dégage et m'écarte les fesses, ce qui déclenche un " oh putain ! la vche ! " de JB et un ploc gluant peu harmonieux. " Je prends une tof, attends ! " dit JB, approuvé par un " ouais, carrément ! " de son pote. Je sens qu'il plaque la bite encore raide de Jeannot contre une fesse et la sienne contre l'autre. " Vas-y, pousse la sauce ! ". Je m'exécute...
Debout les gars font défiler les photos pendant que je les suce et les rend bien propres. Propre, ce n'est pas l'état du lit, trempé de sueur et de sperme, le mien qui a dégouliné du ventre de Jeannot (que je lèche aussi), le leur... Je me branle en passant de gland en gland et m'arrose aussi le ventre. On vire le drap sur lequel ils me disent de m'essuyer, on étend une couverture : gros débriefing avec une bière et un joint. L'expérience a été " méga géniale ". Moi je suis sur le point de m'endormir, mais regarde quand même les photos de mon cul explosé avec les deux gourdins à l'entrée... Je me glisse de côté entre leurs deux torses, un joint tourne, et je sombre.
Je ne sais pas combien de temps mais je sursaute : des doigts me caressent la rondelle, des doigts bien mouillés, et puis ils rentrent ! je crie, et me prends aussitôt la bite de Jeannot en bouche " tiens, mange ! "... Deux minutes plus tard, je suis empalé sur la bite de JB, par terre, et Jeannot ajoute sa grosse bite sans grand ménagement ; ils ont décidé de me larver visiblement. De toute façon je n'ai plus aucune volonté, j'ai comme quitté mon corps, ou alors je ne me sens plus qu'un trou : les remarques qui pleuvent entre leurs râles et leurs " ouais, putain ! " me rappellent qu'ils ont affaire à un trou. Je me prends des fessées, des petites tapes sur la joue, me fais retourner le cul par deux jeunes brutes enivrées par leur pouvoir. Je vois dans une buée le regard de tueur de JB, qui me pistonne comme une machine, tandis que Jeannot au-dessus de moi donne de terribles coups de bassin " pour m'engrosser comme une salope "... Il me tient les bras dans le dos, me tire les cheveux, me dit des horreurs... Mais je ne suis finalement pas " engrossé " : Jeannot sent monter le terrible orgasme, sort de mon cul, gueule en me tenant la tête vers laquelle il branle sa bite. JB finalement aussi se libère et le rejoint debout. " Suce ton cul ", " bouffe " me disent-ils en m'enfournant leurs glands et me manipulant par le cou et les cheveux ; " on va te repeindre la gueule ! ", " branle-toi, salope ! ", " sors la langue ! " ; leurs corps ruissellent, tous leurs muscles apparaissent. Ils continuent leur délire dominateur et la vague les emporte : ils crient tout ce qu'ils peuvent comme si leurs couilles s'arrachaient : Jeannot balance plusieurs jets en pluie de foutre en pleine face.
JB a chopé l'appareil et mitraille. " Lèche ! " ordonne Jeannot, qui ensuite m'enfonce son gland, et prend le relais pour photographier. Je prends une giclée de côté puis JB fait pivoter ma tête et m'arrose à son tour. Je gicle moi aussi. Je dois nettoyer les bites, mais me fais bifler et dois recommencer mon nettoyage, longtemps. " Baise-nous les pieds ! " ; je m'exécute, les baise, m'y frotte et lèche ce que j'ai étalé, puis remonte vers les bites que je pompe à fond, jusqu'à ce qu'elles ramollissent. Ils regardent leurs photos, commentent, s'exclament. Et, comme si rien ne s'était passé, ils s'asseyent calmement à mes côtés, eux sur le bord du lit, et me montrent : sacré spectacle ! Je reste groggy et m'adosse au lit, épuisé. On boit une bière, et j'ai droit à tous les " merci " et compliments possibles. Jeannot me donne un sopalin. " Putain il est 5h quand même ! ". Alors ça se précipite : il part dormir chez lui, et JB et moi nous couchons.
On est réveillé par la chaleur à 10h et quelques. JB s'active derrière le bar de la kitchenette pour le café ; le voir nu, si beau, me donne envie. Je le rejoins, lui caresse le cul et lui fais de petits bisous en tenant sa bite : elle bande en moins d'une minute à fond. Je m'agenouille pour le pomper : il apprécie un max ! Je plonge aussi vers sa raie ; il replie sa jambe sur un banc de bar, et se laisse déguster la rondelle, en se branlant doucement, puis je finis ma pipe et me gorge de son jus du matin. Alors que je lui tire longtemps les dernières gouttes, il s'étire (un vrai dieu !) et dit " aah, putain que ça fait du bien ! ". Bisou, café, douche l'un après l'autre. On descend dans sa caisse en bas du village : pause chez Jeannot. Evidemment personne ne ferme ses portes, donc on entre et il est endormi à poil : magnifique. JB gueule un bon coup : " debout, vieux ! ", à quoi l'autre grommelle un " putain tu fais chier " sans bouger. Mais je suis déjà sur le lit et enfonce ma langue dans sa raie. Il se retourne d'un bond, mais voyant que c'est moi, il me tend son cul à 4 pattes en disant " ah, je préfère ! " ; quand il bande bien il se tourne et me laisse lui vider les couilles. " Hmmm putain, des réveils comme ça... toujours !... ". JB a encore pris des photos, qu'on regarde avec un café en riant. Mais l'heure tourne. Au revoir à Jeannot (" super souvenir hein ! à refaire ! "), et JB m'emmène au village. Echange de mails pour les photos, grosse pelle, qui se finit par une autre pipe dans sa bagnole devant chez Mat'. " Dis au revoir à mes 22 " dit-il en sortant sa bite déjà énorme. 5mn après, sa main sur ma tête il se vide à nouveau. Et les adieux faits, je rentre chez Yann. Je passe un bon quart d'heure aux chiottes : purée, je me suis pris un vrai train dans le cul ! Je dois me branler ensuite pour me calmer. Pas assez d'énergie pour faire mes sacs, je m'allonge en me disant que Yann ou Mat' me réveillera.
mike
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