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Le mercredi pourrait paraître assez routinier : fécondation du réveil par Yann (" je reprends là où j'ai fini "), resto le midi et grosse purge de Mathieu, puis de Yann à 15h, sieste et sodo, avant le retour de Sophie. Mais c'est le bal au village voisin, comme Mat' me l'a dit le midi. Tournée générale de douches, et chemise blanche pour les hommes ; Sophie est toute jolie en longue robe à frou-frou.
La place du village est flanquée de deux parcs, pas très grande, autour d'un café principal, avec l'église en arrière. Il y a pas mal de monde déjà quand on arrive vers 21h. Et puis, c'est une évidence très vite, ça sent le sexe à plein nez ! Je sens que ça mate partout, ça drague, et une heure plus tard, avec quelques verres, j'observe les mains qui se baladent sur les reins des filles pendant les danses. Il commence à faire noir dès qu'on n'est plus sous les lampions. La musique est à chier mais bon. J'ai l'occasion de mater moi aussi car je suis seul à table : Mat' et Sophie ne se quittent pas et dansent, Yann salue à gauche et droite des gens que je ne connais pas. Je ne repère pas vraiment de top model, mais l'air est tellement saturé de testostérone (et les filles ne semblent pas contre), que je suis gagné par l'excitation. Yann me tire de mes rêveries pour m'emmener sous les arbres par une contre-allée. Il fait vraiment très noir ; il m'indique le silence d'un doigt sur la bouche. Au bout de quelques mètres, on perçoit les gémissements de plaisir d'une fille en train de chevaucher un mec sur un banc. On passe derrière un arbre et on mate. Yann sort sa bite et je m'agenouille pour le sucer pendant qu'il observe. Je devine ensuite aux cris qu'il y a eu changement de position : elle doit être en train de se faire fourrer plus activement par le mec, car les cris sont plus puissants et saccadés. Yann se laisse aller en coups de reins, sans doute au rythme du mec qu'il observe. Mais on est sans doute arrivés trop tard : le mec se finit en un long gémissement. Yann me relève, m'embrasse, referme juste un bouton du bermuda, gardant la queue à l'air. Les deux amants se séparent par des chemins différents. On continue notre marche discrète. Par-dessus des buissons, on voit un mec debout se faire sucer : je reconnais la robe de Sophie.
" C'est eux, soufflé-je ". " Ouais, répond Yann " en m'appuyant sur l'épaule : je redescends le sucer. Peu après il me relève de nouveau, m'embrasse, baisse mon froc en lin et par derrière me doigte ; je fonds, je mouille, je sens l'air frais. Puis il me retourne et me penche en avant pour me lécher le cul ; je vois alors que Mat' fait la même chose en face (mais à la chatte je pense). Sophie s'appuie d'une main contre un tronc et de l'autre tient tous ses volants relevés. Mat' se remet debout et entre : petit cri. Yann entend bien car il me fait la même chose aussitôt, mais en plaquant sa main sur ma bouche pour éviter tout bruit. Situation très excitante ! Les deux potes qui baisent en même temps, et ni Yann ni moi ne perdons une miette du spectacle. Mat' se démène comme un petit lapin : je connais ! Yann adopte son rythme. Evidemment Mat' vient plus vite : on le voit s'encastrer sur la pointe de pieds ; Sophie est quand même bien secouée ! Yann alors bourre comme une bête. Sophie et Mat s'embrassent et s'éloignent. Yann lime à une allure folle jusqu'à se vider au fond. Il vient ensuite se faire nettoyer les dernières gouttes pendant que moi-même je me vide comme une fille qui fait pipi. Rhabillage, bisous, et on retourne sur la place.
Il me présente à quelques personnes, on reprend une bière, on s'assied. Mat' et Sophie nous rejoignent un moment, puis retournent danser. Je comprends ensuite qu'il se passe un truc qui m'échappe, dans mon dos : Yann échange des regards et sourit. Je lui dis que s'il veut s'amuser ailleurs il peut. Il se lève, me dit d'attendre et part au bar donnant sur la place près des platines. Je change de place pour observer de nouveau. Une bonne demi-heure. Puis je vois Yann avec une meuf à ses côtés, qui a l'air bien jolie, qui discute avec un serveur-DJ. La fille part en embrassant Yann dans le cou, et celui-ci m'appelle et me présente au gars ; il faut gueuler pour s'entendre avec la musique ! C'est donc JB, beau mâle de 24 ans, brun bien charpenté, en sueur, qui appelle un autre gars pour qu'il s'occupe des platines pendant qu'on parle, enfin qu'on essaie, d'oreille à oreille. On est tout près et je vois les yeux injectés de sang et sens une haleine bien chargée. Je tourne le dos à la foule et j'ai une bouche à chaque oreille :
- Yann dit que tu aimes faire plaisir aux mâles ?
- Oui beaucoup !
- Et il se régale ! qu'on lui mette dans la bouche ou dans le cul, complète Yann.
- J'ai bien envie de me faire un cul ; t'as envie ?
- Ah, je dis pas non...
- Il dit jamais non, je viens de lui mettre une cartouche d'ailleurs...
- Mais t'aimes les grosses bites j'espère, parce que j'ai un gros calibre 22 moi.
A ma grande surprise, alors que je suis déjà bien excité par la conversation, la situation, leurs odeurs et la chaleur, il m'enfonce sa langue, qu'il immobilise et je commence à la lui sucer. Eh bien il n'est pas gêné par le public ! Il plaque ma main sur son paquet, je sens déjà un gros barreau en diagonale. Yann souffle à mon oreille qu'il nous laisse et part. JB ressort sa langue et me sourit : " t'as l'air d'être une sacrée gourmande toi ! mate un peu le morceau... ". Moi aussi je souris, et ça en dit long. Il dit à son pote quelque chose. Il part et revient avec un autre mec, blond-châtain très bouclé, style berger. Il nous présente : c'est Jeannot.
- Une bonne gourmande de bites, c'est Yann qui nous l'envoie
- Ah cool ! putain c'est notre jour de chance, répond Jeannot.
- Pourquoi ?
- Y a pas deux jours, reprend JB, on se disait qu'on essaierait bien un cul de mec... On est amis d'enfance, on a fait plein de trucs déjà ensemble...
- Ok...
- Ouais, quand on a une meuf bien chaudasse, on se la tourne. Mais on dit que les mecs sont encore plus salopes !
- Ben j'aime vraiment la bite, j'aime la baise, j'aime faire plaisir...
- Et t'aimes les protéines, il dit Yann, m'interrompt JB.
- C'est ptet ce que je préfère.
- Je vais grave t'en donner, dit Jeannot, plaquant à son tour ma main sur son paquet : très grosse bite là aussi. Et attention je bande plus vite que mon ombre.
Je baisse les yeux et c'est un beau spectacle ces ptits shorts déformés par deux gros gourdins remontant sur le haut de cuisse ! Rendez-vous est pris avec les deux jeunes étalons, le temps qu'ils se fassent remplacer, dans 10mn derrière l'église. Un banc éloigné des autres. Mais je suis prévenu, ce sera une petite demi-heure, quitte à remettre ça plus tard en soirée. Bref, je trouve le chemin, pas facilement, vers le banc, et au passage je vois deux mecs prendre une meuf : comme si je bandais pas assez. L'arrière de l'église est vraiment sombre, et c'est la limite du petit parc ; après les arbres sont plus rares, je retrouve donc une bonne lumière de lune.
Je baisse mon froc, m'assieds de côté et me doigte vérifiant l'ouverture et le lustrage dont j'ai bénéficié par Yann. JB arrive alors que j'ai 3 doigts dedans, me dit de pas m'arrêter et sort une bite magnifique, se débarrassant de son short (pas de slip !). Il me dit de me faire plaisir : inutile ! je me jette sur ce gros gland parfait, et suce du mieux que je peux. Il gémit déjà. Je voudrais la prendre en entier mais pas moyen. En le prenant aux deux-tiers il est déjà au nirvana (" putain, tu sais bouffer, toi ! "), mais je crois que j'ai envie d'impressionner le ptit jeune. Je lui dis de faire le tour et me renverse en arrière du dossier. Il saisit vite, et replonge sa bite, maintenant doucement ma tête par-dessous et posant son autre main sur mon cou : il s'enfonce lentement et je prends tout. Il hallucine complet ! " Putain ! quelle bouche ! je sens ma bite, putain ! ". Il ramone doucement, sent très bien quand j'ai besoin d'air, la sort, et me la remet entière. Ses couilles sont bien lourdes sur mon nez, cool ! Bruit de pas et " Eh ben putain, j'y crois pas ! ", c'est Jeannot. Commentaires enflammés de JB sur cette gorge profonde (sa première ?), pendant que j'entends que Jeannot vire son short et se branle sans doute frénétiquement. " Vas-y, touche, tu vas voir ! ". Changement de main : " Pétard ! je sens ton gland, man ! ". JB invite son pote à essayer, et les deux alternent dans ma bouche, limant avec douceur, sans me donner jamais de haut-le-coeur. Mais j'ai trop mal au dos et me libère. Je leur propose une autre position : ces deux beaux mecs, la bite à midi bien grosse et brillante, sont emballés tout de suite : " hmmm ouais on va tourner ! ".
Je pose mon froc et mon tee-shirt, en guise de couverture, ils me filent leurs shorts à mettre sous ma nuque, et je me mets sur le dos, sur le siège, la tête renversée à un bout, et je relève les cuisses, le trou bien offert... Les deux affamés me comblent les trous aussitôt : Jeannot la bouche, JB le cul, et son invasion est terrible ! Finie la douceur, les ptits jeunes ne peuvent pas s'empêcher de me limer bien vite, de me traiter de salope qui " aime se faire démonter les trous ". Ils alternent : " tiens, goûte à ton cul, salope ! ", " oh, putain, quel cul ! ". Après les avoir pris chacun trois fois j'ai la gorge qui brûle. Comme depuis un moment leur cul bombé, tout ferme, me fait très envie, je fais sortir la grosse bite de JB de ma bouche et l'amène à rapprocher son trou : il ne comprend pas ; je le chope par la taille et le pose sur ma tête : direct ma langue au cul. " Oh putain ! il me bouffe le cul ! ". Ca sent la sueur et le savon, je lui dévore la pastille. Jeannot me lime comme un fou inspiré par le spectacle j'imagine. Les deux alors n'arrêtent plus de crier. Je lèche, je pointe, je l'écarte un max des deux mains et il se branle à mort : les cris aigus arrivent. Son pote enchaîne les " oh putain ! oh putAIINNN ! " et il se fiche au fond et je sens sa bite pulser et m'inonder. JB n'en peux plus, il délire presque, rebascule et me fourre sa bite ; en trois limages profonds, il beugle, je lui mets un doigt dans le cul, et il décharge une putain de soupe chaude, un vrai régal, en couinant à la mort. Tout mon corps est secoué par leurs tremblements à tous les deux. Tandis que je savoure à petites gorgées, Jeannot sort de mon cul ; pour lui montrer son ouvrage je pousse et il s'extasie en voyant mon ouverture et mon jus qui part. Il dit à JB de venir voir, et moi je l'invite à se faire nettoyer. Puis les deux gars ne traînent pas : le temps de remettre leur short ils me disent, " dans une heure ici ", " putain de bon coup ", " et à moi aussi tu me boufferas le cul, hein ! ". Ils détalent pour reprendre leur service, je me branle et m'arrose, et reste un moment comme ça, sous les étoiles, comme un bienheureux.
mike
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