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Je suis réveillé par Chris dans la pénombre des volets, qui m'entraîne en silence à la salle de bain : il bande à fond, je m'agenouille et le suce. J'ai beau m'appliquer, il m'interrompt me disant qu'il a trop envie de pisser pour jouir. Il me demande cash " tu veux ma pisse ? " ; je refuse ; " et sur la gueule ? y a la baignoire là... " ; nouveau refus ; il n'insiste pas, disant juste que c'est dommage. Je le laisse débander en partant préparer le ptit déj, et finis par l'entendre pisser une cataracte aux chiottes. Il arrive ensuite dans la cuisine et réclame sa pipe avec autorité. Pendant que je pompe il revient sur le sujet pisse, ça lui ferait plaisir, bon plan soumission, bla bla bla. Je le laisse se faire son film en dégustant son gland et malaxant ses couilles pleines. Comme il n'arrête pas de répéter que c'est con, je l'emmène au salon, me place à la renverse un accoudoir sous ma nuque. Il comprend aussitôt, écarte et fléchit les jambes et me fourre la gorge en se faisant les tétons, en prenant un sacré pied, attentif à toutes les sensations. Puis il accélère son " gavage ", " sa grosse perf ", et lâche de bonnes giclées en m'écrasant les yeux de ses couilles. Je remets la tête plus à l'horizontale et déglutis mieux, il pose sa bite sur la longueur sur mon visage en reprenant son souffle. On entend alors Mathieu : " ah ouais je kiffe cette position ". Chris lui dit que la place est libre, je reçois sans problème cette deuxième bite, plus modeste et Chris me rejoint sur le canapé pour me branler, me lécher les tétons et me mettre un doigt dans le cul. Je ne peux gueuler mon plaisir, ramoné par Mathieu, mais je couine un max. Je me vide sur mon ventre et mon torse en entendant en plus les grognements de Mat' et les " jute, salope ! " de Chris. Mat' largue sa dose peu après. Je suis mort ! Chris me donne les doigts à lécher et j'ai juste le temps de voir que celui qui me fourrait est propre, qu'il me le donne à sucer aussi. Les mecs finissent de préparer le ptit déj, je file à la douche et on mange tranquillement. Plage ! On se baigne, on se masse (c'est-à-dire que je masse beaucoup, et quand même Mat' m'en fait un). Resto, et digestion sous les pins, car la chaleur tape dur. Nous trouvons un coin assez discret. Chris veut reprendre les massages... mais de sa bite...Je m'allonge sur le ventre, Mathieu s'assied sur mes fesses et me masse, et Christophe vient encadrer ma tête de ses cuisses : " je veux juste te voir téter ". Il sort (difficilement) sa bite et ses couilles par le côté de son maillot. Je suce le gland quelques minutes, et Chris dit à Mat' de me mettre sa bite, vu qu'il bande à fond. J'objecte que je ne suis pas très sûr de ma propreté, et là, ça part en sucette ( !) : Chris bascule du bassin pour m'enfoncer complètement sa bite, me plaque la tête dessus : " Qu'est-ce qu'on s'en fout ?! suce ! ... vas-y Mat', mets-lui au cul, on va lui faire sa fête ! ". J'essaie de m'opposer mais sa grosse bite me remplit complètement la bouche, et je sens Mat' écarter mes cuisses avec ses genoux, sa queue raide se frotte contre ma raie, ses mains m'écrasent le dos. Chris a immobilisé mes poignets au sol de ses deux mains ; j'ai la nuque brisée, empalé sur sa queue que je ne peux même pas pomper. Je résiste encore comme je peux, mais le gland de Mathieu a trouvé mon trou et force. " Ouais ! viole-lui le cul... à sec, comme une chienne ! ". Oui, c'est ça, c'est comme un viol, je retrouve cette autorité des mâles qui auront ce qu'ils veulent ; je suis encore crispé par l'idée que mon cul ne soit pas propre, plus le gland appuie et plus je me serre, mais entendre finalement Mathieu, avec une voix que je ne lui connais pas, gueuler, énervé : " putain ! ouvre ton cul, salope ! " me fait me dilater une seconde, qui suffit à le faire entrer. A mon cri étouffé par le barreau de Christophe répondent le soulagement de l'un et la satisfaction de l'autre. " Ouais, bourre-lui le cul !... et toi tu peux couiner, tiens ! bouffe du gland ! ". Il imprime un léger mouvement qui profite des quelques centimètres de marge dans ma bouche : " Hmmm, bien embroché là... J'adore tes amygdales !... ". Mat' a pris son régime défonce rapide, accoudé sur mes omoplates. Ma queue écrasée sous moi me fait mal, je dois soulever légèrement mon bassin, ce qu'il interprète aussitôt : " Ah, mais t'aimes ça, hein ? salope, deux mâles pour t'exploiter, ça te plaît, hein ? ... Mate un peu, Chris, comme il lève le cul ! " Son pote l'encourage de plus belle, pas étonné que j'en veuille un max ; et puis je sens qu'il se penche et il parle moins fort et...je crois bien que les deux potes se roulent des potes en me défonçant les trous !! Je reconnais les bruits de langue et de lèvres entre deux " vas-y, nique-le profond "... " défonce-le, Mat'...hmm ". Immobilisé de partout, bien ramoné du cul, je commence à prendre un pied terrible, surtout depuis que je sais qu'ils se galochent au-dessus de moi. Je mouille bien, et je sens aux gémissements rapprochés (on dirait que Chris lui bouffe carrément la bouche !) entre les souffles de bête, qu'il va juter... Bingo après une grosse envolée d'insultes. Je ne résiste plus, Chris le sent bien à mes poignets. " Bouge pas salope, à mon tour de te ravager la chatte ". Les deux mâles libèrent mes trous, le temps que j'entende l'un dire " putain il a salivé comme il faut ! " et " et après tu nous diras que t'es pas propre ! " Je tourne la tête, reprends appui sur mes coudes : Mat' vient s'agenouiller à hauteur et je vois que sa bite est nickel en effet ; je vais pour la pomper mais je suis projeté en avant et crie : Chris vient de la mettre direct à fond, et lui aussi gueule : " putain, le pied ! sa salive et ton jus, ça coulisse à mort ! ". Après une dizaine de coups magistraux, il me monte dessus, et Mat' se fait nettoyer la bite : de nouveau embroché. Les deux potes se roulent de nouvelles pelles, et ça repart dans les insultes. Au bout de 5mn, Chris me retourne sur le dos, lève mes jambes et me perfore comme une machine ; je ne cesse plus de gueuler, et Mat' vient poser son cul sur ma bouche et me tient les chevilles. Peu après, Chris livre sa dose comme une brute en me traitant de tous les noms. Quand il sort de mon cul c'est pour me doigter et commenter les doses de jus que je contiens. Il me dit de me branler en même temps, et la langue à moitié dans le cul de Mat', le cul ouvert par, je pense, quatre doigts, je jute, secoué comme une poupée par mes spasmes... Je sombre dans une demi-conscience ; mes deux mâles redevenant plus gentils, m'encadrent et me donnent à tour de rôle des doigts à nettoyer, j'entends " faut pas gâcher ", " faut prendre des forces ", etc.
Je me réveille, les ayant chacun assoupis à mes côtés. Le retour est un peu gêné, Christophe reste silencieux dans la voiture et Mathieu parle d'autre chose ; peut-être qu'ils n'assument pas trop, je ne sais pas... Ils me laissent me laver le premier, je prends un bain et repense en bandant à ce qui s'est passé. Christophe prend la suite, et Mathieu me câline, me dit moitié tendre moitié hésitant que " c'était chaud... ", puis on change de sujet, et il part chercher du pain et du champagne. Chris m'appelle depuis la salle de bain, et me demande de lui mettre du lait dans le dos. Il bande, je me doute comment ça va finir. Je m'exécute : j'adore son dos ! Il m'en met à mon tour mais ensuite enlève mon slip et me met un doigt dans le cul, me fait mouiller, m'en met un deuxième et me laboure à toute vitesse. Je décolle aussitôt, m'ouvre, me cambre, geins : il se fait répéter plusieurs fois que, oui, j'aime. Il confie entre deux pelles baveuses et toujours me tringlant, qu'il a trop aimé la baise sous les pins. Troisième doigt, il s'enflamme autant que mon trou, et la bête se réveille. Toujours à me lécher la bouche, il demande vaguement, doucement " violer... ? ...de la bite... ? ptite pute ?... ". Il va me faire jouir du cul comme ça !... On se branle tous les deux. Il m'ordonne de m'allonger dans la baignoire, il m'y rejoint debout. Il exige que je me branle et me doigte pendant qu'il mate en se branlant et il m'arrosera de jus. Je ne peux qu'obéir, ses doigts m'ont coupé toute volonté. Qu'il est beau, putain, debout face à moi ! on s'active dur sur nos bites, j'ai une cuisse bien relevée pour me doigter ; on se fixe, il a un regard de tueur. Finalement je jute avant lui en gueulant et je m'en mets partout ; il hoche la tête, m'encourage. Un jet sur ma joue, un floc sur l'émail près de l'oreille, mon torse, je me vide complètement ! Il s'est chopé un téton, ne me quitte pas des yeux ; je vois ses muscles apparaître et disparaître sous sa peau épaisse... à son tour de gueuler et il décharge en visant comme il peut pour m'en mettre partout. Je vois les giclées hors du gland, une lourde s'écrase aussitôt à la verticale, les suivantes sont propulsées sur mon visage, mes pecs, soit crémeuses et blanches, soit translucides. C'est magnifique. Il me dit d'étaler pendant qu'il se finit. J'obéis. Puis de venir téter ; je me redresse et déguste les deux trois gouttes qui perlent, lèche la hampe, ses doigts, ses couilles, jusqu'à ce qu'il débande un peu. " Rallonge-toi ". Je sens ce qui va se passer... " Là tu vas te prendre ma pisse ". J'ose un timide " Mais Chris... " qu'il interrompt brutalement " Rallonge-toi jte dis ! ". Alors j'obéis à nouveau. Je le regarde, toujours aussi beau et viril, une main sur la hanche, l'autre qui tient sa bite, et au bout d'une minute le jet sort, tombe sur mon entrejambe et remonte sur mon ventre, mon torse, il est puissant, il le dirige sans viser ma tête, il commente de " ouais... " le parcours. Il est fasciné par ce qu'il fait et moi fasciné par son gland qui pisse, je préfère oublier que c'est sur moi. Mais il balance furtivement le jet sur mon visage, et se marre en disant " oh pardon ! " alors que je lui dis " non ! ". Je m'essuie les yeux, en fait je ne veux rien rater du spectacle de ce beau mec qui pisse ; de nouveau il me vise le visage ; je ferme les yeux et me laisse faire... J'ai comme quitté mon corps. Sa pisse brûle, ne sent pas trop. Quand je sens le jet s'affaiblir et descendre le long de mon ventre, je m'essuie encore les yeux. Il est toujours bloqué dans sa vision ; le jet s'achève. Très calme, il me dit " Suce. ". Je me relève et m'exécute ; je ne sens pas vraiment en tétant le gland le goût. Et là, me tenant la tête, il s'enfonce plus et repisse, dans ma bouche, le salop ! Je résiste mais impossible. Pas question de boire, je laisse la pisse s'évacuer par le bord de mes lèvres. Lui, il soupire d'aise en se vidant définitivement. Je lui en veux clairement. Il déclenche la douche et me relève : il m'embrasse goulument (pas dégoûté !) ; il note bien mon manque d'entrain, mais ne cède pas à ma mauvaise humeur, et en fait assez vite, je suis vaincu par ses petits baisers redevenus tendres. La douche nous arrose, je me sens faible à en pleurer ; il me serre dans ses bras, continue de me couvrir de baisers, et j'entends des petits " mercis " ; il chuchote à mon oreille " tu me rends complètement dingue " et m'embrasse de nouveau. Je cède, j'aime ses baisers, je fonds. On se lave, on s'essuie très tendrement, et on finit dans le canapé en câlin devant la télé. Mathieu rentre et se douche, on prend un excellent repas et ensuite un film. La fin de soirée est vraiment zen. Je dois dormir avec Chris, mais passe quand même dans ma chambre où Mathieu ne dort pas encore. Il lit une BD, je lui propose un massage mais il dit que c'est à lui de me masser. Cool ! Les confidences commencent, à propos de l'aprem : il a été secoué, je crois. De me voir soumis à ce point, et d'éprouver une excitation pareille... Je me tourne et on fait un gros câlin (baveux), je dois lui répéter qu'il n'y a aucun problème, et je le débarrasse de son caleçon, dans lequel il bande très très dur ! Je l'attire sur moi et relève les cuisses : je veux changer de la levrette. Il me baise donc en missionnaire, et j'irais jusqu'à dire qu'il me fait l'amour ce soir-là. Quand je le quitte, il est heureux et vidé, et moi apaisé et plein. Je passe aux toilettes et rejoins Christophe, qui veut des nouvelles de Mathieu ; j'explique. On se place en 69 et on se bouffe le cul. Puis il s'agenouille face à la tête de lit, et me dit de venir lui lécher la raie par en-dessous. Quand vraiment ça lui a trop rempli les couilles, il me propose en chuchotant de me sauter, mais en faisant le moins de bruit possible pour Mathieu. On se met par terre, moi en levrette, il me monte dessus, presque assis : j'ai ses pieds au niveau des coudes, et il m'enfourne sa bite lentement et à fond ; mon gémissement me vaut un " chut ! " Je me tais en léchant son pied tout proche. Il s'arrête étonné, pivote un peu son pied et relève le gros orteil, que je tète ; il reprend un très lent et profond pistonnage. Puis il s'arrête encore, sort de mon cul pour déplacer un panneau du dressing, en face de nous, constitué d'un seul miroir ; j'en profite moi pour placer un coussin sous mes genoux. Il reprend alors la saillie lente en matant le miroir ; je regarde un peu aussi sans oublier l'orteil à téter. Chacun essaie autant que possible de retenir ses cris de plaisir. Mais il ne peut rester si lent, il se met à limer très vite, en soufflant, lâche quelques " suce, salope ! ", " putain ouais !...chatte...mes couilles " d'une voix étouffée. Pour la dernière ligne droite, il se cramponne par-dessous mon épaule gauche et passe un bras sous mon cou, me fait relever la tête et regarder la fin de la saillie, nos deux visages crispés, nos cris ravalés, et je vois le sien se tordre encore sous l'effort, puis alterner entre crispations et détentes : il se vide tout au fond, et je sens toute sa bite pulser plusieurs fois. Il me dit de me branler tant qu'il est encore fiché, toujours en nous matant dans la glace. Je jouis, il ressort ; il veut que je le garde pour la nuit. Je me remets précautionneusement au lit tandis qu'il essuie ma jute au sol. Câlin dans ses bras et dodo. Enfin ! Quelle journée !
mike
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