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La petite variation du lundi au réveil, c'est qu'il ne me donne pas sa bite mais son cul à lécher, assis sur moi, et en même temps se branle ; mais je n'ai pas envie de perdre une goutte au réveil ; je l'invite à basculer un peu son bassin en arrière et à me la donner et s'y enfoncer. Bien compris ! il me lime la bouche à l'envers, et expulse bien vite de gros jets brûlants bien au fond de ma gorge. " Pas mal du tout, ça aussi ! " commente-t-il après. Nous passons la matinée à faire des courses : j'ai bien l'intention de soigner mes deux mâles, puisque Christophe arrive le soir. Champagne, et autres produits de fête. Dans la voiture au retour j'ai encore droit à la conversation " quel dommage que tu sois un mec, tu sais d'occuper des mâles, tu leur fais à bouffer, t'es toujours ok pour qu'ils se vident les couilles ", etc. J'en rajoute dans mes réponses pour l'exciter encore : ben oui, j'aime vraiment la bite, et tant que j'ai du jus, j'aime prendre soin de celui qui m'en donne régulièrement. Voilà qui me vaut, dès notre retour, une autre vidange, et il veut renouveler l'expérience du matin : je me mets donc au bord de l'autre lit, plus haut, dans la deuxième chambre, la tête en arrière et il utilise ma bouche comme il le veut. Ses mains me maintiennent la nuque, j'ai la tête bien en position entre son short aussitôt baissé et ses couilles poilues et sa queue me ramone la bouche comme il faut. Je me branle et jute avant lui, ce qui le fait juter peu après. Nous mangeons et partons à la plage nous baigner. Il s'amuse à me narguer sur le sable, à me montrer sa bite bandée hors du short, à l'abri des regards...Il s'excite tout seul (enfin il me chauffe aussi !) à imaginer ce qu'il va me mettre dans " mon autre bouche " à notre retour, mes cris, mon trou ouvert, etc. Dans la bagnole on est tous les deux bite à l'air, mais comme il veut me mettre " une cartouche pleine ", on se calme en parlant d'autre chose. En revanche, une fois les douches prises, il tient sa promesse : il m'attend en tailleur, avec le gourdin à midi, quand je le rejoins au lit après un bon lavement. Je prends ma position de levrette et il me monte aussitôt dessus et m'encule vigoureusement. Sieste méritée pour tous les deux. Christophe appelle en fin d'aprem, on vient de se lever ; il annonce qu'il est là dans 2h, il " a mal aux couilles tellement il est plein ". On s'active à ranger un peu, à préparer un repas de rêve. Mat', qui repense aux sodos qu'il me faisait dans sa cuisine, et prévoyant que Christophe m'exploitera beaucoup à son arrivée, prend son tour dans mon cul, mais me jute dans la bouche : " je te laisse propre pour l'étalon qui arrive " - comme il est gentil avec ses potes !... Une heure après, Christophe arrive enfin. Il nous claque la bise dans la cuisine, et après deux minutes de blabla sur le trajet, il baisse son short, et découvre une magnifique bite dodue, bien gonflée, qui ne bande qu'à moitié. Il demande en se marrant : " Y a moyen de se faire sucer ou bien ? ". On rigole et je m'assieds en le tirant par le short vers moi. Sa queue atteint aussitôt ses 19cm, toute blanche et rose pâle, un gros cylindre bien régulier. Une main sur ses couilles (il a pas menti niveau remplissage !), je commence ma pipe, avec beaucoup d'envie, et Christophe apprécie bruyamment, et même s'étonne :
- Putain, Mat', tu lui as rien donné à bouffer ou quoi ?
- Y a une heure !
- Arrête ! Mate un peu comme il tête ! ah, purée, Céline aime me sucer la bite, mais là...
- Mais je t'ai dit qu'il aimait ça !
- Eh ben c'est le pied...Ouuuhhh ouais ! vas-y, mange ! Y a.... ah, putain, au fond !
Le bavard se tait en se faisant masser le gland par mes amygdales, je n'entends plus qu'un râle intermittent... J'en profite pour le caresser un peu partout, il relève son tee-shirt, baisse davantage son short ; décidément j'aime son corps. Une main sur sa hanche, l'autre sur ma tête, il se laisse pomper, oscille légèrement du bassin, lâche quelques " champion ", " gourmand ", " C'te bouche ! ". Je palpe ses fesses, plus charnues et rebondies que celles de Mat' (il me tarde d'y goûter !), ses pecs, dont les tétons sont déjà tout pointus. Au bout de 5mn de silence seulement entrecoupés de ses râles, de mes bruits de succion et du couteau de Mat' qui finit les aubergines, il retrouve le langage, promet une " grosse montée de lait ", commence à beugler, interminablement et gueule en giclant avec force une bonne dose, en 4 à 5 jets très nets, un vrai délice et mes couinements trahissent mon plaisir. " Tiens ! me dit-il, régale-toi ! hmmm, c'est bon ça, hein ? ". Bref, il se remet lentement, avoue qu'il a senti ses couilles se dégonfler, me félicite, estime, à voir mes yeux, que je suis en extase comme un vrai drogué. Il me relève, me roule une pelle sans avoir l'air dégoûté, puis part à la douche. Je m'aperçois que Mat' trique sévère, lui propose une pipe, mais il dit qu'à ce rythme-là on bouffera jamais. En changeant de sujet, il débande bientôt, tandis que je l'aide à finir les légumes. Christophe revient en slip, avec " une sacrée dalle ! ", et nous passons un repas tranquille. Mais après le tournedos, il y a l'effet du champagne, du bon vin et du reste raffiné que j'ai acheté, et mes deux mâles, repus, en arrière sur leur chaise à ma gauche et à ma droite, relancent le sujet : ah, s'ils pouvaient avoir une meuf comme ça, etc. Mat' se plaint de nouveau de son célibat, Christophe nuance un peu sur sa Céline, toujours prête à sucer et se faire baiser, mais assez routinière : toujours au pieu, jamais dans le cul, etc.
- Par exemple, en fin de repas, j'aimerais bien pouvoir lui dire " viens me sucer la bite ", ajoute-t-il en tirant sa chaise.
- Je vais pas me choquer, tu sais..., lui réponds-je.
- Alors viens me sucer la bite, dit-il avec un grand sourire.
Je constate en m'agenouillant, que la queue qu'il vient de sortir de son slip est déjà très en forme, et je commence une pipe. Mat' évidemment n'en reste pas là et suggère qu'on aille au salon, et que je les suce tous les deux. Sitôt dit... Me voilà devant les deux mâles cuisses écartées, à passer d'une bite à l'autre. Ca m'excite un max, de les sucer pendant qu'ils boivent leur verre de vin, et ils papotent de cul, de meufs, de leur bite... Mat', tout fier de rappeler à quel point il a pu profiter de moi, parle de bouffage de cul, et les deux mecs ne tardent pas à se mettre à 4 pattes, accoudés au dossier, leur verre en main, et me présentent deux beaux culs, très différents, mais tout aussi cambrés et offerts à ma langue. Là aussi j'alterne, je bande à mort ! Christophe hallucine " de se faire déguster la pastille ", et, comprenant que je suis en train de me branler en passant d'un trou à l'autre, voudrait bien voir ça. Lui aussi " a besoin d'écluser ", et Mat' pas mieux. Ils se remettent debout, m'encouragent à me vider tandis qu'ils se branlent sur ma langue. Je me répands bientôt sur mon ventre, Mat' me chope la tête et décharge, suivi de près par Christophe.
Il est décidé, après mon rinçage, que je passerai la nuit avec Christophe : Mat', grand seigneur, lui laisse sa première nuit avec moi dans l'autre chambre. On prend le dessert en musique, et puis dodo. La première demi-heure avec Christophe est très tendre, on s'explore de partout en mêlant nos langues, il redemande ma langue sur son cul, et je lui parle de ma position préférée, il adhère aussitôt et s'assied sur ma gueule. Je me régale ! je l'ouvre le plus possible, il m'aide lui-même en se repositionnant en appui sur les chevilles, le cul bien ouvert et ne cesse plus de râler de bonheur quand ma langue lui fouille le trou. Après un bon quart d'heure (j'aurais pu continuer sans problème !), il a bien envie de se démener... Il me met à 4 pattes et c'est lui qui me bouffe le cul, salivant un max et me doigtant. Puis, informé que j'ai un test clean dans la chambre à côté, c'est parti pour une bonne heure de sodo et je prends cher, plus long, plus gros, dans plus de positions. On prend un super pied et aucun n'essaie de limiter ses cris. Après une première décharge qui me vaut les plus grandes louanges sur l'accueil de mon cul, Christophe ne décule pas, et c'est reparti. Finalement Mat' fait irruption, le visage tout froissé de sommeil et la bite au garde-à-vous. Il dit qu'on pourrait faire moins de bruit ! Je me retrouve aussitôt avec sa bite en bouche, alors que Christophe me lime en levrette ; mes deux mâles rivalisent de grossièretés tandis que moi, labouré par les deux trous, j'atteins le septième ciel, tenu à la taille et à la tête. Je jute en couinant comme un suppliant, ce qui excite Mat' au point de le faire dégorger ; et Christophe ne tient pas longtemps devant le spectacle et sous mes contractions. Nettoyé et calmé, Mat' repart au pieu, moi je vais aux chiottes et quand je reviens Christophe est sur le point de dormir : il me prend dans ses bras et sombre. Dans la nuit, réveillé par sa trique, il m'enfilera encore une fois, la main sur ma bouche, de côté me relevant une cuisse, puis carrément allongé sur moi, jusqu'à me remplir...
Mardi matin, il se réveille le premier et s'installe adossé avec les oreillers puis me guide vers son entrejambe : sa queue triomphante sent un peu les exploits nocturnes. Je lui taille une pipe longue et minutieuse, lui lèche les couilles, et quand je lui caresse les tétons, la tête plantée sur sa bite, il me la saisit et m'utilise à deux mains pour se vider, en bons jets puissants et brûlants qui le font bien râler. Après quelques minutes à profiter du soulagement, il se lève pour aller " préparer le ptit déj " et me suggère d'aller réveiller Mathieu de la même manière. Je constate en me levant une petite fuite dont je vais me débarrasser... Mat' dort à poings fermés sur le ventre. Je le réveille à petits coups de langue entre les fesses, il bougonne puis se tourne et finit de bander dans ma bouche. Je pompe lentement puis très activement et reçois mon second nectar du matin : je ne m'en plains pas ! Tandis que je léchouille un peu partout son entrejambe, Mat' discute un peu des exploits de Christophe en sodo vu ce qu'il a entendu : il a l'air un peu inquiet de ses propres performances. Je le rassure en lui disant que c'est différent, mais il est clair que Christophe a mieux assuré (ce que je ne dis pas). Nous partons directement à la plage après le ptit déj ; Christophe a préparé un festin, il rayonne ! Les deux gars se régalent dans l'océan alors que moi je récupère mes forces sur la serviette. Nous mangeons au resto et pour le retour Christophe me fait monter avec lui à l'arrière et baisse aussitôt son short : " viens prendre ta tétine ! ", et je passe la plupart du trajet à le lécher et à le pomper. A notre arrivée, j'ai pris une dose et Mathieu bande rude ! Je veux le vider tandis que Christophe part à la douche : on arrive juste dans la cuisine que Mat' libère son chibre et je m'agenouille pour le soulager. Quand ils échangent leur place à la douche, Chris m'offre son cul tout propre à lécher dans le canapé, tout en me branlant. Après ma douche approfondie, je rejoins Mat' pour la sieste. Mais au bout d'une demi-heure à chercher le sommeil, il ne voit qu'une bonne saillie pour s'endormir. Il m'encule comme à son habitude donc et se finit entre mes lèvres. Au réveil, je me rends compte qu'il est déjà tard, mais laisse les mâles dormir. On restera chez moi. On mate un peu la télé quand ils émergent, et à l'heure de l'apéro, Christophe réclame son passage dans mon cul ; alors que je m'apprête à basculer dans le canapé, Mat' nous envoie dans l'autre chambre : " il ne veut pas nous regarder, mais voir la télé tranquille "... Soit... Après m'avoir bourriné une grosse demi-heure, Chris s' inquiète de cette réaction... Mais bon...Mat' a eu le temps de lancer la bouffe ; nous mangeons calmement, il y a un peu de poids dans l'air. C'est la nuit où je dors avec Mat', qui m'encule illico, mais Chris se pointe pour réclamer une pipe. Mat' s'interrompt aussitôt, monté sur moi et planté. Il nous faut beaucoup de ruse pour qu'il accepte de baiser à trois : je suis chaud bouillant et ne tiens pas à en rester là. Je ne peux rien dire la bouche pleine de la bite gonflée de Chris mais celui-ci flatte Mathieu sur la vigueur de sa sodo et commence à se montrer très cru sur mon appétit, mes trous à " rentabiliser " ; Mat' obtient qu'on fasse ça dans le noir. Chris reprend sa place dans ma bouche après avoir éteint et Mat' sa levrette frénétique. La situation est très excitante et tout le monde se lâche verbalement. Chris m'oblige à supplier pour deux bites quand il ne me lime pas le gosier, Mat' approuve et sort lui-même quelques insultes en me fessant. Un vrai larvage. Quand Mat' jute au fond de moi, Chris m'ordonne de pivoter et les bites changent de trous : je nettoie la bite de Mat', qui ensuite m'offre son cul à bouffer, alors que Chris se déchaîne " pour ajouter sa sauce ". Lui aussi m'est monté dessus ; quant à Mat' je devine à la position qu'il a profité du noir pour s'ouvrir le cul au max, cuisses relevées. J'enfonce d'autant plus ma langue que les coups de bourrin que je reçois me propulsent. Je me touche quelques secondes la queue et gueule en jouissant sur le lit. Chris félicite " sa salope " et me met une volumineuse cartouche en nous arrachant les oreilles ; il me lève la tête par les cheveux pour amener ma bouche à la sienne en finissant de se vider : sa langue me dévore tout le bas du visage, il souffle comme un boeuf et demande (pour la forme) si je suis comblé après avoir vidé 4 couilles dans le fond de mon cul... Il rallume ensuite ; les deux potes s'extasient sur l'ouverture de mon trou et se marrent bien. Il me faut quelques forces pour me refermer, me lever et me vider aux toilettes. Je reviens avec une serviette que j'étale sur ma tache de sperme. Ils sont beaux, et tout sourire, mes deux mâles étendus de côté, la queue reposée entre leurs cuisses. Mat' propose un joint. Nous partons au salon et je me retrouve entre eux deux dans les diagonales de leurs jambes, que je caresse pendant que la fumette tourne. On échange sur le plan récent : excitant pour tous ; on rassure encore Mat' sur ses vigoureuses saillies ; on parle de mon côté soumis... Tous les compliments que je reçois, et leurs observations conquises m'incitent à suivre cette pente à l'avenir de plus en plus avec eux. Chris, vite défoncé par le joint (il fume peu) part au pieu, et nous faisons de même. Je m'écroule comme une masse et n'entends même pas Mathieu ronfler.
mike
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