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C'est une douce et légère odeur de café qui, chatouillant mes narines, semble me réveiller ce matin. Je m'étire machinalement en me retournant. J'ouvre les yeux... je ne suis pas chez moi !! Il me faut quelques secondes pour réaliser que j'ai dormi chez mon beau Valentin... Je m'étire à nouveau, que c'est bon de se réveiller là ce matin. En un éclair une immense émotion m'étreint au souvenir de nos ébats de la veille.
" Et bien, tu es bien en forme toi le matin ! "
Je n'ai pas entendu Valentin revenir dans la chambre et je réalise qu'il me trouve là, sur son lit, entièrement offert, nu, avec sans doute un sourire béat illuminant mon visage, mais surtout avec une gaule d'enfer comme chaque matin. Comme un idiot j'attrape la couverture pour en rabattre un morceau sur moi et bredouille comme un petit garçon pris à défaut
" Excuse moi j'y peux rien tu sais... le matin... je vais partir ... j'aurais du... "
Il s'est vite jeté sur le lit pour posé ses lèvres sur les miennes puis il me dit
" Arrête imbécile, je suis très heureux de m'être réveillé avec toi, je suis un grand garçon tu sais, je t'aurais déjà mit dehors si je le voulais. Et puis pour rien au monde je n'aurais voulu manqué la vision que je viens d'avoir, et surtout ton air d'écolier tout rouge de honte : j'adore ! "
Il m'attrape la nuque avec sa ma gauche et m'embrasse à nouveau magistralement. Je m'abandonne à lui relâchant tous mes muscles. Nous nous allongeons sur le lit, moi complètement nu, lui à moitié assis penché sur moi, juste vêtu d'un caleçon noir et d'une magnifique chemisette en soie violette. Ce baisé est divin, nos langues s'entremêles et il me transmet la suave saveur du café qu'il vient probablement de boire.
Il se relève
" Allez c'est pas comme ça que je vais calmer tes ardeurs mon coeur, la salle de bain est juste à coté fais comme chez toi je finis de préparer le petit déjeuner dans la cuisine "
Et il quitte la pièce. Je me regarde un instant, le sexe dressé vers le plafond, encore pris dans la ferveur de nos baisers, et je me remets à sourire de béatitude. J'ai tellement envie de lui à nouveau ! D'une bonne douche froide besoin j'ai, Jedi Arnaud à la salle de bain te rendre tu dois pour ton sabre laser éteindre. Sortant de la douche j'enfile une belle chemise de nuit en soie qui tombe juste en dessous de mes fesses et rejoins ensuite mon Valentin dans la cuisine, il se trouve de dos devant le plan de travail. Je m'approche, audacieux et amoureux, et l'enlace fort eu lui disant
" Moi aussi je suis heureux de me réveiller avec toi mon bel inconnu, cela fait si longtemps qu'un matin ne m'avait pas paru aussi prometteur "
Puis je lui fais plein de bisous sur la nuque, sur la joue alors qu'il se tourne un peu, en lui caressant le torse et le ventre.
" Hummmm c'est bon mon coeur de te sentir contre moi " me dit-il, puis quelques instants plus tard " mais tu devrais aller t'asseoir prendre un bon café avant de continuer, je sens comme une légère palpitation contre mes fesses mon tout doux " Et alors que réalisant mon excitation naissante je me remets à rougir comme un jouvenceau, il se retourne et m'attrape la tête à deux mains pour m'embrasser fougueusement, ce qui à le don de m'exciter encore plus. Il me lâche et me donne une légère tape sur mon sexe qui se dresse désormais entre les deux pans de la chemise de nuit en me disant avec un sourire malicieux me regardant droit dans les yeux
" Et voilà c'est bien fait ça t'apprendra... je ne me lasserais jamais je crois de ton air si penaud, et de la réactivité de ton excitation, un vrai adolescent tu me fais fondre tu sais mais ne soit pas gêné c'est tellement excitant pour moi aussi "
Puis son regard descend en même temps que le mien : son caleçon semble bien curieusement " habité ".
" Et oui moi aussi j'ai des sentiments " me dit il en riant " café, chocolat, thé ? "
Et nous entamons notre petit déjeuner presque comme si ce n'était pas le premier... faisant des paris sur la météo de la journée, constatant la chance d'habiter une si belle ville, échangeant sur nos envies pour la journée... Une nuit seulement et déjà l'illusion d'une vie à deux. C'est tellement agréable de le croire, ne serait-ce qu'un moment. Nous vivons tous les deux ces instants comme dans une illusion sincère et nécessaire de la vie à deux tant espérée et rêvée.
Puis je lui raconte un peu ma vie professionnelle, lui la sienne. J'évoque mes derniers chagrins d'amour, lui les siens. Au retour d'être aller chercher une serviette il est venu s'asseoir à coté de moi. Ainsi au cours de nos discussions nous échangeons furtivement de tendres gestes d'attention, bisous sur la joue, petits smacks de jeunes garçons pré pubères... Les rares fois ou sa main vient caresser ma cuisse je fais un effort surhumain pour garder la tête froide. Mais les moments les plus délicieux auront été ceux ou, évoquant plus en profondeur (si si) nos sentiments amoureux pour nos anciennes conquêtes, sa main est venu attraper la mienne pour la caresser tendrement ou la serre très fort. Jamais je n'aurais cru que mon coeur puisse battre aussi vite.
A la fin du petit déjeuner il passe son bras droit autour de ma taille et ma caresse délicatement le haut de la fesse droite en m'attrapant les lèvres langoureusement, puis me dit en me fixant droit dans les yeux
" Arnaud je ne veux pas aller trop vite et je ne sais pas ce qui se passera par la suite, mais tant que tu es d'accord je te garde près de moi j'ai trop peur que tu me manques désespérément si tu pars trop vite " Je me noie dans ses yeux émus " tu ne bouges pas, je vais juste faire la vaisselle tu ne t'occupes de rien "
Alors je me lève en sursaut, au passage je devine mon sexe à nouveau dressé pointant entre les pants de mon vêtement, et lui dit
" Non laisse moi faire je veux participer, je fais la vaisselle "
Et je me précipite devant l'évier, autant pour cacher mon érection de jeune puceau qui ne se maîtrise pas, que pour l'empêcher de refuser ma proposition. Sans attendre je fais couler l'eau et commence à laver les quelques couverts déjà déposés dans l'évier. Je suis surpris par son manque de réaction et suis parcourue d'une délicieuse chair de poule en pensant qu'il est en train de m'observer depuis le centre de la cuisine. Puis je sens une main se poser tout doucement sur mes fesses pendant qu'il arrive sur mon coté pour me déposer un délicat baiser sur la joue.
" Merci Arnaud, je te laisse faire, c'est si bon de te contempler ainsi "
Puis il pivote légèrement pour se placer derrière moi, ses deux bras m'enlacent le corps et ses mains viennent me caresser le ventre. Je sens tout d'un coup son sexe à demi en érection se poser doucement contre mes fesses. Ce coquin à retirer son caleçon. Il commence à se frotter à moi en me faisant des bisous sur la nuque. Sa main droite remonte m'attraper le menton et alors que son sexe commence à se frayer un chemin entre mes fesses il me bascule la tête en arrière pour m'attraper l'oreille à pleine bouche. Je reçois comme une décharge électrique qui me fait presque jouir. Je ressent du liquide couler de mon sexe, je suis en extase tellement Valentin me fait de l'effet. Son sexe est maintenant fermement lové entre mes fesses en train de s'y frotter par de légers mouvements réguliers. Il me susurre à l'oreille
" Je ne pouvais pas te laisser dans cet état là, et puis c'est pas humain d'allumer un mec comme ça, tu mérites une bonne punition petit débaucher "
Il me dit ces mots avec tellement de tendresse que je m'abandonne complètement laissant ma tête retombée en arrière sur son épaule. Les doigts de sa main droite viennent alors juste effleurer mon sexe, le parcourant de haut en bas sans jamais le toucher trop, pendant que sa main gauche vient envelopper mes bourses bouillonnantes. Son sexe à force de faire des vas et viens s'est déjà présenté à plusieurs reprises à l'entrée de mon puits d'amour sans tenté d'y pénétrer.
Je suis dans un état de torture et d'extase absolu et sans réaliser ce que je vais dire je lui demande dans un râle à peine audible
" Hummmm Valentin prends moi je t'en supplie, prends moi je n'en peux plus j'ai trop envie de toi ! "
A suivre.
pourtonplaisir
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