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Premier épisode | Épisode précédent

Ma nouvelle vie

Chapitre 4

Léo est en train d'achever de me nettoyer le torse de sa langue gourmande lorsque je reprends enfin mes esprits. Je lui caresse les cheveux affectueusement en essayant de recouvrer un souffle normal.

- Tu veux qu'on continue à l'intérieur ? me susurre-t-il en relevant sa tête vers moi et en me lançant un regard auquel il est impossible de résister.

- Oh oui, mais tu me promets d'y aller doucement.

Il sourit d'un air d'adolescent espiègle, mais qui suffit à me donner confiance. J'ai évidemment testé dans mes jeux solitaires le plaisir anal, mais jamais avec des objets dont le volume atteint celui de la teub de mon compagnon nocturne, et j'appréhende un peu cette première fois.

Je me rassure en me disant que lui non plus n'est pas plus expérimenté que moi en la matière.

Nous délaissons la terrasse et glissons sur le lit king size de la suite. Léo est sur le dos et écarte langoureusement ses bras. Je l'enjambe et commence à l'embrasser. Nos deux langues qui s'affrontent en un ballet tantôt lascif, tantôt combatif ,fait naître en moi une chaleur envoûtante. Mes mains caressent son torse avec passion, et je ne tarde pas à retrouver ma queue au garde-à-vous en sentant la puissance de ses pecs tendus sous ma paume.

Lui-même bande comme s'il n'avait pas joui depuis 3 mois et je sens sa teub qui frôle mes fesses au gré de mes mouvements le long de son corps. Je suis en apesanteur, le contact de sa peau sous la mienne est si érotique que je pourrais y passer des heures sans en attendre plus.

Mais Léo ne semble pas l'entendre de cette oreille et décide brusquement de prendre les choses en main, en me retournant d'autorité. La puissance qui se dégage de ce mouvement décuple mon excitation.

- J'ai tellement envie de toi, me dit-il en plongeant son regard brillant dans le mien.

Je ne bouge plus, à mesure qu'il se lance dans une exploration de mon corps et que je sens ses baisers couvrir mon épiderme. Je veille à bien tenir mes pecs et mes abdos au max de leur volume pour rivaliser avec les siens et je vois que mon jeu fait son petit effet, lorsqu'il s'y attarde plus longtemps que sur le transat tout à l'heure, et qu'il me titille les tétons avec délicatesse.

Il achève son petit tour du propriétaire par mon anus ; sa tête est littéralement coincée entre mes cuisses, et sa langue s'aventure là où personne n'est jamais allé jusqu'à aujourd'hui. La sensation est étrange, et j'essaie de me calmer pour me concentrer sur mon plaisir.

Quelques minutes plus tard, Léo attrape un tube de lubrifiant dans sa table de chevet, et je me demande furtivement par quelle chance celui-ci se trouvait là, mais rapidement mon attention est détournée par le tremblement discret de sa main qui badigeonne son pieu dressé et le présente, néophyte, à l'orée de mon trou.

- Je suis prêt.

Il m'adresse un ultime clin d'oeil bienveillant avant de titiller mon anus de son gland humide, et finalement de s'introduire en moi avec précaution.

Je ne peux retenir un petit cri, tout d'abord de surprise, puis de satisfaction, à mesure que je prends conscience de cette bite dure comme du diamant qui s'insinue en moi en faisant naître, à des endroits dont j'ignorais encore l'existence, des plaisirs nouveaux.

Des premières secousses qu'il a voulu tendres et légères, Léo commence à accélérer son va-et-vient, en cadence avec mes gémissements de plus en plus rauques. Toute la testostérone qu'il a accumulée au cours de ces derniers mois déferle en moi comme un torrent en furie, emportant tous mes doutes et mes angoisses au passage.

- Putain Léo, c'est trop bon, continue.

Les mots sortent à peine de ma gorge tordue par le plaisir, et le bruit du sommier me fait craindre un effondrement imminent. Léo sourit en me léchant le torse sans diminuer sa cadence.

Il retire brusquement son braquemart de mon cul et me retourne avec la même puissance que celle qu'il avait mise quelques minutes plus tôt. Je me retrouve le visage collé contre le drap, tandis qu'il se réintroduit avec la même délicatesse, puis reprend son pilonnage impitoyable.

Il commence lui-aussi à souffler à mesure, d'une part que la cavalcade s'amplifie, et d'autre part que le plaisir s'empare de son pénis, mais sa virilité ne s'en trouve qu'accentuée. Je sens son torse qui couvre le bas mon dos et ses bras puissant qui s'enroulent autour de mes abdos.

- Oh Yohann, je vais pas tenir longtemps, me glisse-t-il soudain.

- Pas encore.

D'autorité, je reprends la main, et je le force à sortir. Il se lève et me fait face au paroxysme de sa virilité, un sourire extatique sur les lèvres et un regard à vous faire jouir d'office si vous n'y prenez garde.

Je me mets sur le bord du lit, et commence à jouer avec sa queue encore chaude de mes entrailles. Mes mains grimpent rapidement le long de son buste et je me dresse enfin pour l'embrasser. Brusquement je le bascule à la renverse sur le lit et l'enfourche sans qu'il ait pu résister, mes deux poignets enserrant ses avant-bras.

- Ne résiste pas, lui dis-en en riant.

Je me redresse et de ma main gauche je réussis à glisser sa teub dans mon trou, avant de l'enfourner d'un coup sec. Léo ne peut retenir un spasme de plaisir.

Je reprends la cavalcade, mais en maîtrisant désormais le rythme que je calibre pour ne pas le faire jouir trop vite. La sensation de son pieu dans mon cul est tellement enivrant que je voudrais faire durer ce moment toute la nuit.

Je me penche en avant et plaque mes mains sur ses pecs puissants ; ma queue toujours aussi dure frappe en cadence ses tablettes de chocolat, et je sens ses mains qui alternent entre mon cul et ma teub. J'essaie de me focaliser sur son plaisir à lui pour ne pas cracher trop tôt.

Soudain, il commence à contrer mes propres mouvements en cambrant son bassin de plus en plus rapidement, et sa teub me défonce littéralement. Je ne peux m'empêcher de gémir tandis que ses halètements se font plus profonds.

- Oh oui, Léo, putain c'est trop bon.

Encouragé par mes cris, il redouble de vigueur, les veines de son bas ventre semblent prêtes à exploser et ses abdos n'ont jamais parus si puissants. Son visage est figé sur le mien, le regard conquérant et la mâchoire crispée par la montée du plaisir. Je ne parviens plus à prononcer le moindre mot et je m'abandonne à sa volonté.

- Yo, ton cul est tellement serré, quel pied de ouf !

Ses mains maintiennent désormais mon anus bien ancré autour de sa bite, et je n'ose de mon côté toucher ma queue de peur d’enclencher trop vite le dernier round. Au fond de moi, un frémissement commence à émerger et ma queue virevoltante s'agite peu à peu de soubresauts enivrants. Je sens l'orgasme se préparer, différent de celui que m'a procuré sa bouche tout à l'heure, mais d'une intensité au moins égale. Je m’accroche à ses pecs, je les sens se contracter sous mes paumes, je soutiens son regard avec intensité, il voit mes larmes de plaisir commencer à se former au coin de mes paupières, je suis en extase.

- Oui, oui, ouiiiiii...

Son sourire devient carnassier, sans pour autant perdre sa candeur juvénile, en un mélange débordant de virilité et de puissance. Il sait qu'il me procure un déferlement de plaisir inouï, et que je suis au service de sa queue.

- Ne t'arrête pas, ça vient, réussis-je quand même à murmurer au point où je me sens sur le point de lâcher la purée.

Et soudain, sans me toucher, et alors que ma teub rebondit une ultime fois sur ses abdos, je déverse mon flot de sperme en hurlant dans la chambre. Léo n'arrête pas ses mouvements, et je vois mes jets se succéder et lui inonder le torse et le menton, tandis que mon corps est traversé de part en part d'une décharge électrique de folie.

Enivré par cette vision, Léo me retourne une nouvelle fois et me baise avec une fougue de forçat évadé du bagne. Il m'embrasse, partageant au passage une partie de ma semence qui lui avait aspergé la lèvre inférieure, et me caresse les épaules de sa main libre. Mon orgasme semble se répercuter, en écho, à mesure qu'il m'encule, comme la queue d'une comète dans le ciel, et je me délecte de ces interminables répliques du séisme qu'il a provoqué en moi.

Finalement, après une dizaine de minutes de cette folle danse, je vois ses traits qui se figent et son sourire qui explose. Le râle qu'il me glisse à l'oreille en me mordant légèrement le haut de l'épaule, et le ralentissement de ses mouvements, trahissent sa jouissance et il me remplir le cul de son foutre avec une délectation qui achève de durcir mon érection renaissante.

Nous restons immobile quelques instants dans cette position, son corps haletant qui m'enveloppe de sa chaleur bestiale et son souffle sur l'épaule, puis il se retire et tombe sur le dos à mes côtés.

- Oh putain, c'était bon, s'écrit-il.

Je me redresse en appui sur mon bras gauche et reprend mes caresses. Ses muscles sont tendus comme après une grosse séance de muscu, et les gouttelettes de transpiration qui glissent à leur surface me comblent d'excitation. Je pourrais passer ma vie à adorer un corps comme celui-ci, et je ne peux m'empêcher de songer aux innombrables séances de masturbation solitaire à fantasmer devant des modèles d'insta ou des stars du porno, convaincu que jamais je n'aurais la chance d'en tenir un réel dans mes bras.

C'était fait. Et comme un ultime pied de nez de l'adolescent maigrichon et puceau que j'étais, une petite voix ne cessait de me murmurer au fond de mon crâne que cet instant ne durerait pas éternellement et que je devais m'enivrer jusqu'à l'étouffement de ce plaisir indicible qui m'était offert par une erreur manifeste de la providence.

- Je n'en ai pas fini avec toi, lui dis-je, espiègle.

Il sourit. De sa main droite, il m'agrippe la teub et commence à la branler lentement.

- Je vois ça ! Tu ne fais pas de pause apparemment !

Nous éclatons de rire tous les deux, et je me remets à califourchon au-dessus de lui en l'embrassant fougueusement. Cette fois-ci, je suis bien décidé à ne plus lui laisser la moindre initiative.

Je reprends, inlassablement, mes caresses. Son corps tout entier est si dur, ondulant en rythme avec sa respiration qui ne commence à ralentir que maintenant, comme si son orgasme résonnait encore en son sein. Je redescends lentement vers sa queue, encore humide et a demi molle, qui frétille néanmoins sous ma langue, mais je ne m'éternise pas.

Je redresse ses jambes et les pose sur mes épaules. Ses mollets, parcourus de veines apparentes, me massent la nuque a mesure que je les lui fais contracter, et je poursuis, aux anges, le massage de ses cuisses volumineuses.

Ma teub est de nouveau fermement dressée. Je crois que la sensation de ce corps contre le mien pourrait me faire rebander directement après cent éjaculations. Cet instant est si surnaturel que je le grave dans mon esprit à jamais : en approchant lentement ma teub de son anus, je le vois me fixer de son regard encore enivré de sa jouissance mais toujours un peu dominateur, comme un appel à une transgression que je vais lui infliger, avec son assentiment espiègle, mais conscient que mon plaisir n'en sera que décuplé s'il joue son rôle de mâle alpha même dans cette position.

Et je compte bien lui rendre son plaisir. Sans quitter son regard, je fais coulisser lentement mon pieu dans son cul, lui arrachant un petit cri. Je tente de l'amadouer en glissant ma main, au même rythme, sur ses abdos qu'il contracte par réflexe, ce qui renforce encore mon érection. Putain que son corps est bandant, et à cet instant précis, j'en prends possession.

Je commence mes mouvements avec délicatesse, puis à mesure que je vois qu'il s'habitue à ma queue, pourtant de bonne taille, j'accélère en lui embrassant fougueusement le torse.

- Putain Yo, je pensais pas qu'elle rentrerait, me susurre-t-il entre deux halètements.

- Tu aimes ça ?

- Oui, vas-y, tu peux aller plus vite, c'est trop bon.

Sa queue ne me dément pas son affirmation. Elle claque désormais en rythme avec mes coups de butoir sur ses abdos et je me libère une main pour la branler. Léo a désormais les yeux fermés, ses mains traînent langoureusement au-dessus de sa tête et je décide de lâcher les chevaux. Mon pilonnage devient violent, et Léo, surpris, se met à hurler de plaisir.

Je manque de jouir instantanément, et ne dois mon salut qu'à un changement de position que j'improvise, ma queue judicieusement libérée, reprenant une respiration dans sa mission.

Léo est désormais définitivement soumis au plaisir de mon membre, et je le retourne sans ménagement, sa teub comprimée entre son bas ventre et les draps fripés de notre lit. Je reprends mon assaut en épousant son dos de mon corps, et en passant mes deux mains sous son torse, l'enserrant de toute ma puissance. Ma bouche lui mordille l'oreille a mesure que ma bite lui déchire les entrailles et lui masse la prostate.

La sensation de ce corps tressaillant sous mes doigts, les pecs gonflés comme jamais, tandis que ma teub se fraye un chemin dans son cul étroit, atteint le comble de l'excitation, et je ne parviens plus à contrôler mon cerveau. Le moment est trop intense, le plaisir trop inédit, pour que je sois encore maître de moi. Seul le fourmillement hypnotique qui remonte de ma queue et irrigue chaque parcelle de mon corps, et les gémissements de mon partenaire, comptent à cet instant précis.

Je le baise comme ça, dans un état de transe quasi surnaturel, pendant une vingtaine de minutes, ne m'accordant que quelques rares pauses pour changer de position empêcher ma teub de hâter une conclusion que je veux la plus tardive possible, tellement cette chevauchée est magique.

Je réussis à faire jouir Léo deux fois, avant que je sente les digues commencer à céder de mon côté également. Léo est désormais sur le dos, et je pose mes deux mains sur ses pecs en les malaxant avec frénésie, tandis que je sens ma queue franchir le point de rupture. Contrairement à tout à l'heure, l'orgasme survient brutalement, quoique tout aussi puissant, et je m'effondre sur Léo qui m'enlace et accompagne ma jouissance de mouvements de son bassin. Je crois que je ne pourrais jamais décrire le plaisir qui m'a envahi à ce moment-là, ni même estimer la durée de cet orgasme qui m'a semblé s'éterniser de longues secondes et projeter une dizaine de jets au fond du trou de Léo.

- Putain, que c'était bon !

C'est la seule chose que je parviens a prononcer, en écho aux propres paroles post-coït de Léo quelques minutes plus tôt, et ce dernier sourit en me caressant les cheveux affectueusement, alors que je sens ma queue qui commence à peine à débander dans ses entrailles, et mon jus qui perle sur les draps.

- Je plains la femme de ménage demain, dit Léo en riant.

Je me relève en me retirant, et me rends compte en effet de la quantité de sperme qu'on a projetée, sur nous-mêmes et sur le lit, et sourit en retour. Je suis aux ange, et je ne songe déjà qu'à recommencer.

On baise encore deux bonnes heures cette nuit-là, alternant les rôles et les positions, et on s'endort enlacés, peu avant l'aube. Le réveil est un peu dur, mais le taxi nous attend pour nous amener à l'aéroport, et on ne se permet qu'une rapide douche commune ponctuée par une rapide fellation, qui nous laisse sur un petit goût d'inachevé, mais il n'est pas envisageable de louper l'avion, d'autant qu'on sait tous les deux qu'on va essayer de se trouver un moment au cours du vol pour tester la fameuse baise à 40.000 pieds.

On découvre cependant que la réalité et les fantasmes sont deux choses différentes, et les toilettes de l'avion, dans lesquelles on réussit enfin à se glisser tous les deux, au bout de plusieurs heures, une fois la quasi totalité des passagers endormis, sont tellement étroites que 2 mecs de notre morphologie y tiennent à peine.

On parvient néanmoins à se caler pour une branle commune et à jouir au-dessus de l'Atlantique, mais j'avoue que j’atterris à Paris avec une petite frustration, qui fait écho à la nuit surréaliste que nous avons vécue hier.

D'autant que les parents de Léo sont venus le chercher et que nous nous quittons sur une poignée de main, certes agrémentée d'un clin d’œil plein de promesses, mais tout de même un peu décevante.

Toujours sur mon petit nuage, je monte dans un taxi et reconnecte progressivement avec ma vie, réalisant avec peine que la parenthèse dans laquelle je m'étais glissé, et qui s'est conclue par une apothéose aussi géniale qu'imprévue, venait de se refermer, sans que j'aie réfléchi à quoi que ce soit pour la suite. Je sais simplement que les cours redémarrent lundi prochain.

La porte de mon appartement est bizarrement l'élément qui constitue l'électrochoc, et je retrouve mes automatismes au bout de quelques minutes. Je m'attarde devant mon miroir dans la salle de bain ; je suis en débardeur, et contracte, toujours un peu surpris, mes biceps, admirant un reflet qui m'est encore un peu étranger.

Par la fenêtre, les toits de Paris brillent sous le soleil de cette fin d'été, et je me surprends à sourire. Ce nouveau corps m'ouvre un univers de possible, et une conviction excitante s'impose soudain comme une évidence : le monde est désormais à moi.

A suivre...

Merci pour vos messages d'encouragements, je vais essayer de continuer ce journal intime (avec quelques mois de décalage), même si ce n'est pas l'exercice le plus facile dans lequel je me suis lancé. N’hésitez à m’envoyer des commentaires, je suis preneur de vos remarques pour m'améliorer.

Yohann

yohann.gln75@gmail.com

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