Le retour ...
Cela fait des années que je n'ai pas réécrit d'histoires ici, principalement dû au fait que j'avais beaucoup de travail, entre autre.
J'avais également oublié, avec le temps, que je disposais d'un e-mail, utilisée ici pour écrire mes histoires vécues à 95%. Et je veux vraiment dire "navré" à tous ceux qui m'ont écrit depuis la Suisse ; ces gars, militaires en cours de répète ou recrues, auraient bien aimé me rencontrer. J'ai honte de ne pas avoir donné suite.
Du coup, j'ai lu certains de leurs emails, qui me proposaient une rencontre entre mecs en uniforme et bottes. Peut-être en cette année 2024 nous aurons l'occasion de se boire une mousse en treillis et rangers. Promis, je donnerai suite cette fois ayant tout stabilisé dans ma vie.
En parlant de rencontre, j'en ai faite une, justement, il y a 2 semaines.
Je suis toujours engagé dans l'armée au grade de Sergent-Major Chef (Hauptfeldweibel ou Hptfw pour les intimes), en gros, un sous-off supérieur.
Le 11 janvier 2024, après une balade dans Lausanne looké en sportswear et jordan 4 aux pieds, j'attends l'IC1 pour rentrer sur Fribourg.
Je me cale voie 1, au secteur H, près du cendrier et m'en allume une. J'ai le temps, le train arrivera dans une trentaine de minutes.
Quelques minutes après, un lascar valaisan (on l'entend à l'accent) m'aborde et me demande du feu. Il était pas mal franchement. Dans les 25 ans, en training jordan's et une paire de J4 Military Black aux pieds. Ses petits yeux marrons et sa coupe de cheveux très courte le rendait encore plus sexy. On discute un peu de nos sneakers, le temps qu'il grille sa clope, puis me salue et s'en va.
Étant trop timide pour pousser un peu plus loin les investigations, je garderai le souvenir de ce ptit gars, poli, kiffant, avec un beau sourire.
Je regarde l'heure et je vois que le train arrive dans une dizaine de minutes. Je rallume une clope et cette fois, c'est un sergent en Taz90 et bottes militaires montantes de Gren qui s'approche du cendrier. Il a les yeux bleus, blond très court, un piercing à l'arcadem, un visage fin. Il doit avoir dans les 23 ans. Un pur bogoss.
Je le salue de la tête (après tout, on est sympa en Suisse, on salue les gens) ; il répond à mon salue avec un très léger sourire. Mais je le voyais de temps en temps mater mes jordan du coin de l'oeil.
J'avoue, je kiffe ce genre de situation, par égo ou par fantasme, vas savoir !
Du coup, je vois qu'il fait partie des "gren" et j'entame un peu la discussion sur l'armée, tout ça, tout ça.
Le train arrive et nous nous dirigeons vers les portes, puis à l'étage supérieur où j'adore être.
Il me demande s'il peut s'asseoir avec moi et je lui dis que oui, sans problème. Dans ma tête, je me disais "Tu m'étonnes que tu peux" ! haha
On se retrouve dans un bloc de 4 sièges, je m'asseoie côté fenêtre et lui en face de moi. Là, je me dis : "Ses bottes militaires bien propres sont toutes proches de mes sneakers, putain, j'imagine déjà ma jordan calée entre ses cuisses".
Le train démarre au bout de quelques minutes et nous poursuivons notre conversation. Il me raconte ses souvenirs à Isone, au Tessin, là où il a fait son école de recrue.
Au bout d'un moment, je sens sa botte qui frotte ma Jordan et c'est en train de me faire bander dans mon training (en plus, j'ai rien en-dessous). Discrètement, je mets ma main sur ma queue qui gonfle. Ca me fait du bien. Puis, le Sergent prend son téléphone et semble écrire quelque chose, mais je ne sais pas quoi. Avec ma sket, je pousse un peu sur sa botte, de haut en bas. Il sourie, j'ai l'impression que je vais m'amuser un peu. Il intensifie son jeu de botte et se touche discrètement la queue à travers son treillis. J'adore tellement cette situation. Je prends aussi mon téléphone et me dis que je vais aller faire un tour sur Grindr, on ne sait jamais.
J'allume l'app et à 0 mètre, je vois un profil avec un hélicoptère de l'armée suisse. Pas de doute, c'est bien lui. Je lui envoie un émoji diable (je l'adore celui-là) et il me répond par un émoji sneakers. Puis il m'envoi un message droit après :
"Tes jordans, je les kiffe trop".
Je réponds alors :
"Tes bottes me font trop envie".
Je le vois intensifier sa branle à travers son pantalon camo et se pincer les lèvres. Il est grave en train de kiffer le cochon !
Je regarde un peu autours de nous et ne vois pas grand monde tout près. Je décide donc de déchausser une sket et je la prends en main. Je le regarde et lui dis :
"Il parait que tu les kiffes ces Jordans ?"
Il me regarde avec envie et me fais un oui de la tête. J'approche ma sneakers de son visage et lui la colle direct sur le pif. Ses yeux montrent beaucoup de surprise et en même temps de kiffe. Il est grave chaud le Sergent. Je décolle ma sket de son visage et la remet à mon pied. Il me dit :
"Moi, ça va être un peu compliqué d'enlever ma botte avec les lacets et tout."
Je lui dis alors :
"Il nous reste 30 minutes jusqu'à Fribourg... tu peux peut-être me faire ce plaisir !"
Il se penche et commence à défaire ses lacets lentement tout en me regardant dans les yeux. Il me rend vraiment dingue. Puis, lorsqu'il sent que sa botte est assez défaite, il se redresse et regarde autours de lui. Personne. Il profite donc de me coller sa botte sur le nez. Elle est chaude, sent tellement bon le cuir Pas d'odeur de transpi mais plutôt une odeur de foutre assez légère. Je ferme les yeux et profite de ce moment. Ma queue est plus que raide, je sens que mon gland est bien décalloté, bien gros, suintant de pré-cum. Je réouvre les yeux, il a sorti sa queue de la fermeture éclair de son treillis. Je lui rends sa botte, qu'il remet à son pied. Sa queue doit mesure dans les 20 cm, assez épaisse. Son gland est hyper rouge et très gonflé. Lui aussi mouille comme un porc.
Je lui dis alors :
"Toi, t'as envie de juter on dirait !"
"T'imagines pas comment ! Suis plein depuis 5 jours. Et j'ai grave envie d'arroser tes sneakers à l'intérieur".
Je lui répond alors :
"D'accord, mais si tu me laisses arroser tes bottes à l'intérieur."
D'un geste de la tête, il me montre qu'il est d'accord.
Je regarde autours de nous pour m'assurer que mon Sergent puisse faire monter le foutre tranquillement. Je lui dit donc qu'il peut se branler trankil car j'observe autours et au moindre signal de danger, je l'en informerai.
Il prend ma Jordan, enfile sa bite dedans pour se branler. En moins de 20 secondes, il se met à larguer ses jets de foutre bien au fond de la sket, sa botte bien calée contre mon pied. Je sens à mon tour cette envie de gicler. Je le laisse finir de se vider puis, il me tend la sket. J'inspecte un peu à l'intérieur : putain, elle est noyée de foutre. Le salaud ! Je la remet à mon pied et ma chaussette se mouille direct avec son jus.
Je lui demande donc de vérifier que personne n'arrive pour que je puisse inonder ses bottes montantes de Gren. Il acquiesse et se met à surveiller partout.
Je prends sa botte qu'il avait encore à son pied, la renifle encore un peu, puis, je mets ma queue dedans. Je ressère un peu la botte sur ma queue et me branle avec, tout en pensant qu'il va faire son cours de répète avec mon jus dans sa rangers. Je sens que ça monte hyper vite. Je ne peux plus retenir. Il faut que je lâche tout à l'intérieur. Dans un dernier coup de branle sur ma bite, elle expulse tout le foutre que j'avais dans les boules. Je lui repeind intégralement sa botte de jus bien blanc et bien épais.
Une fois fini, je lui rend sa rangers qu'il s'empresse de remettre illico et de refaire le laçage. Et pour ça, plutôt que de se pencher, il cale la botte sur ma bite, entre mes cuisses et donne des coups de pression au fur et à
mesure qu'il la laçe, avec un putain de sourire de fou.
Une fois fini, il me dit :
"Je sens trop ton foutre dans la botte. Ca va sentir tellement bon ce soir quand je vais les enlever. J'en mettrai une nouvelle dose, je pense."
"Avec grand plaisir, fais toi plaisir avec tes rangers ; elles sont tellement kiffantes !"
Fribourg se rapproche de plus en plus et ça va être le moment pour moi de me préparer à quitter ce train et surtout ce beau Sergent. On se promet de se revoir, tous les deux en uniformes et bottes ou en sportswear, car visiblement, c'est aussi son fétiche.
Je quitte le train étant donné que nous sommes arrivés voie 4 et, j'attends sur le quai que le train démarre pour faire un salut militaire à ce Sergent qui va rejoindre sa troupe dans quelques heures.
Maxance
maxance.sp.fribourg@gmail.com
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