Je m'appelle Maxance, j'ai 21 ans, mesurant 1m73 pour environ 65 kilos. Je suis Suisse, travaillant dans une animalerie du canton de Fribourg, où je réside.
En parallèle de ce métier, je suis également sapeur-pompier volontaire dans un petit corps local d'une trentaine de pompiers. Nous sommes les pompiers du village et très respectés de nos habitants. Je suis Caporal dans cette petite brigade et ai sous mes ordres trois sapeurs, dont un machiniste.
Les alarmes ne sont pas aussi fréquentes que cela et de ce fait, nous passons davantage de temps à répéter des exercices qu'à éteindre des feux ! Un de mes collègues m'a informé qu'un magasin entièrement dédié aux sapeurs-pompiers existait depuis peu et qu'il valait le coup d'être visité. Ce magasin est tenu par un sapeur-pompier, ce qui permet, outre le fait d'acheter de l'équipement, de pouvoir discuter autours d'un café de nos interventions respectives, de différences dans certains exercices de répétition, etc...
Je décidais donc de m'y rendre le lendemain, étant en repos. Etant donné que ce magasin est 100% pompier, je me suis donc habillé en conséquence ! Pantalon F1, polo F1, bottes cuir.
J'eu du mal à trouver ce petit magasin, mais finalement, j'y suis arrivé grâce au GPS. Je me retrouve donc devant la porte de ce magasin. J'ouvre et suis accueilli par le vendeur. Juste magnifique : Lui aussi habillé totalement en pompier :
Pantalon F1, sweat F1, bottes haix, casquette. Une pure bombe à mon goût. Dans les 27 ans, même gabarit que moi. Son sourire est juste à tomber et ses yeux ... j'en parle même pas.
Après l'avoir salué, je me mis à visiter son magasin sur deux niveaux. Je déambulais dans les rayons et me disais en moi-même, que ma carte allait chauffer ! Tant de choses font envie. Mais surtout le vendeur !
C'était du coup, pour moi, l'occasion d'acheter du complément en vêtement, comme un tee-shirt et un pantalon. Notre corps local ne fournissant que l'essentiel, le reste est à la charge du pompier, comme 80% des casernes suisses.
Afin de m'y retrouver dans les tailles, je demande au vendeur un renseignement. Ce dernier sort de derrière sa caisse et vint dans ma direction.
Ses bottes claquaient lourdement le sol et ce bruit commençait sérieusement à m'exciter. Ma queue s'est mise à se dresser dans mon pantalon. Je faisais en sorte de cacher cette érection le plus possible avec ma main.
Etant donné que je voulais prendre un deuxième pantalon F1, je demandais au vendeur de m'indiquer quelle taille choisir.
Là, il m'indiquait que la taille se trouvant dans mon pantalon, il fallait que je l'enlève pour voir le numéro. Il me montra la cabine d'essayage et une fois que j'ai enlevé le pantalon, je ne trouvais aucune information de ce type. Seule une étiquette cousue et complètement blanchie m'indiquait que la taille se trouvait surement à cet endroit. J'informais donc le vendeur qu'aucune information n'était présente sur mon pantalon.
"On va devoir mesurer du coup !" me dit-il
"Sorts de la cabine et je vais prendre ton tour de taille". Ces mots ne m'ont pas aidé à débander. Je ne savais pas comment faire car là, pour le coup, il risque de vraiment voir ma queue bandée. Je sors quand même en ayant pris soin de remettre mon pantalon.
Dehors, le vendeur m'attendait avec un mètre de couturière. Il se mit à genoux devant moi et m'enserra la taille avec ses bras pour faire passer le mètre derrière moi. Vous imaginez bien que ma bite s'est gonflée d'un trait et à voir son regard sur mon engin, je vous prie de croire que j'ai du rougir comme une pivoine.
Lorsque le vendeur s'est relevé, il m'indique donc le résultat :
"86 cm, auquel on enlève 6 cm, ce qui nous donne 80 !"
Le vendeur fouille dans son stock et me sors donc le pantalon dans ma taille. Puis, me dit que pour être sûr, il valait mieux que j'essaye donc ce nouveau pantalon.
Je m'empresse donc dans la cabine, enleva mes bottes et mon pantalon. Putain, mes bottes fouettent le cuir et le sperme ! Et oui, il m'arrive parfois de faire de bons plans avec quelques pompiers suisses et que mes bottes soient parfois arrosées de semance de mâles !
Cette odeur me fît rebander aussi sec ! J'en avais mal à la bite et en même j'avais tellement envie de gicler sur les bottes du vendeur !
Pendant que je m'affairais à essayer ce pantalon, deux clients entrèrent dans le magasin.
Lorsque j'eu fini de me changer, je resors de la cabine et vis dans le magasin, deux militaires suisses en tenues camouflage. Je vous laisse deviner la suite ... et oui, je me suis remis à bander ! C'était trop pour moi ! Un pompier en uniforme, deux militaires en uniforme et moi avec ma queue raide et mes couilles pleines !
Ces deux militaires, très jeunes, en tenue TAZ 90 complète, casquette, bottes KS de l'armée Suisse aux pieds, venaient se renseigner pour acheter des lampes de casque car ces deux gars sont aussi pompiers en plus de leur carrière dans l'armée.
Le top du fantasme pour moi ! Je devenais dingue en moi-même !
Le vendeur renseigna donc ces deux militaires et moi, je poursuivis ma visite de ce paradis pour gay ! Puis, les invita à boire un café au mini-bar présent dans ce shop.
Le vendeur revient vers moi et me demande si j'ai besoin d'aide et si le pantalon était à ma taille.
"Oui, c'est super ! Je continus de faire un tour !"
"Je te débarrasse de ce pantalon et le mets en caisse ! Comme ça tu auras les mains libres !"
Je ne sais pas si mon conseiller me lançais une perche ou pas mais il eut raison ! Cela me permettait de mettre mes mains dans mes poches et de pouvoir me toucher le paquet tout en matant discrètements ces militaires et mon vendeur.
Les deux militaires, n'ayant pas trop de temps, se sont empressés de régler leur achat et sont partis.
Je restais donc dans ce magasin et ne voulais plus en partir. De temps en temps, je sentais le regard profond du vendeur sur moi et mes bottes.
Puis, ayant vu une publicité selon laquelle un entretien express des bottes était proposé dans ce shop (décidément, tout est fait pour que l'on se sente bien ici!), je demandais au vendeur comment cela se passe.
"C'est très simple, tu t'installes au bar, je t'offre ce que tu veux à boire et pendant ce temps-là, je m'occupe de tes bottes !"
J'acceptais donc sur le champ et ai donc commandé un café. Pendant que le vendeur me tirait le café (à défaut d'autre chose), j'enlevais mes bottes et les lui ai remis !
Il prit mes bottes et derrière sa caisse, a sorti du cirage. Il prit une de mes bottes, fourra sa main à l'intérieur pour bien porter la botte et d'une manière dynamique, s'est mis à la cirer.
Je voyais son regard inquisiteur lorsqu'il avait la botte à la main et se gratta le nez. La honte m'envahit car je savais bien qu'elles sentaient le foutre à plein nez, surtout celle qu'il avait en main. Je ne dis rien et évitais surtout de le regarder. Mais je n'arrivais pas à ne pas le dévisager et à m'imaginer des tas de choses avec lui. Je bandais comme un porc, assis derrière le bar. Une de mes main toujours dans la poche, je faisais des vas et viens avec mes doigts sur ma queue tellement dure. Et je sentais que j'allais pas tarder à venir. Il fallait que je gicle en mattant mon vendeur.
Au point de non-retour, ma queue balançait tout mon jus de couilles dans mon pantalon et j'ai lâché sans le vouloir un petit "Humm" que mon vendeur a entendu.
"Tout va bien ?"
"Oui, oui, super, tout va très bien, merci."
Je venais de larguer des litres de sauce dans mon pantalon F1 et bien entendu, le jus sortais de cette toile bleue marine.
Je ne savais pas comment faire pour planquer cette tâche blanche, si grande, qui se repérait à quinze mille.
Une fois terminé, le vendeur revint vers moi, avec mes bottes dans les mains et me les rendis toutes cirées, toutes propres.
"Voilà, le travail ! J'espère que cela te convient !"
"C'est super ! Et désolé pour l'odeur mais je transpire un peu des pieds."
"Pas de problème, j'ai l'habitude ! Et puis, c'était pas si désagréable que cela!"
Je ne savais pas trop quoi penser de cette remarque du vendeur. Mais son clin d'oeil voulait dire beaucoup de choses. Je me relevais donc et discrètement, j'essayais de voir les désastre de mon chibre sur mon pantalon. Ca a l'air d'aller.
Je me rends donc en caisse pour payer à mon tour mon achat.
Mais bizarrement, le vendeur matait de plus en plus mon pantalon, là où le jus était sorti. Et tout en matant avec un léger sourire dans le coin de la gueule, me rendit la monnaie de mon achat. Je le saluais donc et resortis de son shop, vidé et tellement heureux à la fois !
Je suis amoureux de lui, je veux le revoir, passer du temps avec lui, le serrer dans mes bras, lui faire plein de câlins et que l'on puisse jouir tous les deux dans nos bottes. Mais cela est juste un fantasme pour le moment. Je reviendrai surement le voir ou peut-être devrais-je contrôler Grindr ...
J'allume donc mon app et réactualise ma position. Un nouveau message en attente ... mais mon pager sonne, je dois me rendre rapidement en caserne pour une intervention. Je pars donc en urgence, sans même prendre le temps de lire ce message ...
Je vous raconterai surement la suite dans un prochain épisode.
Si vous êtes aussi pompier ou militaire-pompier, je me ferai une joie de vous indiquer où se trouve ce magasin car, mise à part le vendeur, beaucoup de belles choses vous y attendent ! Et peut-être s'y croiserons-nous un jour ?
Maxance
maxance.sp.fribourg@gmail.com
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