Je vais vous parler ici d'une histoire vraie qui date de quelques années. Pour ceux qui me suivent, vous savez que je suis actif, vraiment actif... et pourtant j'ai ma kryptonite. Il s'appelle William. Bon, nous n'allons pas nous mentir, il y a aussi mon compagnon, désormais, qui a le droit à mon cul de temps en temps.
Je vais donc ici, vous parler de lui et j'espère vous faire bien bander en vous expliquant comment je peux être passif. Commençons par le contexte.
Je m'appelle Flavien, je vais avoir 20 ans à ce moment, je fais 1m76 et je suis plus tôt svelte. Je commence à avoir la barbe de trois jours, les yeux marron, je porte des lunettes. Je suis en appartement CROUS sur le campus où j'étudie dans la métropole de Rouen. J'ai commencé à bien profiter de mes années étudiantes, surtout avec Grindr et d'autres histoires que je vais vous raconter plus tard. Je commence à être connu pour avoir une bonne bite et être particulièrement endurant.
En deuxième année, un mois après le début des cours, entre deux portes, je croise William, et nous restons à nous fixer pendant bien cinq minutes. Je le connais, car c'était le petit ami d'un pote du lycée. Cela avait même failli partir en plan à trois dans les toilettes du lycée en terminales avant qu'une de mes profs nous choppe.
Monsieur arrive à me contacter, et nous décidons de nous voir régulièrement, comme j'étais en colocation, il fallait bien choisir nos jours. Je vais donc vous raconter une soirée.
William a un an de moins que moi et est plus grand de quelques centimètres. Brun au visage rond et a des poils épars, ses yeux bleu pâle lui donnent un charme terrible. À cette époque il faisait de la boxe, les muscles commençaient à apparaitre.
Début printemps, ma coloc me prévient qu'elle ne sera pas là de la soirée, car elle passe la nuit chez son petit ami. Ni une, ni deux j'envoie immédiatement un SMS à William pour lui demander de se préparer, car nous avions l'appartement pour nous. Je pars directement, le récupérer de l'autre côté du campus et nous allons chercher de quoi manger avec une bouteille de muscat. Avant de commencer à faire à manger, je lui propose d'installer le matelas de ma chambre dans le salon pour nous poser tranquillement, ce qu'il accepte volontiers.
Je commence à lui servir le muscat, et l'embrasse tendrement. Sentir son odeur et sa chaleur me met immédiatement en trans. Je pose mon verre et prends le sien pour l'amener vers la salle de bain. Prendre une douche ensemble est notre petit rituel.
Il se déshabille, ce qui permet de le mater. Il n'est poilu que du bas du corps. Je m'attarde sur son paquet avec ses petites bourses et son pénis bien au repos. Il rentre dans la douche pendant que je me déshabille. Il commence à faire couler l'eau pour réchauffer la cabine. Il me fait rire en faisant l'hélicobite sachant que je ne peux pas voir avec la porte de douche qui est fumé à cet endroit précis. Je rentre dans la douche qui est déjà bien chaude. Nous nous regardons, nos queues se réveillent. Il pose la pomme de douche et me plaque contre le mur pour m'embrasser en prenant mon visage dans ses mains. J'en profite pour balader mes mains sur son fessier, dont je n'aurais jamais accès. Il prend le gel douche et commence à me laver le torse. Il s'amuse à faire des dessins, mais lorsqu'il passe sur mes fesses, il commence à bien frotter mon trou. Je gémis de plaisir et me cambre naturellement. Il se met face à ma queue et je m'amuse à lui donner des petits coups sur le visage, ce qui lui met de la mousse. Après ces différentes caresses, il se redresse et je sais que c'est à mon tour de le laver. Je masse bien ses fesses et je le rince rapidement, car j'ai envie de le dévorer. Il fait de même avant de m'embrasser, baiser après baiser, il se retrouve à genoux face à ma queue. 20 cm de chaire bien veineuse, et épaisse, mes couilles sont aussi proportionnées que ma queue, et à cette époque j'entretiens très court mon buisson. Il la met en bouche... Un gémissement sort. William ne suce jamais, hormis moi à cette époque. Il manque d'expérience et ce n'est pas la meilleure pipe de ma vie, mais je le laisse faire. Il faut bien que la jeunesse se fasse. Il en profite pour glisse un doigt dans mon anus, très serré, il n'a vraiment pas l'habitude de se laisser pénétrer. Je le vois galérer quelques minutes puis je le fais remonter. Je l'embrasse et attaque ses tétons. Je commence à mordiller le bas de ses abdos pour finir par sentier son pubis qui sent bon le savon. Je prends sa queue en main. Elle est toute lisse, aussi épaisse que la mienne, mais moins longue, son gland est plus long aussi que le mien. Contrairement à moi, il a de petites couilles poilues. Je l'enfourne en bouche, et je la prends directe en gorge profonde. Il pose ses mains sur l'arrière de mon crâne pour commencer à donner le rythme. N'ayant pas l'habitude de sucer des queues même si pour William je suis gourmand, le traitement ne dure pas plus de dix minutes, puisque ma mâchoire commence à devenir douloureuse.
Je remonte pour l'embrasser en le serrant fort dans mes bras.
Je sors et me sèche rapidement pour m'installer sur le canapé de fortune du salon après lui avoir passé la serviette, je lance un film sur la télé même si je sais très que nous n’allons pas le regarder.
- Laisse-moi m'allonger, me dit-il.
Je me décale et me pose contre lui, nous nous embrassons tendrement. Il malaxe de sa main gauche mes fesses.
- Viens en face de moi, me lance-t-il.
Je me mets à genoux ma bite sur son visage. Il m'embrasse le gland.
-Donne-moi l'autre côté, tu vas t'occuper de ma queue pendant que je m'occupe de toi.
Je m'assois alors sur son visage, il me bouffer littéralement le cul, comme à chaque fois. Chaque coup de langue me fait immédiatement sursauter, j'ai tellement peu l'habitude de prendre du plaisir de ce côté de mon corps. Je me cambre et m'approche de sa queue. J'en profite pour le masturber à deux mains. Sa queue est bien dure et chaude, mais surtout très douce. Je décide de me baisse pour la mettre en bouche. Il ne peut pas être autrement qu'une bonne 69 qui va nous ravir tous les deux. Il en profite pour me lécher l'aine puis la longueur de ma queue. Je m'amuse avec son frein et le bout de ma langue avant de lui aspirer le gland comme une glace. Ces petits jeux lui font pousser des râles de plaisir pendant que moi, je suis plus à gémir.
Je sens mon anus commencer à se dilater, c'est donc le bon moment. Je me lève brusquement pour chercher du lubrifiant dans ma table de nuit.
Je le trouve à genoux sur le matelas, parfait, car à cette époque seule le missionnaire passe. Je me mets d'abord à genoux pour lui badigeonner la queue en l'embrassant langoureusement. Il commence à me pousser vers l'arrière pour me faire comprendre qu'il va falloir passer aux choses sérieuses. Je me mets alors sur le dos et lève mes jambes. Il positionne ses fesses contre ses talons et je prends sa queue pour la diriger vers mon trou.
- Tu y vas doucement, préviens-je.
- Comme d'habitude, je sais faire, me dit-il avant de m'embrasser.
Le petit salaud en profite pour pousser son gland à l'intérieur de moi. Je lui prends immédiatement les couilles pour le bloquer.
-Putain, je t'ai dit doucement, tu me laisses gérer.
Je sais très bien que lorsque le passif est dominant, cela l'excite. Je prends alors ses fesses pour l'amener à l'intérieur de moi tout doucement. Il bande comme un taureau et me regarde avec un grand sourire. Lorsqu'il réussit à tout rentrer, nous restons une bonne minute à nous embrasser. Je tiens fermement ses fesses pour le coller bien à moi avec ses jambes autour de ses hanches. Nous bandons comme des malades. Je sens ma queue plaquer contre sa peau.
- Vas-y doucement, lui dis-je.
Il prend alors mes hanches et commence ses va et vient tout doucement, j'en profite pour suivre le rythme avec une de mes mains sur ma queue. Je sens mon anus se dilater. Lui aussi puisque William commence à accélérer. Nous profitons de ces plaisirs pendant cinq minutes.
- Je vais venir, je suis trop excité.
- Alors vas -y fait toi plaisir en moi.
Il me pilonne alors mettant ses jambes bien droites pour avoir la possibilité de basculer mon bassin et me pénétrer tout du long. J'en ai le souffle coupé et me branle très frénétiquement. Il me démonte pendant deux minutes non-stop, où je gémis comme les petites chiennes que j'ai l'habitude de défoncer. D'un coup, il s'arrête et m'embrasse langoureusement. Je sens les pulsations de sa queue, il est en train de me remplir le cul. Je le prends alors avec mon bras par le cou, et accélère ma masturbation, j'éjacule alors en moins de deux et me retrouve le torse rempli de sperme. Il remonte doucement tout en sortant de mon corps. C'est de loin le moment des plus agréables, je sors un petit bruit de douleur. Il s'allonge alors sur moi et m'embrasse le cou.
- Va te rincer, je vais mettre la pizza au four, me glisse-t-il au creux de l'oreille.
- T'es un amour.
Je l'embrasse sur ces belles paroles puis je me lève pour aller à la douche me rincer. Nous sommes restés nus pendant toute la soirée. Avant de nous coucher, nous avons pu de nouveau goûter à nos bites respectives.
William fut un des hommes que j'ai le plus aimé dans ma vie, même si notre relation officielle fût courte. Nous nous sommes revus à interval régulier, souvent lorsque nous venions juste de nous séparer dans un régulier jeu du chat et de la souris.
J'adore échange avec mes lecteurs, alors n'hésitez pas à me contacter :)
L3vicura
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