Edouard

C'est une histoire vraie que je vais vous raconter ici. Elle s'est passée lorsque j'étais encore étudiant à l'Université de Rouen, il y a une dizaine d'années. Je vais essayer de me rappeler de tout, même si je dois modifier certains éléments.

Je resitue le contexte. Je m'appelle Flavien, j'ai 23 ans, et je fais 1m76 pour 55kg. Je suis en deuxième année de master à cette époque. J'ai une barbe de trois jours brune, des cheveux courts et j'ai des lunettes, car je ne peux pas voir plus loin que le bout de mon nez sans. J'habite sur la métropole rouennaise depuis mon bac. Je profite bien de mes années étudiantes, même un peu trop puisque je suis connu pour être juste "une bonne bite" dans le milieu, étudiant, gay.

Nous sommes en fin d'hiver et je suis actuellement chez moi en résidence CROUS, je vais sortir avec une amie pour aller chercher de quoi manger. Malgré la pluie; nous sommes à Rouen; nous descendons et nous passons l'arche de ma résidence. Ma voisine passe par là et quelqu'un la suit. Il me dit bonjour avec un grand sourire. Putain, c'est Édouard ! Mon crush deux ans avant, avec qui nous avions seulement fait des préliminaires, géniales, mais qui avaient coupé tout contact avec un mystérieux message "Je ne peux pas m'attacher, c'est trop douloureux", une connerie dans le genre. Je raconte cela à ma pote le temps d'aller et revenir avec les bras chargés.
Je me doutais que ma voisine hébergeait quelqu'un au vu de la guitare que j'entendais malgré son absence, mais je ne l'avais pas encore vu. En rentrant, j'ouvre immédiatement Grindr, un peu déçu de ne voir que les têtes habituelles. Je décide d'ouvrir Hornet, et je vois un message d'un profil totalement vide.
"On se revoit quand ?" vu la distance de 0m pas de doute, c'est lui. Je suis excité comme une gamine de 15 ans devant Twilight et je lui propose de se voir vers 23h quand ma pote sera partie. Il me donne rendez-vous à l'entrée du bois qui se trouve juste à côté de la résidence.

Le temps passe extrêmement lentement, j'attends avec impatience notre rendez-vous. Je suis enfin seul vers 22h50, et je décide de descendre avec elle pour aller directement au bois. À peine la fin de la résidence passé, que je le reconnais immédiatement avec la lueur du foyer de sa cigarette.

Édouard est clairement dans la catégorie des beaux hommes. Avec son 1m85 environ, ses cheveux châtain clair mi-longs et ses magnifiques yeux verts. Il est vrai qu’en hiver il est difficile d’être sexy, mais il dégage énormément de charme.

Ma queue se réveille doucement, elle est de loin indifférente.

- Ça fait du bien de te revoir. Suis-moi. Me dit-il après avoir écrasé sa roulé par terre.
- Depuis combien de temps tu es chez ma voisine ?
- Un mois, j’ai réussi à t’éviter jusqu’à aujourd'hui.
- Pourquoi m’éviter ?
- Car je suis attiré par toi.
Nous échangeons des banalités que je vous épargne, assis en haut de la vallée pour contempler la ville. Pour résumer, Édouard n’assume absolument pas son côté gay et encore moins soumis tel qu’il l’a été avec moi la première fois que nous nous sommes vus.
- Que veux-tu alors ? Je lui pose directement la question
- Je peux t’offrir un bon moment puis possiblement un deuxième avant de me rendre compte que tu me fais énormément d’effet et je partirais comme je l’ai fait la dernière fois.
- OK ça me convient, on va chez moi.

Il nous a fallu une bonne demi-heure pour traverser tout le campus à fin d'arrivée chez moi. A peine refermée la porte qu'Édouard me prend dans ses bras et m'embrasse le cou tout en inspirant un bon coup.

- Je me rappelle encore de ton odeur, me glisse-t-il au creux de mon oreille.

Je me retourne et l'embrasse. Je le pousse vers le canapé (tout est à un pas dans un studio crous). Nous nous allongeons dessus. J'en profite pour lui mettre ses jambes sur mon bassin de façon à être en missionnaire.

Il frotte son fessier contre mon paquet pendant que je m'amuse avec sa bouche. Je mordille sa lèvre supérieure puis lui aspire sa langue. Il gémit. Il passe ses mains sous mon jeans et mon boxer pour pouvoir agripper mon fessier. Ses mains sont douces et m'électrisent, je le sais pertinemment que je retombe sous le charme.
Ma queue est au bord de l'explosion, et montre le point de son nez entre mon jeans et mon pubis. Cela a assez duré, je me lève d'un coup. J'en profite pour mater son entre-jambes qui est particulièrement bien voyant et prêt-à-craquer. Je sors ma queue, 20 cm bien épaisse, j'en profite pour sortir aussi mes couilles, l'ensemble étant poilu, mais bien entretenu. Ma queue bande tellement qu'on a l'impression que je suis circoncis. Au moment de vouloir prendre mon tshirt, Édouard me dit "Garde-le" et il prend ma queue en main pour la mettre dans sa bouche. Elle est chaude, ses lèvres dégustent sa queue, un râle de plaisir s'échappe des miennes.
Il en profite pour sortir sa queue. Elle n'est pas la copie conforme de la mienne, mais garde les mêmes proportions, même si c'est accentué par la pilosité très courte. Il commence à la caresser. Je ne peux détacher mon retard de ces mouvements. N'étant pas un grand amateur de sucer une queue, je ne peux m'empêcher d'avoir l'eau à la bouche. Je décide de me mettre sur lui. Nous voilà partis dans un 69 des plus gourmands. Nous nous agrippons à nos fessiers respectifs pour donner un rythme commun dans cette danse sensuelle. Le studio s'est rempli du parfum d'une bonne baise, mélange de sueur, de salive, et de précum. Mes mains se baladent dans entre ses deux globes poilus et mes doigts lui caresse le trou. Sa fellation est encore plus gourmande puis qu'il l'enfonce jusqu'à sa gorge, j'en profite pour lâcher sa queue et regarder manger ma queue. Je reprends mon exercice buccal. Ce traitement dure pendant bien 10 min, mais là, j'arrive au point de non-retour. Je sors alors sa queue pour lui sortir un "Je vais juter" que je commence déjà à remplir sa bouche de 6 jets bien chaud. Il gémit en même temps et je vois que sa queue expulse plusieurs jets de sperme.
Je me lève alors, et je m'allonge sur lui pour l'embrasser. Sa bouche a bien le gout de mon sperme, mais aucune trace de mon jus, il a tout avalé.
Je le prends dans mes bras et commence des papouilles, en passant ma main sous son tshirt, je caresse ses abdos légèrement poilus.
- Je suis déjà retombé sous le charme Flavien, la prochaine fois que nous nous verrons sera la dernière.
- Alors il faut profiter, maintenant repose toi.

Deux minutes plus tard, je l'entends ronfler, je l'ai suivi quelques minutes après. Je me suis réveillé le lendemain par le bruit de guitare émanant de chez ma voisine.
Je savais que c'était lui.

Je décide de prendre une bonne douche puis d'aller à la BU de Lettres pour faire quelques recherches pour mon mémoire. Je reçois alors un message à peine assis, directement sur mon numéro. "Je vais croire que tu me suis". Je lève alors la tête pour essayer de voir de qui il s'agit. Je ne reconnais personne avant que je regarde le sas pour accéder au hall. Je reconnais le manteau d'Édouard, il se dirige vers les toilettes en bas de la BU. Deux secondes à peine je reçois, une photo de lui. Heureusement que je suis dans un recoin sans que personne puisse regarde mon téléphone, car bordel, la photo est bandante. Il est en train de pisser tshirt levé. Il s'est arrêté juste au niveau de son sourire. Je lui réponds immédiatement qu'il est fou, mais que s’il peut profiter pour prendre son fessier je ne serais pas contre. Aussi tôt reçu que je reçois une deuxième photo. Il est collé contre le mur des toilettes, le dos bien cambré pour mettre en avant son cul. La photo est accompagnée d'un message "Ce soir 20h, je serais à toi pour une dernière fois".

La journée est évidemment passée très longuement.

"Je suis devant ta porte, ouvre moi", je regarde l'heure, et effectivement, il est exactement 20h.
Je lui ouvre, il rentre, je referme la porte et il m'embrasse langoureusement en prenant ma tête dans ses mains.

Il se détache au bout de quelques minutes, il me regarde et me dis "Je suis à toi pour une demi-heure".
Il commence à se déshabiller, j'avance un pas.

-Tu attends que je te le dise pour venir.

Édouard est vraiment beau, entièrement nu devant moi, finement dessiné, légèrement poilu, j'ai l'impression d'être dans un rêve. Ma queue bande au possible et ne demande qu'à sortir au vu du chapiteau que j'ai avec mon short. Lui aussi bande, du liquide commence déjà à s'échapper de son méat.

Il se met à genoux au milieu de mon salon, il prend son écharpe et se bande les yeux.

-Je suis à vous.

Je mets alors nu, ma queue est totalement libre. Je m'approche de lui, et me baisse pour l'embrasser. Sa queue se lève par un accoup. Je profite pour jouer avec ses tétons. Il gémit. Je prends ma queue dans les mains et lâche ses lèvres. À cette libération je ne peux m'empêche de lui mettre une bifle. Il ouvre la bouche pour essayer de l'attraper. Je joue avec lui pendant quelques minutes, avant de lui poser mon gland sur les lèvres. Immédiatement, il se jette dessus, il en poigne mes fesses pour commencer des mouvements de va-et-vient. Je me fais aspirer la queue jusqu'à la garde, je pose alors ma main droite sur l'arrière de son crâne. Je regarde l'heure, il me reste à peine 10 min.
Je prends sa tête et commence un baisage de bouche en bon uniforme. La salive commence à couler sur le sol, mes couilles étant complètement trempées ainsi que son menton. Il n'y a pas que sa salive qui humidifie le sol, en effet, Édouard mouille encore plus que la dernière fois où je l'ai sucé. L'odeur est la même que la dernière fois, c'est enivrant. Sans m'en rendre compte, je déverse mon jus au fond de sa gorge. Je l'embrasse et je me retourne pour aller chercher une serviette. Je m'essuie les parties avant de lui essuyer son visage avant de faire la même opération, mais sur le sol. Il se rhabille sans un mot, sans un regard. Il m'embrasse dès qu'il a fini. "Je suis désolé" sort de sa bouche avant de me serrer contre son torse.
Il part alors sans un mot de plus.

C'est la dernière fois que je l'ai vu. Je lui ai écrit une lettre pour le convaincre de commencer quelque chose de plus profond, mais hormis corriger mes fautes, je n'ai pas eu de retour. Quelques années plus tard, il a eu la bonne idée de donner mon numéro à son amant et son ex, car je cite "Tu es la seule personne de confiance". Je me suis retrouvé comme médiateur, et j'ai aussi assemblé les pièces du puzzle... Ce ne fut pas une partie de plaisir. Et du jour au lendemain, je n'ai plus eu de nouvelle.