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Chapitre-4 | Débuts de relation
Suite à ce dimanche, nous avons bien sûr pris l’habitude de nous voir, de sortir boire un verre, d’aller au resto, au musée, au ciné… avec bien sûr bisous et sex! Tout allait au mieux dans le meilleur des mondes. Une petite bulle d’amoureux. Bien sûr, en public il fallait conserver ses distances sauf dans certains endroits. Mais quelqu’un qui savait voir aurait vite remarqué que nous étions plus que des amis.
En parlant d’amis, justement les miens commençaient à se poser des questions. Je disais non à presque toutes les propositions de sorties, le peu de fois où ils me voyaient, je restais très évasif sur mes occupations… si bien qu’au bout d’un moment ils ont fini par me mettre une ultimatum. Soit je leur expliquais, soit ils allaient se fâcher. Je leur propose alors de se retrouver dans un bar gay du Marais deux jours après… que je leur expliquerai tout.
Le soir même, je retrouve bien sûr Ethan cette fois dans son petit appartement. A peine arrivé je lui saute dessus, le pousse sur son canapé, ouvre son pantalon et commence à faire durcir sa queue en la suçant. Au début surpris par cette entrée en matière plutôt directe, il se laisse faire et commence même à imposer son rythme en tenant ma tête. Moi je ne veux qu’une chose… sa queue. Après l’avoir bien excité, j’enlève mon pantalon, garde mon jock et m’assois directement sur sa queue. Bien sûr, ça frotte un peu vu la taille de l’engin, mais peu importe… je sers les dents et m’enfonce. Enfin à fond, je pousse un grand soupir, l’embrasse… et commence à donner le rythme en montant et descendant sur sa grosse queue. Je les sens bien sur toute la longueur ses 23 cm. Rapidement, il prend les choses en main, donnant lui-même des grands coups de reins. Finalement il me retourne et m’embroche sans retenue, Il a compris que je voulais être baisé… et il se déchaîne. Je ne peux pas me retenir, mon gland suinte à travers le tissu de mon jock bien tendu. Sex violent et donc rapide, il jouit rapidement dans mon cul, s’enfonçant encore plus loin… et s’effondre sur mon dos alors que je reste tétanisé par le plaisir ressenti. Les coeurs se calment et nous nous installons l’un contre l’autre… avec de petits bisous.
Alors Hugo.. non pas que c’était désagréable, mais qu’est-ce qui se passe?
Rien rien… j’avais juste envie de toi.
ça oui j’ai vu. Mais rien d’autre?
Non. Enfin si. Mes amis veulent savoir pourquoi je ne sors plus avec eux. Et leur dire, c’est un peu briser la petite bulle qui nous entourait.
Les amis avec qui tu étais quand on s’est rencontré?
Oui c’est ça… je dois les voir après-demain et je ne sais pas trop comment tout leur raconter.
Ah je comprends… leur dire que tu sors avec un stripteaser te perturbe? (avec une petite pointe d’amertume)
Non non! Parce que pour moi tu es Ethan, le garçon passionnant qui me rend heureux, le spécialiste des vieilles peintures inconnues dans les musées! Et accessoirement le beau gosse qui me fait bander dès que je le vois!
Alors… quel est le souci?
J’ai peur qu’ils se fassent des idées. Ils sont un peu protecteurs avec moi. Et ils n’ont eu qu’une seule image de toi.
…
J’ai peut-être une idée, mais tu me dis si ça ne te va pas.
Ok vas-y!
Est-ce que tu viendrais avec moi au bar pour les rencontrer? Comme ça ils verraient le vrai toi, celui qui me fait battre mon coeur.
Ah tu veux que tout se fasse en même temps. En même temps comme ça tu seras immédiatement fixé. Et moi aussi! Aller c’est parti pour la rencontre après-demain!
Merci mon chéri!!
Mais pour la peine, il va falloir que tu sois à mes ordres ce soir!
Tout ce que tu veux…
Ce que je veux, c’est que tu me fasses ce que je viens de te faire.
Avec joie!
Et voilà que les queues se remettent à durcir, les baisers se font plus insistants… et finalement Ethan se lève, va se mettre contre un mur, se cambre et me dit : “Vas-y baise moi là maintenant!”. Je m’approche, lui mets un doigt au cul pour vérifier et insère ensuite mon sex. Ethan pousse un cri sourd mais je continue. Une fois bien au fond, je ressords avant de replonger d’un coup. Nouveau cri sourd mais il se cambre un peu plus. Je le prends alors par les hanches et commence à le baiser sur tout la longueur de mon sex, de façon puissante et et régulière. Les cuisses claquent contre ses fesses, la vitesse augmente. La sueur coule sur son dos mais il me dit de continuer, encore et encore… Je me déchaîne, lui donne de bonnes claques sur les fesses et forcément mon jus monte. Quelques derniers coups de rein et je me bloque au fond pour larguer mon sperme. Chancelant, nous retournons sur le canapé pour un moment de tendresse… et un mot m’échappe : “Je t’aime Ethan…”
Hugo_ethan
Hugoethan90@gmail.com
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