Premier épisode
Chapitre-2 | Plaisirs forcés…
Un corps rien que pour moi
J’étais en train d’admirer le corps de mon jeune rebeu en me demandant ce que j’allais faire maintenant, quand j’ai remarqué que son téléphone portable était tombé de son pantalon. Je l’ai ramassé.
Mon tél !, il a crié. Touche pas à mon tel !
Je ne l’ai bien sûr pas écouté. Il n’avait reçu aucun appel, juste un message sans intérêt mais qui m’apprit qu’il s’appelait Amine. Je lui ai demandé son code, il a refusé de me le donner.
Je ne comprends pas comment tu peux encore résister. Tu veux d’autres baffes ?
Il resta silencieux. J’ai eu une idée plus amusante que les baffes : j’ai sorti de ma boîte à chaussure mon plus gros gode – des potes me l’avaient offert, je l’utilisais rarement tellement il était gros – et je le lui ai montré. Quand il l’a vu, je crois que son sexe s’est recroquevillé encore un peu plus si c’était possible.
Tu préfères quoi, les baffes ou le gode ?
Il a fini par me donner son code. Je n’avais aucune intention de perdre du temps à fouiller dedans (j’ai juste noté son numéro). En revanche, je l’ai filmé avec ton téléphone, en allant de son visage à son sexe et je me suis même amusé à le retourner pour filmer ses fesses et son trou. Il avait cessé ses injures, il se laissait faire. Puis je lui ai dit :
Je ne vais rien faire de cette vidéo, je lui ai expliqué. Mais si tu résistes, ou si tu fais mine de vouloir te libérer, je l’envoie à tous tes contacts snapchat. Et ensuite, vas-y pour expliquer ça à tes potes.
Je m’attendais à de nouvelles insultes mais non, il n’a rien dit. Il était à nouveau sur le point de pleurer, il me faisait un peu de peine mais là, j’étais vraiment trop chaud pour faire demi-tour. Je suis parti cacher son téléphone quelque part dans mon appartement puis je suis revenu et je me suis déshabillé. Il a pu voir ma queue déjà à moitié bandée prendre son aise quand j’ai enlevé mon boxer.
S’il vous plaît… Je suis pas gay, je veux pas…,il répétait.
Ben moi je voulais pas être menacé d’un couteau, on est quitte !
Je me suis allongé, accoudé à côté de lui, un peu penché sur lui et j’ai commencé à le caresser. Ça y est, nous étions nus tous les deux. À ce moment-là je me suis dit que ce que je faisais n’était probablement pas très légal non plus, mais je savais aussi que, quoi qu’il se passe, il n’irait jamais voir la police – nous étions pour ainsi dire à égalité. Sauf que lui était à poil sur mon lit, les mains attachées dans le dos, prêt à faire tout ce que je lui demande, et que moi j’étais à côté de lui, avec ma queue de 18cm bien bandée, dont le bout touchait sa cuisse chaude…
Je n’avais jamais été dominateur mais je découvrais en moi des pulsions insoupçonnées…
Toujours pour profiter du moment, j’ai bu et je lui ai fait boire un peu de vin de ma gourde, et on a fumé une cigarette. Il avait toujours un peu peur mais la honte avait disparu. Il s’était habitué à ce que je lui touche son sexe circoncis, à ce que je lui soupèse ses couilles, que je passe mes doigts dans sa touffe de poils. Qu’il ne bande pas ne me gênait pas, je trouvais ça au contraire presque plus excitant que s’il bandait !
La cigarette terminée, j’ai décidé de le nettoyer, c’est-à-dire de lui passer un gant de toilette entre les fesses. Il a un peu râlé, il a surtout eu peur que je veuille l’enculer ou le goder, je lui ai dit que c’était juste pour le lécher. Il a fait une drôle de tête mais s’est laissé faire – une étape humiliante pour lui, un peu excitante pour moi je l’avoue. Par parce que j’aime ce genre de choses, mais parce que j’avais un corps rien qu’à moi, à mon entière disposition, que je pouvais tourner, retourner comme je le voulais, et qu’il se laissait faire, résigné. On allait pouvoir passer aux choses sérieuses…
Des lèvres rien que pour moi
À genoux à côté de lui, je me suis penché sur lui à nouveau et j’ai approché mes lèvres. Il a compris de lui-même et nous nous sommes embrassés – il n’y mettait pas beaucoup d’enthousiasme mais en tout cas il avait abandonné toute résistance.
Je t’aurais bien sucé mais tu ne bandes pas, lui ai-je dit.
Je me suis redressé et il a pu voir se dresser juste devant son visage mon sexe – un beau sexe de 18cm, plutôt épais, bien droit, et qui décalotte parfaitement. Pour lui, voir ce sexe en érection provoquait plus de dégoût que de désir mais ça, je m’en foutais totalement.
Au début il ne voulait pas, il a tourné la tête dans l’autre sens. Je lui ai pris sa tête avec douceur pour la retourner vers mon sexe. Comme j’étais à genoux, je le dominais complètement.
Ton téléphone est à portée de main, je lui ai dit. Je peux envoyer la vidéo à tes potes à n’importe quel moment. Je peux même faire d’autres vidéos maintenant que tu es entièrement à poil. À toi de voir…
Il m’a regardé, il a hésité puis il s’est décidé. Et, tendant le cou, fermant les yeux, avec une mine de dégoût, il a pris mon gland dans sa bouche. J’aurais du mal à dire si j’ai plus kiffé sa pipe (pas géniale techniquement), ou son air de dégoût au moment de la prendre en bouche.
C’est bien !, ai-je dit. Suce-bien. Applique-toi.
Comme il avait toujours les mains attachées dans le dos (ça ne devait pas être très confortable), je lui ai pris la tête pour lui faciliter le travail. Je voyais mon gros gland disparaître dans sa bouche de jeune rebeu puceau. Puis je l’ai saisi un peu plus fermement par la nuque et j’ai pénétré ma queue presque entièrement dans sa bouche. Il a manqué de s’étouffer et j’ai dû le relâcher pour qu’il puisse reprendre sa respiration. Puis je lui ai mis quelques biffles sur son joli visage de rebeu.
T’es ma pute maintenant, j’ai dit sur un ton très autoritaire (il m’a regardé, effrayé par cette attitude nouvelle). Tu comprends ? T’es ma pute, t’es rien qu’à moi. Vas-y, suce-moi, mets-y du tien.
Et il y mit du sien ! Il remit ma queue dans sa bouche, plus complètement cette fois. Je l’accompagnais de ma main mais sans forcer, juste pour lui tenir la tête. Il avait compris sa position et moi, toujours à genoux, le dominant complètement, je le voyais sucer ma queue avec ardeur. J’ai compris qu’il voulait me faire jouir le plus rapidement possible. Je l’ai laissé faire : sa pipe était encore meilleure, et je savais que je n’allais pas jouir comme ça, au bout de cinq minutes.
Je n’avais jamais dit à personne « t’es ma pute ». En temps normal, ce n’était pas du tout mon genre. Mais là, je me sentais l’âme d’un dominateur. Je voulais lui faire comprendre qu’il devait abandonner toute volonté propre. Et c’est ce qui se passait !
Puis je me suis retiré de sa bouche et je me suis penché pour l’embrasser. Il a été un peu surpris au début mais, la bouche encore pleine de ma mouille, il pouvait difficilement faire le difficile face à ma salive, j’ai forcé le passage et j’ai embrassé à pleines lèvres et pleine langue sa bouche baveuse.
Je ne sais pas si c’est l’alcool qui commençait à faire son effet mais il me rendit vraiment le baiser. Puis je me suis redressé à nouveau et cette fois, je lui ai baisé la bouche comme il faut, en lui tenant la nuque, en faisant des mouvements des hanches. Je commentais tout ce que je faisais :
C’est bien ! Tu t’y prends bien finalement ! Vas-y, suce ma belle bite, prends-la bien dans ta bouche… Hein t’es ma pute ? Dis-le, dis-le que t’es ma pute.
J’ai retiré ma queue, il fuyait mon regard et voulait reprendre sa pipe. Mais je l’ai pris par le cou et j’ai légèrement serré. Puis je l’ai regardé droit dans les yeux.
Je suis ta pute, il a fini par dire, et j’ai relâché la pression.
Des fesses rien que pour moi
De ma main libre, je lui caressais tout le corps. Mais je n’allais pas me contenter d’une simple pipe. Je l’ai repoussé. Il m’a regardé avec un air implorant, comme s’il en voulait encore. Mais je l’ai retourné pour le mettre sur le ventre. Il était là, allongé devant moi, les mains toujours menottées, ses belles fesses tendus vers moi. Je les ai caressées. Il les serrait le plus fortement possible.
S’il vous plaît !, implora-t-il. Je vous ferais la meilleure pipe de votre vie, mais je veux pas être enculé.
Tu me vouvoies encore ? Rassure-toi, lui ai-je dit. Ce n’est pas pour tout de suite.
Et effectivement, je n’avais pas (encore) envie de l’enculer. Mais ces fesses me faisaient envie, et j’ai plongé ma tête dedans. Je me suis allongé en me baissant pour être au niveau de ses fesses que j’ai caressées et malaxées. Elles étaient bien lisses, bien fermes, presque pas poilues. Il les serrait toujours fortement, alors je lui ai donné une petite fessée.
Détends-toi ! Je ne vais pas te faire de mal. Tu verras, tu vas kiffer.
À moitié rassuré, il a détendu ses muscles et j’ai pu écarter ses fesses pour voir son petit trou bien propre. J’ai aventuré ma langue et j’ai commencé à le lécher. Et là, il s’est passé quelque chose d’imprévu : il a gémi ! Il a découvert un plaisir qu’il ignorait complètement. Il était toujours menotté, à moitié allongé sur le ventre, et il écarta de lui-même les jambes pour me faciliter au mieux l’accès. Il n’était évidemment pas rasé, mais très peu poilu, juste ce qu’il faut, et le lécher était un vrai délice. Ses belles petites fesses fermes et lisses de part et d’autre, que je caressai et léchais également, et son trou qui se détendait peu à peu, à mesure que ses gémissements devenaient plus forts. J’y ai aventuré un doigt – pas pour entrer à l’intérieur, je ne voulais pas le brusquer, mais pour lui caresser la rondelle, la faire palpiter.
Et là, comme je glissais une main sur sa cuisse, j’ai senti que l’improbable arrivait enfin : sa queue commençait à gonfler !
Remarque :
Ce texte est évidemment de la fiction. Ce qui est vrai, c’est la tentative de racket. J’ai par miracle pu repousser mon agresseur et rentrer chez moi sans blessure. J’ai aussitôt appelé la police puis j’ai porté plainte. Mon agresseur a pu être retrouvé grâce à son compte snapchat et il s’est retrouvé au tribunal où il a écopé de travaux d’intérêt général. Comme l’a rappelé un documentaire Mediapart, les agressions sont réelles et fréquentes (tentative de racket dans mon cas, agressions homophobes dans beaucoup d’autres cas, notamment via coco). Donc soyons tous plus que jamais prudents dans nos rencontres…
Marc
micmac67@live.fr
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