Je m’appelle Jacky, j’ai 41 ans, je mesure 1,72m, les yeux verts, après une période 100% hétéro sans être marié pour autant, j’ai commencé à fréquenter les lieux gays vers l’âge de 30 ans après une courte aventure avec un mec en vacances et cette expérience m’avait convaincue que la gente masculine pouvait m’apporter pas mal de bonheur, puis les années passant c’est vers les jeunes mecs que je me suis facilement orientés. Depuis cinq à six ans moi qui suis devenu adepte du sauna gay, je favorise les mardis dans mon sauna habituel car c’est le jour où les moins de 26 ans ne paient que 9 € l’entrée au lieu de 20 €, donc les petits jeunes rappliquent, c’est la journée « Nasty boys »… Autrement dit : Les vilains garçons !
Ce jour-là c’est idéal pour découvrirent plus de beaux petits culs et de ventres plats avec les jeunes de 18 à 25 ans en général sveltes qui me font un effet terrible…
Certains cherchent les hommes murs, moi c’est tout l’inverse la juvénilité m’émoustille au plus haut point !
Ce mardi de Septembre je me rends donc au sauna Bd Sébastopol, après être passé par le vestiaire quasi désert, je descends au rez-de-chaussée où se trouvent le bar, la piscine, les jacuzzis, les douches et le hammam, je vais prendre un café… Le serveur est en short satin moulant blanc et le haut très sexy en débardeur crop-top rayé marin rouge, je me délectais de cette belle mise en valeur des pectoraux et de ses organes génitaux bien dessinés de ce jeune serveur gay !
Ce mardi ne manquait pas à la tradition, pas mal de jeunots circulent, se baignent et s’embrassent sans retenue, les mecs de mon âge sont moins nombreux mais très intéressés par cette jeunesse gay.
J’étais en train de boire un café, lorsque je vois arriver un superbe blond bouclé, cheveux mi-longs, près de 1,80m, pas très musclé mais élancé et bien proportionné, sa serviette négligemment nouée autour de la taille et une bosse suggestive sous la serviette… sa peau est claire et uniforme, il entre dans le hammam…
Attiré par cet éphèbe blondinet qui ne devais pas avoir plus de 22 ans, je lui emboite le pas et file immédiatement dans le hammam moi aussi.
Je le suis, la vapeur avait envahi le volume du hammam plein à environ 50% de sa capacité, en avançant je discerne des corps enlacés, des culs, des bites en érection et des mecs qui se paluchent en solo, mon blondinet file derrière un gros pilier et s’assoit sur le banc en céramique émaillée bleue… je m’assied à son côté gauche.
Au bout d’une dizaine de minutes, alors qu’il était resté quasi immobile, profitant de cette atmosphère de chaleur et de vapeur… je glisse mon pied droit au sol et viens lui caresser le pied gauche… Aucune réaction de sa part, c’est mal barré me dis-je !
Puis quelques instants après, je tente un frotti de mon genou droit sur le sien… toujours pas de réaction… si ce n’est qu’il me regarde furtivement… Puis je me décide de poser délicatement ma main droite sur sa cuisse gauche… et là, miracle mon jeunot s’ouvre comme une moule qu’on aurait chauffé, il écarte ses cuisses et dénoue sa serviette, mettant à jour ses attributs de jeune mâle, il est peu poilu et sa bite recourbée est de belle taille… Sa position sans équivoque m’invitait à une fellation sans réserve !
Je m’installai à genoux, entre ses cuisses bien écartées et je commence par lui lécher avec délicatesse son prépuce, puis je pris sa queue en main en la caressant, puis sa paire de belles couilles bien pleines que je me mis à sucer et à lécher… mon blondinet commençait à se dandiner de droite à gauche sans rien dire, puis j’engouffrai sa tige qui avait déjà évolué en longueur et en volume… et me mis à le pomper en douceur, puis plus énergiquement… Il me prit alors la tête pour m’encourager et me forcer à le satisfaire en m’obligeant à lui pratiquer une gorge profonde, j’étais aux anges, sucer la bite d’un jeune pédé me faisait bander comme un taureau ! Après un quart d’heure de pipe suave et rythmée, je me mis debout face à lui, le sexe tendu face à sa bouche et c’est lui qui prit le relai en me pompant généreusement et en me palpant mes couilles rasées bien pendantes.
Je m’aperçu que plusieurs voyeurs jeunes et moins jeunes se paluchaient en nous regardant nous pomper mutuellement, ceci à tendance à m’exciter et ne semblait pas gêner mon jeune suceur.
Je lui caresse ses cheveux bouclés, m’approche de son oreille et lui propose d’aller dans une cabine, il acquiesça d’un signe de tête, prenant nos serviettes sur l’épaule, il se leva et me précéda pour quitter le hammam dans un brouillard de vapeur et de chaleur humide qui avait mis nos sens en émoi, je suivais son petit cul hyper bandant, il connaissait parfaitement les lieux le coquin, il sortit et prit l’escalier et nous montâmes à l’étage où toutes les cabines sont disséminées dans un vrai labyrinthe de couloirs aux fresques évocatrices de mecs en érection ou d’accouplements d’hommes aux sexes démesurés !
En montant l’escalier je me délectais de voir ses couilles bien détachées de son entrejambe à chaque fois qu’il gravissait une marche.
Il choisit une cabine, nous entrons et refermons la porte sans la verrouiller, ceci est une technique pour permettre à d’éventuels voyeurs de profiter des ébats en poussant légèrement la porte.
Mon éphèbe s’étala de tout son long sur le dos, sur le matelas en simili rouge, jambes et bras écartés, la bite dressée, il me dit tout bas :
- Je suis à toi… Fais-moi jouir !
Moi je balance ma serviette et me cale entre ses cuisses pour lui bouffer les couilles bien rondes et pleines, puis lui pomper le dard en érection, son prépuce avait laissé place à un énorme gland écarlate bien décalotté et je lui avoue :
- Écoute, je suis uniquement passif et je veux que tu m’encules, j’ai envie de me faire prendre par un jeune pédé, mon anus est à toi, je t’en prie… prends-moi sans retenue… Au fait c’est quoi ton prénom ?
- Tristan, me répond-il et enchaine, OK ça tombe bien j’aime me faire les culs de mecs !
Je pris au petit distributeur fixé près de la porte, une capote et un kit de gel, je lui enfile la capote sur sa tige bien raide et veinée d’au moins 18x4, je la déroule jusqu’à la naissance de ses couilles à demi poilues, je lui enduis le membre de gel et me tartine l’anus avec le gel restant.
Je me mets en position de levrette, le cul bien tendu comme une chienne en chaleur, Tristan se mit en position de tireur d’élite, joua quelques instants à me titiller la raie avec sa langue, puis le trou qui était déjà bien dilaté et délicatement il m’enfonça sa bite bien raide sans peiner.
- Dis-donc tu dois être habitué à en prendre dans le cul, c’est la première fois que je rentre ma bite aussi facilement, tu es drôlement ouvert, me lance-t-il.
- Oui, mon anus est bien rôdé et je me gode tous les soirs… Ça aide bien, et me faire enculer par un petit jeune de ton espèce m’excite à fond le puits du bonheur !
A priori cette expression lui était inconnue et l’a bien fait rire.
Ce jeune pédé baisait comme un homme mature, il avait lui aussi l’habitude de pratiquer la sodomie sans aucun doute, il assurait ses vas et vient à la fois doux et par moments lorsqu’il m’entendait gémir il accélérait le mouvement histoire de me faire monter en gamme !
J’en ai pris plein le fion pendant au moins vingt minutes, il était endurant et toujours bien ferme en moi, ses couilles pleines tapaient mes fesses, puis soudain il se mit à gémir lui aussi, il sort son gourdin humide de ma chatte en feu, il tira la capote violemment et son jet est parti à une vitesse qu’il en a éclaboussé la paroi noire de la cabine à trois reprises, son sperme dégoulinait sur la paroi mal éclairée de notre baisodrôme de 2 m2, puis en me retournant j’ai enfourné dans ma bouche son pénis presque juvénile qui crachait encore un peu, son sperme était succulent, presque sucré, je l’ai bien nettoyé avec la langue sur toute sa longueur, sans oublier son gland et sa paire de couilles.
- Merci jeune homme, lui dis-je simplement.
- De rien, tu es une super salope, on voit que tu as de l’expérience côté cul ! me répond-il satisfait de cette séance chaude.
Nous étions en sueur tous les deux et un peu collants, après nous être rouler une bonne pelle bien baveuse, nous décidâmes de sortir de notre cabine après avoir nouer notre serviette à la taille et passer sous la douche.
En parcourant les couloirs, nous croisons des mecs ou à poil ou avec la serviette protégeant leur anatomie de la vue de tous et entendons aussi quelques râles significatifs d’une pénétration en cours derrière une porte close.
La douche terminée, on prend un Coca au bar rapidement et on part direction les vestiaires pour se changer, Tristan devait être à Clichy dans trois quarts d’heure.
Je l’embrasse une nouvelle fois plaqué le long des casiers, et il me dit :
- J’ai vraiment envie de te revoir, on se verra certainement ici si tu y viens le mardi, mais je voulais te proposer une soirée entre potes samedi prochain, ça te dirait ? me demande-t-il.
Moi interrogatif :
- Oui, bien sûr, ils ont ton âge ?
- Oui, nous sommes cinq copains gays, on se retrouve une fois par mois chez un pote dont les parents sont absents six mois de l’année car ils ont un appartement à Nice, le plus jeune a 21 ans et le plus âgé aura 26 ans dans deux mois, c’est la tranche d’âge qui te fait bander et notre rencontre mensuelle s’est uniquement pour baiser sans retenue, ça te branche ?
Je suis abasourdi par cette invitation inattendue :
- Tu parles si ça me branche, mais ils acceptent les vieux ? Dis-je en rigolant.
- Oui, ça ce n’est pas un souci, nous le pratiquons souvent, mais comme nous n’avons droit qu’à un invité, je téléphone à mon pote de suite pour lui demander si c’est OK.
Tristan prend son téléphone :
- Allo Marvin ? c’est Tristan, tu vas bien ? Dis-moi pour samedi prochain on a un invité-surprise ou pas ? Ah ok, l’ami de Jimmy s’est décommandé, c’est super, alors tu me réserves l’invit pour un ami passif, il se prénomme Jacky, il est super sympa et c’est un très bon coup, je te le confirme… son âge ? attend ? il me fait signe interrogatif.
Moi :
- 41 ans !
- 41, c’est bon, ça va apporter un peu de maturité au groupe ! Dit-il en se marrant.
- OK, je t’embrasse ma puce, à samedi !
C’était validé, je serai parmi ces cinq jeunots pour leur soirée débridée, Tristan me donne l’adresse, c’était dans le 7e arrondissement, pas très loin du Champ de Mars, un appartement cossu au 3e étage d’un immeuble Haussmannien… on ne se refuse rien !
Il me dit :
- Tu apportes une bouteille d’alcool, whisky ou vodka, on fait venir des pizzas bien chaudes avec vingt euros par personne on fait le tour.
Le Rendez-vous était pris pour 18h30 samedi prochain, on se quitte à la sortie du sauna, sur le trottoir, en se déposant un baiser sur la bouche.
Inutile de vous dire combien les quatre jours m’ont semblé bien longs, je n’avais plus complétement ma tête au boulot, j’étais tout excité à l’idée de me retrouver dans un groupe de jeunes gays pour une soirée qui ne cachait pas sa destinée… Baiser tous ensemble !
Mon fantasme allait bien se réaliser, je vais partouzer avec des petits jeunes chauds comme des marmites !
Samedi fin d’après-midi, je suis sous la douche, je dois être nickel, j’assure un lavement complet et méthodique de mon anus et de son conduit le plus profond possible, je décide d’y aller avec mon ensemble sport en pantalon de jogging et sweat Nike à capuche et baskets. Je décidai aussi de ne rien mettre son mon pantalon.
18h35, je sonne à la porte de l’appartement, ma bouteille de vodka à la main, la porte s’ouvre, c’est un beau jeune homme de 1,75m, cheveux longs bouclés bruns qui me reçoit torse nu et en boxer noir qui présentait une protubérance alléchante.
- Bonjour, je suis Jacky, dis-je.
- Bonsoir moi c’est Marvin, on t’attendait, me répond-il, entre et soi le bienvenu dans notre petit club privé.
En avançant dans la grande pièce à vivre je découvre les quatre autres garçons, tous dans la même tenue minimaliste…un écran mural de home-cinéma qui diffusait un film porno d’ébats entre mecs, décidemment ils commencent forts les jeunots.
Marvin fait les présentations :
- L’appart est à mes parents qui sont absents, ils sont à Nice jusqu’à fin Octobre, nous sommes donc chez nous, c’est moi le plus vieux de la bande, enfin pas ce soir puisque tu es là ! me dit-il en rigolant.
Et il commence le tour de ses potes :
- Tu connais très très bien si j’ai bien compris, Tristan, le plus grand baiseur d’entre nous, Samuel le plus jeune mais pas le moins actif, Jimmy notre homme de couleur actif et passif selon les circonstances et enfin Phary d’origine cambodgienne qui est un pur passif et chaud comme la braise !
Pour les imaginer plus aisément je vous les détaille un peu plus :
Tristan, lui on le connaît, 22 ans, beau blondinet bouclé, cheveux mi-longs et yeux verts amande, imberbe ou si peu poilu dû à sa blondeur, son anatomie mon cul avait largement testé ses 18x4 au sauna, il revêtait un boxer gris souris qui moulait parfaitement son service trois pièces, ses pectoraux étaient bien dessinés sans excès.
Marvin, bientôt 26 ans, fils de la maison, brun bouclé cheveux longs très souples, les yeux marrons, il est en boxer noir Addicted qui le moule parfaitement, une légère toison qui se perd vers le pubis, bien sculpté, il doit être sportif, il est très désirable.
Jimmy, 24 ans, bien bâti, 1,80m, les fesses rebondies comme les mecs des îles, couleur café au lait foncé, il est martiniquais, ses lèvres sont très sensuelles, il a des cils longs recourbés comme une nana, son boxer jaune poussin souligne bien sa silhouette élancée et sexy, son sexe présente une forme parfaitement moulée et prononcée dans son boxer clair, à la limite de la poutre apparente, on y devine aussi parfaitement sa paire de burnes bien moulées.
Samuel, 21 ans, cheveux très courts, châtain, imberbe, une gueule d’ange, on ne voit que ses yeux bleus cristallins, sa bouche est très sensuelle, son torse et son entrejambe sont imberbes, il porte avec élégance un boxer CK façon léopard qui semble bien fourni, il doit mesurer 1,70m, svelte et peu musclé.
Et pour finir, Phary, notre cambodgien, certainement le plus drôle des cinq, rieur, 1,65m, 50kg tout mouillé, torse imberbe, la peau couleur miel de châtaignes, yeux presque noirs, un visage fin et juvénile avec une très légère barbichette à peine fournie, il revêt un boxer chamarré de fleurs exotiques, son anatomie de garçon ne doit pas être très conséquente car l’empreinte dans le boxer n’est pas significative, son petit cul est craquant, si j’ai bien compris c’est un pur passif… et très gourmand de bites.
Marvin me fait rapidement visiter les pièces annexes en particulier les trois chambres, la grande salle d’eau et les toilettes. En revenant près du grand canapé d’angle je découvre un genre de petite valisette de voyage grande ouverte qui contient au moins une dizaine de godes de toutes les tailles, de couleurs et de formes variées, des plugs métal, des flacons de poppers, des étuis de capotes en pagaille, tubes de gel et crème de massage, le parfait nécessaire du baiseur pro !
Sur le grand écran une bite en gros plan est en train de défoncer le cul d’un asiatique… le son est coupé, la musique d’ambiance prend le relai.
Moi je me sentais un peu con, j’étais le seul habillé en jogging, mon membre laissant une légère empreinte saillante au travers du coton, ça ne leur avait pas échappé ! Je défais mes baskets et Marvin demande à Tristan s’il m’avait informé du thème de la soirée….
Moi étonné :
- Le thème… Première nouvelle, je ne savais pas qu’il y avait un thème…
Tristan lui répond :
- Non, je ne lui ai rien dit.
Marvin m’explique :
- Voilà, le thème ce soir, c’est « Boxers sacrifiés », c’est à dire qu’au cours de la soirée nos ébats vont se ponctuer de destructions aléatoires de nos boxers, tu peux donc te foutre dès maintenant en slip et on commence.
Et là, un brin gêné, tout en quittant mes vêtements, j’avoue à mon assistance ne pas porter de sous-vêtement ce soir ! Je me retrouve, en le disant… La queue à l’air.
- Qu’à cela ne tienne, ne t’inquiète pas, je vais aller fouiller dans l’armoire de la chambre de mes parents je vais bien te trouver un boxer de mon père, il taille « L » donc ça devrait le faire.
Il va dans la chambre et revient aussitôt avec un boxer bleu marine qui a un peu vécu, je l’enfile, il me va très bien, je cale le matos, Tristan vient s’assurer lui-même que tout est bien en place en me palpant le paquet et me foutant une claque sur les fesses… Me voilà au même niveau que les petits jeunes… Et prêt pour le jeu !
Sur la table basse des verres, les bouteilles d’alcool… des amuse-gueules et une paire de ciseaux.
Chacun se sert abondamment en liquide et nous trinquons à la soirée !
Tristan veut ouvrir les festivités, il prend les ciseaux et se dirige sur Phary, lui tire la manche de son boxer éxotique et découpe le tissu de chaque côté jusqu’à la ceinture… Oh putain, un si beau boxer c’est vraiment con… Notre cambodgien nous dévoile ainsi la totalité de ses cuisses et ses hanches lisses et de belle couleur… Hummm je commençais à adorer ce petit jeu érotico-destructeur.
Il met ensuite sur la tête de Phary un boxer de bain qu’il retourne et lui couvre les yeux, puis lui demande de dire qui est qui, uniquement en palpant le corps d’un des cinq mecs restants… Y compris ma personne, les palpations peuvent aller des doigts de pieds aux tétons, mais pas plus haut… C’est la règle !
Phary s’exécuta, nous formions un cercle au milieu du salon, Phary en boxer découpé, commence à palper Jimmy, ses palpations commencent au niveau des seins mais se stabilisent rapidement sur le sexe, les fesses, il passe sa main dans le boxer, tâte avec lenteur son sexe et s’écrit aussitôt :
- C’est la belle bite de Jimmy ! C’est gagné, il va pouvoir découper un morceau du boxer de son pote martiniquais.
Phary vira le boxer de bain et prit les ciseaux, il s’empressa de passer la pointe au niveau de la raie du cul, en prenant soin de ne pas blesser son compagnon, il fit une entaille dans le tissu, puis avec ses deux mains tira et déchira le boxer jaune laissant la raie du cul de Jimmy totalement dégagée…Il en profite pour lui écarter les fesses et lui lécher le trou, Phary conclut en lui tapant gentiment son fessier bien rebondi, il avait un cul de rêve et le trou bien noir le salaud, ses fesses de black étaient excitantes dans ce boxer jaune pâle déguenillé et béant de lambeaux qui mettait en relief sa belle raie profonde !
Ce fut le tour de Jimmy de mettre le boxer de bain sur les yeux, chacun changeant de place, à quatre pattes il commença par caresser les pieds de Marvin, puis les jambes, les cuisses et évidemment lui aussi s’attarda sur l’entrejambe, il lui malaxa le paquet, Marvin se retenait de ne pas manifester de parole ou gémissements, Jimmy glisse sa main pour lui parcourir la raie en lui mettant un doigt dans l’anus ce cochon et dit :
- C’est le trou de Marvin !
Décidemment, ils se connaissent en détails ces petits pédés !
Jimmy vire son masque temporaire et avec les ciseaux vient couper totalement l’entrejambe du boxer de Marvin, ce qui du coup, formait une sorte de mini-jupe hyper courte mal taillée et moulante, mais avec un surplus de tissu qui lui pendouillait entre les cuisses, on voyait poindre le prépuce de sa queue pendante ainsi que sa paire de couilles poilues sous cette jupe de pute improvisée… le pied !
Jimmy lui passa un coup de langue sur le bout de la bite.
Ce fut le tour du Maître de maison de se cacher les yeux avec le boxer de bain, chacun échangea sa place, puis à genoux il se retrouva en face de moi, me caressa les cuisses, remonta vers mes fesses, puis lui aussi s’égara longuement sur mon paquet qui commençait gentiment à prendre du volume, il me passa une main dans l’entrejambe du boxer de son père et me palpa la bite et il s’exclama :
- Je ne connais pas encore ce membre, c’est sûr, c’est notre invité Jacky !
Quel talent !
Alors il prit la paire de ciseaux, glissa la lame à droite de mon paquet, coupa jusqu’à la ceinture, puis en fit de même à gauche, mon paquet n’était plus protégé que par la bande centrale en forme de poche du boxer paternel, on pouvait voir sans problème mes couilles rasées des deux côtés, je reconnais que cette coupe me plaisait et m’excitait beaucoup !
A moi de mettre le masque improvisé, les jeunes tournent ou s’écartent du cercle pour n’y laisser que Samuel superbe, juvénile dans son boxer léopard avec son entrejambe bien pourvu et de plus en début d’érection évident…
Je me mets à genoux, les lambeaux de tissus qui battaient entre mes couilles et me chatouillait les cuisses, je tâte les pieds, les mollets, puis je remonte vers les fesses, je glisse ma main à l’intérieur, ses fesses étaient lisses et douces, j’égare mon majeur dans son trou, il ne dit rien, je reviens m’intéresser à son anatomie reproductrice, là je ne suis pas déçu, un vrai paquet de mâle, je prends les ciseaux, cherche la ceinture et je fais presque le tour en coupant au ras de la ceinture élastique et ensuite je déchire énergiquement le tissu en faisant pratiquement le tour de sa taille, j’entends un « Whouaaaahhh », je reconnais sa voix un peu aiguë que j’avais remarqué lors des présentations :
- C’est Samuel dis-je.
Et là tonnerre d’applaudissements du clan des cinq, j’avais passé le test avec brio !
Il ne restait plus que Tristan en boxer gris-souris, intact, c’est lui qui avait ouvert le bal, il me regarde et me dit :
- Allez Jacky, à toi l’honneur, dézingue-moi mon boxer, tu es l’invité de la soirée… Fais-toi plaisir.
Il était au pied de l’écran de home-cinéma qui continuait inlassablement à diffuser son porno gay, là c’était un mec baraqué avec un braquemard hors norme qui enculait un jeune blond de tout juste 20 ans…. Comment voulez-vous être serein dans un tel environnement !
Je repris donc la paire de ciseaux, je décide de faire des bandes verticales tout le tour du boxer de Tristan avec une coupe tous les 5 cm, de telle sorte qu’après avoir coupé la bande de tissu de l’entrejambe, Tristan se retrouvait avec une sorte de pagne tahitien.
Cette coupe avait eu l’avantage de voir sortir sa queue presque à l’horizontale… un spectacle grandiose et très bandant, d’ailleurs tous avaient la main sur le sexe pour se toucher et se titiller.
Jimmy me dit :
- Ne t’arrête pas là Jacky, choisi un gode dans la valisette, et prend le tube de gel, tu vas maintenant goder Tristan, il nous a dit qu’il t’en avait mis plein le cul au sauna, ce soir, venge-toi… A toi de lui mettre profond !
Je ne me fis pas prier, tout le plaisir allait être pour moi, je choisis un gode rose de 20 x 5 cm, Tristan les mains sur le dossier d’un fauteuil les jambes écartées se mis en position de soumis, moi j’enduisais le gode de gel et lui tartinai l’anus en lui enfonçant le doigt évidemment.
Tous m’encourageant avec des slogans du genre :
- Vas-y, fout lui profond !
- Gode-le, ce pédé de mes deux !
- Encule-le, il ne demande que ça !
- Fout-lui les 20 cm dans le cul, il est trop gourmand le salaud !...
J’entrepris donc la pénétration du gode devant mon jeune public excité, Tristan avait la réputation d’un actif confirmé, il assurait sans rechigner le rôle de salope, le godage a bien duré un quart d’heure, mes vas et vient incessants en tournant le gode et l’enfonçant jusqu’à la garde l’excitaitent, Tristan gémissait de plaisir, mon enculeur était bien un passif aguerrit ! Il jouissait du cul comme une vraie chienne, son entrejambe était trempé, il était aux anges !
Tout le monde se délectait de l’enculade en direct en sirotant, vodka ou whisky sans retenue. Je retirais le gros gode de sa chatte et l’emmena dans la salle d’eau pour une petite toilette.
Puis je vois Phary s’agenouiller derrière Jimmy, qui entrepris de lui lécher la raie en se paluchant, Jimmy ne tarda pas à écarter ses cuisses pour faciliter le travail de bouffage de cul entrepris par le petit cambodgien, Phary tout en lui mettant une langue profonde dans l’anus, fini de déchirer le boxer de Jimmy, les lambeaux ainsi tirés laissaient une vue parfaite et complète des fesses rebondies de notre martiniquais, il était super bien gaulé, la langue de Phary lui faisait naturellement allonger la tige, qui du coup avait plus d’aisance dans ce boxer quasi saccagé. Le spectacle était divin et notre Jimmy tortillait du cul en guise de satisfaction bucco-anale, il couinait de bonheur le salaud !
Sur l’écran, c’était maintenant une séance de fellation bien baveuse entre deux blacks membrés comme des ânes qui envahissait le pan de mur du salon en gros plan.
Soudain le carillon de la porte d’entrée retentit ???
Marvin sans paniquer dit :
- Ça doit être le livreur de pizzas.
Chacun reprend une attitude à peu près zen, mais cependant, avec les boxers en lambeaux, Marvin va ouvrir, le mec rentre, chargé de ses six cartons bien chauds, c’était un bel hindou, lorsqu’il nous vit dans nos tenues dézinguées, et sur l’écran géant du salon un black qui se faisait tailler une pipe, il eut un mouvement de recul et de surprise et nous dit très gêné :
- Oh, excusez-moi !
- Pas grave, dit Marvin, c’est une réunion entre potes !
Notre livreur n’osait pas trop nous regarder, mais voulait aussi profiter de ce spectacle insolite, six mecs à demi à poil et en lambeaux avec pour certains la queue pratiquement à l’air… Ça avait tout l’air d’un club privé de pédés débridés !... Ce qui soit dit en passant, était bien le cas.
Marvin revient avec la monnaie, paye notre bel hindou toujours sous le choc, qui devait avoir peur de se faire violer ???
Il nous salue finalement en quittant la pièce :
- Aurevoir les gars, et bonne soirée…Et il rajoute : Ça semble bien parti !
Il devait être satisfait d’avoir quitté l’appart… surtout s’il était hétéro le pauvre.
Samuel lance :
- Bon avant qu’on se fasse la pizza, qui veut me prendre maintenant je suis chaud et bien dilaté ?
La question était plutôt directe !
Tristan toujours plein d’énergie répond aussitôt :
- Moi je suis ton homme ! Et il pousse Samuel sur le canapé d’angle qui s’affale dessus.
Tristan se jette sur Samuel et lui met en miette son boxer léopard déjà bien entamé, seule était restait la ceinture du boxer autour de sa taille.
- Oh t’es un vrai sauvage toi, calme tes ardeurs ou je vais te mordre la bite, dit Samuel.
- Avant de me la mordre, tu vas te la prendre dans l’anus sans sourciller petit pédé de mes deux…
Et Tristan commença à le doigter sérieusement, puis deux doigts… puis il tente le troisième qui rentre aussi, après lui avoir travaillé la chatte et lui enfila ses 18 cm qui étaient raides comme la justice et le gland bien décalotté, Samuel n’a pas bronché et pendant ce temps Marvin s’est placé devant le visage de Samuel, releva son boxer devenu un genre de mini-jupe de pute, on vit alors balloter ses couilles bien pendantes et son braquemard à l’horizontale qu’il engouffra goulument et Samuel se mit à le pomper avec ferveur.
Notre benjamin prit en sandwich gloussait de plaisir avec une pine dans le fion et l’autre dans la bouche…le top !
Phary avait pris son i-phone et faisait des photos sous toutes les positions pendant que moi je me faisais branler par la main gauche de Jimmy qui non assez satisfait m’enfonçait son majeur dans l’anus en le suçant toutes les dix secondes… Décidément je ne regrettais pas la soirée !
Sur l’écran géant c’était maintenant une partouze entre huit jeunes sur la terrasse d’une maison bourgeoise…
On décide de faire une pause « Pizzas », chacun des convives ou à poil ou en lambeaux s’activait autour de la table.
Puis le beau Jimmy prit la parole en me regardant :
- Jacky, il me semble que ton fantasme c’est de te faire enculer par un jeune… Je te propose en plus, que ce jeune pédé soit des îles… et bien monté… Ça te va ?
Moi aussitôt à moitié surpris et surtout ravi de la proposition :
- Ça me va parfaitement Jimmy !
Nous virons aussitôt nos morceaux de boxers qui atterrissent sur le canapé, je me couche sur le dos, sur l’épais tapis du salon, la queue en demi-érection, jambes bien écartées et Jimmy vient se caler entre mes cuisses et commence à me flatter la pine tout en palpant amoureusement mes couilles, puis me broutant l’entrejambe, nous avions quatre voyeurs attentionnés qui grignotant leur pizza d’une main se touchaient le sexe de l’autre, en y allant de leurs commentaires scabreux du style :
- Ne bouffe pas tout, laisse-nous en Jimmy… Si tu as encore faim il reste une part de pizza !
- Jacky tu vas te faire démonter l’anus, Jimmy est un violent.
- Un bout de la bite de Jimmy ça vaut une part de Marguzrita…
- Allez les gars, ne faites pas attention à nous… baisez-vous sans retenue !
Nous nous ébattons tous les deux comme des fous sur ce tapis moelleux, Jimmy m’avait retourné et m’enculait profond depuis dix minutes avec son pieu de 19x5 cm minimum, le mieux monté de tous, il m’avait tartiné le trou de gel et faisait coulisser son membre avec facilité dans mon trou habitué de se faire prendre.
Sur le canapé Marvin, Samuel et Tristan faisaient un concours de branle alterné de fellations en gorges profondes et en matant l’écran du home-cinéma et Phary se paluchait au-dessus de Jimmy et moi et finissait par éjaculer sur nos dos respectifs et sur la raie de mon enculeur martiniquais, le sperme de Phary sur le corps café au lait de Jimmy était du meilleur effet. Phary termina son numéro en venant lécher son propre sperme sur nos corps et termina son léchage en bouffant le cul de Jimmy qui continuait ses vas et vient en moi. Phary était un vrai bouffeur de cul et une longue langue experte !!!
Lorsque Jimmy cessa son viol consenti, il sorti son pieu et me largua sa sauce sur le visage, ses jets successifs me sont atterris sur les yeux, le nez, les cheveux, le cou, pour terminer j’englouti sa queue dans ma bouche pour finir de nettoyer son matos sans oublier ses couilles qu’il venait de vider en partie en moi.
Du côté canapé c’était un déluge de foutre qui s’étalait sur les ventres du trio de jeunes branleurs !
J’étais comblé par cette soirée avec mes petits jeunes pédés qui m’avaient fait découvrir le jeu des boxers sacrifiés, qui m’avait permis de tous les caresser jusqu’à leur intimité profonde, de m’être fait prendre par une jeune queue virile et colorée, décidemment je ne regretterais pas ma rencontre de mardi dernier au sauna avec Tristan.
Nos ébats se sont terminés dans la grande douche à l’italienne des parents, chacun savonnant le corps d’un pote en s’égarant encore une fois dans un entrejambe ou dans un anus encore dilaté, faisant immanquablement l’objet de quelques éjaculations…
Le home-cinéma fut éteint par Marvin, les boxers déchirés terminèrent en tas au milieu du salon, nous rangeons avec minutie le champ de bataille, tous à poil bien sûr et décidons de dormir quelques heures avant de nous séparer vers 8h du matin.
Tristan et moi dans la chambre de Marvin, Phary et Samuel dans la chambre d’amis puis Jimmy et Marvin dans le lit des parents, inutile de vous dire que les ébats ont duré et les gémissements se sont enfin calmés vers quatre heures du matin.
Le cul de Phary ayant été honoré par Samuel dans un premier temps et une seconde fois enculé par Marvin, ce jeune cambodgien était insatiable !
A huit heures les queues étaient molles, les couilles presque à sec, les culs endoloris, les yeux exorbités, les cheveux en bataille… Le café réparateur nous a permis de reprendre nos esprits.
La prochaine séance pourra encore se tenir chez les parents de Marvin avant leur retour, le lieu est magique, les partenaires sont parfaits…
J’ai demandé à être à nouveau invité, à l’unanimité tous ces jeunes pédés m’ont plébiscité en me promettant que je prendrai cher lors de cette seconde rencontre dans leur club très privé… Mais pas privé de bites !
Castajl
castajl@laposte.net
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