Montage d'un meuble en kit Début juin je décide d‚aller chez IKEA acheter mon mobilier de bureau, que je ramène à l‚appartement et décide malgré la chaleur caniculaire de monter rapidement car je ne souhaitais pas rester envahi de cartons encombrants dans mon espace restreint. La sueur ne tarde pas à me couvrir le corps malgré la porte fenêtre grande ouverte, je fais rapidement tomber mon tee-shirt je me retrouve donc en bermuda et nu pieds au milieu de mon chantier. Le fabricant annonçait deux heures de montage∑ j‚imaginais bien y passer une partie de l‚après-midi compte tenu du nombre d‚éléments en kit ! Une demi-heure après l‚appel téléphonique Florian sonnait à la porte. Voyant l‚ampleur du boulot et la chaleur de l‚appart, il m‚en remet une couche : " T‚es vraiment naze de faire ça par une telle chaleur ", et il quitte sa chemisette et ses tongues, il est en short rouge. Après une heure de labeur, je ne tenais plus, malgré l‚usage rapproché de ma serviette éponge, je décide de faire tomber mon bermuda qui me collait à la peau " Désolé, mais je me mets un peu plus à l‚aise∑ " Je suis donc maintenant en slip taille basse de couleur bordeaux devant mon pote, il me regarde et me lance : " Tu vas peut-être t‚arrêter là ? ", Je lui réponds que oui bien sûr, je ne comptais pas finir à poil (chose qui, en moi-même, ne m‚aurais pas gêné si j‚avais été seul). J‚étais effectivement plus à l‚aise pour me contorsionner autour de mon futur mobilier. Florian lui aussi suait à grosses gouttes et utilisait ma serviette, moi je continuais de mater ce corps bronzé ruisselant de sueur, l‚entrejambes de son short était lui aussi taché de sueur, en le matant, je me demandais s‚il était bronzé intégralement ou non ? Soudain il me dit : " Putain qu‚il fait chaud, on aurait été mieux à la piscine que dans ton sauna à monter tes meubles de merde ! J‚ai trop chaud ! ". Nous continuons d‚?uvrer sur notre casse-tête IKEA, je continuais de mater le corps luisant de mon compagnon de travail, à plusieurs reprises je me passais la main sur le sexe et à chaque fois Florian s‚en faisait l‚écho en se passant la main sur le sien∑ La situation devenait ambiguë et j‚avais plaisir à la cultiver, je n‚hésitais pas à aller chercher des vis ou des chevilles en lui passant par-dessus et en lui frôlant volontairement le dos humide avec mes jambes ou mon torse, puis parfois il prenait le tournevis en passant entre mes cuisses∑. Toutes ces activités semblaient naturelles et ne généraient aucune gêne ni aucune remarque ou réaction de l‚un ou l‚autre, seulement un léger sourire complice J‚utilisais la colle à bois pour enduire les chevilles avant de procéder à l‚assemblage de panneaux et volontairement je laisse tomber une grosse goutte sur sa cuisse gauche : " Oh, désolé, excuse-moi ! "∑. Il me regarde en levant les yeux et me dis : " Je croyais que tu venais de me juter dessus ! ", en lui essuyant la colle sur sa cuisse avec mon doigt je lui réponds : " Tu aurais peut-être préféré ? " et là je l‚ai vu rougir rapidement et m‚a répondu sans trop réfléchir : " J‚imagine que tu m‚en aurais largué un peu plus que cette dose de Mickey ! ". A ce moment, je me suis approché de lui, il m‚a pris les épaules, puis a descendu ses mains sur mes hanches, j‚en ai fait autant en lui titillant ses deux boutons de seins, en nous fixant chacun dans les yeux, nous nous sommes attrapé nos sexes et avons commencés à nous branler mutuellement, nos corps étaient couverts de sueur et nos c?urs battaient la chamade, Florian avait une queue d‚environ dix sept centimètres et relativement grosse en diamètre, ses couilles que je caressais étaient un peu poilues mais sans plus, nous étions maintenant au milieu de notre meuble à moitié monté à nous palucher comme des bêtes, Florian s‚est étendu sur le sol en faisant un peu de place et me voici maintenait au dessus de lui, à me masturber au-dessus de son visage devenu rouge écarlate, nous étions devenus en rut tous les deux, lui se masturbant jambes écartées, il me dit : " Vas-y jaillis-moi ton sperme sur le visage, j‚en rêve depuis longtemps ! ", sur ce souhait inespéré j‚accélère mon mouvement de branle au-dessus de lui et à peine cinq minutes après le début de ma masturbation accélérée je lui largue par six grands jets mon foutre chaud, qu‚il avale en partie, avec ma queue je lui balaie le sperme sur l‚ensemble du visage, il me dit : " Putain que c‚est bon ! " et me lèche le gland à grands coups de langue gourmande. Lui continuait de se branler jambes écartées et le dos au sol, prisonnier de ma position sur lui, c‚est alors que j‚ai senti un grand jet chaud dans le dos et qui dégoulinait dans la raie de mes fesses, puis plusieurs ont suivis de même intensité, il venait de larguer sa purée qui s‚était aussi répandue sur les panneaux en cours de montage et sur la moquette du salon, il me dis " Tu voulais de la colle, voilà tu as ce qu‚il faut, je viens de vider le pot !!! " Arnaultcastajl@laposte.net Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |