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Chapitre 3 | Kader reprend des forces
J’avais donc quitté Kader encore sous le choc d’avoir pris son pied en se faisant prendre. Je suis rentré chez moi, bien excité, mais j’ai d’abord pris une douche – j’étais en sueur, j’avais du gel un peu partout, je pouvais bien attendre pour me branler avant de dormir. Surtout qu’il n’était que 22h. En me séchant, j’ai entendu que lui aussi prenait une douche. Et quelques instants plus tard, alors que j’étais posé sur mon canapé à regarder la télé en me préparant à une branlette qui allait être rapide mais intense, on a toqué à la porte. C’était lui, en jogging et vieux pull, encore mouillé de sa douche – je vous passe la description mais il était sexy… - et, l’air un peu dépité, il m’a montré un pack de canette de bières en me demandant s’il pouvait se poser un peu avec moi. Il voulait s’excuser de m’avoir jeté comme ça avant, me remercier et faire un « debrief ».
On s’est donc posé sur le canapé et tout de suite, malgré ses excuses, il n’a pas pu s’empêcher de m'attaquer :
Kader : Alors, c’était bien ? T’en as bien profité, hein ? T’aime ça, toi aussi, enculer des rebeus ? des hetero ? Tu caches bien ton jeu avec ta grosse bite, espèce de petit pervers…
Moi : Attends, c’est toi qui es venu me voir ! C’est toi qui voulais tout ça ! Tu voulais que je force ? Que je te fasse mal pour ta première fois ?
Kader : T’excites pas, je te charrie, c’est tout ; C’était cool.
Moi : En même temps, c’est pas pour dire, mais toi aussi t’en as profité…
Il m’a dit ensuite qu’il n’avait pas compris quand il a commencé à bander, il n’aurait jamais cru ça, il ne comprenait pas. Que les mecs passifs, les lopes, kiffent ça, il le comprenait, mais lui… Je lui ai dit qu’il a fait connaissance avec sa prostate ! C’est pareil pour tous les hommes… Même les mecs virils !
Lui : Ouais bon ça me soule déjà tes explications. On s’en fout en fait, tant mieux si j’ai pas trop galéré mais l’important c’est quand même les thunes.
Il m’a fait comprendre qu’il comptait bien rester actif à 100%. Dans la suite de la discussion, il m’a demandé si moi je n’étais que actif ou si j’étais aussi passif. J’aurais pu lui faire remarquer que ça aurait été bien qu’il se pose la question avant de me demander de l’enculer, mais je lui ai juste dit que j’aimais les deux.
Moi : en fait j’ai découvert les deux en même temps, et depuis, je pense que je suis 50/5à comme on dit.
Kader : Ah ouais cool… (après un temps) Donc t’aimes sucer aussi ?
Moi : Oui oui, j’aime ça aussi.
Naïf comme j’étais, je n’avais rien vu venir. Kader s’était allumé un joint, il tira une taff, bu une gorgée de bière puis me lança, comme si de rien n’était :
Kader : Et genre là maintenant tu me sucerais ?
Je suis tombé sur le cul.
Moi : T’en as encore envie ?
Kader : Tu crois quoi, je suis un mec moi.
De sa main libre, il a saisi sa bite à travers son jogging et c’est là que j’ai vu qu’il n’avait pas de boxer dessous - on voyait très bien la forme. Je me suis dit qu’en fait, il devait être encore sous l’excitation de ma sodo mais ça, évidemment, je me suis bien gardé de le lui faire remarquer. (Même si, avec le recul, je crois qu’il a surtout voulu montrer à moi et à lui-même qu’il restait un rebeu actif et viril et que ce qui venait de se passer ne changeait rien.)
Kader : Bon, tu viens t’en occuper ou quoi ?
Disant ça, il a baissé son jogging et m’a montré sa queue à demi-molle.
Je n’ai pas réagi tout de suite – je ne m’attendais vraiment pas à ça. Ce n’est pas que je n’en avais pas envie – je n’avais toujours pas joui et j’étais très excité. Mais j’étais complètement désarçonné. J’avais quitté un mec qui venait de juter dans ma main, après s’être fait enculer et qui avait du mal à reprendre ses esprits. Et quelques minutes plus tard, je retrouvais un mec de cité, viril et macho, me montrant sa queue pour la sucer.
Il ne m’a pas laissé le temps de réfléchir. Il m’a pris par la nuque pour m’a foutu mon visage contre sa queue. J’ai à peine eu le temps d’ouvrir la bouche pour l’avaler. Il s’est mis à guider mes mouvements.
Kader : Là, c’est bien, suce ma belle bite.
Je ne maîtrisais pas grand-chose mais j’ai pu sentir sa queue grossir entre mes lèvres jusqu’à prendre la forme que j’avais vue avait : pas trop longue mais bien épaisse, et courbée vers le haut, avec le gros gland rose. Là, pour le coup, je sentais toutes ses formes, tous ses reliefs. Un peu trop même – c’est à peine s’il me laissait le temps de respirer. Il a fini par me laisser sortir sa bite de la bouche, mais pour mieux me faire lécher ses belles couilles – sans enlever son pantalon, juste en le baissant un peu, ce qui n’était pas pratique. Il y avait une odeur de savon, de propre. Je le léchais de mon mieux mais là encore, c’est lui qui guidait ma bouche en me tenant par les cheveux. Il disait des trucs du genre « vas-y, suce, salope. Tu kiffes ça hein ? Tu vois qui est ton maître maintenant ? ». J’ai voulu sortir ma queue à moi pour me branler en même temps mais il me l’a interdit : « Laisse ta teub où elle est, je veux pas la voir. Tu t’occupes que de moi. »
Puis il m’a complètement relâché et j’ai pu me redresser pour reprendre mes esprits.
Kader : Tiens, on va changer de position, nous aussi. Y’a pas de raison que tu sois le seul.
Et il s’est mis à genoux sur le canapé, à califourchon sur moi, la bite juste devant la bouche. Il n’avait toujours pas pris la peine de baisser son jogging. D’une main, il m’a saisi la mâchoire et a glissé son pouce dans ma bouche. J’ai voulu détourner le visage – je voulais bien le sucer mais pas comme ça, pas aussi brutalement. Mais avec ses deux cuisses puissantes qui me serraient le torse et sa main qui me maintenait le visage, je ne pouvais pas faire grand-chose. Et puis bon, je sentais ma queue douloureusement raide dans mon boxer qui était déjà complètement humide de la mouille…
Il avait son pouce dans ma bouche et il a approché sa queue, a fait entrer son gland puis toute sa queue – doucement, pour bien ressentir les sensations. Puis il a sorti son pouce et, en me tenant la tête de ses deux mains, il a commencé à me baiser la gueule. Quand il allait tout au fond, en me faisant des gorges profondes, je sentais ses poils frisés sur mon nez, et ses couilles qui touchaient mon menton. J’ai voulu poser mes mains sur ses cuisses ou ses fesses mais là encore, d’un mot, il m’a dit de les laisser le long du corps. Je n’ai pas pu obéir – il fallait que je respire et j’ai dû le repousser.
Il s’est retiré et m’a regardé tousser et reprendre mon souffle en ricanant. Je n’étais pas habitué à tant de vigueur, et je n’étais pas très rassuré. Après tout, je ne le connaissais pas tant que ça ! Il s’est alors amusé à me bifler assez fort ; en levant les yeux, je voyais son regard narquois. Sa queue humide de ma salive tapotait mes joues et mon visage. Puis il a un peu joué à glisser son gros gland sur mes lèvres, comme pour savourer la maîtrise qu’il avait sur moi.
Puis il a recommencé à me baiser la gueule. Comme il venait de se vider, ça a duré un peu – je me suis demandé si ça n’en finirait jamais ! Puis il a accéléré, en me maintenant le visage encore plus qu’avant, et avec ses cuisses serrées qui m’empêchaient de bouger. Et là, alors qu’il était complètement collé à moi, sa tête à lui appuyée contre le mur, il fit des mouvements plus rapides mais plus courts – ce n’étaient plus des gorges profondes, et c’est dans ma bouche que j’ai senti le jus gicler et monter jusqu’à ce que je doive tout avaler. Il n’a pas sorti sa queue – il est resté à l’intérieur jusqu’à la fin, jusqu’à ce que j’avale tout et que tout soit bien propre.
Puis il s’est redressé, il a relevé son pantalon, a bu une dernière gorgée de bière.
Kader : C’était cool. On se refera ça à l’occasion, quand je trouverai pas de meuf.
Et il s’est cassé en me laissant pantelant, un mélange de salive et de sperme sur les lèvres et coulant sur le menton, la mâchoire douloureuse, n’ayant rien compris à ce qui venait de m’arriver, et une belle tache humide sur mon pantalon… Inutile de vous dire que, ce soir-là, je n’ai pas eu à me masturber très longtemps avant de venir, mais c’était tellement intense que c’en fut presque douloureux, plus du soulagement que du plaisir. Et je me suis endormi.
Marc
micmac67@live.fr
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