Premier épisode | Épisode précédent
« Pris de panique, j’essaie de me relever malgré la pression exercée par cet inconnu. J. se relève.
Je te présente mes potes, F. et I. Ça te dérange pas qu’on partage ?
Impuissant et contraint au silence, j’essaie de comprendre. Il claque sa queue sur mon trou déjà bien ouvert et humide.
T’inquiète ! On va prendre soin de toi. On est pas du genre à casser nos jouets.
Il attrape les menottes qui maintiennent mes mains dans le dos et me tire en arrière m’obligeant à me relever. Il me traîne devant son pote.
Je suis face à F. Il doit être un peu plus âgée que mon hôte. Un peu plus petit aussi. Il est torse nu. Son torse est puissant et velu. Sa barbe brune contraste avec ses yeux clairs. Son regard est doux. Je devine un léger sourire au coin des lèvres lorsqu’il voit J. me foutre à genoux et plaquer ma gueule contre sa queue.
L’odeur m’enivre sur le champ. J’ouvre la bouche et j’épouse la forme de sa teub avec ma bouche que je fait glisser le long de sa hampe, à la recherche du gland. F. baisse finalement son survet, impatient de mettre sa queue au chaud. Au même moment, j’entends un bruit de chasse d’eau, une porte qui s’ouvre au loin et une voix qui vient du couloir. Le jeune black qui est resté dans l’entrée à nous mater répond à la voix. Je cherche à voir à quoi ressemble le nouveau venu mais J. me plaque de nouveau sur la queue de F. J’ouvre la bouche et je commence à le pomper.
Je m’occupe lentement de mouiller son gland puis le haut de sa queue. Je m’enfonce un peu plus à chaque va-et-vient. Impatient, F. m’attrape la tête et rentre la totalité de son dard bien profond. Il me maintient ainsi plusieurs dizaines de seconde.
Le jeune black et l’inconnu se rapprochent et me présentent leurs queues déjà bien raide. F. me laisse libre de choisir celle que je préfère. Celle du jeune black est fine et longue avec un beau gland circoncis. Son pote a une queue plus épaisse mais plus large à la base qu’au gland. L’odeur d’urine me ramène à la réalité. J. me bouche une narine et colle la bouteille de poppers sous l’autre. Je m’empresse de d’inspirer a fond. Il change de côté. Je bloque ma respiration.
En extase, je me jette sur celle de I. que j’avale d’un trait. Ma pipe et rapide et profonde. Je suis affamé. J. m’attrape les cheveux et me tire la tête en arrière. Il molarde dans ma bouche avant de l’empaler sur la bite du quatrième gars. Ce dernier attrape ma tête et me maintient immobile. Il me baise la bouche à grands coups de rein avant de me lâcher. Je reviens à J. et passe ainsi d’une queue à l’autre de façon totalement anarchique. Lorsqu’elles ne sont pas dans ma bouche, les bites ballottent et frappent mes joues. Les mecs se branlent à mes oreilles. Je perds la notion de temps.
J., en bon maître de cérémonie, met fin à ce ballet phallique. Il m’attrape par un bras et m’oblige à me relever. Je découvre enfin H. Il est grand, blond et fin. Il est imberbe. Ses pecs sont courts mais très développés. Il soutient mon regard et me crache au visage. Ses potes se marrent. J. me pousse vers le couloir et me conduit dans la chambre. »
Bise !
Lopsa33
Milo Thatch
ven. 11 juin 07:25 (il y a 1 jour)
À CYRILLO.BIZ
Bonjour Cyrillo,
Voici la suite et fin de mon histoire :
J. me met face au lit et me pousse. Je tombe à genoux sur le matelas et je roule sur le côté. J’ai toujours les mains attachées dans le dos. F. me rattrape et m’installe à plat ventre avec l’aide de I.. Ils me libèrent les mains et les remontent au dessus de ma tête pour les attacher aux barreaux du lit. Pendant ce temps, H. m’oblige à remonter mes genoux et glisse des coussins sous mon bassin. Complètement offert, mon cul est relevé et ma queue plus raide que jamais, se glisse entre deux oreillers.
C’est J. qui prend possession de mon corps en premier. Il se place entre mes jambes, crache sur ma rondelle et frotte son gland dans ma raie. Avec sa main droite, il augmente la pression et fait disparaître son gland dans mon cul. Je jouis une première fois lorsqu’il s’enfonce lentement en moi. Ses mouvements sont lents au début. Puis le rythme s’accélère en même temps qu’il s’enfonce plus profond. J’ai la tête écrasée contre le matelas qui étouffe mes gémissements.
J. se retire. Je ne sais pas qui prend sa place mais je sens immédiatement une autre queue combler le vide qu’il laisse en partant. Les gars se succèdent ainsi à rythme régulier, tout comme les effluves du poppers ouvert sur la table de chevet. Les sons qui me parviennent sont chauds et rassurants. J’entends d’abord leurs voix. Ils s’encouragent, vantent leurs virilités et s’amusent de ce cul qui n’est rien d’autre qu’un tire-jus. Les saillies s’enchaînent et je m’élève vers l’extase. Ma perception du monde change. Les voix sont lointaines. J’entends cette fois les bruits de chair : le claquement des mains, le bruissement des langues et la succion de mon cul.
Le temps s’étire et se rétracte. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est lorsque H. me détache. J. en a marre de cette position. Il veut se vider. Ses potes me retournent et me mettent sur le dos. Mon dos colle aux oreillers humides de precum et de sperme.
J. attrape mes chevilles, remonte mes jambes et les écrase contre mon torse. Il s’enfonce en moi pour un dernier round. Il me pilonne avec vigueur. Je vois l’effort sur son visage avant qu’il se déforme sous l’effet de la jouissance. Sa queue se raidit en moi lorsqu’il crache 6 jets puissants qui inondent mes entrailles. Il a les yeux fermés. Le souffle court. Il ralentit mais poursuit ses mouvements mécaniques. Il reprend ses esprits, la queue au chaud dans mon écrin humide de son sperme.
- F., passe moi le marqueur.
Il enlève le capuchon avec ses dents, se penche au dessus de moi et écrit sur mon front quelques mots brefs avant de dessiner une barre.
- A ton tour I.
Il sort sa teub. Je sens son jus qui coule le long de ma raie. Le jeune black prend sa place et plante sa queue d’un coup. Il me besogne lui aussi à un rythme effréné.
Le même rituel se poursuit : le mec plante sa queue, me baise et se vide avant de marquer mon front de sa victoire. Les potes observent, en branle. J. et H. me remplissent deux fois. I. remporte le match avec trois doses de jus quand F. se contente de mater et de clore la soirée avec une ultime ejac.
Les gars se congratulent, se rhabillent et se checkent. Je reste là, épuisé. Mon esprit flotte au dessus de moi, à demi conscient.
Je suis réveillé par un flash. J. est debout au dessus de moi. Il immortalise sa victoire. Il arbore un sourire radieux.
- Alors, heureux ?
J’explique à J. que j’ai du mal à réaliser ce qu’il s’est passé.
- T’inquiète, avec les gars on a fait quelques vidéos. Tu vas pouvoir regarder tout ça quand tu seras chez toi.
Chez moi... Le réel me rattrape. J’ai envie de rentrer et de prendre une douche. Je me lève et retourne dans le salon où je retrouve mes affaires. Je me rhabille, sans urgence. J. m’a préparé un sandwich et un verre de lait. J’ai faim.
Je m’installe au comptoir de la cuisine et je mords dans le pain. Quand J. me rejoind, l’assiette est vide. Il passe sa main dans mes cheveux.
- Tiens ! Je t’ai préparé ça.
Il me remet une enveloppe dans laquelle je trouve une clé USB et une photo.
Je me rappelle que moi aussi j’ai quelque chose pour lui. Je me précipite dans l’entrée et je sors de ma veste une enveloppe que je lui tend. Il la prend, en sort les billets et vérifie si le compte y est.
- C’est bien ça. Tu reviens quand tu veux.
Clin d’œil. Sourire. Je le remercie. Il ferme la porte.
Je suis seul dans le couloir de sa résidence. Tout est calme, endormi.
Je sors la photo. Je suis allongé, nu, au centre d’un lit qui ressemble à un champ de bataille. Sur mon front, 8 barres et ces mots qui claquent dans mes tripes : « VIDE COUILLE ».
Bises
Lopsa33
milothatch33@gmail.com
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