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Premier épisode | Épisode précédent

La gynécologie pour homme | 3

On retira sans ménagement les tuyaux de mes narines et de ma gorge pour me permettre de reprendre mes esprits. J’étais complètement lessivé par le traitement que je venais de subir. Une fois le Dr Schwartz sorti du bloc opératoire, on me détacha progressivement de la table d’opération et on me fit revêtir de nouveau ma blouse de patient, mon masque et une nouvelle couche propre. Ma vessie se vidait toujours sans aucun contrôle par la sonde urinaire bien en place dans mon « clitoris » mais le « travail » que je venais de subir avait tari cette sonde pour un moment. On me remit dans un lit d’hôpital et on me ramena, exténué, dans ma chambre.

Je retrouvais bientôt mon copain que l’on ramenait également en lit d’hôpital et qui paraissait aussi fatigué que moi. Il m’expliqua qu’on l’avait installé sur une table d’opération, à 4 pattes, qu’on lui avait attaché les bras et les jambes avant de masser sa prostate de façon « appuyée » pendant des heures tout en le trayant comme une vache. Les médecins l’avaient ainsi fait jouir au moins 4 fois de suite et il était désormais complètement vidé. Il avait mal à la bite et au cul après cette « traite » intensive. Je lui racontais également mon « traitement » que ce soit le lavement mécanique en profondeur et la séance de fisting intensive du Dr Schwartz.

On amena bientôt un diner léger à mon copain mais pas à moi, l’infirmier qui nous servait expliqua que le Dr Schwartz avait donner comme consigne de ne pas me nourrir pour me laisser propre pour de nouveaux traitements demain matin. J’étais complètement lessivé et ma « chatte » était encore béante dans ma couche après la dilatation qu’elle venait de subir. L’infirmier débarrassa bientôt le repas avant de revenir s’occuper de moi. Il retira encore une fois la couche que je portais et qui commençais à s’humidifier doucement, il nettoya les restes de lubrifiant qui maculaient tout le bas de mon corps ainsi que ma cage de chasteté qui était encore toute collante de sperme séché. Il me doigta également doucement la « chatte » sans avoir besoin de mettre de lubrifiant car elle était encore grande ouverte et ruisselante. Il inséra finalement dans mon cul un large plug en plastique et m’équipa avec une nouvelle couche pour la nuit. Après ces préparatifs, il m’attacha solidement dans le lit avec une sangle au niveau de ma poitrine, un autre sur mon torses, plusieurs sangles au niveau des poignets et des chevilles et une dernière qui maintenait ma tête immobile, j’étais complètement ficelé sur le lit et je ne pouvais bouger d’un poil. La nuit fut longue et bientôt ma couche devint lourde et humide, ce qui, avec l’énorme plug qui m’écartelait douloureusement, me tint éveillé une grande partie de la nuit.

Au petit matin, un nouvel infirmier en tenue blanche impeccable vint nous réveiller et me détacher de mon lit. Il m’emmena dans la salle de bain carrelée de blanc attenante à notre chambre avant de revêtir un tablier en plastique blanc et des gants de latex. Il retira ma blouse, ma couche devenue entièrement jaune de pisse et sans plus de ménagement il retira également mon plug. Je sentais mon cul complètement béant et ouvert avec une sensation de vide intense car depuis 24h il était sans cesse rempli d’instrument. L’infirmier me plaça face au mur blanc et commença à me nettoyer avec un jet d’eau doux mais glacial, il m’aspergea entièrement en insistant bien sur ma « chatte » béante. Il susurra doucement « il faut que tu sois bien propre pour les examens qu’à prévu le docteur, surtout le prochain petite salope ». J’étais encore à moitié endormi et je ne relevais pas l’insinuation encore concentré sur mon cul endolori. Il me rhabilla rapidement mais sans me remettre de couche à laquelle je commençais à m’habituer. Il me fit allonger sur le lit, changea de gant en latex et s’approcha de moi avec une petite seringue en plastique vide. Il souleva ma blouse et brancha la seringue sur ma sonde urinaire de laquelle il vida le ballonnet avant de la retirer rapidement sans enlever ma cage ce qui me brula atrocement. « Maintenant tu es prêt pour le Dr Schwartz mon garçon » s’exclama-t-il ». Mon copain eu le grand privilège de pouvoir se laver seule après un petit déjeuner qui m’était toujours interdis.

Arriva bien vite dans notre chambre un nouvel infirmier, plus musclé, mais également en tenue blanche à manche courte, et poussant un fauteuil roulant devant lui. Il m’ordonna sèchement de m’y installer en vitesse car j’étais attendu, avec déjà du retard, par le Dr Schwartz. Il m’emmena à travers les couloirs jusqu’à une vaste pièce toujours carrelée de blanc, avec de nombreuses chaises et pupitres en métal et avec une grande table également métallique au fond de la pièce. Le médecin sadique était à côté de la table, vêtu d’une grande casaque blanche en plastique à manche courte avec des gants en latex qui lui remontait jusqu’aux coudes et des bottes en plastique également blanches. A ma grande surprise il était entouré d’une dizaine de jeunes garçons habillés en civil mais tous avec des tabliers en plastique blanc et des gants en latex. « Voici notre cobaye mes chers étudiants ! » s’exclama-t-il, « Nous allons enfin pouvoir passer aux travaux pratiques ». Le bulldozer d’infirmier retira ma blouse et me fit me lever du fauteuil avant de m’installer sur la table de la salle, à 4 pattes, le postérieur face à la classe. Sans me prévenir, après avoir comme toute l’assemblée revêtit des gants de latex, il me plaqua la tête contre le métal de la table en maintenant mon cou fermement de son autre main « et ne t’avise pas de bouger d’un poil pendant le cours du docteur, vieille truie, sinon tu vas comprendre ta douleur » me dit-il tout bas pendant que le docteur amenait un chariot d’instrument près de mon cul maintenant bien en l’air et à la vue de tous.

« Je vais donc comme promis vous montrer les différentes techniques pour examiner une « chatte de mec » en bon gynécologue que je suis » énonça le Dr Schwartz. Il commença par poser ses mains sur mes fesses et les écarta sans ménagement « tout commence par un examen visuel et externe de l’organe, vous pouvez dès à présent voir que notre cobaye possède une « chatte » bien béante et accueillante en raison de la dilatation que je lui ai fait subir hier, notez qu’il ne parvient plus à utiliser son sphincter depuis ce traitement ». Je pouvais assister au cours en observant les mains du docteur et les jeunes gens qui les observaient entre mes jambes mais la poigne de l’infirmier me gênait dans mon observation. « La seconde étape consiste à palper avec vos doigts l’orifice présenté, n’hésitez pas à apprécier toute la circonférence de cette « chatte » et à l’explorez en profondeur, vous pouvez également utiliser 2 ou 3 doigts pour cette étape car elle est bien élastique ». En même temps qu’il expliquait cet examen à ses étudiants, le médecin appliqua sur mon cul exposé à tous une importante quantité de gel avec ses doigts gantés et je senti bientôt ces mêmes doigts masser mon anus et le pénétrer à plusieurs reprises sans ménagement. Puis tout à coup, les étudiant s’approchèrent de moi et chacun leur tour, enfoncèrent 2 ou 3 trois doigts gantés dans ma « chatte ». Je me sentais complètement à leur merci avec les mains de l’infirmier qui me tenaient la tête et le cou et tous ces doigts qui m’inspectaient sans temps mort et sans jamais m’adresser la parole. Après ce qui me sembla une éternité de doigtage le médecin repris « passons maintenant à l’anuscopie. Comme vous le voyez, un anuscope est un instrument d’environ 15cm qui permet d’inspecter la « chatte » à son commencement ». En joignant les actes aux paroles, il introduisit, sans un regard, le petit tube dans mon cul et retira le mandrin central exposant ainsi mon intérieur à tous. Bientôt, chaque étudiant défila pour apercevoir l’intérieur de mes entrailles sans retenue. Le Dr Schwartz retira enfin l’instrument de mon cul et saisit sur la table métallique un nouveau tube en métal, beaucoup plus long, d’environ 25cm qu’il présenta à l’assistance : « ceci, messieurs, est un sigmoïdoscope rigide qui va nous permettre d’examiner les tréfonds de notre cobaye ». Il se plaça une fois de plus face à moi et approcha de ma « chatte » le tube en métal qu’il introduisit lentement, il le faisait tourner avec précaution pendant qu’il l’enfonçait toujours plus en moi. Je sentais l’avancée lente mais insistante de son instrument qui appuyait dans mes boyaux avec insistance et explorait des profondeurs jamais visitées. Au bout de ce qui me parut des heures, il retira également le mandrin de l’appareil qu’il avait entièrement inséré dans mon cul avant de permettre à chaque étudiant de venir coller son œil indiscret sur l’objectif pour regarder mon cul au plus profond. Je me sentais comme une grenouille épinglée sur du polystyrène qu’on dissèque sans son avis, les étudiants venaient m’examiner sans ménagement pendant que leur professeur sadique tenait son instrument de torture bien enfoncé au fond de mon colon. L’examen se termina enfin et le docteur retira tout aussi lentement qu’il l’avait enfoncé son tuyau. Il finit par conclure « vous êtes donc maintenant formés à l’exploration en profondeur d’une « chatte de mec », n’hésitez pas à réaliser ces examens à chaque consultation pour plus de sureté ». Il raccompagna les étudiants vers leur vestiaire avant de revenir vers moi qui était toujours à 4 pattes, le cul en l’air, avec les mains de mon infirmier préféré qui me tenait fermement la tête. Il m’écarta les fesses avec ses mains gantées avant de déclarer : « cette superbe chatte va encore prendre cher cet après-midi ma petite salope, soit bien prête ».

Je fus raccompagné dans ma chambre ou je ne retrouvais pas mon copain, il devait encore être à une séance de « traite ». A midi ce n’est pas le plateau repas dont je rêvais qui me fut apporté mais une poire à lavement qui contenait un médicament laxatif. Mon infirmier dévoué m’allongea sur ses genoux et vida le contenu de la poire dans mon cul qui commençais à récupérer doucement de la veille. Mon repos fut de courte durée car mon « transporteur » attitré revint bien vite avec son fauteuil roulant pour m’emmener de nouveau auprès du Dr Schwartz.

Il m’accueilli dans une salle carrelée de blanc avec en son centre une chaise gynécologique en métal avec de nombreuses sangles de toute part. Un infirmier taillé comme une armoire à glace m’y installa après avoir enlevé ma blouse, les jambes bien écartées, et sangla sans ménagement mes bras, mes jambes, mon ventre, ma poitrine et ma tête. Le docteur était habillé d’une casaque blanche avec des manches longues sur lesquelles il avait enfilé des gants en latex marron qui lui montait jusqu’aux coudes, il portait aussi un tablier en plastique blanc épais, un calot de chirurgien en tissu blanc et un masque blanc également. Il était accompagné de son « gorille » d’infirmier qui était vêtu avec le même uniforme. Le Dr Schwartz s’installa sur un tabouret métallique à roulette entre les jambes et le gorille approcha un chariot d’instrument et un appareil d’échographie. « Les objectifs de la séance du jour sont de dilater ta chatte à son maximum, s’assurer que ton ventre pourra recevoir un enfant et le féconder avec tout le jus que nous avons récolté chez ton compagnon » dit-il en me tenant un pot de la taille d’un pot à confiture rempli au tiers de jus blanchâtre. Je n’en revenais pas de la quantité, mon pauvre copain devait être pressé comme un citron pour avoir donné cette quantité en 2 jours.

La dilatation ne se fit pas attendre, le gorille mis sur mon visage un masque respiratoire avec un embout en plastique qui rentrait dans ma bouche et m’empêchait de parler, il l’attacha derrière ma tête avec une sangle. Pendant ce temps le médecin trempa ses mains gantées dans un récipient rempli de lubrifiant et je senti bientôt un, puis 2, 3 ou 4 doigts me masser la rondelle. Il ne mit pas longtemps à me dilater suffisamment pour enfoncer sa main en entier dans mon « vagin » et il commença à le travailler plus sérieusement. Sa main encore tendue entrait et sortait de ma chatte pour l’assouplir et la dilater progressivement, il commença également à alterner entre ses 2 mains. Il saisit bientôt sur le chariot un énorme spéculum avec 3 branches qui devait être utilisé pour des animaux vu sa taille. Je ne voyais pas comment un tel engin pouvait entrer en moi. Il introduisit le monstre au 2 tiers dans mon fondement avant de commencer à tourner une visse qui écartait les branches. La sensation était difficilement supportable, je sentais ma chatte s’écarter jusqu’à l’extrême, comme si j’étais découpé en 2, j’essayais de hurler mais succès avec le bâillon. L’écartement finit par s’arrêter à son maximum, le docteur recula de quelques centimètres pour apprécier son travail et il introduisit sans aucun frottement son point dans mon cul écartelé. Il me laissa dans cet état de tension pendant un petit moment avant de dévisser son instrument de torture et de le retirer progressivement. Avant même que ma chatte ne puisse se reposer il introduisit sa main gauche, poing fermé, bien au fond de celle-ci et il fit signe à l’infirmier d’approcher l’appareil d’échographie. Le gorille se saisit du module, il tendit la sonde d’échographie au docteur et recouvrit tout mon bas ventre de gel froid. Le Dr Schwartz remuait son poing fermé dans mon cul en faisant des petits mouvements d’avant en arrière assez inconfortable, il posa la sonde d’échographie sur mon pubis sans s’arrêter et la bougea dans tous les sens. « Voyez mon poing bouger Victor, on voit bien l’espace qui s’étend, si je pousse un peu mon bras bien au fond de son utérus de mec, on voit bien la place disponible qui est tout à fait respectable pour cette salope de compétition ». Son bras enfoncé au plus profond de ma chatte me donnait envie de vomir et me donnait une sensation de poussée atroce, j’essayais de reculer sur la table mais sans succès avec les sangles solidement attachées. Le gorille et le docteur étaient vissés sur l’écran de l’appareil et je sentais toujours le bras du sadique s’enfoncer puis ressortir de ma pauvre chatte défoncée. Ce petit jeu dura un long moment avant que le Dr Schwartz ne range la sonde d’échographie, sa main toujours plantée en moi, le gorille écarta le lourd appareil et revint auprès de moi.

L’infâme médecin commença alors a travaillé ma chatte avec encore plus de brutalité. Il commença à boxer mon cul sans ménagement. Il sortait entièrement son poing ganté et dégoulinant de lubrifiant, complètement serré, avant de le ré enfoncer violement toujours fermé. Il commença cette boxe doucement puis il accéléra le rythme sans aucun ménagement, défonçant ma « chatte » sans retenue. La séance de boxe dura une éternité. J’étais complètement secoué sur la table mais les sangles empêchaient le moindre mouvement de ma part. A un moment, voyant que j’essayais en vain d’expulser le poing maudit en poussant sur mon cul, le docteur fit signe au gorille de s’occuper de moi. Celui passa derrière la table d’examen modifier un branchement et je sentis bientôt dans le masque l’odeur du poppers qui doucement m’envahissait. Une sensation de chaleur s’empara de tout mon corps ainsi qu’une sensation de flottement et d’euphorie. La séance de boxe ne s’arrêta pas pour autant mais les pénétrations devinrent moins douloureuses et je sentis mon cul s’ouvrir complètement. Je n’étais plus qu’un trou géant que le médecin boxait sans effort. Je le voyais taper dans mon cul à rythme effréné, il commençait à fatiguer et à transpirer sous un tel effort mais je devinais sous son masque un sourire sadique. Il ralentit enfin le rythme avant de s’arrêter complètement. Il recula de quelques centimètres et contempla son œuvre : « Magnifique, j’ai admirablement dilater cette chienne, voyez Victor comment elle est bien ouverte, essayons de la remplir complètement ». Je ne pus me reposer qu’un très court instant avant de sentir de nouveau la main du Dr Schwartz en moi, il commença alors à introduire son autre main, en même temps, à côté de la première. Il rajouta un doigt en plus de sa première main, puis 2, puis 3. Je sentais ma « chatte » se dilater et se tendre progressivement, c’était la même sensation que le spéculum mais avec en plus une sensation de plénitude presque douloureuse. Au 4e doigt je me sentais rempli au maximum mais le docteur continua et finis bientôt par glisser entière la deuxième main sur le côté. La tension était atroce, je me sentais coupé en 2. J’essayais de me débattre sans aucun espoir de pouvoir bouger sous les sangles. Progressivement, inéluctablement, je sentais cette deuxième main qui rentrait en moi. Je finis par essayer de pousser pour la faire sortir de mon « vagin » explosé mais cette manœuvre ne fit que faciliter l’introduction du docteur. Je haletais sous mon masque, respirant toujours de plus de poppers, au bord de l’évanouissement, quand la main entra enfin entièrement, diminuant ainsi la tension de ma « chatte ». Je me sentais maintenant rempli plus qu’au maximum, et mon rectum essayais d’expulser les intrus en poussant de manière involontaire. « Cette salope est insatiable Victor, même avec 2 mains dans sa chatte elle continue de pousser dessus pour en avoir toujours plus. Nous aurons largement la place de placer un fœtus dans cet utérus demain ». Le médecin laissa ses mains en place pendant ce qui me parue des heures, sans bouger, avant de les retirer ensemble, avec une lenteur insupportable, dilatant toujours plus mon cul exténué. Il finit par les ressortir entièrement, il écarta alors les bords de mon anus boursoufflé, pendant que je poussais toujours pour expulser ses mains, ce qui eut pour effet de faire sortir mes boyaux par le trou béant : « Regardez Victor, il fait fleurir sa rose anale, c’est vraiment une salope de premier choix, je suis fier de mon acquisition ».

Encore une fois le repos fut bref. Le Dr Schwartz fit de nouveau signe à l’infirmier de lui apporter le bocal remplis de jus ce que le gorille ne tarda pas à faire. Le médecin saisit également sur le chariot une énorme pipette en plastique qu’il remplit précautionneusement dans le bocal. Il reposa la pipette puis s’empara d’un énorme plug en forme d’œuf en plastique noir qui devait faire à son plus gros diamètre au moins 10cm, il le badigeonna de lubrifiant puis reprit la pipette qui enfila avec une main entière dans mon cul. Il actionna la pompe à plusieurs reprises pour expulser des jets de sperme au plus profond de mon anatomie. Au même moment, l’infirmier avait ouvert encore plus le réservoir de poppers et j’étais maintenant complètement envahis par les vapeurs chaleureuses du produit. Je sentais les jets chauds au fin fond de mon cul, comme enculé par une énorme bite qui déchargeait, je hurlais de plaisir dans le masque sans pouvoir émettre aucun son. Le docteur retira bientôt la pipette et sans aucune pause approcha l’énorme plug noir qu’il commença à enfoncer. Arrivé au plus gros diamètre je sentis mon cul tendu à son maximum qui tentait en vain de repousser l’envahisseur mais le docteur s’arc-bouta sur l’engin, poussant de toutes ses forces sur le plug qui finit par renter dans un « plop » sonore. J’étais remplis au-delà de mon maximum. Je tentais d’expulser le corps étranger mais bien vite le Dr Schwartz attacha à ma taille une ceinture en plastique avec une autre sangle entre mes jambes qui maintint le plug en place. Il s’écria bien fort « Te voilà bien rempli ma pucelle, avec tout ce jus en toi et avec ce plug bien en place toute la nuit, ta chatte sera fin prête pour notre dernier examen demain matin, repose-toi bien tu en auras besoin ».

Duguesclin

florent.maugin@orange.fr

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