Cette histoire est un mélange de fantasmes et d'expériences réelles.
Pour commencer, petites présentations. J’ai 31 ans et je vis avec mon copain depuis maintenant 5 ans. Je mesure 1.78m pour 60kg tout mouillé ce qui fait de moi quelqu’un d’assez chétif, je ne suis pas très musclé par-dessus le marché. Pour finir, je suis entièrement passif et rasé de près au niveau des aisselles, du torse, du pubis et des fesses ce qui me donne un look assez féminin bien que je ne sois pas très porté sur le changement de genre.
Mon copain, lui, a le même âge que moi, mais fait 1.7m pour 90kg, il est assez baraqué avec un petit ventre mou sur lequel j’adore poser ma tête devant la télévision. Il est 100% actif et il aime par-dessus tout me prendre comme une chienne, dans toutes les positions possibles et dans à peu près toutes les pièces de notre appartement.
Nous avons tous les 2 beaucoup de fétichismes en commun : le latex, le bondage, le sadomasochisme, et les jeux de rôle. J’aime tout particulièrement le jeu de rôle médecin/patient et je suis aux anges quand il m’ausculte sous toutes les coutures.
Un soir, en rentrant de son boulot, il m’annonça fièrement : « ça y est, j’ai enfin trouvé un toubib digne de ton cul en chaleur viens voir sur l’ordinateur ». Il me montra alors sur internet le site d’une clinique fétichiste privée en Belgique. On pouvait lire qu’il y était donné de nombreux soins « médicaux » fétichistes dans une ambiance stérilisée avec des explorations très « approfondis ». Mon copain m’expliqua qu’il discutait avec un des toubibs de cette clinique qui voulait pratiquer sur moi un examen « gynécologique ». Je ne comprenais pas très bien la logique des choses vu que j’étais un homme bien portant, sans vagin pour qu’il fourre son spéculum, mais je croyais comprendre où il voulait en venir…
Nous prîmes rendez-vous dans cette clinique sur un week-end pour nous laisser le temps de nous rendre jusqu’à l’établissement. Bientôt nous reçûmes les instructions du médecin que nous allions rencontrer : il voulait que nous n’ayons aucun rapport sexuel dans 3 jours précédant mon examen, nous ne devions pas non plus éjaculer en nous branlant pendant ces 3 jours et je devais avoir un régime riche en fibre et pauvre en graisses pendant ce temps.
Le jour dit, nous partîmes pour la Belgique en voiture. L’attente sans branlette ni partie de jambe en l’air était longue. Nous étions tous les 2 chauds bouillants et il ne nous fallait pas plus que quelques caresses pour nous faire bander comme des taureaux. Le soir, nous arrivâmes dans un hôtel proche du lieu de rencontre. La nuit fût remplie de frustrations : mon copain n’arrêtait pas de me caresser ou de me doigter le cul ce qui nous faisait tous les 2 bander sans pouvoir nous soulager. Le lendemain matin, je me réveillais aux aurores, faisait un bon lavement en prévision des examens à venir et nous partîmes pour la clinique.
Nous fûmes reçus par un magnifique jeune homme qui était derrière un comptoir comme dans les hôpitaux. Il prit mon, confirma que j’étais attendu par le Dr Schwartz et nous pria d’aller attendre dans une petite salle derrière lui. J’avais le cœur qui battait à 100 à l’heure, je ne savais absolument pas à quoi m’attendre et tout cet environnement était vraiment très réaliste. J’avais presque peut, tout d’un coup, d’être tombé dans un vrai hôpital qui faisait des expérimentations humaines. L’attente ne fut pas longue et le Dr Schwartz vint rapidement nous chercher. Il avait environ 45 ans, était blond avec des yeux gris et une mâchoire très carrée. Il était habillé comme les gens dans les blocs opératoires avec une sorte de pyjama vert pâle qui moulait bien les muscles de son torse.
Il nous amena dans son bureau nous fit assoir en face de lui. Il m’expliqua qu’il avait longuement discuté avec mon copain par internet qui lui avait expliqué ma passion pour les jeux de rôle médecin/patient. Il lui avait aussi raconté plusieurs de mes fantasmes, mes attentes possibles pendant un tel de jeux rôle et les limites que je ne dépasserais pas. Il me proposait donc de réaliser plusieurs de ces fantasmes, dans le rôle d’un patient masculin, mais homosexuel et passif qui venait voir en consultation un gynécologue particulier spécialisé dans l’examen des patients comme moi. Il finit par me prévenir qu’il était très autoritaire, parlait très crûment et qu’il voulait que mon copain assiste pour le moment en spectateur à tous mes examens. J’étais très emballé par cette idée et j’acceptais avec entrain.
Sur le champ, son visage se transforma et devint beaucoup plus sévère. Il commença par me poser beaucoup de questions sur mon état de santé en général et il insista tout particulièrement sur ma vie sexuelle. Il voulait tout savoir : combien fois je me masturbais en moyenne par jour, combien de fois j’éjaculais, combien de fois j’avais des relations sexuelles, quelle étaient nos positions préférées, est-ce nous utilisions des préservatifs et du lubrifiant, quelles marques, est ce que j’introduisais des objets dans mon cul, ma bite ou ma bouche…Quand je voulus lui répondre il me coupa sèchement : « désormais tu n’as plus de culs, mais ce sera ton vagin, tu devras appeler ton pénis clitoris et tes testicules seront des ovaires, c’est bien compris ? ». J’acquiesçais timidement.
Bientôt il m’invita dans la seconde partie de son bureau. Son bureau était une grande pièce carrelée blanche avec un sol également en carrelage. Elle était séparée en 2 par une cloison qu’il traversa. De l’autre côté, il y avait une grande chaise de gynécologue avec des extensions pour reposer les bras et la tête ainsi que des étriers pour les jambes. Il y avait également 2 chaises vides, plusieurs dessertes en métal sur roulettes recouvertes de tissus qui cachait les instruments en dessous, un tabouret en métal sur roulettes et enfin plusieurs commodes blanches. Au plafond était suspendue une grande lampe comme dans les salles d’opération que l’on pouvait orienter.
Il demanda à mon copain de me déshabiller entièrement, car j’étais vraiment niais et que ça irait probablement plus vite. Mon copain ne se fit pas prier, il me fit aussi enfiler une blouse de patient avec l’ouverture sur l’arrière, des chaussons en plastique et une charlotte en plastique pour mettre mes cheveux.
Il me fit ensuite entrer dans une deuxième pièce qui ressemblait à une salle de bain carrelée blanche : on y trouvait une toilette, une douche avec des parois en verre et un lavabo en faïence blanche. Il m’expliqua qu’avant tout examen, il devait nettoyer ma chatte qui devait être dégueulasse vu mon état de niaiserie. Il amena de son bureau un grand seau avec un tuyau qui en sortait, il le remplit au lavabo, ajouta dedans un sachet de produit et mis au bout du tuyau une sorte de sonde avec des ballonnets. Il me demanda de rentrer dans la douche et de mettre mes mains contre le mur. J’entendis alors le doux bruit des gants en latex que l’on enfile et sans ménagement il m’introduisit un doigt dans ma « chatte » avec un peu de lubrifiant. Il s’exclama « mais elle pleine de merde cette chatte, il va falloir qu’on nettoie ça à grandes eaux ». Ni une ni deux, je sentis bientôt qu’il m’introduisait la sonde avec les ballonnets dans le cul et qu’il les gonflait à mort. Je n’eus pas le temps de me plaindre que déjà le liquide se vidait dans mon cul à une vitesse folle. Au bout de quelques minutes j’eus une crampe très violente et je gémissais et lui demandait de faire une pause. « Vu toute la merde que j’ai à nettoyer je ne vais pas commencer à faire des pauses, masse-toi le ventre en prend ton lavement en entier ma belle ». Je commençais à avoir de plus en plus peur de lui devant le ton très directif qu’il prenait. Je continuais de gémir, mais je réussis à prendre le lavement en entier dans la douleur. Il me fit ensuite assoir sur les toilettes avec la sonde encore dans le cul. Il dégonfla un ballonnet entre mes jambes et retira la sonde avec ses gants en latex blancs. Il m’ordonna d’évacuer le lavement devant lui pour être sûr que je vidais bien ma « chatte dégueulasse ». Je ne me fis pas prier et évacuais le torrent en moi en quelques minutes. Il me fit ensuite lever des toilettes et m’essuya lui-même ce qui me mit très mal à l’aise. Il répéta l’opération 2 fois pour être sûr que j’étais bien propre.
Il me fit ensuite revenir dans sa salle d’examen ou mon copain était tranquillement assis. Il m’ordonna, toujours aussi sèchement, de m’installer sur la chaise gynécologique pour commencer les examens. Je m’installais rapidement, il tira mes fesses au bord de la chaise et m’attacha complètement dessus. Il y avait des sangles au niveau des bras, des avant-bras, du torse, du ventre des jambes pour empêcher la personne assise de bouger le moindre orteil. Il souleva alors ma blouse pour découvrir ma bite et le bas de mon ventre et déclara « commençons l’examen de cette salope ». Il s’habilla tranquillement en mettant un bonnet de chirurgien en papier, un masque de chirurgien, un grand tablier en plastique épais blanc et des gants en latex également blancs.
Il s’approcha alors de mon torse et m’expliqua qu’il devait d’abord examiner mes seins. Il baissa ma blouse, et commença à palper mes pectoraux un par un avec ses 2 mains, c’était très agréable. Bientôt il s’attaqua à mes tétons qu’il pinçait et tirait, c’était beaucoup moins agréable, mais très excitant, je commençais à bander bien comme il faut. Ça ne lui échappa pas, il s’écria : « mais quelle salope c’est ton copain, regarde son clitoris est déjà tout dur, près pour mon examen ».
Il se déplaça entre mes jambes et s’assit sur le tabouret. Il me saisit la bite avec ses mains gantées et tira fortement sur mon prépuce pour décalotter mon gland. Il tira si violemment que je laissais échapper un cri de surprise et de douleur. Aussitôt il me reprit : « soit silencieuse petite salope, si tu commences déjà à gueuler, qu’est-ce que ça va être quand on va s’attaquer à ta chatte ». Il continuait son examen de ma bite : il palpa ma bite sur toute sa longueur en s’attardant bien au niveau du gland et de la couronne. Il palpa aussi mes couilles en les faisant rouler entre ses doigts avant de les écraser sans ménagement ou en les tirant en avant violemment. Je bandais comme une chienne et je gémissais à chacune de ses manœuvres ce qui excitait aussi mon copain qui avait commencé à frotter son paquet encore dans son pantalon.
Le Dr Schwartz amena vers lui une des dessertes et enleva le tissu : en dessous il y avait des sondes en métal et beaucoup de matériel. Il prit un bout de coton au bout d’une pince qui trempait dans une coupelle remplie d’un liquide marron et commença à désinfecter mon gland en serrant bien fort ma bite dressée et dure comme du bois. Le liquide était froid, mais son étreinte autour de mon membre m’excitait comme jamais. Il prit ensuite une seringue sans aiguille remplie d’un liquide transparent, il introduisit le bout dans le bout de mon « clitoris » et injecta un gel froid dans mon conduit urinaire. La sensation était géniale et je gémissais encore une fois. Le docteur se tourna alors vers mon copain qui n’en pouvait plus de se branler sous ses vêtements et dit « regardez un peu votre salope, dès qu’on tripote son clitoris elle devient folle et mouille comme une chienne, ça promet pour la suite ». Il changea de gants pour des gants plus longs qui remontait jusqu’à la moitié de ses avant-bras et pris une sonde en métal d’une main avec ma bite dure comme du béton dans l’autre main. Il introduisit la sonde dans ma bite très doucement et la laissa tomber progressivement. La sensation était très étrange, un mélange de brûlures, de pressions et d’écartements très jouissif. Je gémissais sans m’arrêter ce qui excitait visiblement le médecin vicieux. Il introduisit des sondes de plus en plus grosses pour un effet de plus en plus excitant voir douloureux à un certain point. Mon copain avait carrément sorti sa bite de son pantalon et se paluchait sans gêne. Finalement le docteur prit une longue sonde en plastique avec un ballonnet au bout qu’il enfila dans ma bite sans aucune difficulté après le traitement qu’il lui avait fait subir. Lorsqu’il était tout au bout, je ressentis une sensation dans mon bas ventre qui me fit hurler de plaisir et de douleur à la fois. Il gonfla le ballonnet avec une seringue et brancha la sonde sur un sac transparent qui ne tarda pas à se remplir de liquide jaune. Il envoya alors : « occupons-nous maintenant de la chatte de cette sale chienne en chaleur ».
Il changea de nouveau de gants pour des gants en latex blancs qui lui remontaient jusqu’à la moitié des bras et amena près de lui de nouveaux instruments. Il commença par centrer la lumière sur mon cul et examina l’extérieur de mon anus en tirant sur la peau dans tous les sens et en palpant sans ménagement mon arrière-train. Il déclara : « ses lèvres vaginales sont bien développées, on sent bien que tu la démontes régulièrement ». Il enduisit ensuite un de ses doigts de lubrifiant dans un seau en métal et l’approcha de l’orifice qu’il auscultait. Il l’introduisit lentement en le tournant dans tous les sens et en palpant tous mes organes internes. Il ne m’en fallut pas plus pour que je continue de gémir de plaisir. Il continua bientôt son examen avec 2 doigts puis 3 doigts. Je sentais ma chatte qui s’ouvrait de plus en plus sous ses assauts d’autant plus qu’il avait commencé à faire des mouvements de va et viens bien sauvage. Au 4e doigt, je sentais mon cul tendu comme jamais et je gémissais vraiment comme une chienne en chaleur. Ses mouvements de piston faisaient bouger ma croupe et toute la table. Il tourna sa main dans tous les sens pour bien dilater mon cul en feu. Il se retira alors et saisit un spéculum en métal sur une desserte. Il le lubrifia et introduisit l’objet froid dans mon trou béant. Il commença à actionner une molette qui écartait les branches de l’engin et dilatait mon fion sans retenue. J’étais aux anges et je haletais comme jamais ce qui excitait les 2 pervers avec moi dans la salle. Une fois les branches écartées au maximum, il se pencha pour observer le fond de ma chatte qui était offert à l’air libre et déclara : «cette chatte me semble prête pour un examen plus approfondi, on voit bien que tu aimes ça ma salope ».
À mon grand désarroi, il retira le spéculum de mon cul écartelé sans même le refermer ce qui l’étira à la limite du supportable. Je hurlais comme une chienne battue, mais je ne pouvais bouger d’un poil sur son siège de torture. Il enduisit alors sa main droite entière dans le seau de lubrifiant puis il approcha sa main tendue comme un bec de canard dans ma chatte devenue si vide depuis le retrait de l’outil. Il l’enfonça progressivement dans mes entrailles, la sensation était vraiment étrange : un mélange de douleur et d’extase, je mouillais comme une pucelle en imaginant sa main pénétrer dans mon cul, mais s’en était presque insupportable et la dilatation était à son maximum. Puis d’un coup, l’écartèlement cessa et fit place à une sensation de plénitude intense, il venait de rentrer sa main jusqu’au poignet dans ma chatte.
Je hurlais de plaisir et mon copain agitait frénétiquement ses mains sur sa bite. Le Dr Schwartz se tourna alors vers lui et dit «surtout, ne jouissez pas tout de suite, je veux recueillir votre jus pour inséminer cette grosse truie, prenez cette coupelle en plastique sur la commode et remplissez-la-moi de jus bien épais ». Mon copain n’hésita pas un seul instant, avec moi qui gueulais comme un porc, la main du docteur enfoncé dans mon cul, il ne lui fallut pas longtemps pour gicler et remplir la coupelle qu’il tendit au docteur. Celui-ci la posa près de lui, l’autre main toujours au fond de ma chatte, et d’une main il aspira le sperme encore chaud dans une seringue, il vissa au bout un long tuyau en plastique et il l’introduisit à côté de la main dans mon cul. Il dit alors : « écoute moi bien grosse truie, je vais te remplir la chatte avec du bon jus bien chaud pour te fertiliser, c’est important d’engrosser les salopes de ton genre pour les maintenir excitées et désirables, surtout ne bouge pas ». Il injecta tout le sperme de mon copain dans ma chatte explosée puis saisit ma bite encore sondée avec sa main libre. Il commença alors des mouvements de piston dans mon cul et des vas et viens sur mon « clitoris » qui ne tardèrent pas à me faire jouir comme jamais je n’avais joui auparavant. La pression sur ma prostate, à l’intérieur de ma chatte, et la sonde dans ma bite déclenchèrent un orgasme explosif qui me fit pousser un hurlement de pure extase. Le jus sorti par fine goutte à côté de la sonde et le docteur retira doucement sa main de mon cul meurtri. Il s’exclama alors «En voilà une belle salope, si nous avons bien réussi à l’engrosser comme je l’espère, il va falloir lui dilater la chatte un peu plus que ça pour le passage du gosse, je pense bien que vous allez devoir revenir me voir ».
La suite si vous en redemandez.
Duguesclin
florent.maugin@orange.fr