Premier épisode
Chapitre 2
J'avais alors signé le contrat de mon maître, j'étais son soumis, je lui appartenais.
Ce soir-là, maître Alex (c'est son nom) m'accompagna dans la cellule au fond du donjon. La pièce est petite, il y a un lit, une petite table et un coin sanitaires. Il me dit : "C'est ici que tu vas dormir. Je te laisserai une note avec ton petit-déjeuner pour te dire comment te préparer."
Je hoche la tête en répondant : "Compris maître." tandis qu'il ferme la porte à barreaux de la pièce. L'angoisse me gagne dès qu'il tourne la clé et cette première nuit fut particulièrement longue tant mon sommeil était entrecoupé.
Je finis par m'endormir, épuisé à force de me retourner dans le lit. Le lendemain matin, je trouve comme mentionné la veille un plateau avec mon petit-déjeuner et une note dessus. Je la lis : "Ton dressage commence ce matin ! Je veux te voir devant la porte à quatre-pattes cul tendu à 10h PRÉCISE le cul lavé et la cage de chasteté sur ta bite !!"
Je regarde le réveil et me mets à paniquer, il est 9h40 je m'empresse alors d'avaler quelques tartines, de mettre la cage de chasteté et je commence à faire mon lavement quand le maître arrive dans ma cellule furieux.
Je m'empresse de m'excuser : "Pardon maître, je suis en retard."
Il me laisse finir mon lavement et me traine jusqu'au donjon, il me jette sur le matelas qu'il a placé sur une sorte de table. Il sort son martinet et dit calmement : "Tu n'avais pas fini ton lavement quand je suis arrivé, ça fait 15 coups de martinet et 10 pour ne pas avoir suivi mes ordres, tu n'étais pas devant la porte en plus de 10 de base pour ton entraînement."
Il m'attache les poignets et les chevilles au cadre en métal pour accrocher le sling et commence la punition. Il frappe fort dès le début et me force à compter en précisant qu'il recommencerait tout si je perdais le compte, ce qui n'arriva heureusement pas.
Les coups s'abattent les uns après les autres sur mon cul, qui commence rapidement à devenir brûlant et à pulser à cause de la douleur. Je crie de douleur et lui demande encore pardon les yeux larmoyants.
Voyant mon air pitoyable, il ricanne d'un air sadique. Il me montre ma nouvelle tenue à côté d'un casier. Je vais me changer, il profite de ce moment pour me rappeler : "Tu es là pour satisfaire mon plaisir et pour m'obéir. Si je te dis de faire quelque chose, tu t'exécute le plus vite possible sinon les séances de martinet vont être de plus en plus longues, jusqu'à ce que tu deviennes un bon soumis obéissant."
Je finis d'enfiler ma tenue et réponds "Oui maître."
Je suis en jockstrap et harnais en cuir noir avec des doc martens aux pieds. Mon maître porte un perfecto avec un harnais en dessous et des chaps en cuir, sa queue est à l'air et ma punition l'a bien fait bander. Il est prêt à me pilonner le cul.
D'un ton ferme il me dit : "Tu commence par lécher mes pompes ! Tous les jours et avec tous les dominateurs que je ferai venir. Ne m'oblige pas à te le rappeler."
Je m'exécute et lèche ses hautes bottes cavalières pendant que mon cul commence à refroidir.
Il m'annonce le programme : "Aujourd'hui je vais t'apprendre à encaisser les coups de bites dans ton cul et ta gueule. À quatre pattes sur le matelas."
Je suis les ordres de mon maître docilement. Il m'attache au niveau des poignets, coudes, genoux et chevilles. Je me retrouve à quatre-patte le dos cambré et le cul en évidence. La position n'est pas très confortable et mon maître m'interdit de regarder ce qu'il fait derrière. Il me met une boule dans la bouche et l'attache derrière ma tête avec la petite sangle
Je sens qu'il caresse mon trou avec ses main gantées et il ajoute un peu de lubrifiant, présente sa queue sur mon trou et pousse un bon coup. Il rentre toute sa bite dans mon cul. La douleur est presque insoutenable. Je crois à ce moment que je vais m'évanouir, je ne peux même pas crier à cause de la boule.
Il n'attend même pas un instant et me lime le cul comme un sauvage. Il ne pense qu'à son plaisir, je ne sui qu'un objet pour lui, à peine plus qu'un sex toy. Il s'accroche à mon harnais et mon jockstrap pour me mettre de grands coups de reins. Il sort sa queue et la rentre à plusieurs reprise, il semble être amusé par mes gémissements étouffés par la boule dans ma bouche. Il me met même quelques claques sur le cul au passage.
Quand il sort sa queue de mon cul c'est au tour de ma "gueule", il retire la boule dans ma bouche, m'attrape par les cheveux et me baise la gueule. Je me retiens de vomir plusieurs fois. Il s'en fout complètement et continue jusqu'à ce que je m'habitue. J'ai mal au cul et à la machoir. Il finit par se retirer et me crache dans la bouche.
Je réponds "Merci maître", je veux éviter une autre correction.
À ce moment, je pense qu'il en a fini et qu'il va me détacher. Pourtant il repart derrière moi. Je sens le cuir de ses gants caresser mon cul, il me rentre quelques doigts puis les retire. Je l'entends ouvrir le casier derrière et déplacer quelque chose. Je sens qu'il présente quelque chose au bord de mon cul, certainement un gode.
Je ne me sens pas bien et à ce moment j'entends un bruit de machine qui se met en marche et le gode rentre doucement dans mon cul. Mon maître augmente la vitesse de la machine et ajoute un peu de lubrifiant avant de quitter la cave, me laissant ainsi pendant presqu'une heure, revenant régulièrement pour remettre du lubrifiant et vérifier que je n'ai pas le cul trop échauffé.
Lorsqu'il arrêta la machine et retira le gode de mon cul, je poussais des petits cris de douleurs depuis une dizaine de minutes ou plus. Je n'avais plus la notion du temps, je ne sentais que la douleur, j'arrivais à peine à m'asseoir.
Mon maître me donna le droit de remonter pour manger et me reposer un peu.
Pendant l'après-midi, les tâches ménagères m'attendaient. Je devais les faire avec un plug anal dans le cul. Mon maître m'a bien précisé que si je plug tombait de mon cul, ce serait 20 coups de martinet et il me mettrait un plug plus grand. Toute l'après-midi, je travaillais le cul serré. Je retenais le plug avec ma main dès que je le pouvais. Mon maître n'était jamais loin, il s'assurait que je ne retire pas le plug et que les taches soient faites au plus vite.
Heureusement, la maison était propre et mes tâches furent vite terminées. Mon dominateur me retira enfin le plug et je pu avoir un peu de répit. Dans la soirée, maître Alex m'appela d'un ton toujours aussi sec que d'habitude.
Il m'ordonna de tendre mon cul. Je pensais qu'il allait encore me pénétrer, j'étais plus crispé que jamais. J'avais encore mal à cause de la séance de la matinée. Au lieu de me pénétrer il m'appliqua une crème au niveau de l'anus. Elle était fraîche et soulagea l'échauffement. Dans un soupir de soulagement je lui dit : "Merci maître."
Il répondit alors :"Je peux aussi te faire du bien si tu fais tes preuves. Ton cul a bien été élargi aujourd'hui. Tu seras bientôt prêt pour ta première séance avec un autre dominateur."
Voilà à quoi ressemblait mon quotidien avec mon maître. Il a su me faire dépasser mes limites et il savait me récompenser pour ça. Je suis toujours aussi fier d'avoir été son esclave.
BDSM Story Teller
Galloway98@outlook.fr
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