Cette histoire m'est arrivée quand j'étais au lycée, en terminale L.
À ce moment là, je faisais beaucoup de vélo ce qui me faisait des grosses cuisses qui ressortaient par rapport à mon corps longiligne. J'avais cours de philosophie avec le prof le plus réputé du lycée. Les autres étaient soit dépressifs soit désintéressés de leur métier. Mon prof donc devait avoir environ 40 ans mais conservait un corps d'athlète. Il porte toujours la même tenue : une chemise avec un veston et pantalon assorti. Il laisse toujours les deux boutons de sa chemise ouverte qui laisse sortir les poils de son torse. Il porte une barbe qui lui donnait l'air sage. Mais le plus impressionnant, c'était la bosse qui apparaissait clairement dans son pantalon. Je ne veux même pas imaginer sa taille quand il bande. Il est connu pour sa grande sévérité mais aussi pour son amour de la Grèce Antique.
Dans ses cours, il demande une grande participation à l'oral qui constitue la moitié de la note du bac car il estime que la philosophie est une matière dont il faut discuter. Il accepte toutes les réponses et si on tient une piste intéressante, il attend qu'on la développe jusqu'au bout.
Je m'amuse beaucoup pendant ces cours, répondant au tac au tac à ses interrogations, la plupart du temps toujours juste. Je reste souvent en fin de cours pour discuter avec lui de Grèce Antique, période qui me passionne moi aussi.
Mais fin janvier, quelques semaines après mon anniv de 18 ans, il nous rend nos bacs blancs et je me tape un 5/20. A la fin du cours, il me demande de rester avec 5 autres élèves. Il nous dit qu'on a beaucoup de potentiel mais que ça ne suffit pas pour réussir. Il nous propose donc un cours de soutien le vendredi à 16 h pour essayer de s'améliorer. Deux des élèves refusent d'emblée et le reste ne disent rien. Moi j'accepte avec plaisir.
Le vendredi soir, nous nous rendons donc avec deux autres élèves dans une petite salle prêtée par le lycée et nous commençons à travailler sur la notion du "désir". Nous démarrons par une discussion pour fixer les limites du sujet puis il nous demande d'écrire une feuille sur ce que nous inspire cette notion. Il passe derrière nous pour voir ce que nous écrivons et il nous donne des conseils sur ce qu'on pourrait améliorer. Quand il vient m'aider, il pose sa main sur mon épaule ce qui me fait frissonner. J'essaie de rester impassible pendant qu'il me parle avec sa voix chaude et grave. Je commence à bander dans mon pantalon et je suis obligé de croiser les jambes pour que cela ne se voit pas. J'ai l'impression que le temps s'étire. Retire ta main pour que je puisse me concentrer ! La séance se termine et j'ai écrit quatre pages sur le sujet. J'ai été très inspiré par les mythes antiques bien sûr : Éros, l'attraction, et Aphrodite, déesse de l'amour mais j'avoue également par le prof en face de moi. Sa main puissante se posant sur mon épaule et sa voix grave me faisait vibrer de désir.
Pendant la semaine suivante, j'ai attendu avec impatience le cours du vendredi et le jour j, je me trouvais avant tout le monde devant la salle. Quand le prof arrive quelques minutes après la sonnerie, les autres ne sont toujours pas là. Nous attendons quelques minutes dans la salle avec le prof mais voyant que les autres élèves n'arrivent pas, il s'énerve :
- Putain ils font chier ! J'ai passé trois heures à corriger leurs copies !
(Il jette les dites copies à la poubelle.)
Antoine je suis désolé mais je n'ai pas le droit de faire cours à un seul élève. Je vais essayer de trouver une solution mais cette semaine le cours est annulé. À d'ailleurs voici ta copie ! Tu as de très bons arguments mais la forme laisse encore à désirer. Avec un peu d'entraînement, tu peux faire de bonnes choses. Regarde les indications que j'ai mis sur ta copie.
Je prends les feuilles qu'il me tend, le remercie et quitte la salle. La copie est totalement illisible, quasiment toute rouge. Je lui demanderai des indications la prochaine fois.
La semaine suivante, à chaque fois que j'essaie de lui parler, il met fin à la conversation en disant qu'il n'a pas le temps. Je suis un peu vexé qu'il refuse de me parler et ma participation en classe s'en fait ressentir. Le jeudi soir, dernier cours de philo de la semaine, il me demande de rester à la fin du cours.
- Dis donc, je ne t'entends plus en classe ces temps ci ...
- Mais monsieur, à chaque fois que j'essaie de vous parler, vous me dites que vous n'avez pas le temps.
- Je suis désolé, entre les conseils de classes et les corrigés je suis un peu sous tension en ce moment. J'ai parlé avec le lycée et je ne peux pas organiser un cours individuel de soutien, aussi motivé que tu sois. Ce que je peux te proposer, si tu es vraiment motivé, c'est de faire ça chez moi. Attention, ça doit rester strictement confidentiel. Mais vu que les autres se sont désistés, je n'ai pas le choix.
- Oui je suis motivé ! Comment ça se déroulerait ?
- Pour commencer, 2 h un soir par semaine, le vendredi pourrait être la meilleure option. Qu'en dis tu ?
- Oui parfait.
- Bon je te donne mon adresse mais encore une fois ça reste confidentiel. C'est clair ?
- Oui parfaitement clair.
Il me tend un bout de papier et quitte la salle. Je me dépêche de le rejoindre pour lui demander l'horaire.
- 17 h, ça te conviendrait ?
J'acquiesce et me dépêche de partir, devant aller faire les courses avant de rentrer chez moi. Pendant tout le vendredi, je ne pense qu'à mon rendez vous du soir. Dès que mon dernier cours de termine, je file à l'adresse indiquée et sonne à l'interphone. La porte s'ouvre et je monte au dernier étage comme marqué sur mon papier. La porte est entrouverte et j'entre timidement dans le luxueux appartement. Les murs sont recouverts de livres plus ou moins étranges : Philosophie, Histoire, Sociologie, Langues avec une grosse proportion sur la Grèce Antique bien entendu. Il m'accueille et pour la première fois, il n'est pas en costume. Il porte un jogging gris et un t-shirt noir très moulant. Sur le moment, je ne le reconnait pas mais il dissipe vite mon malentendu en prenant la parole :
- Tu veux du thé ?
- Oui avec plaisir monsieur.
- Va t'installer dans le salon à ta gauche.
Je m'assieds dans le canapé très confortable en face de ce que j'imagine être son fauteuil. En réalité quand il s'installe dessus, on dirait plus un trône sur lequel il siège.
- Antoine, connait tu le terme de pédérastie ?
- C'est pas une relation entre un vieux et un enfant ?
- Non ça c'est la dérive du terme. Dans la société spartiate, en Grèce, cela désigne une relation fraternelle entre un éraste (un homme mur de 30 à 40 ans) et un éromène (un jeune homme de moins de 20 ans). L'éraste a pour mission d'aider et d'enseigner au jeune homme les bases de la vie politique. C'est un modèle que j'apprécie beaucoup car il me semble normal que les personnes avec plus d'expérience aident ceux qui en ont moins. Tu me suis ?
- Oui ça semble logique.
- Si tu acceptes de devenir mon éromène, je te formerait bien plus intensément en philosophie, en histoire ainsi qu'en mathématiques qui sont les matières appréciées en Grèce Antique. Mais tu recevras aussi un enseignement sportif afin de devenir un véritable éphèbe. Si tu acceptes, tu devras travailler dur et d'être interrogé souvent en classe. Les réponses correctes seront encouragés et les réponses fausses punies. En complément ici, nous étudierons des textes et travaillerons ton éloquence, très importante en philosophie. Je penses que tu es de taille pour cette enseignement. Mais attention, tu devras toujours me montrer du respect en m'appelant monsieur. Même si nous ne sommes pas en cours, j'attends le respect venant de ta part. En plus, tu ne devras pas contredire mes décisions. Est ce que c'est clair ?
- Oui monsieur, je l'accepte.
- Bien. A présent viens sur les genoux.
- Mais ...
- On viens à peine de commencer et tu contestes déjà mes décisions ...
- Non non je viens ...
Je me lève, un peu gêné et m'assieds sur ses genoux en lui tournant le dos.
- Tourne toi vers moi.
Je me lève et m'assieds dans l'autre sens, étant obligé d'écarter les jambes.
- Voilà c'est mieux. Me dit il en souriant.
Ses mains se baladent sur mon dos et descendent sur les fesses.
- Est ce que tu es vierge Antoine ?
- Oui monsieur. Je n'ai même jamais embrassé personne.
- Il va falloir y remédier dis moi. Je veux que tu m'embrasses, que tu fasses le choix conscient de poser tes lèvres sur les miennes.
Je m'approche et timidement pose mes lèvres sur les siennes. Sa barbe me pique le visage et sa langue tente de forcer l'entrée. Je me laisse faire et elle prend toute la place dans ma bouche, tourne et retourne dans tout les sens. Quand je me recule, un filet de bave reste entre nous. J'ai du mal à respirer et inspire profondément.
- Alors, décrit moi comment c'était.
- C'était incroyable ! J'ai senti votre langue dans ma bouche et elle allait très vite. Je savais pas comment réagir ...
- Maintenant, je veux que tu enlèves ton t-shirt et ton pantalon et réinstalle toi sur mes genoux.
Je m'exécute et quand je me réinstalle, j'ai l'impression d'être tout petit et vulnérable face à cette alpha tout habillé.
- Monsieur ... Vous pouvez enlever votre t-shirt vous aussi s'il vous plaît ?
- Pourquoi ça ?
- C'est impressionnant d'être en caleçon sur vous tout habillé et puis j'aimerais bien voir votre torse. En cours, on ne peut que l'apercevoir et c'est un peu frustrant ...
- Donc tu me mates pendant mon cours ?
- Non enfin ... ce n'est pas ce que j'ai voulu dire ...
- Ne t'inquiètes pas, je comprends. Tu veux bien le faire pour moi ?
Les mains tremblantes, je tire son t-shirt que je tente péniblement de retirer. Mais je ne suis pas aidé, il semble prendre plaisir à me voir galérer.
- Tu sembles avoir un peu de mal. Laisse moi t'aider.
Il prend mes mains et les fait retirer son t-shirt. Je reste ébahi devant son torse. Ses pecs sont complètement couverts de poils et une ligne descend sur ses abdos parfaitement dessinés jusqu'au fruit défendu qu'on devine sous son jogging. Je n'y avais pas fait attention jusqu'à présent mais je suis désormais inconfortable, une immense barre étant apparue sur sa cuisse. Je reste quelques secondes bouche bée devant ce spectacle.
- Alors comment me trouves tu ?
- Vous êtes magnifique monsieur. Totalement sexy !
- Tu ne ressens pas quelque chose de bizarre ?
Pendant que je bavais sur son torse, il en avait profité pour déchirer mon caleçon et avait à présent un doigt dans mon cul.
- Monsieur, c'est trop bizarre ! Enlevez le s'il vous plaît !
- L'enlever ? Tu es sur ? Me demande il tout en rentrant un deuxième doigt.
Je ne peux plus parler, la douleur est trop forte, je me contente de poser ma tête sur son épaule pendant qu'il continue des vas et viens dans mon cul. Soudain, une vague de chaleur m'envahit et je commence à gémir.
- Alors tu es sur que tu veux que je les enlève ? J'en ai trois à présent en toi ...
- Non monsieur je vous en prie continuez c'est trop bon !
Ses doigts entrent en sorte de mon cul avec une facilité déconcertante à présent. Je ne peux pas bouger, je ne suis que plaisir que mon prof actionne ou non.
- Bon, il est temps de faire un exercice pratique. C'est bien pour ça que tu es venu, non ?
- Oui monsieur. Je suis venu pour ça.
- Bien. Va choisir un livre de philosophie au hasard et lit le à voix haute. Dès que tu feras une faute, je te mettrai une fessée. Allez va y !
Je me lève péniblement et va prendre un livre. Je prends un livre de Kant, Opuscule sur l'histoire, l'ouvre au hasard et commence ma lecture :
- Chez l'homme, (en tant que seule créature raisonnée ...
CLAC
- C'est raisonnable !
- Raisonnable sur terre), les dispositions naturalistes ...
CLAC
- Naturelles !
- Naturelles qui visent à l'usage de la raison n'ont pas dû recevoir leur dé ... ve ... loppement Aie !
Son gland posé sur mon trou, il venait de rentrer en force et me pillonait avec force.
- Qu'est ce que tu attends ? Continue !
- Développement compliqué ...
CLAC CLAC
- Complet ! Décidément tu ne fais aucun effort ! Je vais devoir te punir !
Il accélère encore plus la cadence. Incapable de lire, je fais tomber le livre par terre et me tient à la bibliothèque pour ne pas tomber. Je sens son gros chibre dans mon cul qui bouge. J'espère qu'il a mis un préservatif, tout le monde dit que c'est essentiel. J'ai rapidement la réponse à ma question puisqu'en poussant un puissant gémissement, il déverse tout son jus dans mon trou. Je me sens rempli. Quand à moi, j'ai jouis sur le parquet. Il reste ainsi quelques minutes puis se retire et me dit
- Je veux que tu gardes mon jus toute la nuit en toi. Tu ne te laveras que demain. À présent file, j'ai des invités qui arrivent dans une demi heure. Mais n'oublie pas, rendez vous la semaine même heure.
Je remet mon pantalon et mon t-shirt et je quitte l'appartement tout en sentant le jus qui coule sur mes jambes. Rentré chez moi, je jette mon caleçon, en met un autre et vais directement me coucher, épuisé par la soirée.
Antoine
antoine.mia78@gmail.com
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