Pendant quelques mois, j'ai travaillé dans une agence culturelle qui mettait en avant des projets artistiques et qui travaillait en lien avec des théâtres et des conservatoires. Je m'occupais principalement de lien avec le théâtre de la ville dont j'organisais le site internet. Pour me remercier, le théâtre m'a donné une place pour un de ses spectacles prestigieux, un opéra avec une illustre troupe. Le vendredi soir je me rend donc au théâtre plutôt bien habillé, j'ai mis un costard pour l'occasion. Cependant je vais de déceptions en déceptions : je suis placé sur le dernier balcon donc je ne vois rien, il n'y a que deux sièges (très inconfortables) et donc pas beaucoup de place et en plus, l'opéra ne me plaît définitivement pas. Ça ne fait que 5 minutes que cela à commencé mais je me fait déjà chier. Soudain la porte derrière moi s'ouvre et un retardataire s'installe à côté de moi.
Pendant qu'il s'installe et qu'il enlève son manteau, je le détaille tant bien que mal dans la pénombre ambiante. Il semble avoir les cheveux bouclés et les yeux clairs. Cependant, ce qui m'a le plus marqué, ce sont ses formes. Il a des pecs qui ressemblent à des seins, des bras puissants mais délicats, de grosses fesses et de grosses cuisses. Bien sûr, ce ne sont que des muscles mais je ne peux m'empêcher de le trouver très féminin surtout quand il ouvre le bouton de sa chemise ce qui laisse entrevoir un décolleté prometteur.
Voyant que je le fixe, il s'empresse de s'excuser pour la gêne occasionnée. La respiration encore un peu haletante par la course, ses pecs se gonflent et se dégonflent ce qui m'excite un peu. Je découvre un nouveau spectacle bien plus intéressant que celui que j'étais venu voir à l'origine. Sa chemise mouillée par la transpiration épouse parfaitement ses formes et qui laisse voir ses tétons qui pointent. Quand a son pantalon, il est très serré et ne cache rien de sa musculature. Cependant je ne vois pas son paquet. Je serai attendu à une bite à la taille de sa morphologie mais je suis plus attiré par ses fesses, bien rondes. Alors que j'essaie de me reconcentrer sur l'opéra, il me donne un coup et je me tourne vers lui. Il tente juste d'enlever sa chemise, le manque de place l'a fait se cogner.
- Désolé pour la tenue inappropriée mais ma chemise était vraiment trempée. J'espère qu'elle séchera avant la fin de l'opéra.
- Mais pas de soucis, vous êtes très agréable à regarder, même sans chemise.
Je vois qu'il rougit un peu malgré l'obscurité et cela me fait sourire.
Alors que j'essaie de me concentrer sur l'opéra, mes yeux sont attirés par ses pecs. J'ai envie de les malaxer, de les triturer, je suis certain qu'ils seraient parfaitement fermes mais doux. Je ne peux cacher à présent mon érection, à présent parfaitement visible. J'ai toujours eu honte de ça. Comme ma bite est assez grande, on remarque tout de suite quand je bande et je trouve ça assez malaissant, les regards se tournent automatiquement sur ma bite et j'ai l'impression d'être réduit à ça. Surtout qu'étant principalement passif, les mecs avec qui j'ai couché m'ont dit que ça ne servait à rien que j'ai une grosse bite. Je tente de plier les jambes mais rien n'y fait, elle est toujours visible. Par mes gesticulations, je fais tomber le stylo de ma poche droite par terre. Mais avant que j'ai pu me baisser, mon bel ange se met à genoux et vient me redonner mon stylo. Le voir à genoux devant moi m'excite encore plus et ma bite bouge dans mon pantalon. Je vois son regard qui se pose dessus et me sourit. Il voit mon air gêné et me dit :
- Elle est très belle tu sais, tu n'as pas à être gêné, laisse moi m'en occuper.
Il ouvre ma braguette et sort ma bite, dressée au garde à vous. Alors il l'a prends dans sa bouche et commence à me sucer. Je n'avais jamais ressenti ça, sa langue tourne autour de ma bite pendant qu'il fait des mouvements de vas et viens avec sa bouche. Il accélère puis décélère tout en maintenant les mouvements de sa langue, c'est divin. Je sens que je vais jouir et je l'arrête voulant profiter du moment. Je suis lui susurre à l'oreille que je vais lui rendre la pareille. Il se rassit et j'ouvre sa braguette, il n'a pas un seul poil et sa bite est toute petite. Je commence à lui faire une fellation, je peux prendre toute sa bite dans la bouche et j'essaie d'imiter ses mouvements de langue. Je sens que je me débrouille pas trop mal si j'en crois sa respiration qui s'accélère. Avec mes mains, je caresse ses cuisses, très musclées mais glabres et je m'aventure de l'autre côté. Son trou est également sans aucun poil et est assez doux. Je tente d'entrer un doigt et il pousse un petit gémissement. Je commence à le doigter et j'avoue que je prends plus de plaisir à le doigter qu'à le sucer. J'observe ses réactions et je m'amuse en mettant un doigt en plus ou en allant plus ou moins vite. Rapidement je peux mettre 3 doigts dans son cul bien ouvert. Je me relève et l'embrasse tout en continuant de le doigter. Pendant que je l'embrasse, ma main gauche explore son torse absolument magnifique. Je touche, je malaxe ses pecs qui comme je l'espérais sont parfait. Il gémit de plus en plus fort et je l'embrasse pour que les gens ne l'entendent pas. N'ayant pas pris d'air, il s'écarte pour respirer la bouche pleine de nos deux baves. Cette vision m'excite au plus au point et je lui demande si il veut que je remplace ces ennuyeux doigts par quelque chose de plus excitant. Il acquiesce et se place sur la rambarde le cul vers moi. Étant déjà bien ouvert, ma bite rentre facilement et je commence à l'enculer. Je vois ma bite rentrer et sortir de son cul sans le moindre problème et j'en profite pour accélérer. Je le prends par les hanches et pilonne son cul. Cette sensation est tellement agréable, son cul aspire littéralement ma bite et dès que je tape au fond, il gémit. Je donne alors un puissant coup de bassin et son corps est projeté contre la rambarde qui couine un peu. Pour ne pas faire plus de bruit, je me rassis sur mon siège et lui lève les jambes pour continuer à la même vitesse. Nos regards se croisent et il me dit :
Je crois que jai éjaculé sur le chapeau d'une dame. Je souris et dans un dernier effort, je lui gicle dans le cul. Je crois que je n'avais jamais autant éjaculé. Mon costard est légèrement transpirant mais il ne semble pas être taché. Nous restons comme ça quelques secondes puis il descend de mes genoux et se rhabille. C'est l'heure de l'entracte et visiblement, ni lui ni moi n'avons envie de continuer à regarder cet opéra. Nous sortons du théâtre et nous séparons, partant chacun d'un côté. Le lundi matin, de retour au travail, je reçois un mail du théâtre : Donnez une note pour l'excellent spectacle de vendredi !
J'ai mis 5 étoiles ...
Antoine
antoine.mia78@gmail.com
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