Premier épisode | Épisode précedent
Plus je m’occupais de cette queue énorme, plus j’avais l’impression que l’épaisseur et la longueur ne faisaient que s’accroître. Je connaissais celle à Jordan désormais, autour de 19 cm et une épaisseur imposante, mais celle de Jim nous dépassait tous sans exception. Depuis 10 minutes, il me ramonait la mâchoire. J’avais beau passer des coups de langue sur son gland tout autant énorme, je commençais à avoir des crampes. Il me prit la main et m’accompagna jusque dans ma chambre. Nu, nous nous sommes allongés, tête-bêche, et nous nous sommes sucé mutuellement. Quel plaisir, quel pied ! Jim, même s’il ne correspondait pas aux canons de beauté des gays, était un dieu de la pipe. Il me prenait la queue en profonde, me tétait le gland et pinçait mes tétons avec une expertise totale. J’étais bien obligé de lâcher la sienne pour m’agripper au lit tellement je prenais mon pied. Je couinais de bonheur, j’étais au paradis. Il me mit sur le dos, leva mes jambes et écarta mon trou. Je sentis son souffle sur mon cul et sa langue me pénétra avec avidité. Il me dévorait le cul comme aucun mec auparavant, mais je savais qu’en me branlant à ce moment, j’allais jouir quasi instantanément.
Il fut surpris en y enfonçant un doigt humide puis en me galochant, enfonçant 3 doigts. J’avais beau m’être plusieurs fois fait baiser, ils se firent durement sentir. Il les retira, les renfonça tout en passant un autre de ses doigts sur mon gland qui s’électrisa. J’étais totalement ouvert, à lui et pour lui. Il m’embrassa goulûment et se mit debout en me serrant dans ses bras, nos deux queues qui s’entrechoquaient. Il me fit asseoir et je me dis que je devais lui rendre ce plaisir. Toujours aussi surpris quand je le penchais en avant, j’écartais ses fesses de rugbyman et je commençais à passer ma langue sur cette raie poilue qui mouillait abondamment. Je le doigtais de deux doigts en branlant son énorme queue que j’avais du mal à faire tenir dans ma main. Je caressais la peau de son ventre distendu par les régimes qu’il avait entrepris tout en alternant bouffage de cul et branlette. Il se mit sur le dos, leva ses jambes qu’il mit sur mes hanches et prit ma queue à pleine main. Il la guida vers son trou et posa mon gland dessus. Je me penchais pour embrasser mon pote plus amoureusement que je ne le pensais tout en le pénétrant. Mon rêve absolu se concrétisait enfin.
Son trou était certes poilu, mais très accueillant. La sensation fut extra quand je remarquai qu’il le contractait pour décupler mon plaisir. Quand il me fit comprendre d’accélérer le mouvement, je pris ses épaules pour le lutiner davantage. Tout ce que j’avais appris avec mes plans précédents put être concrétisé ici pour sa plus grande joie. Je le basculais sur mes genoux et je m’enfonçais d’un coup sec en lui. Plus il gémissait, plus je le défonçais. Sa lourde queue tapait contre son ventre et tandis que je jouais avec, Jim me fit un énorme patin. Je le mis à 4 pattes, mordit ses fesses et m’enfonçait en lui pendant qu’il plongea son regard dans le mien. Dans le feu de l’action, il était clairement craquant. Il m’embrassa et se mit debout. Sa queue était droite, imposante. Je me mis à genoux et je fis mon maximum pour la mettre en bouche. À la moitié, je commençais à manquer d’air. Il me demanda si je voulais qu’il me prenne et quand il comprit mon envie, il m’allongea sur le ventre. Je sentis son gland sur ma rondelle et déjà là je sentais que ça allait coincer. C’était bien plus gros que tout ce que j’avais connu ! Quand il commença à s’enfoncer en moi, je fus pris d’une violente douleur dans les hanches. J’étais comme déchiré, écartelé, comme si on me découpait de l’intérieur. Jim fut très doux et après s’être retiré me prépara avec plusieurs doigts et un anulingus du tonnerre. Il se positionna derrière moi et se renfonça. La douleur était intense, il fallait plusieurs allée et venue pour que mes cris de douleur se transforment en jouissance. Et quel plaisir ! Quand je sentis ses boules taper contre mes fesses, je me sentais comme soulevé par mon pote, ma prostate était comme électrocutée. Je ne pouvais plus bouger, j’étais dirigé par son énorme teub. Il la retira et me pénétra à nouveau dans toute sa longueur dans un long râle cumulé au mien. J’étais bien, heureux, au 7e ciel. Je sentais mes jambes coupées, mais j’étais anesthésié surtout quand il me prit en levrette. C’était la première que je jouis sans me toucher, dans 5 longs jets qui venaient s’écraser dans les draps. Jim se retira, je m’agenouillais pour bouffer sa grosse queue qui éclata dans ma bouche en 7-8 jets liquide que j’avalais avec peine pour la première fois. Il me souleva et me galocha. Il partit vers la salle de bain tandis que je m’allongeais dans le lit, le trou quand même pas mal douloureux. J’avais envie de lui, de recommencer encore et encore.
Après avoir pris sa place, je lui demandais s’il voulait dormir ici et devant son refus, il se mit dans mes bras. Il me fit la promesse de partir quand je dormirais et qu’en attendant, on pouvait continuer à discuter. Je voulais continuer notre conversation sur mes derniers plans cul et avoir son avis. J’avais clairement en tête de me taper certains de mes potes volleyeurs voire même d’organiser des plans à plusieurs en mélangeant certaines personnes. Jim était surpris, dépité. Je savais que cela ne l’intéressait pas, il n’avait pas confiance en lui vu que tout le monde (même après avoir perdu du poids) continuait à se moquer de lui. Nous avions des potes en commun et je me rendais compte que hormis le vigile, il connaissait tout le monde. Il trouvait mon plan machiavélique, me conseilla de faire attention, mais il était aussi persuadé que la plupart des mecs au suaps étaient bien au moins bi. Il n’avait couché avec aucun des mecs dont on parlait mis à part Jorge, mais il avait vite regretté son geste. Jim m’embrassa et sans rien lui demander, fit coulisser mon boxer pour gober en profonde ma queue, la main sur mon torse. Je me laissais faire, la queue brûlante de désir par ce mec qui savait s’y faire. Il se bifla avec, me mordilla le gland et au bout d’une dizaine de minutes, je me déversais dans sa bouche dans 3 longs jets bien crémeux. Il se releva et m’embrassa avec.
Après une nuit de sommeil ou je me suis branlé plusieurs fois en pensant à la queue de Jim, je réfléchissais aux personnes que je devais me taper. Certaines ne m’intéressaient clairement pas, mais pour le délire, pourquoi pas ? J’avais pris Jorge (je n’étais pas contre le fait qu’il me prenne désormais) et je m’énumérais ceux qui me restaient à me faire. Benoit ? Pas franchement à mon goût (même si pour moi, il était un amant à Jorge), Antoine ? Pourquoi pas, mais il avait un sexe trop grand pour sa taille. Emmanuel ? Le fameux métis qui était tout sauf hétéro, lui, me faisait vomir par son comportement. Il y avait aussi Manu, l’italien assez macho en couple avec sa cousine, Maël le rouquin qui me dégouttait et Titouan qui était le plus homophobe de tous, voulant devenir flic, mais qui n’hésitait pas à fouiller dans les ordis des gens pour les manipuler ensuite.
7 volleyeurs que j’avais dans le viseur à lequel je rajoutais les 2 coachs, les 2 Corentin, le vigile et Jim. Je voulais que mon pote intervienne, cela lui ferait du bien et lui permettrait de voir différemment les personnes qui l’ont humilié ces dernières semaines. Il n’avait pas été très clair sur certains points, mais leurs comportements en dehors des lois n’étaient guère mieux. Nous étions donc une quinzaine. Le premier sur ma liste était Maël. Autant commencer par ceux que je n’appréciais que peu.
Maël était le prototype mec ingrat. Rugbyman, rouquin aux cheveux frisée, on le voyait régulièrement tourner autour des meufs, je crois sans grand succès. J’étais persuadé qu’il était gay. Il jouait avec nous le lundi soir dans notre équipe, mais je ne lui prêtais jamais de l’attention. Après avoir demandé son numéro à Antoine, je lui textotais pour savoir s’il pouvait me donner un coup de main pour la physio. Je n’étais pas très bon dans cette licence, mais je m’accrochais sans savoir ce que je pourrais faire d’autre. Il m’ouvrit la porte de son appart situé proche de la cité u
M : Salut Ju' ça fait plaisir de te voir me dit il en me détaillant de haut en bas. C’est vrai qu’avec mes Stan Smith noires, mon slim noir et mon t-shirt gris, j’en ai fait baver plus d’un dans le tram. Je suis avec Yaris. On parle des cours, mais t’inquiète pas, je vais t’aider me dit il devant ma déception.
Je n’avais rien contre ce Yaris, au contraire c’était un très bon pote (et ultra canon aussi). Pendant que je le suivais dans le salon, je détaillais Maël. Marcel gris, short rouge, cul assez imposant, il sentait le rugbyman, mais sans charme. À la vue de Yaris par contre mon sang ne fit qu’un tour. Il était clairement le mannequin de service, réunionnais, métis, tablette de chocolat bien dessinée sur un torse imberbe, des jambes ultras poilues, un collier de barbe ras sublime, nous faisions régulièrement du beach-volley ensemble. Néanmoins, il ne prenait ni sa douche à la salle ni ne se changeait à ma grande tristesse. Après une brève accolade, je remarquais sa chemise noire Lacoste cintrée (qui moulait son torse), son jogging bleu titré volley club en blanc et ses chaussettes blanches (dont une fut remontée par-dessus son jogging), je m’assis sur le pouf en face d’eux. Nous avons passé l’aprèm à discuter de cours, des meufs. Maël nous proposa un apéro et nous demanda d’aller nous servir dans la cuisine pendant qu’il partait pisser.
Y : Alors Ju' cette Anna, tu te l’es faite ? C’est vrai qu’elle s’est barrée après ce que Jim a dit ?
J : Je t’interromps de suite, j’ai menti à tout le monde. Je voyais régulièrement Anna chez Jim et du jour au lendemain, on a plus eu de nouvelles. Basta. Jim en a assumé ses responsabilités, pour rien hormis déclencher les conneries de certains dans le groupe continuai-je en regardant le boule de Yaris qui se penchait devant moi. Juste pour vous plaire, pour faire le suiveur, il a ruiné sa réputation auprès de vous
Y : J’avoue que certains ont été hors la loi de fouiller dans son ordi, mais je te crois, j’ai vu cette Anna plusieurs fois avec Jim dit il en me frôlant pour prendre un verre dans les placards hauts. Jim est un gars bien, mais il fallait une victime. Mais dis donc tu ne kifferais pas Jim plus que comme un pote toi se rapprocha il de telle manière que nous nous retrouvions quasiment bouche contre bouche
J : T’es dingue répondais je maladroitement. C’est un pote c’est tout.
Y : Après tout, tu fais ce que tu veux, souris Arnaud en frôlant mon paquet dans un grand sourire pendant que Maël revenait des chiottes. Je connais Jim c’est un mec cool et puis je suis ouvert sur la question
L’apéro se passait plutôt bien et de fil en aiguille, nos conversations sont devenues plus chaudes, plus érotiques. Je voyais clairement Maël dévorer du regard Yaris qui, d’un grand sourire déconnait comme il avait l’habitude de faire. Après avoir parlé de nos premières fois, ce qu’on aimait dans le sport, la conversation prit une tournure bien plus gay.
J : Moi ce que je supporte absolument pas, c’est les mecs qui viennent à la salle sans se changer ni prendre leur douche. Après, on les retrouve dans les transports, bonjour l’hygiène
Y : Ouais, mais si ils sont en voiture, on s’en fout, ils font ce qu’ils veulent.
M : Je suis assez d’accord avec Yaris
J : Non, mais même c’est les règles élémentaires d’hygiène. Vous vous imaginez si vous croisez votre partenaire, votre patron ou autre dans la rue, et que vous êtes ruisselant de sueur ? Bonjour l’image que vous donnez de vous. Faut arrêtez de croire qu’on se fait mater sous les douches
Y : Et toi, tu mattes sous les douches me demanda Arnauld en se rapprochant de moi.
J : À qui ce n’est pas arrivé ? Que tu sois gay, bi, hétéro, on a tous maté au moins une fois aux chiottes ou dans les vestiaires. Je suis sûr que tu le fais, demandais-je à Yaris, qui acquiesça
: Comme tu dis, comme tout mec ouais éclata il de rire aidé par l’alcool qui commençait a nous griser. Après, j’ai une image à ne pas ternir, le rebeu, baraqué, sportif dit il en bombant le torse et en vissant sa casquette à l’envers
M : Ouais, je fais pareil aussi dit Maël en s’épongeant le front, mais bon je suis pas du tout homo.
Y : Ah bon ? J’étais persuadé. Tain' j’avoue, il commence à faire chaud là dit il en retirant sa chemise. Ça va, on est entre nous, on s’est déjà vu torse nu continua il en regardant Maël qui ne perdait pas une miette devant les tablettes humides de son pote
M : Non, ça ne m’est jamais venu à l’esprit. J’ai suffisamment de meufs dans le rétro.
Y : Et toi Ju' ? Un beau mec comme toi, ça doit forcément attirer les gays en se rapprochant de plus en plus de moi. Moi tu vois, je suis bi, mais les mecs, ça me fait largement plus kiffer dit il en posant une main sur mon slim
Yaris se rapprocha de moi et m’embrassa avidement. J’étais bouillant, il m’a clairement chauffé depuis quelques minutes. Je passais ma langue sur les tétons de Yaris qui gémissait et me demandait de continuer. Je voyais Maël qui se touchait à tel point que son short se transforma vite en chapiteau. Je baissai son short et lui ordonnais de se branler. Il ne se fit pas prier pour. Le jogging de Yaris n’était pas en reste.
Je pris sa tête et tout en le galochant, je malaxais son paquet. De bonne taille, il me semblait très appétissant. Je sentis une main sur ma queue et comprit que Maël avait ouvert mon jean, défait ma ceinture et branlais ma teub avec la sienne. Elle était fine et courte, un petit gland à la toison rousse fourni. Sa main me semblait assez experte pour quelqu’un qui se prétendait hétéro. Après avoir mordillé le cou de Yaris, je guidais sa tête vers ma queue avant de le gifler devant son refus. Quand il a voulu m’incendier, je me calais devant lui et présentais ma queue tendue après y avoir jeté mon boxer Brice gris. Je poussais sa tête et après une énième négation, il ne se fit pas prier pour me la bouffer. Maël descendit le jogging d’Arys, malaxa le shorty Calvin Klein blanc et le fit coulisser. Un sexe épais et très veiné autour de 18 cm en surgit, une touffe bien taillée et un gland qui donnait clairement envie. Maël se jeta dessus comme un affamé ce qui me fit comprendre qu’il n’en était pas à sa première queue.
Yaris gémissait de plaisir pendant que je me pointais derrière son suceur. Je ne voulais pas perdre de temps en basse besogne et après un énorme crachat, je m’enfonçais en lui dans un long gémissement étouffé par la queue de notre pote rebeu. Je le lutinais depuis 10 minutes en m’accrochant à ses hanches tandis que mon acolyte alternait entre gorge profonde et bifles. Je me retirais tandis que mes deux amis se mirent à genoux pour me la bouffer comme des pros. Yaris prit ma place et s’enfonça dans le trou humide de Maël qui n’en était pas à sa première levrette. Je me branlais dans sa bouche pour taire ses gémissements de plaisir. Tandis qu’il s’asseyait sur la queue épaisse du rebeu, sa tige qui gigotait sous ses assauts brutaux. Je le suçais en malaxant les boules de l’actif. Elle était si petite que j’avais déjà le nez dans sa touffe. Par dépit, je pris la queue de Maël et la guidait dans mon trou à sa grande surprise. Pire qu’avec la petite fashionista, je ne sentais absolument rien. Je faisais des mouvements de bassin pour qu’il ait un minimum de plaisir. Yaris bascula mon actif, manquant de me faire tomber, le mit sur le ventre et s’assit littéralement dessus. Son cul était pointé vers ma queue que je branlais vigoureusement comme dans un appel à la baise. Il me paraissait assez fermé, poilu, mais peu propice à être baisé. Je me rapprochais de lui et posais une main sur ses hanches.
Y : Putain ! Ju' tu fais quoi la ? Je suis qu’actif moi, interdiction de me baiser. Je te laisse ma place si tu veux.
J : Tais-toi posant mon gland sur son trou et je commençais à essayer à le pénétrer (qu’est ce qu’il était serré ! Je devais m’y reprendre à plusieurs fois)
Y : Oh putain arrête. La vache, ça fait mal, c’est un sacré morceau que tu as là continuait il quand je tentais de coulisser mes 18 cm en lui avant de continuer en arabe en me regardant mi incendiaire mi-baigné par le plaisir.
Je me retirais et continuais la pénétration jusqu’à arriver à la prostate. Je sentis un gémissement long et un couinement de plaisir quand j’accélérais le mouvement complété par un patin que je n’aurais pas soupçonné. Maël mit sur le dos était béat, la main sur sa queue ramollit qui avait joui depuis un bon moment 3 jets crémeux dans son nombril. Il galochait Yaris avec gourmandise et sans qu’il s’y attende, le beau réunionnais jouit, ma queue dans son trou, de 7 jets compacts sur le visage de Maël. Je poussais Maël et m’éclata sur le visage de mon pote, qui me gueula dessus, en 5 jets toujours aussi crémeux. Nous nous sommes regardés et avons éclaté de rire. Après leur avoir dit que je devais repartir, je filais dans la salle de bain. Je pris une douche rapide et je sentis une présence qui m’écrasa contre la paroi vitrée de la minuscule cabine.
Y : Tu sais que ça va se payer ça. Tain mec tu m’as dépucelé le cul. J’ai kiffé, mais désormais j’ai hyper mal au trou me dit il en posant mon gland sur ma raie
J : Montre-moi alors dis je en reculant sur son bambou hyper veiné à sa grande surprise.
Y : Ah ouais, ce n’est pas ta première fois, je vois ça
Il m’interdit de me branler, pris mes poignets, les cala derrière mon dos et me baisa comme une pute. Sa queue était experte, je sentais bien que Yaris n’était pas à son premier cul. Nous gémissions comme deux mecs avides qui devenaient experts du plaisir. Je le galochais en lui mordillant la langue Je jouis sur la vitre devant moi en 3 jets crémeux et il fit de même sur mon visage avec un plaisir partagé après une quinzaine de minutes de jouissance. En me séchant, je le plaquais contre le lavabo, le regardait et le galochais en lui promettant que j’avais hâte qu’on se refasse ça. À ma grande surprise, il accepta.
Maël était fait désormais, je me devais désormais de continuer ma liste avec un kiffe non feint
Dolto
Autres histoires de l'auteur : Le volleyeur et le rugbyman