Premier épisode | Épisode précedent
Après cette folle soirée entre sportifs devenus progressivement gay, je savais pertinemment que je devais parler avec Jim au plus vite. Je me devais de lui expliquer ce que j’avais fait et le désir qui m’habitait. Jordan nous quitta aussi rapidement qu’il était venu après une douche aussi rapide que possible et je laissais Corentin se faire sucer par Alexandre qui n’était pas près de partir.
Je devais prendre le tram pour rentrer chez moi. Tout à mes rêveries et mes songes, ce que je me devais de dire à Jim, je sentis un parfum qui m’était familier. Tout sourire, je vis Jorge qui s’assit à côté de moi-même si le tram était vide à cette heure, vêtue de sa chemise rose clair, son jean slim bleu à ourlet posé sur ses vans old-school noires et blanches, il était comme à son habitude extrêmement craquant, séduisant et charmeur.
Jorge me parlait de ses derniers plans voyeurs dans des chiottes publiques (je les essaierais à l’avenir et j’avoue que pour un plan rapide c’est l’idéal, mais c’est une autre histoire). Jorge était inarrêtable, il parlait des heures pour jouer au voyeur en toute tranquillité, les saisons propices.... Pendant qu’il parlait, je me surpris (étonnement partagé) à lui malaxer le paquet, mes yeux plongés dans les siens. Il me dévorait du regard, mais je voyais bien sa peur d’être surpris par quelqu’un. Pendant que je passais ma langue sur mes lèvres, je desserrais sa ceinture malgré sa tentative vaine de me refuser. Il tentait de cacher son excitation derrière son sac à dos, mais je percevais bien son déroutement.
Je glissais ma main dans son boxer sans aucune permission, comme si j’étais dans mon salon, et je passais un doigt humide sur son gland circoncis ce qui eut pour effet de l’électriser. Je n’étais plus moi-même, mais malgré tout je kiffais le plaisir que je procurais. Je branlais sa grosse queue veinée entre 2 doigts sous les soupirs d’extase de mon camarade. Sans qu’il ne s’y attende, je plaquais mes lèvres sur les siennes pour lui rouler une pelle comme jamais, son sexe durcit entre mes doigts.
Je sentais la mouille de sa queue qui se mélangeait à la moiteur de mes mains. Jorge fermait les yeux, il profitait de l’instant présent et après avoir vérifié qu’il n’y avait personne, j’ouvris la braguette de son jean et toujours caché derrière son sac à dos, je pris son gland entre mes lèvres. Il sentait agréablement bon, une vague odeur de monoï. Plus je l’entendais souffler de plaisir, plus je faisais coulisser ma bouche sur sa queue. Elle ne valait pas celle de Jordan, mais je me devais de le baiser comme l’avait fait Jim.
Je faisais des va et viens de plus en plus profond en le regardant droit dans les yeux et quand nous avons entendu le nom de son arrêt, il eut toutes les difficultés du monde à replacer sa queue dans son slim. Je le suivais jusqu’à chez lui comme guidé par un instant bestial et grégaire, comme si mon cerveau me disait de rattraper les instants perdus. Devant l’interphone de son immeuble, je le plaquais de tout mon poids contre la porte d’entrée, vérifiant au passage l’étroitesse de son jean. Ma queue dans mon complet jogging Aréna blanc me faisait un mal de chien, mais une fois arrivé en haut et que j’ai retiré mes Tanjun noir, Jorge ne se fit pas prier, dans un grand sourire, pour se mettre à genoux. Il était là, brûlant de désir, comme s’il avait toujours rêvé de l’avoir. Il retira son jean et son boxer aussi vite que prévu et goba ma queue en profonde en se caressant.
On sentait qu’il avait l’habitude. Sa langue tournait comme un dingue sur mon gland, je cramponnais sa tête pour bien m’enfoncer au fond de sa gorge. Je ne voulais pas perdre de temps, j’étais bien trop excité, voire même agacé, je ne savais plus. Pendant qu’il retirait sa chemise, j’écartais ses deux petites fesses et je m’enfonçais jusqu’aux couilles. Comme il ne s’y attendait pas, le gémissement fut précédé par un cri de douleur mêlé à de la surprise. Il ne s’attendait pas à ce que je le possède aussi rapidement et aussi violemment. Je ne me reconnaissais pas, je n’étais plus que l’ombre de moi-même. Pendant que Jorge s’accrochait avec peine à la poignée de sa porte, je lui défonçais le cul en faisant des va-et-vient de plus en plus rapides. Je la ressortais, la rentrait avec encore plus de férocité tout en lui claquant les fesses jusqu’à en devenir rouge sang.
Dans un spasme, je vis 3 jets s’écraser contre la porte de sa chambre et sans lui demander quoi que ce soit, je le mis à genoux de force et je lui noyais la gorge et le visage de 4 jets bien crémeux. Je le galochais en le relevant, me promettant de revenir. Tout ça avait duré 25 min environ et sur la route du retour à chez moi, je savais désormais, qu’en plus de me faire Jim, je me devais de me taper le plus de mecs possible et plus particulièrement ceux du volley.
Rien qu’a l’idée de me taper certain comme Manu ou Antoine me faisait saliver de plaisir. J’étais probablement fou, mais habité par un désir de vengeance, de plaisir mêlé. Je me devais de leur montrer que sous leur coque d’homophobie se cachait, j’en suis sûr, une certaine part de bisexualité.
Après une nuit plutôt houleuse ou je n’ai pas cessé d’échafauder mon plan, ce que je devais faire et qui je devais me taper après Jim. Jim justement, je me devais de le voir ce soir autour d’un bon repas. Je n’étais pas du tout cuisinier, loin de là, mais je me devais de le faire saliver de plaisir dans tous les sens du terme. Juste avant, je me permettais un autre petit plaisir inavouable, mais je me devais d’aller dans les chiottes dont nous parlait Jorge avec autant de gourmandise que d’envie. C’était des chiottes de supermarché situé sur l’île centrale du même nom de la ville où j’habitais, réputé pour être un haut lieu de voyeurs gay. Après 15 minutes de tram, je me dirigeais vers le centre commercial, et après avoir monté 4 à 4 l’escalator, les toilettes se trouvaient à ma droite, à proximité du H&M. Je passais à côté du vigile après l’avoir détaillé dans sa tenue de sapeur-pompier. Je remarquais que son teint hâlé ne faisait que ressortir ses yeux bleu azur et son bouc soigneusement taillé. J’entrais dans les chiottes et je remarquais la promiscuité des lieux : tout dans la longueur, 6 cabines sur la gauche et 3 urinoirs sans protections a droite derrière le mur des éviers. Personne, je faisais demi-tour avant de me regarder dans le miroir. Vêtu de mon t-shirt bleu-noir sport-U, de mon Levi’s straight de la même couleur qui remontait mon petit cul et mes Stan Smith noires, je me trouvais clairement canon.
Pendant que je me reluquais dans le miroir, je vis ce petit minet aller pisser. Vêtu d’un Ralph Lauren rouge, d’un jean zara blanc, de Nike air huarache, j’avais une groupie de la mode qui venait de rentrer.
Plutôt musclé sec, collier de barbe et moustache rase, coiffure à la mode, on sentait le petit pd à des kilomètres. Pendant qu’il se mettait à pisser dans l’urinoir du fond, en diagonale comme d’habitude, je me mettais derrière le mur nous laissant une pissotière de séparation. Le mec se mettait comme par hasard dans le bon sens après m’avoir regardé de haut en bas (encore un pd qui juge sur le physique – génial, je sentais que j’allais bien m’amuser). J’observais sa queue discrètement, après m’être décalotté, et je vis une tige fine sans prétention avec aucun poil au-dessus (quelle horreur !). Je voyais bien qu’il faisait la même chose en tentant d’être un minimum discret. Sans que je m’y attende, un mec se mit entre nous et je vis avec plaisir que c’était le pompier de tout à l’heure. Je constatais de suite l’intérêt se lire sur le visage de la fashionista.
Quand je compris que le sapeur n’était pas là pour un plaisir naturel, je scrutais ce que j’avais à ma gauche. De bonne taille, bien veiné, un gland violacé qui estompait le bronzage marron, elle prenait de plus en plus une mesure intéressante. Il passait en un coup d’œil d’une queue à l’autre et en me penchant je remarquais que celle de mon acolyte au fond grandissait progressivement même s’il elle n’avait rien d’exceptionnel. Le vigile nous regarda, coupa son talkie-walkie et d’un signe de tête, nous indiqua la cabine handicapée derrière nous. Après avoir vérifié que personne ne nous regardait, nous l’avons accompagné tout en malaxant le cul de mes deux plans du jour, sportif sans aucun doute.
Après avoir mis mon jean sur les chevilles, le petit jeune se mit à genoux et me la goba entièrement en malaxant mes boules. Je cramponnais de plaisir la poignée de la porte pendant que mon autre main cherchait celle du secouriste. Sa queue était douce, non circoncise, autour de 18 cm et après avoir humidifié son gland, je sentais bien, en voyant sa tête basculer en arrière, le plaisir qu’il prenait.
À ma grande surprise, le vigile assit le minet sur les chiottes, descendit son jean et prit sa queue quasi imberbe de 14-15cm à pleine bouche. Il avait du mal à contenir le plaisir que ces deux actions lui procuraient pendant que je lui défonçais sa bouche en lui agrippant ses cheveux gominés. Le vigile était vraiment canon, la queue en bouche pendant qu’il se branlait. J’enfonçais sa bouche sur la queue voisine, et après crachée un énorme mollard sur sa rondelle, je le pénétrais sans grande difficulté.
Cramponné à ses hanches, je faisais des va et viens de plus en plus rapide, accentués par ses gémissements qui me procurait un plaisir de dingue. Je vis le petit minet se lever, me plaquer le ventre contre le dos de mon partenaire et il me pénétra d’un coup jusqu’à ses couilles. La sensation était étrange, je ne sentais pas grand-chose au vu de la taille de son engin, mais être pénétré et pénétré en même temps était un bonheur sans nom. Plus je faisais des va et viens, plus j’étais baisé. On me retourna la tête et ma langue se retrouva dans sa bouche dans un bonheur parfait. Il prit ma place et je me mis à défoncer ce trou, qui avait dû en connaître, pendant qu’il lutinait celui du vigile.
Chacun de nous avait retiré son tee-shirt et je remarquais à présent que j’avais réellement à faire à 2 sportifs, tous deux très peu poilu, mais musclé sec. Après une bonne demi-heure de plaisir, le vigile cracha sur son torse 4 jets liquides, mon acolyte explosa sur son visage en 3 jets bien crémeux tandis que je faisais de même sur son torse. Après m’être essuyé rapidement le gland, je me rhabillais tout aussi vite, mais dans un grand sourire, je leur laissais mon numéro.
Je devais retrouver Jim chez moi en fin d’après-midi ce qui me laissait suffisamment de temps pour me doucher et l’attendre avec impatience. Pendant que j’étais dans le tram pour rentrer, je reçus simultanément 2 textos.
« Salut bg – j’espère que tu as autant kiffé ma queue que j’ai kiffé la tienne. Envie de te revoir. Corentin ». Donc la fashionista s’appelait lui aussi Corentin. J’avais bien envie de faire connaissance avec et continuer à me le taper de même que le vigile qui m’écrivit.
« Tiens voilà mon numéro. J’ai adoré ce qu’on a fait, au plaisir de prendre à nouveau du plaisir avec toi. Axel ». Lui s’appelait Axel, prénom que je détestais, car il s’était comporté comme un ingrat envers Jim (et réciproquement).
Ces 2 mecs (que je reverrais à l’avenir) me plaisaient et je laissais un message à Jorge le remerciant de son lieu, idéal pour se vider les couilles. J’avoue qu’avec la promiscuité et l’absence de séparation, en été, quand les mecs sont peu vêtus, c’est l’endroit idéal pour mater. Je confirmais mon rendez-vous de la soirée et dans un message aussi adorable que possible, Jim réussit à me donner un sourire béat.
Après une bonne douche, j’apprenais à connaître ce second Corentin. Il allait dans la même salle de sport que moi, mais à celle du nord de la ville. Il adorait dessiner, fan de mode – tendance influencer sur Instagram et surtout gay sans que quiconque ne le sache. Versatile plus actif, il avait un type de mecs en particulier et préférait rester célibataire en cumulant les plans. Trop porté sur le physique et les fringues pour me plaire, mais idéal pour se vider les couilles.
Quant à cet Axel, il était tennisman, gay lui aussi sans que quiconque ne le sache, rarement actif, et adorait les hommes très virils. Je lui parlais de ma salle quand il me demandait si j’en connaissais une espérant le retrouver et me le taper plus régulièrement. Avec un plaisir non feint, j’entendis l’interphone et j’accueillais à bras ouvert celui pour qui je m’étais accepté. J’attendais qu’il retire ses Puma blanches et sans qu’il ne dise quoi que ce soit, je le galochais jusqu’à ce qu’il me rende mes baisers. Je l’écartais un peu de mes bras et je le déshabillais du regard : un jean beige moulant son petit cul, une chemise cintrée blanche à fines rayures bleues.
Il me plaisait, il le savait, je le désirais. Plus je l’embrassais, plus je bandais et réciproquement. Après ce repas arrosé qui fit son petit succès, j’évoquais, ma main sur sa cuisse, ma tête sur son épaule, tous mes derniers plans cul. Après son étonnement passager, il me conseilla et m’aiguilla que ce soit sur mes connaissances du jour et sur celle des coachs. Je plongeais mon regard dans le sien et je l’embrassais, ma main sur son paquet. Après un refus vite repoussé, il m’allongea sur le canapé et descendit sur mon torse. Ses gestes étaient précis, experts. Sa langue sur mes tétons me donnait l’impression que ma braguette allait exploser et son souffle chaud sur mon cou décuplait sa trique.
Je retirais avec soin sa chemise et m’attardais sur ses pecs graisseux qui eu pour effet de le faire gémir. Je donnais des petits coups de langue jusqu’à son nombril.. Son jean était complètement déformé par cette queue imposante. Je mis en tête de défaire sa ceinture et me retrouver face à son shorty Athéna noir ultra moulant dont le gland et les premiers centimètres n’étaient plus cachés par le tissu. Je donnais des coups de langue sur ce morceau de chair en faisant descendre le shorty.
Elle me claqua la joue et je vis enfin mon rêve devant moi. Je pensais que celle de Jordan que je m’étais prise était imposante, mais celle à Jim le battait haut la main. Faisant entre 21 et 23 cm, circoncis, petit tas de poil entretenu et d’une épaisseur que je n’avais pas imaginé, il fallait que je prenne sur moi pour ne pas m’évanouir. Je la léchais de haut en bas, tétais son gland pendant qu’il me caressait la tête et le cou. J’ouvris la bouche en grand et guida son tronc à l’intérieur. Je crus m’étouffer quand il faisait des mouvements de bassin de plus en plus vite.
Je savais que cette soirée allait être autant hot que douloureuse. Je n’étais pas au bout de mes surprises.
Dolto
Autres histoires de l'auteur : Le volleyeur et le rugbyman