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Jérèm fait ses armes
Quand j’arrive à avoir une franche discussion avec Jalil. Il me dit qu’effectivement notre visiteur n’était pas un inconnu pour lui puisque plus jeune il avait même sauté sur ses genoux quand ce dernier rendait visite à son père au Liban. Il avait été trop honteux de sa fugue chez DAECH pour ne pas avoir renoué avec lui.
Avant de partir, ce dernier l’avait même informé qu’il allait le financer (par l’intermédiaire de son compte en Suisse) afin que leur petite affaire « d’écurie » ressemble plus à un Haras. Selon lui, mon BoP était prêt à concéder plus de terres et de ses productions au projet.
On élargit la discussion pour l’inclure et le WE d’après, dans son bureau il nous dit avoir accepté, dans le cas où Jalil le voudrait, la proposition de L’Emir. Il garderait encore une bonne partie de son cheptel bovin et transfèrerait le reste à Côme. L’offre réévaluée du « loyer » plus les fournitures de fourrage le laisserait rentier de son exploitation. Ok là aussi j’en apprends un peu plus.
Jalil ajoute que cela permettra d’orienter les revenus des 4 « petits frères » sur l’achat des parts manquantes du château familial. Idée d’Enguerrand soutenue par ses deux frères. Bravo les cachotiers !!
OK j’admets que certaines choses ou décisions peuvent échapper à mon influence. Mais quand même !!
Jalil me dit qu’il serait aussi intéressé à prendre part à mon projet de financement du Ranch de « nos » cow-boys du Wyoming.
Mon BoP ne détourne plus les yeux quand nous rejoignent Enguerrand, Max et Nathan, le temps de nos embrassades. La discussion par dans tous les sens. Le haras local, le projet américain et le rachat du château, tout se mélange mais je note que les jeunes sont tous sur la même longueur d’onde.
Je regarde mon BoP. Il me dit qu’il laisse la nouvelle génération décider. Lui a fait sa part et c’est çà eux/nous de faire la suite. Il a déjà vu avec sa fratrie où aucun n’a les moyens seul de reprendre la propriété ancestrale dans son ensemble et apprécie que des descendants puissent le faire.
J’entends les jeunes discuter du projet global : château / gite extra-luxe pour 1 client à la fois / haras. Développement d’une offre spa/piscine/salle de sport avec coachs. Là ils me demandent si je pourrais mettre à disposition mes coachs. Comme ils émargent à ma société c’est sans problèmes. En cas de demandes « particulières », Ils me demandent de pourvoir les prestations.
Je sens qu’ils ont bien pensé leur projet « Mise au vert » tout confort. Ils ont déjà un client avec l’Emir qui leur a retenu l’inauguration. Je pense pouvoir leur fournir une plateforme de visibilité sur le site privé de ma société.
Pierre, maintenant architecte DPLG, a déjà taffé sur le sujet et les jeunes disposent déjà de pré-études. Les derniers travaux au château ayant eu lieu dans la première moitié du siècle dernier, quelques mises à jour/normes sont nécessaires notamment sanitaires, domestiques (cuisines) et de confort.
Le traitement prévu est respectueux de l’historique et j’adore l’installation de sanitaires de palace dans des cages de verre isolants les boiseries et peintures murales, les plafonds et autres éléments de décors du XVIIème du risque d’humidité. Et cela sans en retirer la jouissance visuelle pour l’utilisateur. Ils comptent équiper une dizaine de chambre de ce type. Car s’il y aura en général qu’un client celui-ci sera à même d’amener des invités.
Le bassin qui centre le jardin à la française sera légèrement agrandi de quelques mètres pour atteindre les 50 et approfondi pour en faire une piscine dont le fond sera mobile afin de passer de bassin d’agrément à piscine olympique et 3,5m de profondeur. Les sous-sols qui peuvent facilement supporter des modifications radicales, hébergeront les cuisines et les salles de remise en forme.
Ludovic prépare les documents pour leur société d’exploitation dont ils auront la majorité des parts. Les 49% restants ont déjà trouvés préempteurs auprès de la plus-part de mes Escorts. Le financement est bouclé. Je reste en retrait et me réserve pour le ranch du Wyoming.
Avec le déconfinement, les demandent clients reviennent, analyses Covid fraîches et négatives exigées de part et d’autre. Si je dois assurer une prestation sans risque pour mes clients il en est de même pour mes escorts.
Je dois même rappeler mes quelques « retraités » afin de satisfaire la demande.
Quand je les vois passer au Blockhaus avant de prestater, je suis confiant. Ils ont tous gardé leurs habituelles présentations (épilation quasi-totale). Coté muscles ils se sont entretenus même si je les vois moins souvent à soulever les poids chez moi.
Mes plus jeunes restent bouches bée devant leurs plastiques et les années qui ne se voient pas. Leurs 10 à 13 ans de taf pour Phil et Luc n’ont pas marqué et ils ne paraissent pas plus de 25 ans.
Début de Jérèm :
Je fais le déplacement à Paris pour présenter Jérémy au directeur de ma « bijouterie » et choisir avec lui l’émeraude dont le vert s’accordera aux yeux de mon nouveau « mari ». Il choisit une monture qui lui permet de la porter comme mes petits frères, collée au lobe de son oreille. Nous trouvons notre bonheur avec une pierre de 4 carats en taille princesse (carré). Il en rêvait depuis sa rencontre avec mes petits frères.
Il fait aussi connaissance avec « mon » vendeur et son cul accueillant. Nous ressortons que vidés. Passage à l’hôtel où nous retrouvons Côme pour aller diner avec « sa » cliente.
Avec le déconfinement qui n’en finit pas, j’ai emprunté le duplex de Kev et Emma m’a prêté Pablo pour l’occasion.
Côme nous présente. Elle me félicite pour la qualité de mes collaborateurs chez qui elle apprécie aussi bien la conversation, la bonne éducation que leur aptitude à la faire jouir. Jérem manque de s’étouffer alors qu’il attend son tour.
Mon nouveau mari, que je présente comme tel à l’identique de Ludovic, se retrouve scanné par le regard affuté de la suissesse. Elle se tourne vers moi pour me dire que je ne me suis encore pas trompé dans mes choix.
Réponse de ma part : « l’amour ne se commande pas ».
Elle s’en approche, se hausse sur la pointe de pieds et lui roule une pelle tout en massant son entrejambe. Quand elle recule, mon mari est rouge vif et bande comme un taureau.
Nous passons à table. Le diner est aussi bon que ceux des grands restaurants Parisiens. Au point qu’elle me demande duquel restaurant je l’ai débauché. J’annonce que c’est celui de ma mère. Ma cliente dit la jalouser avant de passer sur le sujet qui l’intéresse au premier plan.
Je prends un café avec eux trois et les quitte avec Pablo pour rejoindre Kev chez son « père ». Soirée prévue avec Romaric et Tristan.
Récit de Côme :
Quand Sasha et Pablo quittent l’appart, je déstresse Jérem que le départ de Sasha a rendu un peu fébrile. Mais notre cliente sait le mettre à l’aise tout comme avec moi la première fois. Elle fait la première approche et quand sa langue pénètre la bouche de Jérem, je mate que ce dernier bande. Bon départ !
Je me colle dans son dos et lui fait sentir mes 20x6 en appuyant mon bassin contre ses fesses. J’attrape le dos de notre cliente et la presse contre Jérem. Elle le tient par la tête et son patin se fait méchamment vorace. J’entreprends de mettre tout el monde à nu. Ils se prêtent à mes sollicitations et je positionne le 20x6 de Jérem (elle ne va pas perdre au remplacement) entre les cuisses de madame. Instinctivement, Jérem balance son bassin et frotte le périnée entre chatte et anus. Je pousse même l’obligeance à capoter mon collègue et à placer son gland en face avant.
Le balancement suivant il s’enfonce dans la chatte que je connais bien et qui devrait lui donner pas mal de plaisir (vu qu’elle entretient ses muscles vaginaux au top).
Elle décolle ses lèvres et nous l’entendons gémir à cette pénétration complète. Elle nous repousse, arrache la capote que je viens de poser et s’agenouille pour sucer Jérèm.
Là, mon collègue commence à comprendre qu’une meuf qui en veut c’est autre chose que les « gamines » qu’il avait pu baiser jusque-là. Pour preuve elle avale ses 20cm entier au premier coup. C’est au tour de Jérem de gueuler son plaisir !
Je me décale et colle mon bassin à celui de Jérem. Comme cela elle peut se défoncer la glotte sur deux queues de même calibre. Elle ne s’en prive pas et même aveugle, je reconnaitrais son aspiration et la compression de sa gorge. D’à genoux elle se positionne à 4 pattes. Je me capote et la laissant jouer avec la queue de son nouvel Escort, je la contourne pour m’enfiler dans son vagin. Je vais laisser la priorité de son anneau à Jérèm.
Je surprends ce dernier à s’étonner de la légère brutalité avec laquelle je m’enfile dans notre cliente. Mail il apprécie quand mes coups de reins lui font s’enfoncer la bite jusqu’à la garde derrière le larynx de la meuf.
On use de notre cliente un moment comme cela avant que je fasse signe à mon partenaire de se capoter pour me remplacer.
Permutation. Jérèm plante son pieu dans le vagin. Il y coulisse facile mais me fait signe qu’il apprécie d’y être bien serré. J’énonce oralement cette remarque. Il rougit mais je l’assure que notre cliente n’est pas prude question langage de baise.
D’elle-même elle se cambre et ses deux mains viennent écarter ses fesses. L’appel est clair et mon collègue ne s’y trompe pas qui sort totalement du vagin pour enfoncer la rondelle. Il y va franco et la défonce la porte arrière jusqu’à l’os.
Bien que la bouche de la récipiendaire soit occupée par ma queue, elle arrive quand même à râler son plaisir.
Je n’ai maintenant plus aucune inquiétude quant à la capacité de notre petit jeune à baiser efficacement ma cliente.
On l’embroche encore un moment avant que je ne nous fasse passer au stade supérieur. Je m’écarte, les relève sans qu’ils se désaccouplent et les pousse sur la table basse. Le froid du marbre blanc contre son dos n’a aucun effet sur la tension de la bite de Jérem. Je me capote et me couche sur elle et la plaque sur Jérem. Je m’enfile dans sa chatte. Mon gland glisse dans le fourreau tout en collant la queue présente de l’autre côté des parois (vaginale et intestinale). Quand nos glands se frottent, Jérem se raidi encore plus.
Je m’enfonce jusqu’à la pousser à faire déculer Jérèm puis me retire la faisant se planter à nouveau l’anus par sa queue. Jérem peine à se retenir de jouir alors que nous provoquons chez notre cliente son premier orgasme. Plutôt bruyante, intérieurement je remercie Kev d’avoir fait isoler phoniquement son appart.
Je fixe les mouvements d’un patin à madame puis passant au-dessus de son épaule à Jérèm. On se pelle le temps qu’il redescende en pression.
Une fois les contractions spasmodiques vaginales et anales calmées, on peut remettre ça.
Je laisse Jérem sodomiser notre client et je me retire du vagin, la capote hyper-lubrifiée de sa jouissance. Je positionne mon gland contre la hampe de Jérèm et pousse.il est surpris et l’est encore plus quand la rondelle se distend et me laisse passer. Mon gland s’enfonce, compresse sa queue que je sens raidir comme de l’acier. Quand il vient faire un « bisou » au sien, Jérèm cède et rempli sa capote. J’écrase le clito de madame et elle explose dans un deuxième orgasme.
J’ai moi, juste le temps de me retirer, de virer ma capote avant de juter sur ses seins.
Jérèm supporte le corps de notre cliente 1/4h, le temps qu’elle reprenne pied.
Evaluation de cette entrée en matière par la cliente envers Jérèm : « je sens qu’on va passer de bons moments ensemble toi et moi ».
Passage sous la douche. On s’occupe de la savonner. Sous nos doigts, elle se prends un troisième orgasme. Bien que nous badions tous les deux nous la laissons décider de la suite.
Nous descendons en peignoirs nous rafraichir. Elle accepte du champagne alors que j’explique au néophyte que nous devons nous être raisonnable sur l’alcool et nous limiter au minimum. C’est-à-dire dans les réceptions 1 coupe maximum. Les tables, les plantes vertes sont là pour que nous abandonnions nos flutes ou que nous les y vidions. Au pire on fait durer même si le champagne chaud n’est pas fameux !
J’en profite pour finir le « cours ». Pas de Raid Bull et autres boissons « énergétiques » de la sorte. Un bon coca assure le réappro en énergie rapide si besoin est.
La cliente questionne un peu son nouvel Escort. Je le vois hésiter mais je lui dis qu’il peut être en confiance. Il s’explique donc. Partant du fait d’être le dernier « mari » en date de Sasha, il se situe socialement et explique ses projets d’études. Pour la connaitre intimement, je la sais attentive à tout ce qu’on lui dit et surtout à ce que l’on ne lui dit pas. Quand, ingénument, il lui dit avoir été ébloui par la place Vendôme et ses joaillers, je connais les prochaines gratifications supplémentaires auxquelles il va avoir droit. Surtout quand il explique que Sasha vient de lui offrir une émeraude à mettre à son oreille.
Je reconnais les signes qu’elle commence à être en manque. Discrètement je le signal à Jérem qui n’hésite pas à y retourner.
Je le laisse seul cette fois. Il commence classique par un roulage de pelle avant de descendre sur les seins bouffer les tétons qu’elle a plutôt proéminents depuis que je les travaille avec mes dents. Puis il descend lui manger la chatte et le clito. Je remarque qu’il sait faire et plutôt bien si j’en crois les cris que sa pratique tire de notre cliente. Sasha m’avait dit qu’il avait commencé sa carrière de baiseur par les meufs !
Il n’hésite pas à la basculer en arrière pour faire naviguer sa langue de la rondelle au clito. Je crois bien qu’il se laisse aller à mordiller le petit bouton ce qui lui vaut une strangulation par les cuisses alors qu’elle prend un premier orgasme. Il a compris qu’il ne fallait pas attendre qu’elle « refroidisse » pour continuer. Il se capote, la lubrifie par quelques va et vient vaginaux avant de lui écarter les jambes et, la positionnant des mains sur ses chevilles, lui défoncer à nouveau la rondelle. Il s’écrase sur ses seins et vient conclure sa pénétration d’un roulage de patin.
Les jambes de la cliente viennent se verrouiller dans son dos pour le cas improbable qu’il veuille se retirer.
Il lui laboure le cul et elle en redemande. Il se redresse et lui travaille les tétons. Elle y gagne son 2ème orgasme du moment et le 5ème de la soirée. Il resiste bien et arrive à ne pas la suivre.
Après l’avoir laissée exploser, il retourne au taff. Je note qu’il va lui limer le cul avec ses doigts en alternance dans sa bouche, sa chatte, à pincer les tétons ou à martyriser son clito jusqu’à ce que l’excitation les emporte tous les deux en même temps.
Là il s’écroule sur elle ! Il met plus de temps que cette dernière à récupérer et dans son dos elle me fait signe que mon suppléant est top.
Je suis content pour elle et pour Sasha. Jérèm devrait kiffer l’aisance/indépendance que sa réussite de ce soir va lui apporter.
La fatigue nous rattrape et nous nous endormons dans le lit XXL de Kev.
Au matin je baise notre cliente alors que Jérèm dort encore c’est notre jouissance à tous les deux qui le réveille. Il sursaute, comprend immédiatement où il est et avec qui. Rouge de confusion, il présente ses excuses pour ne pas avoir été là, avec nous.
Elle le dédouane.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!