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Coronavirus-2 – Emir 2 :
Nous en sommes là quand les 5 descendent l’escalier. Mon voisin, Nishad, sursaute quand il voit que son Emir n’est vêtu que d’un simple Slip de bain.
Moi je mate. Un peu plus petit que nous, il est aussi bien foutu que son majordome. Si son visage est un peu marqué il fait plus 40ans que ses 50 avec ses cheveux noir corbeau sans aucun fil blanc. Son corps n’en accuse pas plus ! Je ne peux me retenir et fixe son maillot dont la ceinture ne peut coller ses abdos même ficelle nouée.
Il nous approche et me parle en direct pour la première fois. Dans un anglais très Oxford, il me remercie de mettre à disposition ma propriété et me félicite pour la qualité de mes collaborateurs. Il nous demande de les accompagner à la piscine. Bien chauffée, elle nous délasse de nos exercices, extrêmes pour certains.
Au sortir de l’eau, Jona et François attendaient nos hôtes avec des peignoirs.
Sur la terrasse ensoleillée, à siroter un Whisky, il me dit que cela lui rappelle un peu ses années d’étudiant à Oxford. Il s’y était fait quelques amis avec qui il avait eu des relations sans arrières pensées ni craintes, rapport à sa position dans la hiérarchie de l’émirat.
Je l’assure que c’est ce qu’il peut obtenir ici. Mes collaborateurs se font un devoir de neutralité et de discrétion totale. Il m’explique alors qu’il a, dans l’organisation familiale, la responsabilité d’un ministre des affaires étrangères. Mais que sa passion, en dehors des culs d mecs aptes à recevoir sa virilité, sont les chevaux et que son écurie peut s’enorgueillir de posséder plusieurs étalons de compétition.
Je ne sais comment cela vient dans la conversation mais j’explique à notre hôte l’écurie de mes « petits frères ». Il est autant intéressé par l’écurie que par le fait que mes beaux-parents soient de l’aristocratie qui remonte aux croisades.
Heureusement que je me suis cultivé auprès de Marc et d’Emma. Je peux comme cela discuter histoire de France qu’il connait aussi bien que moi.
Au bout d’un moment il me demande s’il peut emmètre un désir. Je lui fais signe que oui. Il souhaiterait visiter notre « Ecurie » et rencontrer mes BoPs.
Deux coups de téléphone et nous irons demain prendre le café avec mes BoPs et visiter l’écurie avec Dylan et surtout Jalil qui tient à rencontrer notre client.
Diner digne d’un trois étoiles Michelin et il se retire avec Ric, Amaury et Jimmy dont j’ai vanté la grande souplesse.
Récit de Jimmy :
L’Emir ma demandé de regarder alors qu’il enculait Amaury puis Ric après avoir fait jouir le premier. Je note que lui n’a pas encore juté alors qu’il vient de passer 1/2h dans chaque cul à les prendre de face comme de dos, sur le dos ou en levrette, en chandelle …
Il écarte Ric qu’il a fini par faire jouir à son tour. Un signe de sa main et je suis à ses côtés. Je suis hypnotisé par sa belle bite. De la taille des nouveaux godes rapportés par Sasha, elle est encore meilleur puisque de chair et bien chaude. J’ouvre ma grande bouche et plonge entre ses cuisses. Je sais qu’à ça c’est moi le meilleur de tous. Je suce un peu son gland, tourne la langue autour pour bien titiller sous la couronne. Je pointe et arrive même à pénétrer de quelques mm son méat.
Puis j’attaque le morceau. Je tends ma langue et son gland vient percuter ma glotte.
Ça fait longtemps que je ne vomis plus quand on la défonce. Heureusement !!
J’appui et il passe dans ma gorge. J’appuis encore et arrive à en prendre les ¾. Je recule. Son gland est luisant de salive. Je n’attends pas et plonge à nouveau jusqu’à ce que je sente ses couilles qui remontent et me tapent le menton. Occupé à réussir mon tour de force, j’entends dans le lointain quelques applaudissements.
Il m’écarte quand même méchamment la gorge, plus que tout ce que j’ai pu y mettre jusque-là. Heureusement que son gland reste souple même bandé à fond^^.
Je sens ses mains venir me tenir la tête et me garder enfoncer au max. ça me gène pas car une fois en position je peux tenir presque 2 minutes dans respirer. Il me relâche et je me redresse. Il prend alors mon visage, me regarde droit dans les yeux et en arabe me dit « personne ne doit mépriser un être capable de cela ».
Ça me donne des ailes et je me goinfre de sa queue de son gland et même de ses couilles que j’arrive à mettre ensemble dans ma bouche.
Sasha n’a pas menti quand il m’a présenté comme le plus « souple » de ses Escorts. Il s’en aperçoit vite.
Je le pompe et c’est lui qui doit m’arrêter pour ne pas juter direct. Il me soulève (oui je n’ai pas beaucoup grandi ni pris de poids) et me retourne pour me bouffer la rondelle. Ça il ne l’avait pas fait aux 2 autres. Entre sa langue qui m’enduit la rondelle et me fouille le trou, sa barbe courte qui pique les alentours, je kiffe ma race.
Un nouveau demi-tour et je me retrouve face à lui, planté sur sa grosse queue. Reflexe je serre ma rondelle juste après le passage de son gland. Je maintiens la pression qu’il n’aille pas imaginer que je ne suis qu’un garage à bite. Je relâche et coulisse jusqu’à poser mes petites fesses sur ses cuisses.
Je relève la tête et fixe mon regard au sien. A l’intérieur je ressens son gland pousser mon diaphragme. Heureusement que j’avais testé les godes des deux « poneys » Sud-Africain car je crois que je n’y serais pas arrivé aussi bien et vite aujourd’hui.
Sans décrocher il soulève mon bassin pour le laisser retomber naturellement. Après avoir répéter ça plusieurs fois, il se tourne vers mes deux collègues et leur dit de prendre leu soirée, qu’il se contentera de moi pour le reste de la nuit.
Je suis entre peur et ravissement. Heureux qu’il souhaite être seul avec moi et peur de me faire défoncer pendant toute la nuit !
Alors qu’il était parfois un peu brutal avec Ric ou Amaury, je le sens plus doux en ce qui me concerne. Fixé sur ce « mat », je monte et redescend à mon rythme. Mains en appuis sur ses pecs, je ne peux empêcher mes doigts de jouer avec ses tétons qu’il a plutôt gros d’ailleurs. Emporté par l’ambiance, je les pince et en ressent aussitôt les effets. Sa queue gonfle encore plus !
Il prend la main. Il se lève en je me retrouve soutenu par sa queue. Mes 55 Kg tout mouillés semblent encore moins entre ses bras.il m’encule un bon moment avant de me poser dos sur le lit et de venir m’écarteler les cuisses pour pouvoir me sodomiser profond et me rouler une pelle. Ça aussi il ne l’a pas fait aux deux autres !
Ses reins basculent pour sortir toute sa bite avant de ma la renvoyer direct au fond. Ma prostate est éclatée à chaque passage. Je me retiens de jouir car je veux en profiter un maximum et que lui aussi. Je voudrais réussir à me faire tapisser le boyau !
Quand il me prend par derrière, sa bouche ne quitte pas pour autant la mienne même si mon cou se trouve en rotation maximum ! On passe par une chandelle avant qu’il se et me termine en levrette.
Mes reins cambrés, mon cul à la verticale, il me plante à fond jusqu’à ce que j’espérais arrive. Il se fixe tout au fond et me jute dedans. Je ressens chacune de ses éjaculations et j’en compte pas moins de 10 !
Il se redresse me libère et se couche sur le dos. Moi je reste un moment en position le temps que ma rondelle se referme pour pas en mettre partout sur le lit. Il n’empêche que j’y met la main le temps d’arriver à la douche. Je largue au moins un demi verre de jus que l’eau chaude entraine aux égouts.
Lavé, la rondelle badigeonnée de la crème de Sasha, le trou bien refermé je retourne au lit avec une serviette humide pour nettoyer un peu. Il me regarde venir à lui et se laisse essuyer. Je termine par sa queue qui, comme toutes le grosses, n’a pas perdu beaucoup de volume (enfin la moitié quand même).
Il apprécie. Puis me montre le lit à ses côtés. Je trouve ma place contre son torse sous son bras.
Au réveil il bande comme un ouf et je le soulage avec ma bouche. Là il s’en contente et me délivre une méga-dose de protéines animales. Je lui laisse un gland brillant de ma salive. Il m’entraine sous la douche et me récure avant que je lui frotte le dos. Il me félicite sur la capacité de ma rondelle à revenir à la normale (enfin au stade pré défonçage par son membre).
Avant que nous quittions la chambre il me demande de l’attendre pour la nuit prochaine. Qu’il veut partager entre moi et Issa.
Visite de notre Ecurie :
Après un déjeuner substantiel où je reçois encore les félicitations pour mon personnel, nous partons chez mes BoPs. Jona nous accompagne en cas de contrôle par la maréchaussée. Sa carte professionnelle devrait aplanir les difficultés.
Mes BoPs le reçoivent avec la simplicité des gens dont la qualité suffit à elle-même. Il faut dire qu’avec un jeans emprunté à la garde-robe de Marc et un de mes polos, l’émir passerait, ne serait son regard acéré, pour un beur local.
Le bâtiment d’habitation de la « Ferme », sans le château en arrière-plan pourrait facilement passer pour un (château).
Après avoir salué ma belle-mère à l’occidental et lui avoir offert un énorme bouquet de rose que nous avions pris au passage chez un producteur local, nous partons mon BoP, l’Emir et moi vers l’Ecurie.
Nous y attendent Dylan et Jalil venu en curieux. Je note que l’Emir regarde partout et analyse. Les abords de la maison sont maintenant occupés par la grande pelouse avec la piscine et des prairies occupées de chevaux.
Dylan a préparé 5 montures parmi les plus belles dont la sienne propre.
Je présente Dylan qui reçois des félicitations pour la tenue de ses chevaux et Jalil qui est immédiatement reconnu pour ce qu’il est : fils de son père.
L’Emir à qui Dylan propose son propre cheval le remercie et dit qu’il se contentera d’un des 4 autres. Notre invité monte à cheval comme s’il était né dessus. Mon BoP nous oriente après les prairies vers les laies qui traversent la forêt qui nous sépare de chez Côme. Avec Jalil et Dylan nous les laissons prendre de l’avance alors qu’ils discutent histoires familiales.
Djalil explique que l’Emir est un ami de son père et qu’il l’avait déjà rencontré quand il vivait au Liban.
Quelques belles droites nous permettent de trotter et même de galoper. Quand on recolle, Dylan récolte une fois de plus les satisfécits de l’Emir quant à la docilité et la réactivité aux ordres du cheval qu’il a entre les jambes.
L’arrivé chez Côme le surprend par l’aspect fortifié qui se dégage. La cour fermée, les toits pointus (XVème) et la massivité de l’ensemble l’enchante. MarA nous y reçois avec Côme. Je suis le seul à le percevoir mais l’Emir l’a littéralement déshabillé du regard (Côme pas MarA !!!). Il nous dit rajeunir à se trouver dans ce type de relations et nous explique qu’il a fait ses études à Oxford. Quand on rentre il s’isole à l’arrière avec Jalil.
J’aurai beau questionner ce dernier, je ne saurais pas ce qu’ils se sont dit « grrrr » !
Après des remerciements appuyés nous rentrons en passant par le Blockhaus. Il apprécie ce que j’ai (avec mes architectes) tiré de ces bâtiments industriels mais surtout admire la population qui l’occupe. Quand on retourne à la campagne, il m’avoue avoir rêvé d’un endroit pareil. Mais sa position ne le lui permet pas.
Le lendemain (je passe le diner et sa nuit à défoncer Issa et Jimmy), il me demande un entretien particulier. Dans le bureau de Marc, il me demande si cet « arrangement » pourrait être reproduit à l’avenir. Non pas qu’il ne soit plus demandeur de prestations parisiennes mais il a apprécié l’anonymat qui a entouré celle-ci. Vu l’arrangement financier, plus qu’avantageux et le plaisir qu’y ont pris mes Escorts, je ne peux qu’accepter.
Quand nous le raccompagnons à son avion, il me confie une mallette en aluminium plutôt lourde en me laissant libre de sa répartition.
J’attends son envol avant d’ouvrir. Rangés sur 2 étages je ne compte pas moins de 10 lingots. Pourboire Royal sinon Impérial, surtout Emirati !!!
Je rentre et expose à mes collaborateurs de ces 3 derniers jours, la prime. Les plus sollicités (Ric, Amaury, Grégoire, Issa et Jimmy) insistent pour que la répartition soit égalitaire. Les autres apprécient le geste. Le 9ème sera pour Dylan et le10ème ira à Jalil.
Je reçois alors un mail de notre nouveau client qui m’informe d’avoir à prévenir Jalil de la venue de 3 de ses chevaux en cadeaux pour lui et mes BoPs.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!