Depuis le temps que je lis des histoires sur ce site en me branlant, je me suis dit qu’il était temps que j’écrive quelques histoires. Je m’appelle Arthur, j’ai 20 ans, taille moyenne, mince et brun.
Cette histoire s’est passée cet été lors d’une réunion de famille. N’étant pas très proche de ma famille, je n’étais pas vraiment ravi d’y aller, mais je m’y sentais un peu obligé. Et puis ça se passerait chez mes grands-parents, qui ont un assez grand jardin et une piscine, je pouvais donc me forcer à être avec toute ma famille pendant une journée.
Lorsque j’arrive, je salue tout le monde et me sers directement un verre, pour supporter toutes les questions que va me poser ma famille pendant toute la journée. Tout le monde est arrivé sauf ma cousine et son nouveau copain.
Peu de temps après le début de l’apéritif, ma cousine et son copain prénommé Martin arrivent. Je suis tout de suite bouche bée de son copain : grand, brun, petite barbe, de corpulence musclée qui impressionne, sans pour autant en faire trop. Ils saluent tout le monde, puis moi. En lui serrant la main, je suis tout de suite charmé par son regard et la douceur de sa main. Il me sourit, disant qu’il est enchanté de faire ma connaissance, comme il l’a dit à tout le monde.
Arrive l’heure du repas, je décide de me mettre entre mon cousin et ma cousine que je tolère le plus. Martin, quant à lui, se met à la rangée d’en face, à côté de sa copine qui s’est installée en face de moi. Pendant tout le repas, je n’ai de cesse que d’admirer Martin, un peu jaloux et envieux de ma cousine. Il décide d’aller aider mon oncle au barbecue, j’hésite à le suivre pour faire plus ample connaissance avec lui, en tout bien tout honneur. Alors que mon oncle retourne à sa place, on s’échange quelques banalités : ce que chacun fait dans la vie, comment lui et ma cousine se sont rencontrés, si moi j’ai une copine. Je réponds que non, sans ajouter le fait que je préfère les garçons. Il commence à me faire réellement de l’effet, ou bien c’est peut-être juste le fait d’être à côté du feu qui me donne chaud. On retourne à la table, et on continue à s’échanger quelques regards et sourires discrets. Je commence à me poser des questions sur ses intentions, mais je me fais peut-être des idées, accentuées par le fait que je n’ai pas couché ni embrassé un garçon depuis un mois.
Le repas se termine, et chacun quitte la table pour faire diverses activités : se baigner, jouer au volleyball, discuter. Je décide de tirer un hamac pour l’emmener à l’ombre, le plus loin possible de tout le monde, afin d’être tranquille avec un bouquin. Martin, évidemment, décide d’aller se baigner avec certains de mes cousins et cousines. Je le regarde au loin enlever son t-shirt, révélant un torse parfaitement musclé, pectoraux et abdos saillants, imberbe mise à part une fine ligne de poil partant de son nombril pour rejoindre son short de bain. Je commence à ressentir quelque chose durcir dans mon short, donc je décide de replonger dans mon livre pour tenter de penser à autre chose.
Du coin de l’œil, je continue de le scruter, je ne peux pas m’en empêcher. Mes oncles cessent de jouer au volleyball pour rejoindre la piscine, s’en suit une partie de volleyball dans l’eau. Je vois Martin donner des frappes puissantes, ce qui continue à me faire encore plus d’effet. Soudain, j’entends des cris, et je n’ai pas le temps de lever les yeux de mon livre pour voir ce qui se passe que le ballon m’arrive dessus. Je me retiens de râler lorsque je vois Martin arriver pour le récupérer, tout mouillé, je le trouve encore plus beau.
– Bah alors, tu ne nous as pas entendus te prévenir.
– Je n’ai pas eu le temps de réagir, je lui réponds en lui redonnant le ballon.
– Désolé, je n’ai pas contrôlé ma force.
– Étonnant puisque tu as l’air d’être le meilleur joueur de la piscine.
– C’était une excuse pour venir te voir, me dit-il avec un sourire à faire craquer qui que ce soit.
Il relance le ballon vers la piscine puis s’installe à côté de moi alors que je me redresse pour lui laisser de la place. Nos cuisses se touchent et je suis électrisé par ce contact.
– Tu n’as pas envie de venir jouer avec nous ? Il fait chaud, ça te ferait du bien de te baigner.
– C’est pas trop mon truc, désolé.
– Trop occupé à lire c’est ça ? Tu lis quoi ?
Je le lui montre, et alors qu’il lit la quatrième de couverture, je regarde ses lèves, qui me donnent tant envie de les embrasser. Quelques gouttes d’eau lui tombent dessus, il vient les récupérer avec sa langue. Il n’en faut pas plus pour que je rebande légèrement.
– Intéressant. Dis, je peux m’allonger à côté de toi pendant que tu lis ? Ça m’a crevé de jouer avec eux.
– Ouais pas de soucis tu inquiètes.
Il s’allonge dans le hamac, et je ne sais pas trop où me mettre. Me voyant ne pas bouger, toujours assis, il écarte ses bras et me dit :
– Viens t’allonger là. Je ne vais pas te manger, promis.
Je décide de me caler à côté de lui, la tête entre son aisselle, son bras retombant sur mon épaule. Je le vois fermer les yeux. Je reprends ma lecture et sens son souffle chaud dans mon cou. Je me sens bien, dans les bras d’un garçon si beau que je n’aurais jamais pensé qu’il pourrait s’intéresser à moi, même amicalement. Les joueurs dans la piscine deviennent de plus en plus bruyants.
– Tu arrives à lire avec tout le bruit qu’ils font ?
– Pas vraiment, mais bon, je fais avec. Et toi, tu arrives à dormir ?
– Non plus. Et là, tu arrives à lire ? me demande-t-il en me prenant le livre des mains et en le retournant.
– Difficilement, je lui réponds en rigolant légèrement, comprenant qu’il commence à me taquiner.
– Et là ? cette fois-ci en me mettant la main sur les yeux
– Encore moins.
Lorsqu’il enlève sa main, il me regarde dans les yeux, ce qui me trouble de plus en plus. On commence à chahuter en se faisant des chatouilles, il me bloque la tête pour me la frotter avec son poing. J’arrive à me libérer en me redressant pour me mettre debout, et c’est là qu’il me donne une légère claque sur la fesse. Je n’y crois pas, me disant que cette fois, il y a vraiment une tension entre nous.
– Ah oui carrément ? je lui demande avec un sourire.
– Eh ouais, me répond-il avec son sourire en coin qui me fait de plus en plus craquer. Bon, je vais aller rentrer dans la maison à l’ombre, qui m’aime me suive ! lance-t-il en plaisantant.
Je décide de le suivre en direction de la maison, on passe devant tous les autres, mais personne ne semble faire attention à nous. On passe par la cuisine, où on boit tous les deux un verre. On ne dit rien, on se contente de se regarder. Il me demande où il pourrait se changer, je décide donc de l’emmener vers la chambre où j’avais l’habitude de dormir étant petit. Dès qu’il a fermé la porte (à clé), il me prend la tête entre les mains et vient m’embrasser passionnément.
– Depuis que je t’ai vu, j’en ai envie, me dit-il entre deux baisers, ou plutôt deux pelles.
On se met à se caresser partout, je lui touche le torse, tâtant chacun de ses muscles, pendant qu’il passe sa main gauche derrière mon dos et sa main droite derrière mes fesses. Je sens sa queue grossir contre ma cuisse. Il m’enlève mon t-shirt et short, me laissant ainsi en boxer. Il m’allonge sur le lit, tout en m’embrassant. Il quitte mes lèvres pour m’embrasser le cou, puis descends jusque mes tétons, qu’il commence à embrasser, lécher, mordiller. Je commence à haleter de plaisir, ma respiration est saccadée.
– Conti… nue… c’est trop… bon… hmm.
Il quitte mes tétons pour retourner vers mes lèvres. On se regarde, se sourit, pour mieux s’embrasser par la suite. Je glisser ma main vers son membre. Il commence à soupirer plus fortement :
– Tu vois l’effet que tu me fais, hmm.
Je le retourne, je me mets sur lui, puis descends vers son short. Je passe ma langue sur son torse, embrasser et mordille ses tétons comme il m’a fait, puis lèche chacun de ses abdos, et suis sa ligne de poil du bout de ma langue. Arrivé à son short, je masser la bosse que sa queue forme, me disant qu’elle doit être de très bonne taille. Je décide donc de faire ma salope et lèche sa bosse à travers le tissu, il entre-ouvre la bouche, mais aucun son ne sort. Je n’en peux plus, je veux gouter à sa queue donc j’enlève son short trempé et le pose au sol. Et en effet, sa queue est de très bonne taille, je me dis que je vais me régaler. Je commence à lécher ses couilles, les mets en bouche et gémis. Je me mets à lécher sa bite en partant du bas, une fois que ma langue touche son gland, je le vois basculer la tête en arrière et soupirer « c’est trop bon putain ». À ce moment, je ne pense qu’à une seule chose : le satisfaire. Je le suce, le branle en même temps, il gémit de plus en plus, il mouille, j’adore. Je lui fais une gorge profonde, il gémit de plus en plus fort, il met ses mains derrière ma tête pour me maintenir, j’adore cette sensation d’être là juste pour le satisfaire, d’être à sa merci. Il se lève, je le suis et me mets à genoux. Il remet ses mains derrière ma tête et cette fois me donne le rythme, rapide et puissant. Il me baise la bouche, la gorge, je peine à respirer, mais je m’en fous, je kiffe et je ne pense qu’à lui faire du bien. Il me dit qu’il adore ma bouche, je suis fier. Il enlève ses mains, me relève et me met à quatre pattes sur le bord du lit. Il se met à genoux et me met à me lécher le cul. Je gémis tout de suite, il me claque les fesses, le traitement qu’il m’inflige est divin. Il alterne coups de langue et doigts pour mieux me dilater. Il se relève, m’embrasser le cou et vient me chuchoter à l’oreille :
– T’as l’air prêt à m’accueillir, t’en as envie ?
– Oui, vas-y s’il-te plait, prends-moi je suis à toi.
– Attention je ne vais peut-être plus réussi à me contrôler une fois en toi.
– Je m’en fous vas-y je veux te sentir en moi.
Il se redresse, me fait me cambrer, et rentre d’un coup en moi. Je pousse un léger cri de surprise, la douleur laissant vite place au plaisir. Il met ses mains sur mes hanches, puis commence les va-et-vient, puissants. Je l’entends gémir, ou plutôt grogner. Quant à moi je pousse des cris de salopes, qui ne font qu’accélérer ses coups de reins.
– Ta gueule salope ils vont nous entendre.
Puis il vient me mettre deux doigts dans la bouche, me disant de les sucer. Je me mets à sucer ses doigts, m’imaginant avoir à nouveau sa queue dans la bouche. Ma tête se met à tourner de plaisir. Il se retire puis s’allonge sur le dos, m’ordonnant de m’empaler sur sa queue. Je lui obéis, et m’empale sur sa queue d’un seul coup, me faisant gémir de plaisir. Il repose ses mains sur mes hanches pour redonner le rythme, pendant que moi je pose les miennes sur ses pectoraux. On reste dans cette position un long moment, tous les deux à bout de souffle, chacun au bord de la jouissance alors que je ne me touche même pas.
– Putain Arthur ton cul est trop bon je vais juter… tu le veux où ?
– Dans ma bouche, sur mon visage.
– J’en étais sûr, me dit-il en souriant.
Il se retire de moi, m’allongeant sur le dos. Il se rapproche de mon visage et s’agenouille. Je le regarde d’en bas, impressionné et extrêmement excité par l’idée d’avoir bientôt son jus sur mon visage. Pendant qu’il se branle, je tends la langue et lui dis avec ma voix de salope en manque :
– Allez Martin, file-moi ton jus, nourris-moi j’attends que ça.
Dans un dernier grognement, il éjacule plusieurs gros jets sur mon visage, sur ma langue. Je m’empresse d’avaler son jus, divinement bon. Passé la jouissance, il se dirige vers ma langue pour me sucer. Déjà au comble de l’excitation, il ne lui aura pas fallu beaucoup d’allers-retours pour me faire jouir dans sa bouche. Il revient vers moi pour me redonner un peu de mon jus, puis nous nous roulons une énorme pelle, au gout de nos deux jus. Il s’allonge sur le lit, je viens me blottir contre lui. Nous restons là un instant, pour nous remettre de ce qui vient de se passer.
Nous nous sommes rhabillés puis nous avons rejoint les autres. Une fois la journée passée, nous nous sommes dit au revoir, sans oublier de nous échanger nos numéros, pour peut-être remettre ça un jour.
N’hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé de cette histoire, et si jamais vous êtes à Lille et avez envie de fun ! :)
Arthurlille
arthurlille@gmx.fr
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