La semaine dernière, j’ai eu des problèmes de tuyauterie. J’ai tout de suite appelé mon propriétaire pour le prévenir, et il m’a dit qu’il prendrait rendez-vous avec son plombier habituel pour le plus tôt possible. Peu de temps après, il me rappelle pour me dire que le plombier viendrait en fin d’après-midi.
13 h arrive, et je suis en manque. Je décide donc de me mettre à l’aise dans lit, nu, et de commencer à me faire du bien. Je me regarde un porno, un mec en prend salement un autre contre un mur, je m’imagine à la place de l’un puis de l’autre, je kiffe. Alors que je suis sur le point d’éjaculer sur mon torse, on sonne à la porte. Je décide de ne pas bouger, me disant que ce ne doit être qu’un voisin qui a besoin de quelque chose. Mais la personne insiste, donc je mets rapidement un short et un t-shirt puis vais ouvrir la porte. De l’autre côté de la porte se trouve un homme d’environ 1m90, barbu, très musclé avec un peu de poils dépassant du col de son t-shirt. Il me dit être le plombier, je l’invite donc à rentrer. « Putain c’est pas avec un mec comme ça à côté de moi que je vais débander… »
Je lui montre l’évier où se trouve le problème, puis le laisse travailler. Je le regarde travailler, allongé sur le dos sous l’évier, muscles saillants et t-shirt légèrement remonté, montrant des poils partant du nombril au pubis. Je me dis que c’est super cliché de fantasmer sur le plombier, mais comme je l’ai dit, j’étais en manque. Je me rends compte que dans la précipitation, j’ai mis mon t-shirt à l’envers. Je l’enlève donc et le remets à l’endroit, quand je l’entends me dire.
– Vous vous mettez à l’aise à ce que je vois, en souriant.
– Euh oui désolé, quand vous avez sonné je me suis dépêché d’en filer un, je l’avais mis à l’envers, je lui réponds alors que je commence à rougir.
– Je vois bien que je vous avais dérangé oui.
Il descend ses yeux vers mon short, où j’avais toujours une légère bosse. Cette fois je me mets à rougir entièrement, ne savant plus où me mettre. Il ricane légèrement puis se remet au boulot.
20 minutes après, il se relève puis me dit en avoir terminé.
– Super merci, combien je vous dois ?
– Oh ne vous inquiétez pas, votre propriétaire va s’en occuper. En revanche, vous pouvez vous occuper d’autre chose, me dit-il en se rapprochant de moi, me regardant de haut.
À peine ai-je le temps de lui demander de quoi il parlait qu’il me mettait la main au cul et me roulait une grosse pelle. Je ne me débats pas, puisque depuis le début je fantasmais sur lui.
– J’ai bien vu comment tu me matais, et puis tu avais laissé ton ordinateur allumé, donc j’ai tout de suite deviné que tu te branlais sur un porno gay avec mon arrivée. Je suis sûr que tu t’imaginais à la place de cette petite chienne qui se faisait prendre de force contre le mur, hein ?
Là encore il ne me laisse pas répondre qu’il appuie déjà sur ma tête pour me faire mettre à genoux. Je frotte mon visage contre sa bosse, sentant sa bonne odeur de mâle qui me met dans tous mes états. Très vite je baisse sa braguette, et me met à lécher sa bite à travers son boxer. Je n’en peux plus et lui enlève son boxer. Sa bite me frappe le visage, elle doit faire 20 cm et est plutôt épaisse, bien veinée comme je les aime. Je lui lèche ses grosses boules, sa tige puis commence à la prendre en gorge. Je le vois enlever son t-shirt qui révèle de très beaux pectoraux recouverts d’une fine toison de poils, ainsi que des abdos bien formés. Son corps entier m’excite donc je me mets à le pomper à fond. Je l’entends gémir, je lui fais du bien, il positionne ses mains derrière ma tête pour me donner le rythme.
– Vas-y prends ça petite salope, je sais que t’en as envie depuis le début, allez prends la bien à fond.
Je sens sa queue taper au fond de ma gorge, il me baise la gorge comme si j’étais la pire des putes, j’ai les larmes qui montent aux yeux mais je m’en tape car je prends mon pied.
– Putain p’tite pute j’me sens trop bien dans ta gorge là… hmm ouais putain c’est bon… tu pourrais me faire juter mais j’ai trop envie de tester ton petit cul de chienne…
Il me relève puis me pousse contre la fenêtre, pour me mettre dans la même position que le passif du porno que je regardais avant qu’il arrive.
– Lèche !
Il me donne deux de ses doigts, me les enfonce dans la bouche puis direct dans le cul. Je pousse un petit cri de surprise. Je sens ses doigts bouger à l’intérieur de mon cul, me le dilater. Décidément, on peut dire qu’il sait vraiment bien se servir de ses 10 doigts.
– Allez p’tite lope on va passer aux choses sérieuses maintenant.
Je sens ses doigts se retirer de mon trou, et déjà mon cul est en manque et redemande à être pénétré.
– Prends-moi maintenant s’il te plait j’ai trop envie !
Aussitôt demandé aussi fait et il m’enfonce ses 20 cm d’un seul coup en moi. Je crie, il me met la main devant la bouche :
– Ta gueule salope ! Les bonnes chiennes, ça encaisse en silence !
Il n’y va pas de main morte et me défonce le cul comme il faut. Les mains alternent entre mes hanches et mes épaules, et moi j’encaisse, kiffant de servir de trou à ce mec que je ne connais que depuis une heure. Il passe le creux de son coude autour de mon cou pour m’étrangler, me montrer qui domine et là j’atteins le septième ciel. Je gémis de plaisir, pendant que lui grogne et me murmure à l’oreille que je suis une bonne petite lope, qu’il va bien se servir de moi pour se vider les couilles. J’adore me sentir dominé et humilié de la sorte. Par la fenêtre, je vois mon voisin d’un côté nous regarder discrètement, puis détourner le regard quand il voit que je l’ai vu. « Merde j’avais oublié qu’il me baisait à la fenêtre… », mais je m’en fous car je prends trop mon pied.
– Putain p’tite pute mets-toi à genoux que je t’arrose ton visage de chienne.
Je me mets directement à genoux, gueule ouverte et langue tirée pour recevoir son jus. Il se branle rapidement, puis lâche 6 jets de jus sur mon visage en grognant comme le bon mâle qu’il est.
Il se rhabille, me tape les fesses puis s’en va, me disant de le rappeler si jamais j’ai à nouveau besoin d’aide, puis s’en va. Moi je reste à genoux, à m’enfiler 2 doigts dans le cul et à me branler en couinant, jusqu’à ce que je jouisse.
Peu de temps après, j’entends quelque chose glisser sous ma porte. J’y vais et vois un papier, signé de mon voisin avec marqué « Je sais où trouver maintenant quand j’aurai besoin de me vider les couilles… »
N’hésitez pas à m’écrire si vous êtes à Lille et voulez du fun !
Arthurlille
arthurlille@gmx.fr
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