Bonjour ! Ma deuxième contribution.
Je vous ai raconté ma première fois, voici ma deuxième, plus de trente ans après.
Je viens de me séparer de ma femme et j’emménage dans un 3 pièces dans un petit immeuble.
Pas le moral, découragé, je contemple le tas de meubles et cartons devant moi un peu désespéré.
Afin de ne pas trop ‘ruminer’ de mauvaises pensées, je me mets au boulot.
Dans la soirée, on sonne à la porte :
- bonsoir !
- excusez- moi, mais pourriez- vous faire moins de bruit.
- désolé, mais je monte des meubles et seul ce n’est pas facile.
- oui, mais il est 23h00.
J’étais interloqué :
- désolé, mais je n’ai pas fait attention à l’heure !
L’homme s’en va, je le regarde rentrer chez lui. Cinquantaine, mince, cheveux courts yeux marron.
Je reste songeur, il me ‘titille’. Curieux me dis- je, ma seule relation homo c’était JC il y a bien longtemps et depuis toujours des femmes.
Le lendemain, je croise l’inconnu dans le couloir :
- encore désolé pour hier soir.
- c’est pas grave. Mais si vous avez besoin d’un coup de main, dites- le. Je suis seul aussi et je sais ce que sais.
- OK. Merci, je m’en rappellerais.
Le WE arrive et mon armoire demande 2 personnes pour le montage. Après avoir essayé seul, je me rends compte que je n’y arriverais pas.
Me rappelant de la proposition du voisin, je décide de le solliciter.
- aucun problème, me dit- il, mais ce ne sera que cet après midi.
- Merci, je vous attends donc.
Vers 15h, il sonne :
- re bonjour !
- merci pour le coup de main.
Il a un short en jean et un marcel genre basketteur, très échancré. Il a l’air en super forme.
Nous nous mettons au travail. Je me surprends à le mater. Musclé, sec, le short bien rempli et un cul bien rond. Je commence à bander un peu dans mon jogging. Mais que m’arrive- t- il ?
Fin de journée. Je l’invite à manger avec moi pour le remercier. Il a l’air d’hésiter. Je lui dis que ce sera plus pique- nique que diner.
- Parfois les piques niques réservent de bonnes surprises, mais il faut que j’aille prendre une douche et me changer avant, avec cette chaleur, répond- il en souriant.
Je fais comme lui, douche et change, un peu excité, je me lave bien et remet un jogging sans slip.
Nous dinons, échangeons sur nos vies. Je le regarde et plusieurs fois il me surprend. Je suis un peu gêné.
Fin du repas.
- une dernière bière, je lui demande ?
- OK ! Et il s’installe sur le canapé une jambe sous lui.
Je le rejoins avec les bouteilles.
- A la tienne et merci pour le coup de main.
- Pas de quoi, et me fixant droit dans les yeux avec un grand sourire, je peux te dépanner pour autre chose.
- Gêné, non, je vois pas, le reste je me débrouille.
- Pourquoi tu me mâtais cette après- midi ?
- heu ! Non.
Je voyais son entrejambe enfler, et du coup le mien aussi.
- Mais si, tu mâtais mon cul, sous mon polo, ma bite, rappelle toi.
- c’est que je te trouve bel homme pour ton âge.
- je crois que tu as envie de moi, mais que tu ne sais pas comment faire. Et de mettre sa main sur ma cuisse.
- Enfin, j’ai fait une fois avec un ami il y a bien longtemps mais plus jamais.
- sa main est remontée vers mon entrejambe et a effleuré ma bite.
- tu vois, tu bande, tu as envie.
Sa caresse se précisait. Il se palpait sa bite en même temps.
- touche la mienne, elle est dure.
J’avançais timidement ma main et caressais sa queue qui était raide. Pendant ce temps, il avait passé la sienne sous mon jogging et m’avais empoigné le manche.
- c’est comme dans tes souvenirs ???
- oui, c’est bon.
Il m’a roulé une pelle, nos langues jouaient ensemble. J’ai déboutonné son bermuda et sorti sa queue. Nous nous sommes branlés mutuellement. Nos bassins ondulaient.
Il s’est penché sur mon ventre et a enfourné ma queue dans sa bouche. Que c’était bon. Je restais passif, appréciant l’instant. Il me massait les couilles et le périnée.
- on devrait se foutre à poil, je lui dis.
Aussitôt fait. Il a repris sa pipe. Je lui caressais les fesses, la raie, il a écarté les jambes pour que je puisse le branler. Pendant ce temps, il m’excitait ma petite rondelle, vierge. J’en fis autant pour lui, il cambra les fesses et mon doigt rentra sans problème. Il gémit.
- détend toi, il me dit. Tu vas voir comme c’est bon. Et de m’enfoncer son doigt dans le cul.
- Je veux te sucer aussi.
Changement de position. Sans hésiter, j’avalais la tige, titillais le méat et le gland avec la langue, et d’un coup j’enfournais toute la longueur de la verge dans ma bouche. Comme dans mon souvenir, délicieux !
Il continuait à s’occuper de mon cul en le branlant, et maintenant j’étais un peu dilaté.
- on va dans ta chambre ?
Il me fait coucher sur le dos, relève mes jambes et me lèche la rondelle en me branlant. Je gémis de satisfaction et agite mon cul pour aller au- devant de la caresse.
- viens, je veux te bouffer aussi.
A califourchon, il me présente son cul que je lèche et continue de me pomper.
- Arrête, je vais jouir, je lui dis.
Il arrête sa fellation.
Il a toujours son doigt dans mon cul.
- j’ai envie que tu me prennes, mais j’ai jamais fait.
- Je vais y aller doucement, et si ça ne marche pas on arrête.
Rassuré, je me remets sur le dos, fesses en l’air bien écartées. Il me doigte encore, s’en va et reviens avec un tube de gel et capote.
- humm ! Tu avais prévu ?
- Non, mais on sait jamais, rigole t- il.
Il me lubrifie doucement l’anus, rentre un doigt en tournant, puis deux. J’ai un peu mal, mais ça va.
D’un coup, je sens un relâchement de mon anus avec une onde de plaisir. Il présente son gland et pousse doucement. J’ai un peu mal, mais une fois le gland rentré, quel plaisir ! Il commence à me baiser doucement, puis de plus en plus loin. Je gémis tellement c’est bon. Je suis étonné du plaisir que j’ai.
- encore, encore ! Je réclame.
Il me pilonne, je palpe ses bourses, dures, gonflées et d’un coup je sens la chaleur de son foutre dans mes entrailles pendant que je sens mon cul mouiller. J’ai eu un orgasme anal. Quelle sensation !!
Il se retire. Je bande toujours.
- j’ai cru qua t’avais joui, dit- il.
- oui, mais de l’anus, semble t- il.
- Je ne te laisse pas comme ça !
Et il me suce de nouveau, ses doigts dans mon cul dilaté, et la jouissance ne tarde pas à venir. J’appuie sur sa tête et décharge dans sa bouche.
Nous nous caressons encore un peu.
- tu veux que je reste.
- Non, ne te vexe pas, mais pour aujourd’hui ce sera bien, mais on se voit quand tu veux. Et j’aimerais bien t’enculer si tu veux.
- Moi aussi j’aime ça. Et il me roule une gamelle ou j’ai le gout de mon sperme dans sa bouche.
Nous nous voyons de temps en temps et c’est toujours aussi bon avec lui.
Robpriest
clpad50@gmail.com
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