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Vendredi soir.
Je sors des vestiaires avec le frère de Zach et on monte dans sa voiture.
À peine parti, je reçois un texto sir mon téléphone rose : "pense à remercier ton chauffeur."
Je le regarde, il me fait un clin d'œil et deboutonne son pantalon.
Je fourre ma main dedans et ressort avec sa grosse queue encore molle.
Je détache ma ceinture et je me penche dessus.
Alors que je commence à m'amuser avec son gland, sa main vient se poser sur ma tête. Sa bite gonfle et m'envahit la bouche, impossible de la sortir.
Après une vingtaine de minutes, la voiture s'arrête.
Il me libére la tête et sort.
Il passe de mon côté et ouvre ma portière.
Il me reprend la tête d'une main et glisse son membre dans ma bouche.
Il fait des va-et-vient de plus en plus rapides.
Lui : "je veux que tu avales tout. Sinon je te démonte sur la banquette arrière et tu seras trop explosé pour sentir la queue de ton chéri."
Il accélère encore. Je sens enfin une grosse quantité de jus s'écouler dans ma bouche.
J'avale tout jusqu'à la dernière goutte.
Il me caresse le visage tendrement tout en laissant son gland au chaud.
Lui : "une vraie petite salope obéissante. Il a vraiment de la chance ce veinard. Je lui dirais que tu fais les meilleurs remerciements du monde."
Il remballe le matos.
Je m'essuie la bouche avec un mouchoir et je sors.
Je sonne à la porte de la maison.
Mon téléphone bip :
"c'est ouvert. Va tout au fond, dans le salon, et pose toi sur le canapé, côté baie vitrée"
Je rentre. Passé l'entrée, j'arrive dans le salon, très classe bien que coupé en deux par des draps.
Je vais du côté baie vitrée et je m'assoie.
J'entends des pas de l'autre côté des draps.
"bonjour Cali"
Moi : "bonjour mon chéri"
Une main passe par une petite ouverture avec un verre, c'est un cocktail.
On discute de tout et de rien.
Au bout d'un moment, il décide d'aborder le sujet qui fâche.
Lui : "alors, il paraît que le patron vous a surpris avec Nico ?
Il rigole.
Moi : "c'est pas drôle. Je suis convoqué lundi dans son bureau, si ça se trouve je vais me faire virer."
Lui : "mais non. Au pire tu auras un avertissement."
Moi : "et tout le monde va me prendre pour une salope et se moquer de moi."
Lui : "si yen a un qui se moque de toi, je lui casse la gueule."
Mon héros !
La soirée se poursuit.
Il me passe à manger et remplit régulièrement mon verre à travers la petite ouverture du draps.
La nuit est tombée et il a allumé les lumières.
J'ai passé la soirée à observer la maison, visitant les pièces en suivant un circuit fait de draps pour ne jamais le croiser.
Je suis chez lui.
Il est 22h, et c'est maintenant lui que je cherche à explorer.
Moi : "tu m'avais promis tes bras !"
Il rigole.
Lui : "oui, tu vas les avoir. Déshabille toi complètement."
Je me déshabille. Quand c'est fait, il éteint la lumière.
Un drap qui bouge et je sens sa main sur mon bras.
Il me prend par la main et me tire vers sa chambre.
Mes jambes butent contre son lit.
Lui : "allonge toi sur le dos, et écarte les cuisses."
Je m'exécute.
Je sens le matelas bouger au niveau de mes pieds, puis autour de ma taille.
Son corps se pose sur le mien en douceur.
Moi : "mon dieu ouiiii !!!"
Je suis aux anges : je sens sa chaleur sur ma peau, ses muscles sur mon torse, ses bras autour de moi, sa bite qui grossit en se frottant à mon ventre, ses bisous dans le cou, tout est parfait.
Je gémis de plaisir bien qu'il ne me prenne pas encore.
Lui : "tu m'aimes à ce point, bébé ?
Moi : "ouiiii ! Prend moi, je suis à toi !"
Je sens un doigt qui se glisse dans ma fleur, puis rapidement un 2ème.
Je goutte chaque seconde. Il m'a tellement fait attendre qu'en cet instant je suis entièrement à lui.
Tout en restant collé à moi, je sens une main puissante soulever mon cul et son gland se présenter.
Il mange mes lèvres tout en perçant ma fleur. J'ai envie de crier mais sa langue joue avec la mienne.
Sa verge est épaisse.
Il la rentre tout en douceur. Je m'agripe à lui avec force alors qu'il tape mes fesses et repart.
Il fait quelques aller-retour avant d'accélérer un peu et rejoindre son rythme de croisière.
Il me fait l'amour comme ça pendant 20 bonnes minutes puis se bloque au fond de moi.
Lui : "ça va mon bébé ? Accroche toi !"
Pas besoin de lui répondre,ca fait 20 minutes que je gémis et l'embrasse. Je m'accroche à lui.
Il se relève et me porte.
Il me plaque contre un mur, relevant les jambes au maximum, et donne un bon coup de rein, puis un autre.
Moi : "aaaahh ! Aaaahh ! Encore !"
Il accélère la cadence.
Je sens ses muscles bandés à fond sous l'effort.
Il finit par me pilonner sauvagement.
Je crie de plaisir.
Encore une vingtaine de minutes de ce traitement.
Lorsqu'il ralentit enfin, nous sommes tous les 2 essoufflés et en sueur.
Moi : "j... J'ai la f... Fleur en feu... Han."
Lui : "tu veux... Han... qu'on arrête ? Je... Je suis très... Han... Endurant..."
Je l'embrasse tout en lui caressant le torse.
Moi : "je me... Dois de combler... Sexuellement mon homme..."
Il m'embrasse et sort.
Je sens immédiatement un grand vide en moi et je refuse de me décoller de lui.
Il use de la force pour la première fois, me repoussant puis me tournant avant de me pencher sur le lit.
Je m'installe à 4 pattes, le cul bien offert, quand je comprends ce qu'il veut.
Sa queue se présente.
Ma fleur proteste mais ne peut l'empêcher d'entrer.
Ses mains me saisissent par la taille. Il commence directement par un rythme soutenu.
Au bout de 20 nouvelles minutes, je suis sûr le point de lâcher physiquement.
Sa main appuie sur ma tête et la plaque sur le matelas alors que le rythme accélère encore.
Je ne sens plus ma fleur et je crie, je ne contrôle absolument plus rien.
Soudain il rentre d'un coups sa queue tout au fond dans un râle, tout en me tirant les cheveux pour me relever et plaquer mon corps au sien.
Lui : "t'es trop bon bébé !"
Je reste silencieux. Il m'a littéralement envoyé dans la lune.
Il m'embrasse dans le cou.
Lui : "ça va ?"
Moi : "oui... Han... Mais j'ai plus de force là."
Il m'embrasse encore tout en sortant.
Il me dépose en douceur sur le lit.
Lui : "je reviens."
Il sort de la chambre et revient quelques minutes après.
Il trouve assez facilement le lit, puis moi, et vient se caler derrière moi.
Il me tend une bouteille d'eau.
Je manque de boire de travers quand je sens un truc froid sur ma fleur.
Lui : "détend toi, c'est juste un glaçon. Je sais que je suis pas tendre avec les petits culs comme le tiens."
Je ferme la bouteille et vais chercher ses lèvres.
Je prends son bras et le passe autour de moi, et je colle mon cul à son bassin.
Il resserre ses bras et colle son torse à mon dos, membrassant dans le cou.
Moi : "je t'aime."
Lui : "moi aussi bébé. Dors bien dans mes bras."
Je pose ma tête sur l'oreiller, bien caler dans les bras de mon amant mystère. Pour la première fois depuis longtemps, je m'endors très vite, terrassé par la fatigue, comblé par mon homme... Et enfin calé dans des bras solides qui prennent soin de moi.
Cali
li.cali@yahoo.com
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