la douleur
Bonjour, je m’appelle Adrien, j’ai 23 ans et je suis en fac de sport (STAPS).
Cette histoire a eu lieu avec un autre étudiant de ma promo. En quelques mots, je suis blond, 1,80m et plutôt musclé.
Notre prof de biologie a entamé le second semestre avec une étude à produire en binôme : le corps humain dans des conditions extrêmes. Le sujet n’est pas passionnant, mais le faire avec un autre étudiant ne devrait pas être un souci.
Les binômes ont été formés par le prof en fonction des notes. Les plus faibles bosseront avec les plus forts. C’est pour ça que je me suis retrouvé avec Lucas, un mec que je n’aime pas des masses. Je ne le connais pas vraiment, mais j’ai l’impression qu’il se croit plus malin que tout le monde.
À la fin du cours, nous avons échangé nos numéros pour organiser le travail à venir. Après quelques messages, notre première session de travail était prévue pour le week-end suivant. Lucas n’ayant pas de voiture, je proposais de le rejoindre chez lui pour travailler.
L’hiver venait de débuter et c’est par un samedi froid et gris que j’arrivais devant l’entrée de son immeuble. Il m’indiqua l’étage et la porte en répondant à l’interphone avant de m’ouvrir.
En entrant dans son appart’, je compris que l’après-midi serait long. Rien ne semblait avoir de place définie, ce n’était pas sale, mais franchement bordélique. Je remarquai aussi qu’il faisait très chaud. Lucas me laissa prendre mes marques, poser mes affaires et sortir mon PC. Je mentionnais la température élevée.
- Le radiateur est bloqué à fond, mets toi à l’aise si tu as trop chaud, me dit-il.
Je remarquai alors sa tenue : marcel, caleçon et rien d’autre. Il sourit.
- Tu veux boire un truc ?
- Une bière ?
- Oui, chef !
Il revint avec deux bières qu’il décapsula avant de s’installer sur son lit. Je m’assis en face de lui sur une chaise, une petite table basse nous séparait. Je reportai mon regard sur Lucas, avachis sur son lit, dos au mur, les jambes écartées, qui se grattait les couilles.
- Quoi ?
Je détournai les yeux en gardant le silence. L’atmosphère était suffocante. Je décidai de retirer mon pull pour me retrouver en T-shirt.
- Ne te gênes pas si t’as trop chaud, moi je suis déjà en caleçon !
Ne tenant plus, je retirais maladroitement mon jean que je déposais avec mon pull. Il me restait mon T-shirt, un boxer et mes chaussettes. Je revins m’asseoir afin de débuter la session de travail. Le premier sujet à traiter : la douleur selon la partie du corps, tout ça à ranger dans un tableau. Malgré des débuts difficiles, la séance était plutôt studieuse. Lucas avançait en silence sans vraiment se préoccuper de moi. Après une heure de dur labeur, nous avons fait une mise en commun de nos travaux. Je remarquai qu’il n’avait rien indiqué concernant les douleurs au visage.
- J’ai pas compris ce que je devais mettre sur cette ligne, expliqua-t-il.
- Pareil que pour les autres, mais au niveau du visage.
- Non, mais merci, j’ai compris ça. Mais le visage c’est vague, on parle de quoi précisément ?
- Si t’avais lu la page sur le visage dans les sources, tu ne poserais pas la question !
- Tu ne veux pas m’aider au lieu de me casser les burnes ?
- Et toi tu ne veux pas fermer ta gueule et faire ton taff juste une fois ? Ce n’est quand même pas compliqué de lire un putain de document !
- En fait tu me prends vraiment pour une merde ! Tu sais quoi, je vais l’étudier la douleur au visage !
Sans prévenir, il m’asséna une gifle monumentale que je n’avais absolument pas vue venir. J’étais abasourdi, autant par la force que le geste lui-même. Instinctivement, j’ai quitté mon PC pour me ruer sur lui, toujours dans son lit, son PC sur la table.
Je le maîtrisais facilement et me mis à califourchon sur son bassin en lui bloquant les poignets avec mes mains. Il était totalement coincé malgré ses tentatives pour se libérer.
- C’est quoi ton putain de problème, hurlais-je !
- Alors, le visage, c’est douloureux, hein ?
- Je ne sais pas, à toi de me dire !
Sans réfléchir, je relâchai ses poignets, voulant prendre de l’élan pour lui rendre sa gifle. À peine ma prise relâchée, je vis ses mains disparaître avant de sentir une douleur terrassante m’envahir le bas ventre. J’en avais le souffle coupé. Lucas m’a attrapé les couilles à pleine main et sa poigne continue de se resserrer.
Je hurlai de douleur, la pression diminua, j’étais paralysé.
- C’est sensible les burnes, non ?
Son regard satisfait me faisait bouillir de l’intérieur, mais je ne pouvais pas bouger.
- Réponds !
Il serra de nouveau et je crus qu’on me transperçait le bassin. Je reprenais péniblement mes esprits avant de répondre.
- Oui…
- Oui quoi ?
- Oui, c’est sensible les burnes…
Lucas sourit, il avait le dessus et comptait bien en profiter.
- Redresse-toi !
Je quittai lentement la position à quatre pattes pour m’asseoir sur mes talons. Lucas ne relâcha pas mes boules captives.
- Sérieusement, dit-il ?
Il semblait surpris, le regard en direction de ma bite. Je baissais la tête à mon tour.
Je bandais dur. Très dur même.
- On aime se faire aplatir les bourses ?
De sa main libre, il fit glisser mon boxer et libéra ma queue luisante de précum.
- Mais quelle salope, ajouta-t-il en riant !
Il entama de lents mouvements très plaisants tout en continuant à m’écraser les noix. Je couinais comme un animal à l’agonie. Il lâcha ensuite ma bite et donna un coup brutal dans mes burnes. Je sentis le sperme jaillir de mon gland en quantité tandis que je vacillais sous la douleur.
Lucas se dégagea après avoir lâché mes couilles, je tombais au sol, prostré.
- Prends tes affaires et dégage.
- Je me relevai péniblement, attrapais mes fringues. Lucas me poussa hors de son appart’, me jeta mes clés et mon PC avant de claquer la porte.
J’eus la chance de ne croiser personne et repris le chemin de ma voiture après m’être rhabillé. Mes couilles étaient encore très douloureuses une fois chez moi. Je m’effondrais dans mon lit et m’endormit.
Le réveil fut difficile. Il était un peu plus de cinq heures et demie du matin. J’hésitais entre mon lit et le début d’une journée qui s’annonçait pénible de toute façon. Mes couilles ne me faisaient plus souffrir, mais je n’avais pas eu la traditionnelle gaule du réveil ce matin, sûrement à cause de mon épouvantable journée d’hier.
Après une bonne douche et un café, je décidais d’envoyer un message à Lucas. Mon téléphone était sûrement dans mon sac depuis hier. J’étais rentré si vite que tout était resté en plan dans l’entrée. Je trouvai bien mon PC, mais aucune trace de mon téléphone. L’angoisse me gagna lorsque je compris qu’il pouvait se trouver chez Lucas. Sans attendre, je lançais mon PC pour écrire à l’individu en question, il fallait qu’on discute de toute façon.
Aucun de mes comptes en ligne n’était accessible et lorsque je tentais de changer de mot de passe, j’appris que ma boîte mail n’acceptait plus mes identifiants. Ma situation avait encore empiré depuis hier, je n’avais même plus de quoi accéder à mes comptes en ligne. Impossible de communiquer. Pire encore, si Lucas était derrière tout ça, il peut maintenant agir comme bon lui semble. En tout désespoir de cause, je créai une nouvelle adresse mail et un compte sur mes réseaux sociaux principaux.
Sans attendre, j’envoyais le message suivant à Lucas :
« Je sais que tu as mon téléphone et que c’est toi qui as changé tous mes identifiants. T’es vraiment atteint comme mec, tu m’agresses et tu me voles dans la même journée pour usurper mon identité. Je te conseille de me rendre mes trucs et de t’aplatir si tu ne veux pas que je m’occupe de toi.
Maintenant, bouffon, sinon je te défonce ! »
Pour la suite, il faudra d’abord me faire vos retours par mail !
L'occasion d'en apprendre plus sur le physique de Lucas et le mien.
Merci d’avoir pris le temps de me lire.
Éros
plumederos@outlook.fr