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Résumé/rappel : Damien (la trentaine) électricien dans un village de province. Théo ami/amant l’aide car il n’a pas de travail à plein temps. En faisant réparer la camionnette ils ont baisé avec le patron du garage et le mécano.
Chapitre 5 | Le garage
Théo est reparti du garage avec Damien jusqu’à l’atelier, puis est rentré chez lui avec sa super moto de cross. Il monte dans son appart (genre F2), s’assois et, en buvant une bière, repense à la baise qu’ils viennent de faire. Soudain il se rappelle du mécano qui lui a filé un truc dans sa poche. Il se précipite, fouille, en sort un papelard noirci au cambouis et dessus 07 xx xx xx xx Manuel, tel moivite. Un grand pincement de cœur envahi sa poitrine …
Théo quitte sa chaise en bondissant, un grand sourire aux lèvres, lève les bras au ciel et crie WHAOU …
Un peu calmé il se rassoit et appelle Manuel. C’est bizarre, mais il est tout timide, tout gêné, …
Théo: Allo, c’est Manuel ? C’est Théo …. He, … tu m’as mis un, un papier, un mot, un … un … message dans ma poche tout à l’heure. Alors je … je t’appelle. Tu te souviens de moi ? ? ? Ça va ? (Putain, je suis en train de dire de la merde …)
Manuel: Oui, j’ai, j’ai eu peur que tu n’aies pas mon papier . . . ou que tu le perdes, ou que tu le lises pas, ou que tu me rappelles pas, ou que … Bon ba déjà j’ai pas fait d’erreur dans mon numéro, ça m’arrive souvent … (Putain, je suis en train de dire de la merde …).
T: Dès que j’y ai repensé arrivé chez moi, direct je t’ai appelé !
M: Ha cé cool ! T’es dispo là pour boire un verre ?
T: Non cé con je peux vraiment pas, si j’avais su j’aurais pas accepté cette sortie ce soir !
M: Demain soir ?
T: Et demain midi ? Ça fait moins loin ?
M: OK demain midi. On se retrouve au kebab près de l’église ?
T: OK, on dit à midi
M : oui midi, je partirais un peu en avance.
Théo raccroche il est perdu… Il ne pense plus à Damien ni au diner de ce soir, il sourit, s’assoit, continue sa bière, ouvre sa braguette, baisse son boxer noir moulant et commence à se branler. C’est étrange, quelques secondes au tel et tout est différent …
Théo pense : c’était cool ce qu’on a fait ! J’ai fini en me faisant enculer par le patron du garage mais, putain, qu’est-ce que j’ai kiffé le mécano, maintenant je connais son prénom : Manuel ! Putain, Manuel, il est trop cool, trop class, trop chaton, Whaou …
Il jouit et asperge de sperme le devant de son pantalon de travail, mais il s’en bat les couilles !
Il se met à poil, se douche et se prépare pour aller à son diner.
Au diner, il n’a pas été très attentif aux conversations, mais très souriant !
Il rentre chez lui, se remet à poil puis se glisse sous la couette, saisit sa bite, se branle d’une main et de l’autre se plote les couilles et son anus en se frottant bien son périnée poilu. Il pense à Manuel et jouit en gémissant, en criant un peu, il a des larmes de tristesse et de joie qui perlent à ses paupières : il étale le sperme sur son ventre, en goute un peu avec son doigt, lui qui déteste ça d’habitude, et s’endort à plat ventre en faisant des mouvements de copulation au matelas qui a un autre visage dans ses rêves . . .
Le réveil sonne, je saute du lit, me caresse la bite qui se réveille aussi en belle érection matinale. M’habille, déjeune, et part retrouver Damien pour bosser. Il me trouve super souriant, me demande si c’est la baise d’hier au garage qui me met dans cet état ?
Oui, j’ai bien aimé la baise d’hier, mais ce midi, j’ai rencard avec le mécano, Manuel !
Damien : hé ba, mon cochon, t’as pas perdu de temps … Il est super mignon !
La matinée se traine un peu en longueur, à 11h30 je me casse pour être à midi au kebab.
Midi, Manuel arrive, toujours aussi craquant … On est habillé un peu pareil ; tenue de travail, très virils, jeunes, toniques, pas trop propres … On sort du boulot !
On est tout près, poignée de main, bise ? On est en centre bourg, pas trop la mode de la bise entre garçons ici. On se rapproche, on se tend la main en hésitant, on se la saisi, puis on se fait deux grosses bises, nos barbes se caressent, deux bises un peu trop appuyées …
On commande chacun juste une belle portion de frites sauce samouraï pour aller plus vite. On est servi, on s’assoit à une table côte à côte sur la banquette. On commence à manger nos frites, autour de nous, comme dans tous les kebabs, il y a des arabes, des jeunes, … Je sens bientôt la main de Manuel sur ma braguette ! Je me tourne vers lui avec un grand sourire, il me regarde d’un air un peu provocateur, farceur. Je me mets à bander et commence aussi à le ploter. Quel bonheur, je sens son sexe sous sa braguette, j’ouvre. Mais d’une main, sous la table, c’est difficile ! Hummm je sens son boxer tendu, lui aussi et le pirate cherche à sortir ma bite, … il y arrive. Je suis au kebab en province, attablé avec un mec en train de manger des frites la bite à l’air ! C’est énorme … Mais bientôt ce sont 2 bites à l’air ! On se regarde complices et super excités. Il n’y a maintenant plus de frites, on a tout mangé. On range discrètement nos bites, on se lève et on se retrouve dehors. Heureusement que ce sont des pantalons de travail assez amples et épais, on ne voit pas trop nos érections . . .
Je regarde mon portable : « Super, il n’est que 12h15 ! On va chez moi, c’est à 5mn ! »
Manuel : et si on court, à 2 mn ! On fait la course et le premier arrivé fout l’autre à poil!
Moi, Théo : OK , ça me va pour gagner . ..
Et je détale comme un lièvre ! Manuel me suis de près, mais je gagne du terrain. Je me retourne et me moque de lui. La fin est une petite rue qui monte de plus en plus et là, Manuel développe une puissance que je n’ai pas encore, me double et me demande la route … Heureusement on est arrivé, je me jette sur la serrure de la porte d’entrée puis nous galopons 3 étages pour ouvrir et se jeter sur le canapé de mon logement. Théo me regarde et me dit « J’ai gagné le droit de voir ton zizi en premier ! » Il met ses mains délicatement autour de ma taille et en me fixant avec intensité, approche ses lèvres des miennes . . .
Ensuite avec une infinie douceur, il me caresse et me déshabille, je veux faire pareil, mais il me prend délicatement les mains et me dit : « attends » !
Il m’enlève mes chaussures, chaussettes, pantalon (et me caresse le sexe, les fesses), puis me met torse nu. Il m’allonge sur le lit en boxer et me mordille le sexe à travers le tissus, puis descend doucement le boxer et fait apparaître mes poils : d’abord la ligne de poils qui descend du nombril, puis qui s’élargi au niveau du pubis en une belle touffe noire courte, puis le haut de ma bite, puis entière qui gicle, puis mes couilles et leurs poils, il continue à baisser mon boxer, mes cuisses toutes poilues en haut, puis une fois entièrement nu, allongé il se couche à côté de moi et me dit : « à ton tour ».
Je me lève, en érection totale évidemment, lui vire chaussures et chaussettes, puis tire sur le pantalon, ça lui baisse à moitié son boxer noir, on voit le début de sa bite, son beau ventre poilu !
J’enlève le haut, puis quand il n’a plus que son slip je le mets à plat ventre, lui dégage ses belles fesses et commence une belle fessée, pour s’amuser ! Il crie de surprise et un peu de douleur, se relève, j’en profite pour lui enlever totalement son boxer et on commence à se bagarrer comme des mômes sur le lit. C’est tellement bon de serrer le corps de l’autre dans ses bras, le plus fort possible, le plus intimement possible, tout en bandant …Si bien que rapidement on est en 69 très « actif », chacun excité pour pénétrer l’autre … Bouffage de cul réciproque, doigtage, …on est de force égale, mais là encore, sur la durée, Manuel l’emporte, se met à plat ventre sur mon ventre, m’écarte les jambes, bloque son pénis sur mon cul et me regarde pour voir s’il y a besoin d‘un préservatif. Je lui fais le signe « safe » lui pareil et il m’encule direct à fond, pas comme un brute, mais costaud tout de même ! Je crie et me cambre vigoureusement, il me calme aux bisous, s’excite dans mon trou, jouit comme un fou en se propulsant sur moi et en gémissant. Puis s’écroule sur moi et ne bouge plus du tout … A un moment son sperme commence à couler et sortir de mon cul, il sort aussi, je le mets sur le dos et l’encule direct aussi, je le désirais tellement ! ! !
Je suis allongé sur lui, ventre à ventre, nos toisons pubiennes se mélangent, je le pénètre, c’est sublime …Puis je jouis en lui, j’éjacule en criant mon bonheur, mon envie, mon énergie de mâle ! ! ! Ensuite on reste comme ça en se câlinant. Il est 12h50. On a encore une heure devant nous… On reste comme ça. Je débande, mon sperme commence aussi à couler. Je sors ma bite mi molle du cul de Manuel, on s’embrasse et on se frotte le sexe contre celui de l’autre, ce qui aurait tendance à nous refaire bander …
Moi, Théo - une douche ensemble, ça te dit ? Elle est petite, on va peut-être se toucher …
Manuel – carrément, mais si tu me touche, gare aux représailles !
Théo – faut pas trainer quand même …
On s’est bien lavé, chacun prenant soin de la propreté de l’autre. Quelques doigts dans le cul, bisous, …. Puis on a fait un méticuleux séchage de l’autre dans la pièce principale car le coin douche est trop petit. Une petite bière en même temps, puis un café, une clope. 13H30. Bon plus que 20 mn … Théo : on fait quoi ? Manuel : on s’encule, 10mn chacun, il me retourne, je suis debout, baisse mon pantalon et le sien et me pénètre …humm quel bonheur réciproque ! Il jouit, reste un peu puis me dit : à ton tour ! Je l’encule aussi et lui injecte ma semence de mâle. 13h45, reste 5 mn, on garde chacun le sperme de l’autre dans son fion, ça fera un souvenir pour la journée. Ils se rhabillent. En laçant leurs chaussures, un pied sur une chaise, ils sentent le sperme de l’autre couler à cause de la position. Leur boxer, tendu sur leur fion s’imbibe de semence, ils se regardent et comprennent ce que ressent aussi le copain.
Bon il est l’heure, on y va ! On se retrouve chez toi après le boulot ? Moi c’est pas avant 18h00… Moi pareil, je te file mon adresse car tu n’es encore jamais venu chez moi ! J’ai hâte ! ! !
On est sur le trottoir, on se regarde : poignée de main, bisou chaste, bisou sur la bouche ? Une évidence réciproque : sur la bouche! On est gaulé par des passants bienpensants, mais on s’en bat les couilles … on est tout de même restés discrets !
Une réaction, un petit mot, une remarque, un smac, une tarte dans la figure, tout est bienvenu et permet de continuer à écrire …
Stéphane
