Éco-construction

Premier jour

Hugo mec du lieu

Leo gentil doux blond copain Hugo

Paul mon préféré

Moi Arthur

Salut les mecs ! J’ai 26 ans et ne fait rien de spécial, je vis chez mes parents en région parisienne. 175, châtain clair bouclé, assez poilu au naturel, mince, on me dit beau mec. Je m’ennuie et j’ai vu une annonce pour un chantier éco participatif en Bourgogne. Ça me tente bien … J’appelle au numéro, un mec me répond OK, sympa enthousiaste ! On est vendredi, ça commence lundi, cool !

Je prépare ma tente, mon duvet, un peu de bouffe, ma lampe frontale, quelques fringues …

Lundi à 6h00 je suis parti, j’ai 3h de route, je n’arriverai pas trop tard, j’ai une vieille Peugeot !

Une fois arrivé, pas facile à trouver le lieu, le village est paumé, désert ou presque, puis un chemin de terre fléché « chantier participatif » vite fait sur des cartons. Au bout du chemin 2 caravanes et des matériaux et une maison ossature bois en construction.

Un mec m’accueille : moi c’est Hugo, toi tu es Arthur ?

Oui c’est moi Arthur.

Il me serre chaleureusement la main puis m’entoure de ses bras en me serrant, comme moi il a les cheveux longs, attachés et la barbe. Il est brun bouclé, poilu, les yeux rieurs, vifs et francs, plein d’énergie !

Bon, tu veux un café ? J’en ai préparé sachant que tu arrivais. Il y a deux autres garçons qui participent aussi suite à mon annonce, ils arrivent cet aprèm ou ce soir, celui de cet aprèm est un copain que je connais.

Je rentre dans sa caravane qui est chaleureuse mais plutôt en bordel, il se roule une clope et on se boit ce café !

Comme taff il y aura à finir l’ossature bois et monter un mur en terre crue. Tu aimes quoi toi ?

Je suis perdu dans son regard et ne pense qu’à dire : TOI ! Mais je bredouille Je sais pas un peu tout le jardinage, la forêt, …. Je mate son pantalon ample en grosse toile qui cache ses formes, seul une déchirure à la cuisse laisse voir sa peau poilue !

Bon, installe-toi, tu dormiras dans l’autre caravane (ZUT !°), tu la partageras avec le mec qui arrive ce soir (J’espère qu’il est bien !).

Non sort pas ta tente ni ton duvet, il y a une grande couette (Chic ça facilite les rapprochements !°).

Je pose mon sac à dos dans la caravane un peu mieux rangée, pleine de couettes et de couvertures.

Arthur me regarde m’installer avec son beau sourire, une envie sexuelle monte de mon périnée …..

Comme il fait doux je suis en tee shirt bermuda et on monte la cloison en bois. Effectivement il faut au moins être 2 sinon c’est compliqué de tenir le bois et de clouer en même temps. A chaque fois qu’Hugo se plie en deux, son pantalon ne suit pas et je vois la raie de ses fesses poilues …

Plusieurs fois il cloue pendant que je tiens les poutres de bois, collé à moi, sa braguette collée à mon cul. Ça me fait bander mais je ne dis rien, je crois deviner de la malice dans son regard !

Le midi on mange tous les deux un truc vite fait. Comme, il fait doux, Hugo a remplacé son pantalon par un bermuda maison, un peu déchiré. Il est assis sur du bois en face de moi, les jambes écartées. Evidemment je mate mais ne voit pas grand-chose ! Dommage …

dans l’après-midi, le copain d’Hugo, Léo arrive…. Mon ventre se noue, il est génial, 170 blond, un peu plus jeune que nous, et d’une extrême douceur et gentillesse. Hugo le serre dans ses bras, lui fait un long Hug et l’embrasse tendrement, je suis un peu jaloux et me remet à bander ! J’en ai marre de bander serré dans mon bermuda et vais dans la caravane le changer contre un vieux short.

Quand je reviens Hugo le remarque et me dit « c’est bien tu te mets à l’aise » ….

L’après-midi continue comme le matin mais Hugo est maintenant plus près de Lèo que de moi.

En fin de journée arrive le dernier, il descend d’une vieille camionnette, j’ai un choc, un mec super !

180, châtain clair comme moi mais cheveux raides courts sur les côtés avec une queue de cheval, barbe et corps bien musclé. Yeux bleus perçants d’une force incroyable, en pantalon de travail troué sur ses cuisses poilues.

Il arrive de loin et est bien content de se détendre.

Salut Paul, dit Hugo, bonne route ?

Oui un peu long ma camionnette n’avance pas et c’est très bruyant, mais sinon ça va ! Répond Paul.

Bon tu partageras la caravane avec Arthur, sort rien pour dormir, il y a çe qu’il faut dedans ! Explique Hugo.

(Moi :A deux sous la couette, Whaou !)

On se refait une petite bouffe le soir, quelques cigarettes autour du feu. Hugo connait Léo, ils se sont assis côte à côte, je me suis donc mis près de Paul. Il est à l’aise, vivant, plein d’énergie, tactile : il me donne une tape dans le dos et dit : alors, on va dormir ensemble et demain bosser à 4 !

Oui , je suis super content !

Paul me répond en rigolant : tu dis ça mais tu ne me connais pas encore, on verra si tu dis toujours ça demain !

(pourquoi ? Il va se passer quelque chose ???). Je suis plus timide que lui, mais ne me laisse pas faire. Je me lève, le tire par les épaules et le fait tomber sur le dos et commence à jouer à se bagarrer avec lui. Il adore et on jour comme ça quelques minutes.

Bon, les enfants, fini de jouer, dit Hugo, il faut se coucher, il y a du travail demain !

Nous : Oui Papa !

Nous nous dirigeons vers la caravane pour dormir. Chacun se détache les cheveux, ce qui nous donne une allure tout à fait différente, un peu préhistorique, hirsute ! On range un peu, on étale la meilleure couette sur le lit. J’adore l’odeur de la pièce. Cela ne sent pas la transpiration, mais un peu, ça sent le jeune, la force, la liberté ….

Une fois le lit prêt on se met juste en calbut et on se couche. C’est très troublant d’être comme ça à côté de ce mec si beau, si sympa, si naturel !

On se tourne l’un vers l’autre et on commence à discuter, moi je bande, et Paul ? J’aimerais bien savoir ! On bouge un peu, chacun cherchant sa place, mais le lit n’est pas très large et Paul est plutôt grand, nos pieds se touchent. T’as froid aux pieds me dit Paul, attend que je te réchauffe, et il commence à se bagarrer gentiment avec moi, nos corps se frottent, je suis dans un état pas possible alors que lui est très à l’aise. Il finit par me bloquer sur le dos en se couchant sur moi, me tenant les mains bloquées au-dessus de la tête !

Tu ne peux plus rien faire là me dit Paul !

Je suis terrorisé du fait qu’il puisse sentir que je bande … Et là il colle son bassin sur le mien et d’une façon très tranquille me dit : il y a déjà une partie qui est bien chaude ….

Il approche son visage du mien et me dit : on ne s’est pas fait son petit bisou du soir et, très délicatement il me fait un tout petit smac sur les lèvres …..

Je n’en peux plus, je suis dans un autre monde, dans une caravane isolée avec un adorable mec que je ne connais pas, je perds pied, je perds tous mes repères, mon éducation, mes tabous et cherche sa bouche pour lui rendre son baiser. Je le trouve vite, il n’attendait que cela et enchaine en roulage de pelle, mes mains toujours bloquées au-dessus de ma tête ! Comme je ne peux rien faire je frotte mon bassin sur le sien. Quel bonheur, à travers nos calbut chacun sent la bite en érection de l’autre …

Il me lâche les mains et chacun commence à caresser le torse de l’autre, ses poils, se tétons, on commence à gémir, on s’embrasse franchement ….

Puis évidemment peu à peu les mains descendent, comme Paul est sur moi j’entre les mains dans son calbut pour lui caresser les fesses poilues, j’adore ! Il se décale un peu pour atteindre plus facilement mon corps, ses mains caressent mon ventre, les poils entre la ceinture et mon nombril, puis entre dans mon calbut et saisit ma bite. J’arrête tout et gémit longuement, c’est trop bon ….

Ensuite je lui fait pareil, la main dans le calbut, je saisis sa bite (environ 18), je lui plote les couilles, il adore ça et écarte les jambes…

Il vire la couette, s’assois et me retire mon caleçon, je lui enlève aussi le sien. On est totalement nus tous les deux, les cheveux détachés dans tous les sens comme deux sauvages. Il m’attrape ma tignasse et m’embrasse à fond avec la langue, la salive, en appuyant bien. Nos bites se tendent à mort. Il relâche son étreinte et d’instinct chacun se dirige vers le sexe de l’autre pour le sucer. On est tous les deux sur le côté, en 69, on se suce la bite, une couille, l’autre, les deux, le périnée, le cul en écartant les cuisses de l’autre, c’est génial. On ne se connaissait pas il y a 3 heures et là on est en fusion totale !

Il tête à fond ma bite en me plotant l’anus, je vais jouir, je fais comme lui et chacun éjacule dans la bouche du copain. Je n’aime pas du tout ça en temps, normal, même mon propre sperme, mais, là on est dans un autre monde. Ensuite il m’attire violemment vers lui pour de nouveau m’embrasser et mélanger, gouter nos spermes. Nos bites encore toutes dégoulinantes se frottent sur nous, sur les draps la couette…. Bouche contre bouche, sexe contre sexe, on recommence mollement à bander, puis on s’endort comme çà, enlacés !