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Chapitre 3
Je n’ai pas passé de très bonnes semaines, après ce qui nous était arrivé sur cette bordure de nationale. D’abord, mes hanches avaient eu du mal à s’en remettre. J’ai longtemps senti une douleur lancinante remontant dans mon bassin ; sans parler de mon trou, évidemment. Il a fallu du temps pour qu’il … se resserre. Mais ça, ce n’était pas le pire. Non, le pire, c’était mon orgueil. Vous ne pouvez pas savoir combien de temps ça m’a pris d’effacer ce … crachat qu’il avait laissé sur ma peau. Son numéro de téléphone, quel enfoiré. Sans parler du fait que j’ai essayé de baiser ma copine, après ça, vous pensez … pour m’en remettre. Mais après un ou deux coups de reins, j’ai bien compris qu’à l’arrière … ce n’était pas possible. Vous imaginez ? Être incapable de baiser votre copine parce que vous souffrez trop après vous être fait enculé ? C’était l’horreur.
Seulement je pensais que ça allait passer tout seul. Le numéro effacé, le cul rétabli, et après avoir suffisamment sauter mon amie, j’allais oublier, laisser ça dans son coin. Sauf que ça ne s’est pas passé comme prévu … Parce qu’elle, que j’appellerai Hélène, ne me laissait pas simplement oublier, ma queue dans sa bouche. Elle s’était mise à m’en reparler, oui.
Au début, je l’envoyais un peu paître, tout bêtement. Et puis j’ai fini par comprendre que ça n’allait là encore pas être aussi simple … elle ne cessait de me reparler de ce que ça avait été de sucer une bite, de prendre dans le cul, etc. Elle me rappelait bien que oui, il se peut, très éventuellement, que j’ai un peu bandé en me faisant enculer sur cette route. Je suis presque sûr que c’est une réaction physiologique normale. … Mais, bon. Elle avait envie d’essayer de nouvelles choses, et moi, je n’avais pas envie de la perdre. C’aurait été trop bête … juste pour ça. Alors j’ai fini par céder … de toute manière, avoir des pratiques de gay avec ma copine, ça n’était tout de même pas pareil qu’avec un inconnu, qui monnayait mon cul contre son gasoil. Alors d’accord.
Mais vous autres, vous savez ce que perso je ne soupçonnais pas, à l’époque. Ma copine, dans sa petite tête, commençait à avoir les mêmes opinions que vous, concernant ce type et ses jeux de pervers …
Moi je ne l’ai su que deux mois après, pendant des vacances. Depuis on avait fait certaines choses tous les deux … elle m’avait offert une panoplie de godemichet, et aimait bien les manier. Jusque là pour moi, ça allait … ce n’est pas comme si c’était désagréable, et tant que je pouvais la sauter avant ou après, ça m’allait. En général, je lui demandais une gâterie, en même temps qu’elle jouait avec ces … trucs. Ca passait plus facilement comme ça.
Bref, jusque-là, tout allait bien, et je commençais à relativiser à propos de cette histoire. D’ailleurs je pense que c’est ce qu’elle attendait pour me proposer ce que je vais vous raconter ... ça en plus de se décider elle-même sans doute. Enfin bon assez de suspense, ce n’est pas comme s’il était très consistant, elle m’a proposé de faire un plan à trois avec ce type. Je me rappelle très distinctement l’avoir traité de barge, quand elle m’a proposé ça … c’était hors de question, et j’avais mes arguments. Déjà, le type était à franchement pas grand-chose d’être un violeur, si vous voulez mon avis. Je dirai pas que c’en est un parce qu’on va encore me dire que j’exagère, mais j’étais pas loin de le penser. Ensuite, il était vulgaire, et enfin, il avait pris plaisir à m’humilier. Je n’avais AUCUNE envie qu’on aille tous les deux nous dandiner sur sa queue.
Mais, bon … c’était ma copine. Elle n’était pas bête, c’est pour ça que je m’étais mis avec elle, entre autres. Elle avait du répondant et a pas hésité à me le montrer … par exemple, elle m’a fait remarquer qu’un autre inconnu serait pas mieux, qu’on risquait de tomber sur des mecs pas forcément mieux que lui. D’un autre côté, faire ça avec un de nos amis, ça risquait d’être carrément awkward … je ne pourrais plus le voir de la même façon après qu’il ait osé tripoter ma copine. Laquelle copine tenait à ce que j’ai un rôle féminin et que je me fasse prendre pendant ce plan. Donc il aurait fallu que je me fasse enculer par un pote … ça non plus, ça ne m’enchantait pas.
Finalement, elle m’a eu avec un marché … déjà, si le type ne voulait pas, elle me foutait la paix avec ça jusqu’à ce qu’éventuellement je sois plus intéressé, ou qu’elle est un truc plus attrayant à me proposer. Déjà ça m’allait. Ensuite, elle me promettait, parce que j’avais bien précisé que ça m’emmerdait, que durant la soirée elle ne le sucerait pas, ne se ferait pas lécher, ni ne baiserait avec lui sans mon accord. Quitte à ce que, et elle était prévenu, je ne le donne probablement jamais. … Bon. Eh ben mettez-vous à ma place … c’était juteux comme contrat, pour ne pas déclencher une engueulade ou une rancœur dans mon couple. J’ai accepté en me disant qu’avec un peu de bol, le type ne serait pas intéressé.
Du coup, oui, en effet, je suis un con. Mais je voulais rester avec ma copine, donc j’ai tenté. Et si vous aviez déjà goûté à son minou, vous comprendriez. Ceux qui disent que les rousses c’est bas de gammes n’ont jamais baisé ma copine. Bref … à peine une heure après que j’ai accepté le deal, on avait rendez-vous avec le type dans un studio en ville le Jeudi qui venait. J’étais content, tiens …
Et donc voilà … c’était un peu long, mais je voulais que vous comprenez bien comment je me suis retrouvé dans le couloir plutôt propre qui menait au studio de ce type, avec ma copine plutôt contente à côté de moi.
- Ca a intérêt à être clean … précisai-je encore une fois. S’il ramène du monde en plus ou qu’il te tripote plus que convenu, on se barre, c’est clair et net. Ok ?
- Oui, oui, c’est bon ! M’assura-t-elle. On en a déjà parlé, pas de soucis.
Sa réponse me fit grommeler, j’étais toujours autant agacé d’être là, en sachant que j’allais encore me faire enculer et traiter de tous les noms … « une expérience à réessayer » … tu parles … vraiment, il n’y avait qu’elle que ça faisait triper. D’ailleurs, avant de sonner chez lui, je me fis la réflexion qu’on aurait pu payer un escort … ça m’aurait pas trop gêné de me faire sauter devant elle par un de ces types. Mais bon … trop tard. Donc j’ai sonné. Et après un temps d’attente, le type a ouvert, avec un air amusé sur le visage.
- Entrez.
- Trop aimable.
- Sois gentil … me gronda ma copine en me suivant à l’intérieur.
C’était en fait plus grand qu’un studio, au final, mais ça restait petit. Comptez pas sur moi pour vous parler de F1 F2 ou je ne sais pas quoi, j’y connais rien. Je peux juste vous dire que c’était petit, avec un couloir directement en entrant qui menait à une pièce principale avec cuisine américaine. Sur la gauche directement en entrant, une salle de bain, et toujours sur la gauche une fois dans la pièce, une chambre, qui avait une porte vers la salle de bain. C’était là-bas que j’allais me faire enculer.
- Donc ? C’est là-bas que ça se passe ? Demandai-je sans trop attendre de réponse.
J’en reçu une cependant … une main au cul.
- Exact … c’est là-bas que je t’encule, cette fois. Comme je peux pas toucher à Miss Hélène je vais tout donner là-dedans … Dit-il en ponctuant sa phrase d’un malaxage douloureux de mon cul.
Enervé, je dégageai sa main sans rire, et me dirigeai vers le plumard.
- T’as de quoi à picoler, avant qu’on s’y mette ?
Je tournais la tête vers lui pour qu’il me réponde, quand il leva son doigt pour me faire attendre, le temps d’une bise avec ma compagne. Glissant une main directement à l’un de ses bons seins au passage. Ca me fit grincer les dents, à plus forte raison parce que ma copine n’en sembla que plus amicale envers lui.
- Tu réponds oui ou merde ?
- Du whisky, pour les hommes. Du lait fraise, pour les autres.
Je pris une grande inspiration, puis réussit à ne pas m’énerver encore plus.
- Eh ben file moi un whisky.
Le type s’arrêta dans son étreinte avec ma copine, une autre main déjà sur son cul, et tourna la tête vers moi. D’abord sans rien exprimer, puis souriant.
- Ah oui, un homme … ? … On en reparlera quand je te ferai … chanter.
Je levai les yeux au ciel et attendit ma boisson, sachant très bien que ça ne servait à rien … et de toute manière, je savais bien qu’il allait me baiser. C’était ce que voulait voir ma copine, et je le lui avais accordé. Mais … ce n’était qu’un mauvais moment à passer, n’est-ce pas.
Le type se sépara donc de ma copine et s’approcha du comptoir de la petite cuisine, me faisant un whisky en vitesse.
- En espérant que ça te détende, ma belle.
Puis il retourna vers ma copine, qui m’avait lancé un regard d’avertissement quand j’ai failli l’envoyer chier. Je me suis levé, me suis approché de mon verre, en lui glissant un « Oui, oui, gentil » à l’oreille au passage. Pendant que je m’enfilais le whisky sec, étonnamment haut-de-gamme, les deux autres se mettaient déjà au plumard.
Je vis donc le type s’allonger sur le dos pendant que ma copine lui grimpait dessus, s’allongeant sur son flanc. Le voir tripoter les formes d’Hélène me mit en rogne … comme n’importe quel mec oui bien sûr, mais c’est encore pire avec elle. Parce qu’elle est TELLEMENT bonne, vous n’imaginez pas … une rousse pâle comme je les aime. Vous verriez ses seins … deux belles poires bien voluptueuses et remplies, toutes blanches. Un petit cul rebondie et ferme, tout blanc aussi, une vraie paire de cerise. Tout le monde la mate, et rien que ça, ça m’énerve … mais je fais avec, je peux pas l’empêcher. Alors le laisser faire ça … enfin, au moins, j’avais réussi à obtenir que ça n’irait pas plus loin que des préliminaires, entre eux.
Je m’approchai donc, quand je me penchai sur ma copine pour l’embrasser aussi. Elle le fit, et je commençai à lentement grimper sur le lit. C’est ce moment que le type choisit pour m’agripper le bras et me faire chuter. Il se retrouva alors avec ma copine à gauche, et moi à droite, contre lui. Il nous mit à tous les deux une main au cul. J’allais protester, mais ma copine réagit avant moi, d’un air enjoué, et se dandina contre lui. Je me rétractai donc, mais n’acceptai toujours pas notre partenaire, ni mon rôle dans cette baise.
Le type le sentit, et ricana. C’est une de ses qualité insupportable. Il sent tout, il voit tout ; ça me ruine de l’admettre, mais je pense qu’il a un Q.I. supérieur.
- Si tu n’aimes pas les câlins, mets-toi direct au travail …
Il me mit une main dans les cheveux, et me fit descendre de force. Ma copine tourna son regard vers moi, et me sourit.
- Allez, mets-y un peu du tiens !
Puis elle retourna fourrer sa langue dans la bouche de ce type, pendant qu’il me forçait à ramper à reculons. Quand ma bouche se retrouva au bon niveau, je senti sa poigne se resserrer, et je su qu’il ne me laisserait plus bouger. Je n’avais plus qu’à me mettre au travail.
Ca pourrait vous sembler bizarre, mais à la limite, je préférais comme ça. Pas besoin de faire semblant de me plaire. Ils s’amusent, je lui vide les couilles, et on dégage. Ca m’allait, comme plan.
Je portai donc mes mains à sa braguette, quand il tira sur mes cheveux. « Avec les dents, chérie » l’entendis-je me lancer de là-haut, entre deux léchouilles. Je retins une insulte, puis obéit. Ca me prit une bonne minute, de choper sa braguette avec mes dents … résultats, je n’ai pas arrêté à me frotter à son entrejambe, ce qu’il avait l’air de bien aimer. Ca sentait déjà le musc masculin …
Une fois son truc ouvert, je me permis d’utiliser mes mains pour le bouton et baisser le futal, ce qu’il n’empêcha pas. Il n’avait probablement pas envie que j’y passe une heure non plus, vu que sa queue gonflait contre mon visage depuis une minute. Son caleçon, par contre, il ne me laissa pas faire … et je dû attraper le tissu entre les dents et tirer dessus.
- Mec c’est galère …
- Je m’en tape. Continu. M’ordonna-t-il.
Je dû prendre une grande inspiration, mais garda mon calme … tirant sur le tissu. Au début je pigeai pas … mais quand le haut de sa queue fut sorti, je compris son stratagème. Pendant que je tirai sur le tissu, je passai tout mon temps la tête contre lui. Ce fut encore plus déplaisant … pendant que je tirai sur son caleçon, son sexe était de plus en plus présent contre mon visage … et ça frottai, et ça frottai, j’avais l’odeur du musc de son entrejambe contre les narines. Et comme il était bien chaud … il me laissait de l’humidité partout où son gland passait. Je l’entendis glousser et soupirer tout du long, bougeant son bassin contre moi, se branlant pratiquement contre ma peau. J’en soupirai presque de soulagement, quand je vis son sexe enfin bien dressé devant moi …
- Allez au boulot … marmonna-t-il le mec, qui avait le visage dans le cou de ma copine.
Un petit regard vers eux me permettait de savoir qu’ils s’amusaient bien … Il lui caressait les seins à travers son chemisier, elle lui touchait son ventre dur … et elle avait déjà une main à l’intérieur de la culotte. Je ne peux pas dire que ça me plaisait … mais tant que ce n’était pas lui qui lui touchait la chatte … ça m’allait. Qu’elle reste relativement habillée. Et puis il ne fallait pas abuser … je lui suçais la bite, il n’allait pas en plus aller fourrer sa tête dans la culotte d’Hélène. Ce genre de trucs, c’était la limite que j’avais fixé.
Enfin bon, moi, j’ai bien dû me mettre au boulot … alors tout de suite, j’ai sorti ma langue, et j’ai commencé à lui lécher le gland, puis la verge. Heureusement, il ne sentait pas l’urine … je sais que ça plait à certains … pas à moi. Par contre il sentait le musc, la sueur, et la chaleur … une vraie odeur de mâle, j’imagine. J’en avais plein la bouche et le nez … alors je finissais par m’y faire …
Et même bien m’y faire … ça, c’est un truc que l’autre aurait pas pu vous dire. … Ou peut-être que si, vu que monsieur a des yeux dans la tête des gens. En tout cas … j’avais beau dire … sa bite est bien plus grosse que la mienne. Moi je suis banal, j’ai rien de spécial … elle est pas bien longue, pas petite non plus. Plutôt fine. Lui … oh il tape pas dans les 24 centimètres comme apparemment tout le monde sur les sites de récits de cul … mais il a une vraie bite de mâle … bien dure, un peu longue, et large. Il y a de quoi s’en mettre plein la bouche … et bien assez pour casser n’importe quel cul. Et, oui, ça m’excite … toute ma vie, toute ma vie j’ai rêvé d’avoir une vraie bite, de faire crier ma copine … et lui il en avait une … bien grosse, bien vivante, bien chaude … ça attisait à la fois ma jalousie et mon appétit. Et cette odeur de musc humide et chaud … eh ben oui, j’aime ça. Et même si je ne l’ai pas avoué avant longtemps, oui, j’assume qu’à ce moment là … j’adorais avoir son odeur plein le visage et sa queue contre ma langue.
Je le sentais déposer son jus sur ma langue quand je léchais le gland … et quelque part, j’avais qu’une idée, c’est de regoûter son sperme, pour voir si j’aimais ça, au final. Alors j’ai pris sa belle bite dans ma bouche et j’ai fermé les yeux, me concentrant sur l’odeur et le goût. Et j’aimais bien … alors plus gourmand que je le pensais de moi, j’ai vite commencé à en prendre plus de la moitié … c’est pas compliqué … plus j’en prenais, plus le trajet contre ma langue était long … et donc plus j’en avais les papilles … Oh ce musc, cette sueur … j’avais du mal à garder ma mauvaise foi et ne pas commencer à faire la chienne avec sa queue …
Et ce qui est sûr, c’est qu’il aimait comment je suçais … et on peut tous comprendre … dès que je remontais contre sa bite, je le faisais en aspirant, comme si je voulais récupérer son jus. Prenez-en de la graine, c’est un indispensable pour les meilleures gâteries … en tout cas, il s’est vite mit à me faire remarquer que je suçais comme une vraie gourmande.
- Ah oui … ? C’est bien ça … réagit ma copine, avant que je ne la sente bouger, plus haut.
J’ouvrai alors les yeux, et la vit lui grimper dessus, devant moi … enjamber son ventre et s’asseoir dessus, puis se pencher sur lui. Se pencher … beaucoup, et se dandiner … j’entendis le mec glousser et pousser quelques gémissements sourds de délectation, comme quand on mangeait un bon plat. Ca me fit déglutir … putain … même si je me plaisais bien avec sa bite … j’espérais qu’elle n’était pas en train de le laisser fourrer sa tête dans ses seins … rien que de penser qu’il puisse y avoir la tête pour tout goûter … ça me faisait crever de jalousie. Et j’avais bien dit non à tout ça …
Mais … je n’étais pas sûr non plus … et si je cassais l’ambiance maintenant, juste sur une vague impression qu’elle le laissait lui lécher les seins, elle risquait de me le faire payer. Alors … sur un soupir intérieur, je me fis violence, et continuais à le sucer bien docilement …
Au bout d’un moment cependant, alors que je lui suçais toujours la queue et qu’ils se faisaient leurs préliminaires, ma copine lui dit un truc curieux.
- Allez … j’ai envie de m’y mettre, maintenant …
- Déjà ? Ricana-t-il, en réponse. Mais je peux comprendre … va t’amuser.
Alors je fronçais les sourcils, et lâcha un « de quoi vous parlez ? » avant qu’il ne me la refourre, et jusque dans la gorge, pendant que ma copine sortait du lit. Il me sourit alors.
- T’inquiète pas, tu sauras bien assez tôt. Continu de te régaler …
Je lui fis un regard noir d’autant plus hargneux qu’il avait raison, même si je ne voulais pas l’avouer à voix haute, alors que ma copine quittait ma vision périphérique. J’entendis une armoire s’ouvrir, et ma copine sortir des trucs. J’étais curieux … mais j’étais maintenant sûr qu’il n’avait pas, ou plus … ?, la tête entre ses seins, et ça m’allait bien.
Assez vite, ma copine s’approcha derrière moi. « Je te déshabille, tend un peu les bras ! » me fit-elle savoir, avant qu’effectivement je ne l’aide un peu à me dénuder. Plus collaboratif avec elle qu’avec l’autre, pour sûr …
- Bougez un peu par contre.
Elle fit sans doute signe au type, qui effectivement nous fit changer de position. D’allongé, je passais à semi-allongé … c’est-à-dire le ventre et le buste sur le lit, dans la même position que depuis le début de ma pipe, mais mes genoux, pieds, et mollets au sol. En gros, j’étais à genoux devant le lit, et je m’allongeais sur le ventre pour lui sucer la bite.
C’est dans cette position que j’eu un grand sursaut, quand deux doigts glissés dans une capote lubrifié pénétrèrent mon œillet. J’ai failli me mettre à geindre, mais il me bâillonna avec sa bite, et ma copine vint m’embrasser le dos.
- Eh t’inquiète … c’est comme à chaque fois … relax.
Je lui aurai bien répondu que d’habitude, elle prévenait avant de me mettre l’équivalent d’un petit sexe entre les fesses, mais encore une fois, j’avais la bouche pleine. Alors je la laissai me doigter, comme elle faisait souvent, pour un bon moment … d’ailleurs, je commençais à être surpris … moi, je jouissais plus vite que ça, quand on me faisait une bonne gâterie … et l’autre fois ça n’avait pas duré tellement longtemps. … Mais bon … j’imagine que la première fois, il n’avait pas l’intention de faire durer le plaisir plus que ça, dans la neige. Maintenant qu’il me tenait, il ne se pressait pas …
Bref, ça m’allait … j’avais un peu l’impression d’être le baisé de cette histoire, vu que d’un côté je bossais en suçant ce type que j’aimais pas et que de l’autre on s’amusait à visiter mon trou … mais bon. Je savais en venant que je me fais arnaquer. Donc ça roulait.
Et ça roula comme ça … dix minutes de plus ? Jusqu’à ce qu’elle retire ses doigts, et qu’il y ait du mouvement derrière. Elle me lubrifia entre autres … ce qui commençait à m’inquiéter … je m’attendais à un gode … mais déjà je n’étais pas à l’aise. Vu la position, elle pouvait y aller bien profond.
Mais ha … quel naïf j’étais … elle avait prévu bien plus savoureux, pour moi. Enfin, elle … ils. Je ne le savais pas à ce moment-là, mais dans mon dos, ils avaient pas mal discuté de ce jour. Bref … je senti ma copine … se placer derrière moi, et d’un coup d’un seul, me prendre les hanches, à deux mains. Bien fermement, un peu brutalement … ça la fit glousser. Elle me prenait les hanches exactement … comme un homme le ferait. Comme lui, il l’avait fait avec moi, sur le capot de ma bagnole …
- C’est pas désagréable hm … ? S’en amusa le type qui me remplissait toujours la bouche.
- Ouais … je comprends pourquoi vous aimez le faire comme ça …
Elle se mit à me pétrir les hanches … et moi, je me mis à vouloir savoir. Alors je quittai sa grosse bite dans un « pop », et tournai la tête vers elle. Mais avant que j’ai eu le temps de la voir ou de pousser un son, elle se pencha sur moi …
Dans ce geste … au même moment, je repris sa verge en bouche … et surtout … je senti quelque chose, passer contre mes fesses. Quelque chose que je reconnaissais, ou presque … c’était un godemichet. Mais pas un de ceux que je connaissais … Non … un gros. Un de ces godes probablement moulées sur les plus grosses bites de ce site.
- Shhht … continu … mange-le bien, fais toi plaisir … me souffla-t-elle, tandis que sa deuxième main quittait ma hanche pour aller saisir le gode.
De mon côté, c’était la panique … elle me faisait quoi, là … ? Le gode était attaché à ses hanches ? C’était quoi, un de ces espèces de trucs pour lesbiennes ?
C’est les questions que je me posais … mais rapidement, ça n’a plus été mon problème principale. Je senti le … « gland », frotter contre mon œillet, puis d’un coup de rein de ma compagne, s’y mettre bien profond. Pendant que je poussais un cri des plus pathétiques étouffés par la bite du type, je l’entendis gémir … un bon vieux gémissement de plaisir féminin, alors qu’elle me faisait prendre la plus grosse bite qu’on m’ait jamais infligé. Mais surtout … elle avait toujours sa main dans mes cheveux … et quand elle prit son pied à m’enculer … elle m’a enfoncé la tête bien profond contre la peau du type. Je me mis donc non seulement à crier, mais aussi à tousser et m’étouffer tout à la fois, sa queue dans la gorge.
Je vivais ma pire vie, une queue trop profond dans la gorge, une autre bite deux fois trop grosses en moi, et en plus portée par quelqu’un qui n’était pas sensée … m’enculer, ni plus ni moins. Alors évidemment, ça fit éclater de rire cette espèce de con.
- Vous devriez voir vos têtes ! Ca n’a pas de prix, je vous le garantis …
Mes yeux avaient roulés vers le haut dans mes orbites, et je le voyais bien sourire et se marrer. Il avait mis ses deux mains derrière sa nuque et nous matait.
- Désolé Aaron … soupira ma copine derrière moi. Je voulais garder ça secret …
J’eu une réponse cinglante. Pour de vrai, d’ailleurs, je ne vous mens pas. Mais à l’oral, ça donna à peu près ça :
- MmmMMMMGBBLMMH ?!
Et aucun des deux ne sembla se soucier du fait que j’étais outré et sur le cul. Elle serra fort mes cheveux et me saisit la croupe de son autre main, commençant … à se déhancher en gémissant, me faisant me plaindre pitoyablement, envoyant des vibrations autour de sa queue. Ces enfoirés avaient pris un truc … d’au moins 22 centimètres, peut-être plus, et encore plus large qu’une bite de black. Hélène ne voulait pas simplement … prendre son pied comme le faisait les lesbiennes, quel que soit l’espèce de système qu’elles utilisaient avec leurs godes … elle voulait me baiser et me défoncer, elle voulait littéralement me casser le cul avec une grosse bite.
- Alors, ça te plaît … ? Demanda le type, en souriant à ma copine qui faisait déjà des vas et viens dans mon œillet.
- C’est super … Soupira-t-elle en me donnant une fessée.
Elle se pencha de nouveau sur moi, et me dit d’un ton autoritaire :
- Je retire ma main de tes cheveux … mais je veux que tu la lui suces, et que tu la lui suce bien …
Elle me donna un bon coup de rein et alla me mordiller l’oreille.
- J’ai envie de baiser une petite chienne … alors sois gentil …
Puis elle se redressa, et me prit les hanches à deux mains. J’étais tellement hagard de tout ce qui me tombait dessus … enfin, plutôt de tout ce qui me pénétrait en fait, que j’en oublia d’enfin libérer ma gorge de la verge qui l’occupait. Je bavais, mais je reprenais lentement une respiration normale, et mon cerveau traitait beaucoup d’information à la fois …
Donc ouais, je suis resté là hagard, une queue dans la gorge, pendant que ma copine m’enfonçait son gros sexe en prenant son pied.
Peu à peu, j’ai fini par m’y faire … doucement je me suis remis à lui sucer la bite, le visage strié de larmes à cause de la gorge profonde. Laissant ma copine me limer … même si c’était complètement délirant et que j’étais toujours hagard. Je sentais son énorme gode m’écarter, tout pousser entre mes fesses, pendant qu’elle prenait son pied sans s’en cacher. Mon œillet était en feu … je n’avais jamais eut le cul aussi plein …
Alors quand elle s’est mise à accélérer, me flanquer une baise digne de ce nom, je me suis remis à chouiner sur la bite du type … que je ne suçais presque plus, trop endolori par l’effort que ma croupe faisait pour supporter ça. Mais ça ne semblait même pas le gêner … il avait la queue au chaud, après tout …
Ca le fit rire de me voir chouiner d’effort, et il se mit à l’encourager.
- Allez allez vas-y … pas la peine d’être soigneux, avec lui … je te l’ai dit, il n’y a que les vrais chiennes faites pour ça qui peuvent encaisser des trucs pareils aussi vite. Il s’assume pas, c’est tout. Fais toi plaisir, t’inquiète pas pour son cul … cette petite salope adore ça.
Il donna deux petites gifles sur ma joue gonflée, m’humiliant encore plus, se déhanchant tranquillement dans ma bouche. Ma copine soupira, presque un grognement en fait, et me claqua douloureusement les hanches avant de les empoigner. Et effectivement elle accéléra brutalement, se faisant elle-même bruyamment gémir. Elle était désordonnée et me baisait n’importe comment, l’horreur quand on a une bite aussi grosse … quand elle commença à me l’enfoncer jusqu’au fond, à en faire claquer sa peau contre la mienne, je pleurais carrément sur la bite du gars.
Ceux qui n’ont jamais prit des trucs pareils, vous pouvez pas comprendre. Même si ça fait pas mal, même si on ne vous force pas, prendre un truc aussi gros, ça peut vous faire chialer comme une pucelle. C’était beaucoup trop d’effort. C’est pour ça que les grands cons avec leurs bites de 20 centimètres devraient apprendre à s’en servir avant de s’en vanter …
- Voilà, bien … ! Vas-y, fais toi plaisir … Grogna le type en regardant ma copine prendre son pied en me sautant.
Alors qu’il se mettait à trembler, les gémissements de ma copine se firent trembler, et les mouvements de ses hanches se firent hachés et compulsif … ceux d’une femme qui allait jouir. Le type m’avait prit les cheveux et me forçait à lui faire une pipe digne de ce nom pendant qu’il l’encourageait.
- Allez, encore … ! Il peut encaisser, t’inquiète pas, casse tout … baise ta salope ma belle … L’encouragea-t-il en me la mettant dans la gorge.
A ces mots, Hélène gémit, grisée par toutes les images que ces mots lui inspiraient, et m’enfonça douloureusement le gode une dernière fois. Ses doigts devenus rigides, comme cassant, pénétraient douloureusement la peau de mes hanches et de mes fesses pendant qu’elle s’y agrippait, me tripotait. A sa voix je sais qu’elle est entrain de jouir, et je gémis de soulagement, piteux … elle m’avait littéralement défoncé, j’avais un mal de chien au cul … mon œillet s’était fait « ouvrir » comme jamais … j’en pouvais plus. J’attendais donc, complètement endolori, qu’elle retire enfin plus de vingt centimètres de long et facilement huit centimètres de large de godemichet de mes entrailles. Ce qu’elle fit enfin, calmement.
- C’était génial … j’ai jamais autant pris mon pied avec lui … soupira-t-elle.
Oui, ça fit mal à entendre. Rien de pire qu’une femme qui vient de jouir pour larguer ce genre de bombe sans même s’en rendre compte. Le type pouffa, et sortit de ma bouche, puis me saisit par sous les aisselles, et me retourna littéralement, comme si je ne pesais rien. Je me retrouvai allongé sur le dos, les cuisses bien ouvertes comme une femme qu’on allait tringler, et la tête qui pendait hors du lit.
- Salut chérie … sourit le mec en s’installant entre mes jambes.
Plus que jamais, je senti son poids sur moi, et je senti ce que ça fait d’être une femme pour la première fois. Sur le capot de la bagnole au moins je ne le voyais pas, et il n’était pas si proche de moi … là, il était bien au-dessus de moi, entre mes cuisses, c’était intime. Intime avec ce gros connard sans qui mon cul serait resté tout vierge … ça me sortait par les yeux … et putain j’avais honte … si honte … cette fois-ci il allait vraiment me sauter comme une femme. Je voulu lui demander d’attendre … Mais je n’en eu même pas le temps. Dès qu’il fut bien installée, il me l’enfonça jusqu’à la garde en poussant un rugissement de plaisir, pendant que je couinais comme une femelle. C’était con à dire mais … les trucs de bourrins de ma copine … avaient bien préparés le terrain pour ce baiseur … qui se pencha sur moi et me sourit.
- Je vais te faire jouir, petite chienne … tu vas gémir comme une vraie demoiselle, t’entends … ?
Il mit ses lèvres à mon oreille en commençant à me baiser par petits coups souples et experts.
- Je vais même te faire dire des mots doux … susurra-t-il.
Je lui répondis par un gémissement piteux, humilié, entre deux couinement de plaisir. Il savait que c’était humiliant, que je n’avais pas du tout envie qu’il me fasse devenir une vraie gonzesse … c’était bien pour ça que ça l’amusait.
Et il ne se fit pas attendre … déjà, je commençais à prendre du plaisir … il avait trouvé le bon angle, le bon rythme, pour que mes muscles se remettent de l’agression précédente et accueillent joyeusement le nouvel invité … c’est comme si je sentais mes muscles se resserrer autour de lui et se mettre à frétiller, se dandiner, m’envoyer plein de signaux positifs.
- Là, là … me murmurait-il d’un ton … doux et rassurant à l’oreille. En douceur … laisse ton corps me sucer …
C’était horriblement hypocrite de la part de ce salopard … je savais très bien que c’étaient des conneries … mais putain ce qu’il est bon, avec ça. Il jouait parfaitement la comédie … c’était si doux que soufflé ainsi à mon oreille, ça m’attendrissait presque à son égard, et ce qui est sûr, c’est que mon corps se détendait de lui-même … j’avais une érection, elle frottait contre sa chemise. Pas beaucoup, juste une légère friction … mais avec ce qu’il me faisait plus bas … il me baisait tellement bien que les deux combinés, ça allait finir par marcher. Tranquillement, je commençai à prendre un vrai plaisir, concret et indéniable.
Et lui, il savait rythmer sa baise. Il choisit le parfait moment pour se mettre à accélérer, me la mettre profonde … tout en me faisant prendre mon pied. Chaque coup de reins, c’était un double plaisir … à la fois mon sexe qui frottait contre son ventre et mes muscles qui s’embrasaient. Ma croupe se dandinait d’elle-même … et quand il accéléra encore le rythme, à m’entendre gémir moi-même quand il me baisait ou me murmurait des cochonneries à l’oreille, je su qu’il avait pratiquement déjà gagné … mes cuisses étaient grandes ouvertes, et ça je l’avais pratiquement oublié tellement je ne pensais plus qu’à ma croupe … elles étaient sans doute bien jolies à regarder … ouvertes et étalées comme ça … et surtout molles, n’opposant plus aucunes résistances. Il finit par carrément me la coller tout au fond, je sentais le tissu de son pantalon contre mes fesses.
Mes gémissements se mirent à emplir la salle, et n’y tenant plus, je passai mes bras autour de son cou, allant y fourrer mon visage. Il me baisait beaucoup trop bien et j’étais largement trop éprouvé pour résister à mes instincts primaires … or ceux-là me disaient que ce type était mon mâle, et que je pouvais m’y blottir pendant la baise. Je poussai alors un gémissement piteux, avec un petit mot en prime. Un petit mot qu’il entendit très bien, et qui le fit ricaner.
- Quoi … ?
Il ralentit considérablement, se déhanchant à peine.
- Qu’est-ce que t’a dit … ?
Je n’ai pas résister. Je reniflai, puis m’agrippait à lui encore d’avantage, et gémit :
- Encore … encore s’il te plaît … continu, reprend …
Il y eut un instant de silence, puis le type ricana à mon oreille.
- Tu vois, t’as fini par me dire des mots doux …
Il recommença à me baiser, reprenant le rythme dans une parfaite courbe de progression.
- C’est parce que t’es une vraie femelle …
Et je n’eu pas le temps de répondre ; de toute manière, j’étais à bout. Il me baisa, et il me baisa mieux que vous ne pouvez l’imaginer. J’avais son odeur partout sur moi, elle me couvrait encore les papilles … et son sexe … son sexe bien gros et bien dur me faisait jouir petit à petit. Chaque fois que mon sexe frottait contre son ventre, chaque fois qu’il me l’enfonçait bien profond … en plus de couiner, je me rapprochai de l’orgasme.
Et finalement, ça vint. Je me mis à crier, agiter les jambes, lui griffer les épaules, chouiner contre son oreille, et surtout, jouir contre son ventre. Je n’avais jamais joui comme ça … je ne m’étais presque pas touché … mais l’orgasme était venu, j’avais été chaque fois un peu plus proche à chaque fois qu’il me l’enfonçait. Lentement il se redressa, et me regarda avec un sourire carnassier, fier comme un conquérant.
- Tu vois, ma belle … ?
Il tourna la tête vers ma copine, qui nous regardait sur un fauteuil, nue.
- Je te l’avais dit … c’est comme ça que jouissent les « hommes » comme lui …
Il me prit une cuisse, et mit ma jambe sur mon épaule. L’autre me saisit les couilles et les serra douloureusement alors que je redescendais à peine de mon orgasme, pendant qu’il recommençait à me baiser. Je me mis immédiatement à me plaindre, mais il … non. Ils s’en fichaient.
- Ca là, ça lui sert à rien … gronda-t-il. Juste à jouir plus facilement. C’est pas vraiment un homme … tu vois bien qu’il est imberbe …
Il me les pressa brutalement, me faisant écarquiller les yeux et tordre le ventre.
- Les garçons comme lui, c’est juste des petits cadeaux de la nature pour les VRAIS mâles … comme moi. Ou les curieuses comme toi. Appelle ça une sissy ou un twink, peu importe … ce qui compte … c’est que c’est juste des femelles, avec des physionomies de garçons prépubères.
Il n’avait pas fini de me baiser … Il s’était mit à s’acharner sur mon cul et entre ça et ce qu’il faisait à mes couilles, c’était beaucoup trop … mais en même temps j’étais tellement défoncé par tout ce qu’ils me faisaient subir que j’arrivais à peine à me plaindre …
Je n’entendis pas ma copine répondre à ça, et le type continua simplement à me baiser … mais cette fois-ci il était aussi brutal que ma copine tout à l’heure, il ne cherchait plus à me faire prendre mon pied. Quelque chose me disait que … il se retenait depuis longtemps, juste pour avoir ce petit show. Me montrer comme une femelle à ma copine, me faire jouir. Maintenant … il se lâchait. Je senti toute sa … sauvagerie contenue, sa frustration, quand il commença à SE faire plaisir. Il ne parlait plus à ma copine, il me regardait droit dans les yeux … il me fit son vieux sourire carnassier, son vrai visage, et alla sauvagement me saisir la gorge. Et il serra … fort. Comme mes couilles.
Je ne sais pas si vous pouvez imaginer la douleur … cette main forte se mit à me broyer les couilles, littéralement. J’eu immédiatement envie de pousser un cri déchirant, et je le fis … mais très vite … il su trouver la parfaite manière de me serrer la gorge … et j’en devins incapable. Là ça n’avait plus rien d’agréable, c’était … du SM trash, et bien, bien douloureux. Plus il voyait dans mes yeux que j’avais envie de hurler, plus il accélérait … plus il serrait mes couilles, plus j’avais envie de hurler … plus j’avais envie de hurler, plus il prenait son pied … ce jeu, fort heureusement, ne dura pas longtemps ! Après une minute, il poussa un grognement … d’ours, je suppose, et enfin, enfin, je le senti se vider les couilles. Il se retenait depuis si longtemps … c’est du sperme brûlant et en abondance, qu’il m’envoya. Assez pour que justement, je puisse le sentir … et tout ça … il le fit sans jamais cesser de me torturer, me serrer les testicules … j’en pleurais … c’est uniquement quand il fut bien sorti de son orgasme, et qu’il retira son sexe de mon cul largement ouvert, qu’il me les lâcha, comme ma gorge. Je pu alors pousser le cri que je retenais, mêlé à du soulagement. Il quitta le lit, et moi, je m’étalai dessus … me reposant enfin … après tout ça … bon sang … j’étais vraiment à bout.
- Putain … d’enfoiré … Lâchai-je dans un gémissement hargneux, ce qui le fit ricaner.
- Bientôt tu en redemanderas, t’inquiète pas.
Je lui ai alors envoyé un regard haineux, avant de regarder ma compagne.
- Chérie … viens voir un peu … dis-je dans un soupir.
Jusqu’à ce moment, je ne l’avais pas du tout touchée, alors que personne n’avait dit que je ne le ferai pas … en venant ici, je comptais alterner entre laisser l’autre me baiser, et la baiser elle. Mais tout ce qui s’était passé … le fait QU’ELLE m’avait enculé … c’était beaucoup trop pour que j’arrive encore à suivre. Tout ce que j’avais en tête, c’était qu’elle vienne, et qu’on se caresse un peu. Je voulais fourrer ma tête entre ses seins, et éventuellement, faire une sieste pendant qu’elle me faisait des cochonneries. Je n’avais même pas forcément envie d’elle. Je venais de jouir et ma libido était temporairement basse … mais j’avais envie de toucher ma copine, ne serait-ce que par affection.
- …
Ma copine me fixa, et sourit. Elle s’approcha, nue … je ne sais pas où était passé son gode mais elle ne le portait pas. Elle vint lentement vers moi … ses beaux seins se balançaient … sa démarche était chaloupée … et sa belle chatte était brillante … je senti ma libido remonter en flèche, malgré la douleur lancinante entre mes fesses, et mon état de fatigue avancé. Elle continua de me sourire … elle vint me caresser le ventre, le sexe … puis les jambes … les cuisses. Les fesses. Me tournant vers elle en douceur. Et quand je cru qu’elle allait me parler, ouvrant la bouche … alors que je m’attendais, défoncé que j’étais, à ce qu’elle vienne s’allonger contre moi, elle s’adressa à l’autre. C’était à lui, qu’était destiné son sourire …
- Comment je dois faire, pour le baiser aussi bien que toi … ?
Elle me prit les cuisses, sous mon regard qui se remplissait du sentiment de désillusion. Elle glissa son sexe contre mes fesses, alors même qu’il n’y avait plus de gode dessus, et se déhancha, faisant sembler de me prendre.
- Comme ça … ?
Sous mon regard effaré, et devant mon corps bien trop mou et mon esprit bien trop affecté pour que je réagisse, je le vis s’approcher d’elle en souriant, et lui prendre les hanches. Ils échangeaient des regards coquins, et je senti mon cœur s’alourdir … moi aussi, je voulais toucher son joli corps … elle était à moi … ! Tout ce que je voulais, c’est pouvoir lui bouffer le minou … la baiser … ce n’était pas beaucoup demandé merde, il s’agissait de ma copine ! Le type la fit se déhancher, l’empoignant.
- Comme ça … voilà … fais attention à l’angle … je te montrerai … tous les petits trucs pour faire gémir une de ces chiennes …
Il se déhanchait contre elle, elle suivait son bassin … faisant mine d’apprendre à me baiser … tu parles. Du flirt, ni plus ni moins, et je tenais la chandelle …
- Tu vas voir … il te mangera dans la main … c’est toi la dominante du couple, il le sait juste pas encore. Dans un mois tout au plus, votre vie sexuelle, ce sera lui qui te demandera de lui tirer les cheveux.
Elle gloussa, et je continuai de les regarder, encore complètement déchiré par le trop plein de sensations, complètement hagard. Je me demandai depuis combien de temps elle avait prévu de me changer en salope … ? Depuis combien de temps elle communiquait avec lui, et voulait faire de moi la femelle du couple … ? C’est en me posant vaguement la question que je les regardai flirter entre mes cuisses. Finalement, le type soupira, un soupir de désir, et lâcha ma copine.
- Tu m’excites trop … faut que je me défoule … dit-il à ma copine, en me retournant sur le ventre, sans me demander mon avis.
Je protestai immédiatement, mollement, me mettant à pleurnicher.
- Eh eh … c’est toi, qui a dit que tu serais mon seule vide couille …
Il se posa contre trou, et donna un bon coup de rein, me faisant pousser une plainte désespérée. Cette fois-ci cependant c’était trop, et je n’arrêtai pas en cours de route … je protestai vraiment, et tendait les bras en arrière pour qu’il dégage, sa bite bien au fond de mon œillet. Je senti alors ma copine se pencher sur moi, tandis que le type restait immobile, ne me baisant pas tant que je protestai.
- Chéri … tu sais quoi … ?
Je tournai une bouille aux abois vers elle. J’étais vraiment trop fatigué … je savais que la fête continuait mais … bon sang, j’avais besoin d’une pause … et j’en avais marre … je voulais redevenir un peu actif … ! Coucher avec ma copine. Elle me sourit.
- On t’accorde une pause … mais en échange … tu nous autorises à baiser … hm ? Ce serait si horrible ?
Elle me faisait un sourire doucereux, gentil … je ne la pensais pas si fourbe …
- Ou alors … assume ta part … et soit le seul vide couille du mâle de la maison. Pouffa-t-elle, prenant un air caricatural.
Le type me mit un coup de rein, pour ponctuer ses paroles … et moi … j’étais si fatigué que ma hargne et ma capacité de raisonnement avaient diminués. Rien qu’à le sentir en moi, j’en chiais déjà … je me sentais fatigué … ça faisait mal, et le joli sourire de ma copine m’affaiblissait encore plus … je détestais l’idée de le laisser baiser … mais ils m’avaient bien retourné le cerveau.
- Ok … ok … vous pouvez baiser … juste laissez moi une pause … dis-je dans un soupir.
Elle me sourit, et m’embrassa sur la joue, en grimpant sur le lit. Le type derrière moi cessa de me pénétrer, et je poussais un soupir de soulagement … douloureusement, je voulais m’allonger sur le lit … pour rester près d’elle, et me mettre à l’aise, pendant qu’il la baisait. Ce type m’avait tellement soumis et humilié que bon … oui, qu’il la baise, si elle était contente … j’étais mort de jalousie rien que d’y penser oui … mais dix minutes auparavant, je lui avais demandé de me baiser, en écartant les cuisses sans même y penser. Je n’étais plus à ça près …
Je le senti alors me tirer par les cheveux, et me jeter hors du lit.
- On va avoir besoin de place, blondinet. Reste par terre, sage.
Il me fit un sourire moteur, et je vis ma copine se dandiner de plaisir en le voyant approcher, toute contente. Elle s’allongeait sur le dos et écartait les cuisses, déjà bien prête. J’eu la désagréable impression que tout ce qui s’était passé depuis une heure n’était qu’un long préliminaire avant qu’il puisse baiser devant moi …
Elle se dandinait, ses gros seins pâles remuaient, c’était hypnotisant.
- Toi aussi tu sais être une petite salope, pas vrai ? Sourit le mec, en s’installant entre ses cuisses, frottant déjà sa bite contre sa vulve.
Je ne le voyais pas, je le devinais simplement à leurs mouvements, et ce qu’il faisait avec sa main. Elle sourit.
- Oui mais moi j’assume ce que j’aime … répondit-elle en gloussant.
Je la vis alors prendre une grande inspiration dans un sursaut et entrouvrir la bouche, puis sourire. Il avait commencé à la lui mettre … Je le vis s’agiter, la faire sourire … il donna un coup de rein, les seins de ma copine s’envolèrent … elle gloussa de plaisir et tendit les bras. Je le vis donc s’allonger sur ma copine, et copuler avec … profiter de la merveilleuse sensation de faire remuer des gros seins qui étaient plaqués contre votre torse, parce que vous baisez la femelle à qui ils appartiennent. Il se mit très vite à grogner et suer, pendant qu’elle … elle, elle poussait des gémissements, des cris, des soupirs, elle l’encourageait même … ! Elle n’avait aucune retenue, elle se le tapait, et elle se le tapait avec plaisir.
- Ohm oui saute-moi bien … t’as attendu ça longtemps hmm … ? Lui avait-elle dit entre autres saloperies … ça m’a marqué, je m’en souviens bien.
Ca avait eut vite fait de l’enhardir, et il s’était mis à la sauter … elle criait, elle gémissait … tellement plus qu’avec moi. Je vis le type s’enhardir, lui claquer les cuisses … jusqu’à finir par se retirer et la mettre à quatre pattes.
- Tu en rêvais, hein ma belle ?
Il claqua brutalement sa croupe et la lui enfonça entièrement, la faisant crier.
- Depuis que tu m’a vu enculer celui-là, tu penses qu’à ça … lui sourit-il, en commençant à la baiser … littéralement comme une chienne.
Je n’arrêtais pas de déglutir … ils se disaient des saloperies, se baisaient comme des chiens … comme si je n’étais pas là. Ils étaient si beau comme ça … Je mourrais de honte, j’étais déjà tellement humilié … mais en les voyant comme ça, j’étais enterré, je ne pensais plus pouvoir tomber plus bas. Elle m’excitait tellement … A quatre pattes comme ça … vous avez déjà vu une fille à gros seins en levrette, de profil … ? C’était magnifique …
Alors piteusement, je me mis à me branler … pendant que le seul vrai mâle de la pièce baisait ce qui devait être ma femelle. Ma si bonne, et si fécondable femelle … son cul claquait et rebondissait contre le pantalon et la bite du type. Elle le laissait la traiter de petite chienne, de salope, de gourmande, d’affamée, et elle l’encourageait même à le faire … et a un moment donné, elle croisa mon regard … puis me fit un grand sourire. Pas un grand sourire humiliant, du genre à me pendre tout de suite, nan … un grand sourire sexy, super coquin … comme quand elle m’offrait des petites danses pour m’allumer … ça activa tout ce qui en moi désirait la baiser et, en proie à tout un tas de sentiments contraires … je me branlai encore d’avantage. Je pensais avoir toucher le fond, en termes de virilité …
Mais pas encore. Le type finit par se vider les couilles une deuxième fois, dans la vulve de ma copine … lui claquant la croupe sous ses gémissements ravis. Il redescendit de son orgasme, prit le temps de la tripoter, puis expira bruyamment, comme après une séance de sport, avec enthousiasme. Il se leva, et nous sourit à tous les deux.
- Vous faites ce que vous voulez … mais moi, j’ai besoin de boire un coup …
Il s’étira, et se déshabilla en vitesse, ayant trop chaud. Son corps était couvert de sueur … et sa bite était encore lourde de son éjaculation précédente … c’était insupportable … mais c’était un bel homme, virile … qui me regardait me branler en les regardant tous les deux, tour à tour. Il pouffa de rire, et me lança un « pas la peine d’en prendre la guerre, c’est pas ça ton avenir », avant d’aller vers sa cuisine.
Je baissai alors piteusement la tête, sachant pertinemment qu’il avait raison.
- Aaron ?
Toujours aussi piteux, je levai ma tête vers ma copine … j’avais honte, complètement honte. Je n’avais pas seulement perdu ma virilité j’étais aussi devenu … l’inverse de la virilité, quel qu’en soit le nom. Et je pensais être au fond. Mais elle me fit un beau sourire sexy, elle était toute luisante de sueur … si sexy. Doucement, elle se caressa le clitoris.
- Tu viendrais me le chouchouter … ? Hm ?
J’eu un instant d’absence, puis un grand sentiment de réconfort, et dans un immense sourire, j’hochai positivement la tête, et m’approcha d’elle. Elle s’assit au bord du lit, et moi, gourmand, et surtout très bête, je vins immédiatement la grignoter … hha oui … cette chatte … je l’aimais tellement … elle était bonne à lécher, bonne à baiser … même bonne à regarder. Parfaite.
Finalement, je senti … une poigne solide, sur ma tête. Celle de ma copine … elle me fit lever les yeux vers elle, et me regarda … de longues secondes, je ne compris pas pourquoi. Jusqu’à ce que je comprenne, en sentant … contre ma langue … ce que vous imaginez. Mais que moi, j’avais personnellement oublié … jusqu’à ce que ça se rappelle à mon bon souvenir. Elle me fixa sévèrement.
- Désolé de te faire ça … Aaron. Mais … je te préfère quand tu es une chienne, que quand tu un mâle. Je veux rester avec toi … mais à partir de maintenant … tu es ma femelle, et une petite chienne gourmande. Soumise.
Elle continua à me fixer comme ça quelques secondes, pendant que j’accusais le coup. Vraiment … hagard et exténué. Mais comprenant très bien tout ce qui se passait et ce qu’elle me disait …
Et c’est ainsi que finalement … docilement, je me suis remise à la lécher … elle, et le sperme qui coulait hors d’elle, mais qui n’était pas le mien.
Elle m’a souri, et m’a dit qu’elle m’aimait, comme elle le faisait au quotidien … mais à partir de là, notre couple avait changé … et quel que soit l’inverse de la virilité, j’étais tombé dedans. Après deux ou trois minutes, j’ai fini de lécher tout le sperme qui coulait de la vulve de ma copine, et compris que ma vie sexuelle dans mon couple venait de faire un virage hors du commun.
P.S. Salut à tous, désolé d’avoir été si long pour publier ça, je sais que beaucoup me l’ont demandé, mais les choses ont fait que.
Vous l’avez remarqué, cette partie-là, c’est du point de vu d’Aaron qu’elle est écrite (Mais c’est quand même moi qui ai rédigé, etc). Ce n’était pas prévu à la base, mais beaucoup de passifs m’ont écrit, alors je me suis dit, pourquoi pas. C’était plutôt pertinent, pour raconter ce passage !
Du reste, mon mail reste ouvert et je réponds à tout le monde, donc n’hésitez pas à vous en servir, d’autant que je vous repose la question : voulez-vous oui ou non un prochain chapitre ? Auquel cas, qui sait, il est pas impossible qu’on change encore de point de vu, pour le prochain chapitre. Ou pas, c’est à voir !
Ah, et avant de vous laisser, excusez les fautes. J’avoue ne pas faire plusieurs relectures à chaque fois non plus, vu le nombre de pages que ça fait, alors là avec la chaleur … enfin bon, qui sait, j’ai peut-être repéré toutes les coquilles.
Gabriel de Valmont