Chapitre 1
Il faisait froid cette nuit là où je me suis mis en chasse d'un cul à démolir et à humilier. Je sais, c'est à la fois un peu rude et un peu cliché comme entrée en matière, mais le fait est que c'était ça que j'aimais : dominer et humilier. Inutile de me demander pourquoi ... Une vie pas facile, une femme qui me quitte pour un pauvre tocard, il y en a plein des explications. Toujours était-il que j'aimais sentir les gens subir ma présence à contrecoeur sans pouvoir riposter, voir en devant obéir. Mais soyons très clair, je ne parle pas de viol. Je suis un sale con, pas une vermine de la pire espèce. Violer, brutaliser, et traumatiser à vie, je laisse ça aux rebus de l'humanité, bien que j'ai conscience que mon comportement laisse parfois place à quelques nuances et autres ambigüités ...
Non, moi mon truc, c'est d'abuser de ma position, de ma force, de mon intelligence. Et il se trouve que je n'en manque pas ... l'intelligence m'a été généreusement allouée par la nature ; ce qui est bien le minimum, pour un chasseur et un tyran. La force, elle, m'est offerte par ma taille et mon poids, sans même avoir besoin de muscles. Quant à ma position ... elle n'est ni bonne, ni mauvaise, mais je sais tourner une situation à mon avantage ; ou tout simplement, m'infiltrer dans des situations ou d'avance je suis à mon avantage.
Et c'était bien par ça qu'avait commencé ma chasse. Le plan est très simple ... je profite de trois choses : premièrement, j'ai une voiture ; deuxièmement, j'ai les couilles pleines, ce qui alimente mon esprit en vices bienvenus ; troisièmement, il fait froid. Vous commencez à comprendre, je pense ... alors arrêtons là les descriptions ennuyeuses sur ma personne et racontons cette histoire.
Ce soir là, donc, je montais dans ma voiture avec un tube de lubrifiant, des préservatifs, une fausse plaque d'immatriculation, et autres précautions forts commodes. Ensuite, je commençais à rouler le long des routes nationales, départementales, et autres cauchemards interminables relativement peu fréquentées. Il était tard, ça gelait, et on était en pleine période de fêtes ... c'était parfait.
Je pris le temps d'analyser une cible, deux cibles ... mais non, elles ne me convenaient pas. Finalement, je trouvais mon Graal : un couple arrêté sur le bord de la route, avec un moteur qui visiblement n'avait pas supporté les températures. La fille était bonne, oh ça oui ... petite et rousse avec des tâches de rousseurs, et des seins généreux. Totalement mon type. Et son petit ami ... petit aussi, plutôt ... frêle, sans virilité, blondinet pâle. Imaginez un cliché de viking ... mais c'est un minet.
Je me garais devant eux, et sortais.
- Vous avez un problème avec votre voiture, hein ? Un coup de mains, ça serait bien.
- Ouais ... ouais carrément. Dit le minet, tandis que sa copine ... plus que bonne me remerciait de m'être arrêté.
- Moche ... moche moche moche.
- Vous êtes d'ici ? Demanda la rousse.
- Non. Mais vous avez de la chance que je me sois arrêté. Je suis sûr que personne ne viendra vous aider, hein ?
Ils secouèrent la tête, dépités, avant de me dire ce que j'avais déjà entendu plusieurs fois : ils avaient appelés plusieurs compagnies de dépannage, mais elles étaient toutes en fermetures exceptionnelles pour les fêtes, et ils désespéraient de voir quelqu'un s'arrêter à cette période où tous étaient en familles, ou pseudos-amis. Vint la question plutôt légitime, vu que je m'étais arrêté :
- Vous allez nous aider ?
- Oh non, non. Enfin, je pense pas. J'étais juste curieux.
Je croisais alors les bras avec un sourire narquois.
- Ca m'a fait rire de voir deux pauvres cloches attendre qu'on vienne les aider, dans la neige, une nuit de décembre, sur une nationale.
Sans surprise, ils le prirent mal, et ripostèrent tous les deux que ce n'était ni drôle, ni malin, et que je pouvais aller me faire foutre. C'est alors que j'ai pris mon air plus sévère, mais toujours moqueur.
- Eh, attention. Vous réfléchissez pas beaucoup, je trouve. Avant de songer que je suis un sale con, songez que je POURRAIS effectivement vous aider.
Après un instant, le blond fronça les sourcils, puis leva les yeux au ciel.
- Oh, ouais, d'accord, je vois le genre. Tu veux combien ?
Ils me regardaient avec un air ouvertement méprisant, maintenant. Je continuais, commençant déjà à avoir la gaule :
- C'est pas combien, c'est quoi.
Je regardais la fille avec un air lubrique.
- Je veux une pipe, pour commencer. Une bonne pipe bien chaude et bien baveuse ...
Alors là évidemment, ce fut les hauts cris. Ils me hurlèrent dessus, m'insultèrent, et passons, et passons. Le blond voulut même "me casser la gueule", mais le simple fait de le pousser un peu fort lui fit comprendre qu'il partait perdant. Je leur ris au nez et passait mon chemin. Exerceant déjà une domination invisible.
Vingt-cinq minutes après, j'étais de retour, les ayant laissés mijoter. Je sortais de ma voiture, avec un air triomphal. Où qu'ils veuillent aller ... de la famille, sans doute. Ils étaient déjà bien en retards, et ils étaient bien gelés ...
La fille me regarda avec un air ... plus résigné que dégouté, et soupira un gros : "d'accord". Excédé mais résigné aussi, le blond lâcha un "putain" en donnant un coup de pied rageur dans sa bagnole. C'était drôle, de voir un twink s'énerver. Je ricanais ouvertement, mais quand la rouquine alla pour défaire ma ceinture, je leur révélais le côté amusant de mon plan.
- Nan, nan, on s'est pas comprit.
Je regardais le gars, après avoir fait un clin d'oeil à sa meuf.
- C'est lui qui doit me sucer la bite ... pour commencer, j'ai bien dis.
- Quoi ?! S'étrangla le twink blond.
La fille avait sursauté de surprise et avait eut besoin d'un moment pour réaliser. Elle chercha quelque chose à répondre mais ... eh bien ... hm ... oui, ça ne changeait rien ...? S'ils avaient acceptés pour elle, ils devaient accepter pour lui. Sinon, quel couple de merde.
C'est sans doute le calcul que fit le minet en tirant une mine de déterré, avant de lâcher un souffle de soupir et de consternation en direction du sol, les yeux écarquillés.
- Putain j'y crois pas ...
La jeune femme se releva lentement, regardant son petit ami ... comme un élément nouveau. Elle n'avait jamais dû imaginer que son mec, qui pourtant était né pour ça, sucerait des queues et, sans doute, se ferait emmancher. Encore moins devant elle.
- Bien chaude et bien baveuse, j'ai dis. Ou alors vous dormez dans votre voiture ... tout dépend de ce que vous préférez ... prendre soin de mes couilles, ou rater les fêtes. Je ne force personne.
Il y eut un instant de flottement durant lequel tous les deux piétinèrent la neige, sous le choc. Puis finalement, le type, enragé mais aux abois, et ne pouvant refuser après avoir accepté que sa meuf me vide les couilles, s'approcha. Quand il se mit à genoux et que, sortant ma bite plutôt balèze, je me mis à le bifler et tapoter l'engin encore un peu mous contre sa bouche, il grimaça de dégoût et sa copine se mit une main devant la bouche.
- Regarde le bien, chérie ... dis-je à la rousse, en me léchant les lèvres.
Le blondinet dégoûté subissait en essayant de ne pas se plaindre, par égard pour sa jolie pute de meuf. Avoir une jolie copine comme ça en étant une telle fiote ... il allait le payer, tiens.
Les choses intéressantes commencèrent, et il ouvrit la bouche. Je lâchais un gros soupir en mettant mon gland au chaud dans sa bouche.
- Voilà c’est bien … dis-je en ricanant, honorant sa langue de mon gland.
Il bougea un peu la tête, mais sans faire grand-chose de plus. Elle était bonne, sa langue était chaude, très agréable vu la température. Le contraste entre ma bite et le reste de mon corps me faisait le sentir encore mieux. Je ricanais face à son manque d’engagement et lui mit quelques claques sur la joue.
- Allez, allez ! On s’y met petite salope, suce ça.
Je donnais un coup de rein et il ne put que protester légèrement, la rage au ventre, en acceptant de prendre ma bite plus profondément, jusqu’à la moitié. Quelle bonne bouche … je prenais bien mon pied dedans et le montrait bien, que sa copine qui attendait à un ou deux mètres de là en regardant avec horreur le voit bien.
- Mieux … maintenant commence … hmm oui comme ça … souris-je en ronronnant lorsqu’il obtempéra en me suçant vraiment, faisant un mouvement de succion sur ma bite.
Je le sentais aspirer sur ma bite, comme s’il essayait de me faire venir le sperme. Haha … il avait l’impression de faire ça à la va-vite, contraint et forcé, mais me suçait parfaitement. Je sentais ma bite se resserrer, se comprimer au chaud contre sa langue … vous imaginez tous à quel point c’était bien. Je le récompensais avec des petites gifles et des déhanchements.
- Haha … ooh continu comme ça et t’auras même droit à un petit billet …
Il voulut répondre, indigné, mais je passais à la vitesse supérieure en lui attrapant les cheveux pour m’enfoncer plus loin, faisant hoqueter sa copine, surprise par ma violence.
- Parle pas, contente toi de sucer …
Je lui avais fais prendre une bonne partie de ma bite déjà, mais … de lui en avoir fait prendre plus comme cela me frustrait presque. Ce n’était peut-être pas une bonne idée mais … je cédais alors et décidais d’aller au bout de ce que je voulais. Je lui pris durement l’arrière du crâne et il n’eut pas le temps de se rendre compte que je commençais à devenir violent. Il se retrouva le visage collé à mon bas ventre, ma queue dans une gorge profonde maximale, invasive.
- Mais vous êtes dingue ! Paniqua sa meuf.
Il se mit évidemment directement à ruer, à cabrer, à vouloir vomir, à me frapper, mais il n'osait pas trop me déplaire ... s'il me mordait, je risquais de les planter là. Surtout, ils s'en étaient tous les deux doutés, quand j'étais parti avant de revenir. Ce que je voulais, c'était du sexe ultra hard, les défoncer, me lâcher. Ils avaient acceptés de signer pour ... s'ils vidaient mes couilles, ils acceptaient que je le fasse à fond.
- Hmmmm ! Ggghm ! Toussa-t-il, crachant, déglutissant.
Mais non, je le gardais en gorge profonde, et heureusement pour moi, il ne vomit pas. Il finit par se calmer et sa copine détourna le regard, excédée. Son mec pleurait, attention, pas de douleur ou autre, juste par la sensation d’avoir une bite en travers de la gorge. Réaction physiologique ordinaire. Je rappelais la meuf à l’ordre.
- Eh, toi ! Regarde bien !
Elle renifla, rageuse, mais … confuse aussi, et obéit. Ils étaient complètement sous mon emprise …
Je lui souris.
- Regarde le bien me bouffer la bite.
Et toujours en lui tenant fermement la tête, je le fis se retirer doucement jusqu’au gland, me faisant pousser un râle de délice, puis retournant lentement jusque dans sa gorge. Il en chiait, et elle était excédée.
- Je veux pas dire, mais je vous ai pas forcé. Dis-je en ricanant. Vous auriez pu pioncer dans la caisse et attendre demain …
Elle me fusilla du regard. Je ricanais, faisant endurer un long limage de sa gorge au petit blond. Lui mettant toujours des baffes de temps en temps. Au bout d’un moment, j’exigeais plus :
- Allez … recommence à bien me sucer comme tout à l’heure … aspire moi, serre bien …
- Nngh
Il leva des yeux de chien battu humides vers moi, obéissant docilement. Il avait juste hâte d’avoir fini là … alors en déroulant sa belle bouche tout autour de ma queue, il me la serrait en aspirant tout l’air. La meuf regardait avec horreur, mais aussi une pointe de fascination, son mignon petit copain qui la baisait pourtant se retrouver esclave d’une autre bite, la sucer.
- Aaron ça … ? Ça va … ?
Il ne put que rechigner et gémir pour répondre, trop occupé par ma bite. Ça la fit déglutir, regardant maintenant fixement. De mon côté, je me fichais un peu de leurs états d’âmes, là j’était passé en mode étalon. Je voulais lui enfoutrer sa petite gueule de suceuse avant tout. J’avais déjà bien commencé à lui faire accélérer le rythme. De longues minutes passèrent pendant qu’il rechignait sur ma bite qu’il suçait si bien et qu’elle le regardait faire. Durant ces longues minutes, la chaleur monta, la pression avec … le sang battait à mes tempes …
Alors finalement, d’une voix grave et profonde, je poussais un gros grognement, et le fit se retirer de ma bite. Je le trainais violemment jusqu’au capot de sa voiture et trouvais un angle où pouvoir caler sa tête sans lui faire mal, sur le pare choc. Ca me demandait de plier un peu les jambes pour être à sa hauteur, mais rien à foutre. Je lui calais alors brutalement ma bite dans la gorge et … commençais à lui défoncer la gorge contre le pare choc. Il se remit à ruer, cabrer, paniquer, mais je m’étais assuré de l’y habituer.
- Ouuuh petite salope ! Sale twink !
Je grognais, enragé pendant la baise, je le défonçais. J’avais atteint mes objectifs et là je voulais juste lui enfoncer la gorge.
- Avec ta sale bouche à bite … !
Je tirais sur ses cheveux en balançant mon bas ventre contre son visage sans aucune considération, et il se faisait baiser la gueule tellement violemment qu’il ne pouvait plus protester. J’imaginais facilement l’air choqué que la rousse devait avoir derrière nous, à seulement voir mes fesses qui s’enfonçaient en direction du visage de son mec, et mes couilles qui tapaient sur son menton, me causant une légère douleur qui ne m’enrageait que plus.
Enfin, après une minute de ce traitement, je n’en pouvais plus, enfin satisfait. Je poussais un gros râle sauvage, à pleine gorge, en sentant ma charge remonter dans ma bite. Je lui tirais plusieurs jets, en lui mettant des gros coups de reins violents, exprès, pour bien ponctuer l’humiliation que je lui faisais subir. D’abord je lui en mis dans la gorge, tout au fond, puis dans la bouche, et enfin … sur le visage, et même dans les cheveux. J’avais fait exprès de garder les couilles pleines quelques jours. Quand je fus enfin satisfait, lui lâchant un « crache pas, avale pas » menaçant, j’en avais sans doute encore bien assez pour l’enfoutrer une bonne fois.
Je me retirais de sa petite gueule, et regardais sa meuf en me retournant. En ricanant, j’approchais son mec d’elle, qui avait pour ordre de ne rien faire à mon sperme, et lui sourit.
- Alors, t’en dis quoi de ton mec hein ?
Il leva un regard piteux vers elle. Malheureux comme les pierres d’être humilié comme ça. Il avait de ma semence dans ses cheveux, ils allaient être collants de spermes. Il en avait un filet généreux entre une pommette et une paupière … mais aussi sur les joues, autour des lèvres, coulant sur son menton. Je lui forçais à ouvrir la bouche … elle put voir toute la charge qu’il avait sur la langue, entre ses joues, sur ses dents.
- Je t’ai bien nourri hm … ? Je suis généreux …
Il gémit piteusement, sa copine ne dit rien pour le consoler ou le soutenir, trop … effarée et fascinée. Je ricanai alors et lui dit :
- Avale tout, allez.
Sa copine leva vivement les yeux vers moi, vit que j’étais sérieux, et baissa à nouveau les yeux vers son copain. Il poussa une plainte résignée et avala docilement mon sperme, avec un relent de dégoût. Elle le regarda faire, muette. Puis me fixa en demandant doucement.
- C’est … c’est bon … ? C’est fini … ?
Gabriel de Valmont