Dès mon plus jeune âge, j’ai le souvenir d’avoir eu une certaine curiosité, pour ne pas dire une fascination, pour le membre viril. Pas étonnant qu’avec l’arrivée de l’adolescence et le bouillonnement d’hormones qui l’accompagne, j’avais littéralement le feu au cul. J’avais la chance d’avoir un meilleur ami qui éprouvait les mêmes chaleurs nubiles. Très jeunes, nous en avons donc profité pour devenir de vrais petits pédés en herbe.
À dix-huit ans, j’étais donc relativement expérimenté et avais eu également deux ou trois plans avec des hommes plus matures (trente-quarante ans) rencontrés sur le NET et franchement, j’avais trop kiffé ! Je pense qu’ils avaient également su tirer parti de mon petit cul affamé de minet demandeur de bites. Du coup, je dois dire que j’étais un peu blasé par mon pote qui évidemment ne luttait pas dans la même catégorie…
C’est à cette époque que mon attirance pour les daddies a débuté. Cependant, les mecs trop âgés ne m’attiraient pas du tout ! Je vous rappelle que j’avais dix-huit ans ! Les daddies, OK ! Les grandpas, faut pas déconner !
Je chassais donc le daddy sur internet et n’avais jamais été déçu de mes rencontres, lesquelles ne faisaient qu’attiser ma flamme pour les hommes matures. Du coup, estimant que j’avais une certaine maîtrise dans cet exercice, je devenais moins exigeant sur les garanties fournies par mes interlocuteurs derrière l’écran (notamment l’envoi de photos au préalable).
En effet, il arriva un jour où, dévoré par l’envie de me faire prendre par une bonne queue paternelle, j’acceptais de rencontrer un homme qui ne m’avait envoyé qu’une photo de sa bite. Et quelle bite ! Un bon gros gourdin qui semblait se dresser bien dur ! J’en salivais tellement que j’ai dérogé à la règle de la photo. En plus, il m’avait assuré avoir quarante ans et être plutôt bel homme. Il justifiait de ne pas montrer son visage, par discrétion, le type étant marié et père de famille. Me faire tringler par un véritable papa m’a totalement convaincu. Par luxure assumée, j’ai l’ai cru. Bien mal m’en a pris…
Comme je le faisais souvent avec mes rencontres précédentes, j’avais proposé à « Grosse Bite » de me récupérer en voiture à deux rues de chez moi afin de nous rendre dans la proche campagne, où il y avait un petit bois discret et isolé. L’endroit parfait pour s’adonner à une bonne partie de baise en toute quiétude.
Arrivé au rendez-vous, « Grosse Bite » était déjà là, assis dans sa voiture ; une vieille Mercedes vert bouteille, dont je me souviendrai toute ma vie. Il portait une casquette et des lunettes de soleil. Et c’est donc tout naturellement que, porté par ma folle envie de me faire tringler par un bon manche de père de famille infidèle, je me suis assis sur le siège passager sans réfléchir, les hormones en ébullition, la queue déjà dure et le trou frétillant d’excitation.
Et là, en une fraction de seconde, à peine avais-je fermé la porte, que j’entendis le claquement des verrous qu’on enclenche. J’ai tout de suite compris que « Grosse Bite » m’avait baisé. Et bien profond !
En enlevant ses lunettes, ce qui me permit de prendre pleinement conscience que j’étais à côté d’un pervers à la soixantaine bien tassée, il me dit d’une voix vicieuse, qui me glaça sur mon siège :
– Alors, c’est dans quelle direction ?
La scène est tellement soudaine et son regard si lubrique que je bafouille et lui réponds sans réfléchir :
– Prenez par là.
Tellement pris au dépourvu de me retrouver dans cette situation, avec un homme de plus de soixante ans, je l’ai vouvoyé spontanément. À dix-huit ans j’étais peut-être déjà une vraie salope qui prenait régulièrement des queues, mais une salope polie ! Cet emploi du vouvoiement lui fit émettre un dégoûtant rictus d’excitation que j’entends encore résonner dans mes souvenirs aujourd’hui.
Je suis paralysé sur mon siège et lui, ça l’excite, le vieux porc. Je le sais, cet homme va abuser de moi et je n’arrive pas à réagir. Craintivement, je lui indique le chemin du bois où il pourra user de mon corps à sa guise.
Le trajet d’une quinzaine de minutes me semble durer une éternité. La scène se déroule dans un silence pesant qui n’est ponctué que par mes timides indications de la route à emprunter. Lui me regarde de temps à autre, avec une expression d’impatience perverse imprimée sur son visage ridé de sexagénaire vicieux. Mon ravisseur est de constitution très mince, genre sec, et il est de grande taille.
Je cogite avec difficulté en appréhendant notre arrivée sur le lieu de mon viol. Que faire ? Essayez de le convaincre de me laisser partir ? M’enfuir ?
Non, je suis terrorisé, je n’y arriverai pas. En petite trainée passive et lâche, je préfère me faire baiser contre mon gré par ce pervers sexagénaire, que de déclencher une éventuelle confrontation. Aussi, je me résigne à le laisser disposer de moi afin que ce cauchemar se termine au plus vite.
La voiture s’arrête. J’ai la boule au ventre. Nous descendons et marchons une centaine de mètres afin de rejoindre le bois sous une chaleur étouffante et un soleil de plomb, sans échanger un mot. L’endroit est désert, pas une personne aux alentours. Merde !
Nous nous enfonçons dans la petite forêt et nous arrêtons dans un coin qui semble convenir au vieux.
Il se retourne, m’attrape par la nuque et fourre sa vieille langue baveuse dans ma bouche. Répugné, je me dégage de ce baiser non consenti et lui dis que je n’embrasse pas. Il acquiesce et m’ordonne :
– OK, mets-toi à genoux !
Super… Je m’exécute passivement pendant qu’il remonte son t-shirt par-dessus sa nuque afin de dévoiler son torse. Il est effectivement très sec, mais plutôt dessiné pour son âge avancé. Je me retrouve donc en face de son short noir, en matière synthétique, qu’il abaisse dans un rapide mouvement afin de dévoiler sa culotte de papi blanche. Je remarque qu’il porte vraiment une alliance, le salaud. Je ne bouge pas. Il empoigne ma tête et frotte mon jeune visage contre son paquet. À ce contact, je sens immédiatement une odeur de bite macérée envahir mes narines, la zone semble moite de sueur et j’avoue que ce puissant fumet est plutôt enivrant. Sur mes joues roses et imberbes, je peux ressentir, à travers le tissu copieusement parfumé, que son dard est déjà dur et qu’il est uniquement retenu par la culotte qui le maintient courbé, comprimé et humide de transpiration odorante.
Au bout de quelques secondes, il me repousse et libère sa bite de sa cage en coton blanc, qui surgit fièrement devant moi. Elle est fidèle à la photo. Elle est énorme, imposante par rapport à son corps si mince. Elle semble agressive et menaçante, telle une arme pointée sur moi ! Au moins, il ne m’a pas menti sur ce point. Elle doit facilement mesurer vingt centimètres, voire les dépasser. Ses grosses burnes lisses, qui pendent lourdement, accentuent encore plus la virilité de ce membre mature et puissant, d’où émane cette inimitable odeur de mâle qui me rend fou. Je suis ébahi devant cet effrayant, mais néanmoins sublime, attirail de guerre, qui n’invite qu’à une totale soumission de sa prochaine victime : moi !
À nouveau, il empoigne ma tête et pénètre ma bouche avec force. Le vieux me maintient fermement le crâne de chaque côté, avec ses vieilles mains tachées, afin d’imprimer des mouvements de va-et-vient dans mon gosier, à sa guise. Je l’entends soupirer et marmonner de plaisir et m’appeler son « garçon ». Il m’intime de le regarder pendant qu’il me fourre. Je le vois sourire vicieusement quand je m’exécute. Je ne peux m’empêcher de penser que ce gros pieu qui a presque cinquante ans de plus que moi a dû visiter un nombre incalculable d’orifices et a certainement déjà servi à procréer. Cette idée dégoûtante, tordue et malsaine m’excite au plus haut point. Ma jeune bite se retrouve rapidement à l’étroit dans mon boxer.
Les mouvements de bite sont de plus en plus brutaux. Puis, il enfonce l’intégralité de son énorme chibre dans ma gorge et me force à le garder ainsi pendant de longues secondes. Il m’étouffe littéralement et prend un malin plaisir à posséder ma gorge le plus longtemps possible. Il agrippe mes cheveux et ressort son sexe qui est accompagné d’un flot de bave visqueux et chaud. Il me laisse respirer environ cinq secondes et introduit à nouveau son pieu dans mon œsophage. Ce manège dure pendant une dizaine de minutes. À aucun moment, il n’a relâché son emprise, c’est lui qui mène la danse sans ménagement. Je suis complètement soumis à l’intrusion de son sexe mature, qui colonise ma jeune et délicate bouche endolorie.
En effet, je sens déjà que ma gorge est en feu et qu’elle va littéralement me faire souffrir pendant plusieurs jours suite aux violents assauts de son membre viril, mais peu importe. J’ai la tête qui tourne à cause du manque d’air et mon visage est recouvert de fluide baveux puant la bite. Je pue la bite, la bite de vieux. Je dois avouer qu’à ce stade, j’étais totalement excité par la tournure des événements. Cet homme âgé, qui aurait pu être mon papi, m’utilisait comme vulgaire objet sexuel, sans aucun respect pour ma personne. C’est moi qui, petite trainée de dix-huit ans, me devais de respecter la maturité de cet homme et subir la correction que je méritais, car après tout je l’avais bien voulue cette grosse bite. Cette queue, certes vieille, mais gigantesque et tellement dominatrice, qui prenait possession de ma jeune gorge mineure. Et moi, je me livrais à la volonté de ce grand-père brutal avec docilité.
Puis, il m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Sonné, je m’exécutais en silence. Après m’avoir longuement dévoré et doigté la rondelle, il frotta son sexe monstrueux et chaud entre mes petites fesses toutes blanches et fermes. Dans un soupir, je lui demandais de mettre une capote. Il marmonna quelque chose que je pris pour un oui et me dis de ne pas m’inquiéter. Il me doigta fermement encore quelques instants puis inséra son gland à l’orée de mon fragile anus, brûlant malgré tout de désir pour ce sexe si sévère. Il élargit encore mon trou avec de légers mouvements puis enfonça violemment son dard au fond de mes entrailles, ce qui me fit hurler de douleur. Aussitôt, il m’ordonna de me taire et appuya sur mon dos avec force afin que ma tête et mon torse reposent sur la terre humide et les feuilles mortes. Il me dit de me cambrer. J’obéis.
Il m’a littéralement cassé le cul pendant de longues minutes le grand-père ! Il y allait avec extrêmement de force et je sentais ses vieilles et lourdes couilles taper contre mon cul dans un claquement sec et régulier. Chaque coup de queue, enfoncée profondément dans mon colon, semblait me rappeler que j’étais vraiment la pire des salopes. Bien que naturellement chaud du cul, je n’avais jamais été baisé de la sorte. Je souffrais ; prendre cet énorme morceau dans le cul était très éprouvant et je suais à grosses gouttes face à l’effort. Mais le fait de servir de garage pour la grosse bite de ce vieux porc m’excitait carrément et un plaisir vicieux se mêla subtilement à la douleur.
Finalement, il éjacula dans un long gémissement et s’allongea contre moi afin de me baiser encore quelques instants. Puis, je compris… Cette vieille brute dégueulasse n’avait pas mis de capote ! Il avait joui dans mon trou, enflammé et dilaté par ses violents coups de reins ! C’était la première fois qu’on me remplissait de jus. Je m’en foutais ! Cet homme si viril m’avait possédé jusqu’au bout en inséminant, contre ma volonté, mes jeunes entrailles vierges de sperme avec son lait paternel. Il avait marqué son territoire par le déchargement de sa vieille semence dans mon corps offert à son autorité patriarcale. Le salaud finissait tranquillement de tartiner mon fondement avec ce fluide inattendu, puis se retira dans un bruit mouillé. Tout étourdi par la douleur et l’intensité sexuelle ressentie, je sentis une chaude et épaisse coulée de foutre glisser par mon trou béant le long de ma cuisse. C’était bon, comme une douce caresse d’un papi à son gentil petit-fils obéissant.
Il me ramena chez moi en silence, apparemment détendu de s’être déchargé dans une petite pute acquise à son autorité de mâle. Arrivé chez moi, je me précipitais dans ma chambre afin de soulager à mon tour mes couilles pleines, rempli d’excitation d’avoir été ainsi possédé, abusé, dégradé par cet homme sans scrupule. J’avais servi de vide-couilles, de sac à foutre, à un vieil homme marié et sans doute père de famille, et en bonne petite chienne dépravée, j’avais grave kiffé !
Lorsque j’eus joui, je m’endormis, exténué, puant la bite de ce papi abusif, la gorge en feu, le trou explosé et douloureux, encore dégoulinant de foutre mature et le caleçon rempli par ma propre semence juvénile ; satisfait d’avoir pris si salement cher. Putain ce que j’aime la queue !
Dimosqwertz
dimosqwertz@hotmail.com
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