Lecteur relativement assidu d'histoires de cul, je ne me suis jamais lancé dans l'écriture car je ne pensais pas être assez bon rédacteur pour donner envie de lire et surtout faire bander les lecteurs. Mais après tout, pourquoi pas? N'ayant toutefois pas la même imagination débordante que d'autre, je vais vous raconter les plans cul qui m'ont les plus fait kiffer. Toutes mes histoires sont donc 100% réelles! Voici la première et l'une des mes expériences les plus mémorables!
Je me souviendrais toujours de ce plan... à vrai dire, je me souviens même de la date : le 20 décembre 2009... un dimanche aux alentours de 4h du mat. Au final, l'acte en lui-même, vous le verrez, n'est pas des plus élaboré, mais ce plan est tellement chargé fantasmatiquement, que sa simple évocation me fait dresser la queue instantanément.
A l'époque, j'avais 19 ans. Grand, mince, les cheveux châtains mi-longs (genre Bieber à la grande époque lol) et les yeux verts. Pour ne pas mentir plutôt beau gosse. Bref un joli petit minet en somme. Je savais depuis longtemps que j'étais un petit pédé passif accro à la queue. Je kiffe les mâles machos qui imposent avec leur bite. Branché daddy, rebeu-renoi-lascar, plans vicelards, cruising, bbk, etc. Mais officiellement j'étais un gentil petit hétéro. Personne ne savait, PERSONNE.
J'ai grandi dans une banlieue qui, bien que relativement tranquille, ne motivait pas trop à s'afficher en petite lope bouffeuse de jus. Je rencontrais tous mes plans sur internet et prenais soin d'éviter les rencontres avec les gays du quartier par peur d'être démasqué.
En 2009, du haut de mes 19 ans, je sortais tout juste de l'adolescence, et passait tout mon temps libre avec ma bande de pote, formée au début du lycée. Une bande assez hétéroclite: des lascars fan de rap français, des mecs plus branché skate, des sportifs, quelques meufs assez populaires et plutôt faciles et moi le gars discret et plutôt classique. C'est vrai que notre groupe était assez peu conventionnel, mais c'était un peu un conglomérat de potes de potes. Du coup, ça fonctionnait bien. Ce qui nous rapprochait avant tout? La beuh, que nous fumions par kilos du matin au soir.
Dans la bande, il y avait Zinedine, un caïd marocain habillé survêt et casquette Lacoste et toujours des TN au pieds. Tout le monde le craignait au bahut, même les gars du crew. Il lui arrivait souvent de casser la gueule aux petits mecs dans mon genre juste pour le plaisir. C'était le mec qui était sans arrêt impliqué dans des combines pas possibles... deals, vol en tout genre, conflits avec les autres gars de la cité, etc.
En effet, dans le quartier sa réputation n'était plus à faire, il était respecté et personne n'était à l'abri des frasques et pulsions de ce magnifique rebeu. Personne sauf moi, il ne m'a jamais emmerdé sérieusement et il faut dire qu'on s'entendait vraiment bien. Et moi, je le kiffais grave... Il me faisait mouiller ce petit voyou, je rêvais secrètement de sa queue, et l'imaginais grosse et lourde à l'image de sa réputation de vaurien. Putain, faut dire qu'il était bandant, avec son look de racaille... assez sec mais musclé, un beau visage de rebeu au teint mat... Le nombre de fois où je me suis branlé, imaginant sa grosse bite circoncise imaginaire dans tous les orifices de mon corps avide de son manche viril...
Bien sûr, il était hors de question que j'en parle, la honte... le pédé du quartier, vous imaginez? Et puis Zine', c'était un vrai mec, le gars braconnait la chatte avec succès et il faut dire que les meufs se laissait cueillir sans hésiter... tu m'étonnes, ce mec était tellement viril avec son côté racaille de cité... j'aurai vendu père et mère, rien que pour sentir un de ses boxer ou sket ou effleurer sa teub, même molle!
Malgré tout, cela faisait quelque temps qu'il s'était mis à jouer un petit jeu avec moi! A chaque occasion, par exemple lorsqu'il n'était pas d'accord ou que je disais un truc qui lui déplaisait, il me sortait systématiquement un : " Mais ta gueule mec, suce ma bite!".
Je vous avoue que ça ne me dérangeait pas vraiment... au contraire... et j'avais aussi pris le pris le pli et lui disait aussi de sucer ma à la moindre occasion.
Et du coup, je me branlais de plus belle en pensant à des situations où Zinedine m'enfoncerait sa batte au fond de la gorge!
Et arriva le samedi 19 décembre 2009. Cette nuit-là, il y avait une soirée que nous avions prévue de longue date avec les potes. Et on a tout donné! Alcool, beuh et au-delà, dans l'excès. Au fil de la soirée notre petit groupe s'est dispersé chacun continuant sa soirée au fil de autres potes qu'il croisait dans le club.
Sur le coup des 3h, exténué, ivre et plus encore, je décide de retrouver l'équipe et chercher des motivés pour rentrer finir la soirée au quartier avec un petit bedo. Les deux-trois potes que je retrouve dans la foule sont pas très motivés et ça me fait chier de rentrer seul tout. Et là je tombe sur mon beau rebeu, Zine' et, devinez quoi, il est chaud à m'accompagner.
De retour au quartier, on se pose dans les escaliers de son immeuble et on commence à rouler puis fumer le stick. On discute, on rigole, on est bourré, pété. Et je vous avoue que j'ai le pressentiment que le fantasme est à portée de main. En réponse à une de de ses remarques, je lui sort un :
- Allez ! Mais suce ma bite !
Bien sûr je suis tout sauf et innocent. Et là... son regard, je vois qu'il ne rigole plus. Il me répond sèchement :
- Non, c'est toi qui va sucer ma queue !
Je suis troublé, j'ai l'impression de vivre un de mes nombreux fantasmes de session de branle. Mais je commence déjà à bander. Bien sûr, je veux quand même assurer mes arrières, au cas où :
- Hein ? Quoi, tu déconnes ?
- Tu vas défaire ma ceinture, ouvrir mon pantalon et sucer ma queue pédé !
- Je... euh
- Suce !
Je n'ose pas y croire. Dans mon boxer ma queue est à l'étroit, je bande comme un porc... Zine m'offre sa teub, je l'ai tellement fantasmé...
J'approche ma main de sa braguette et tâte le paquet. Putain, il bande aussi le salaud ! Il ne me lâche pas du regard avec son air sévère pendant que je malaxe sa bite a travers son jeans. Elle a l'air grosse et épaisse, comme dans mes rêve. Je veux la bouffer putain.
Je suis tellement troublé que je n'arrive pas à défaire sa ceinture. Il s'impatiente, l'ouvre en un rapide mouvement et se lève face à moi qui suis assis dans les escaliers. Zinedine fait sauter un à un les boutons de sa braguette et j'aperçois son caleçon blanc. J'approche mon visage de son entrejambe et peux sentir la chaleur de son sexe irradié ma face. Je tremble d'excitation.
J'attrape sa teub et la fait sortir au travers du caleçon. Putain, quelle belle queue. Elle doit faire un 18-19cm et est épaisse et charnue, lourde ! Légèrement arquée vers le bas, le genre de teub qui s'insère parfaitement dans le gosier. Une magnifique queue de rebeu bronzée, avec un beau gland circoncis. Ses couilles sont de bonnes tailles, bien rondes et rasée de prêt.
Putain, je vais le sucer comme jamais on l'a sucé.
Il remarque que la vue de sa bite me transporte d'excitation. Que je kiffe. Il me dit :
- Suce ! Ca fait longtemps que tu la veux hein ?
- Ouais, dis-je en l'attrapant dans la bouche.
Je l'avale lentement de haut en bas pendant quelques secondes. Mais c'est Zinedine qui veut mettre la cadence, c'est lui le caïd. Moi je ne suis qu'une pute à queues après tout. Il m'attrape d'une main sous le menton, de l'autre derrière la tête et il me baise littéralement la gorge. Fort. Profond.
Il maintient sa teub au fond de ma gorge pendant de longues secondes. J'etouffe, les bruits de gorge résonnent dans cage d'escalier. Je bave des litres. La bite de ce sale bâtard et luisant de ma salive, qui coule en filet le long de mon menton. Il étale ma bave sur ma face, je suis trempé, ça colle, ça sent la queue. Je pue la queue. Je kiffe.
J'ai trop bu et il enfonce trop fort, trop longtemps. Je sens la gerbe remonter à cause de sa verge au fond de mon oesophage. Je pose la plaque.
Et ça l'excite, de m'avoir fait vomir avec sa teub. Et moi aussi à vrai dire.
Il me donne des grosses bifles sur le visage et la langue et reprend son viol buccal. Je déguste chaque parcelle de sa teub sur mes papilles, dans ma gorge. Je l'ai tellement voulue sa bite et je ne suis pas déçu.
Il me met une grosse claque et me dit :
- T'es vraiment une pute ! Suce mes couilles !
J'obeis et commence à sucer puis gober ses burnes. D'abord une à la fois puis les deux en même temps. Ma bouche est rempli par les couilles de Zinedine ! Apparemment, il est sensible à la manoeuvre car il tressaille de plaisir. Pendant que je bouffes ses belles couilles de rebeu, il se branle frénétiquement la queue.
- Ouais continue, suce tepu. Suce.
Il m'informe que son jus est en train de monter, m'attrape le visage et fourre sans queue au fond de ma gorge. Il jouit. Je sens sa chaude semence coule dans mon oesophage.
Je nettoie sa queue quelques instants. Puis il me regarde en souriant et me met une enorme gifle :
- Tu me dégoutes.
Il range son matos et sans un mot rentre chez lui, m'abandonnant seul dans la cage d'escalier.
J'ai besoin de quelques minutes pour réaliser. Puis je me branle là, dans les escaliers. Je jouis en quelques secondes. Putain, j'ai sucé Zinedine.
Nous n'avons jamais reparlé de cette nuit et jamais réitéré.
C'est pas un pédé Zinedine !
Dimosqwertz
dimosqwertz@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur :