Pour plus de surprise, je préciserai si mes histoires sont réelles ou fictives par mail. Les dialogues sont approximatifs pour les histoires vraies.
Je devais juste aller rentre visite a une amie au quartier ou elle habite pour lui ramener des talons qu’elle avait oubliés chez moi. Elle habite dans un des quartiers assez chauds de Montpellier, et c’était toujours un endroit qui me faisait me sentir mal à l’aise, ne sachant pas trop comment m’y comporter. J’y étais déjà allé en soirée pour la rejoindre, et son bâtiment avait vraiment l’apparence du cliché de cité avec des noirs et des rebeux aux escaliers en train de zoner. Ne pensant pas avoir l’allure d’une personne efféminée ou quoi que ce soit, j’ai quand même toujours senti qu’ils n’estimaient pas ma virilité à la même hauteur que la leur, le genre de choses que tu comprends à la manière dont ils te regardent.
Cette fois c’était en début d’après-midi que je m’y suis rendu, sans aucun a priori, les talons de ma pote dans une main, mon téléphone lui écrivant des messages dans l’autre. J’arrive en bas de l’escalier, commence à les monter quand je vois trois rebeux et un blanc avachi sur les escaliers.
– Excusez-moi les gars, je peux passer ?
Un des gars me regarde de haut en bas, un joint a la main, l’air dénigrant :
– Tu vas ou comme ça ?
Je les regarde tour à tour, je ne sais pas trop quoi dire.
– Je vais voir quelqu’un.
– Tu vas voir qui, tu n’es pas d’ici toi ?
– Non je suis pas d’ici je..
– Ils sont à toi ces talons ? Tu dois avoir l’air mignone avec ça.
Ils rigolent tous, je reste là sans trop savoir quoi faire.
– Réponds quand on t’parle non ? me dit l’un des gars d’une voix forte.
– Non, ce n’est pas à moi c’est..
Son pote m’attrape mon tél. et les autres se lèvent d’un bloc quand ils voient que j’essaye instinctivement de le reprendre.
– Eh tu fais quoi là ?
– Arrêtez, rendez-moi mon tel je cherche pas la merde je veux juste recupér..
– De quoi tu parles, quel tel ?
– …
– S’il n’est pas dans tes mains, il est plus à toi. Tu le veux ? Récupère-le alors.
Il prend mon phone et le fou dans son caleçon. J’hésite et ne bouge pas, les autres me regardent sérieux. Je regarde autour de moi, mais il n’y a personne d’autre. J’avance ma main vers son survêt, il me la pousse, m’attrapes par le cou et me dit :
– Tu fais quoi là ? Hein tu fais quoi petite pédale ?
Les autres descendent les escaliers et celui qui me tient s’approche de mon oreille et me dit :
– Si tu veux ton tél., va falloir le mériter.
Il me relâche, et suit ses potes qui descendent un escalier. Je les suis et me retrouve dans une cave. Un des gars fermes derrière moi. Je me retrouve dans un endroit en béton, peu éclairé et pas très grand. Devant moi trois gars en survêt, se touchant l’entrejambe ou une main dans le caleçon. Je regarde autour de moi, apeuré et en même excité d’une certaine manière…
– Tu me suces avec mes potes, on te rend ton tél.
– … Écoutez je..
Le gars derrière moi m’attrape par-derrière avant que je finisse ma phrase et me pousse vers eux
– C’est non négociable salope, tu le veux ton putain de tel ou pas ?
Je suis entouré par les 4 gars, je les regarde des larmes de stress aux yeux. Celui face à moi s’approche et passe sa main sur ma nuque en me baissant à genou. Tout va assez vite, il sort sa bite et me la colle sur le visage. Je lève les yeux et il me crache au visage.
– Maintenant, ouvre ta bouche salope.
J’ouvre et tout en me guidant, il me fait gober sa bite à moitié molle entièrement dans ma bouche. Il commence des vas et vient, et je sens sa queue grandir et durcir allant jusqu’a ma gorge. Il a une odeur de transpiration que je sens chaque fois qu’il m’enfonce sa bite et que mon nez se retrouve coller au bas de son ventre.
Ses potes sortent alors leur queue et viennent me taper les joues avec pendant que je suce leur pote. Il commence à appuyer sur ma tête pour que je garde sa queue en fond de gorge et j’essaye alors de me débattre en le poussant avec mes mains. Celui derrière me les attrapes et me bloque derrière pendant que je m’étouffe avec la bite de son pote. Je bave et j’ai les yeux qui pleurent.
– Hummm tu aimes ça petite pute va.
Il relâche la pression et les deux autres me baisent alors la bouche a leur tour. J’alterne entre bifles, gorge profonde et crachat dans la bouche. L’un des gars m’attrape par les cheveux et me plaque la tête contre le mur, il se met à faire des vas et vient rapide dans ma bouche et chaque fois qu’il se rapproche du mur met un coup sec du bassin pour bien aller au fond de ma gorge. J’essaie alors de me débattre, mais ses potes m’attrapent les mains. Il met un dernier coup de bassin, se raidit d’un coup et lâche un grand râle. Je sens son sperme chaud et salé se vider en moi.
– Hummmmm, putain salope
Il me relâche et je reprends ma respirationdu mieux que je puisse.
Aussitôt son pote me ramène dans le petit cercle et commence à pilonner ma bouche. Le gars qui me tenait les bras me surélève un peu et le troisième commence à baisser mon pantalon. Je panique, je me retrouve a genou le cul nul en train de sucer un gars, maitriser par ses feux potes a l’arrière.
– Passe-moi l’poppers, fit l’un des gars à son pote.
Avant même que je ne réagisse, l’un d’entre eux me met le flacon sous le nez. Ne pouvant respirer autre chose avec la bite de son pote dans la bouche, je commence à planer et à rentrer dans un état d’excitation ou mes sens étaient comme décuplés.
Le rebeu derrière moi commence à me glisser deux doigts dans les fesses. Mon corps se contracte, mais j’apprécie quand même. Je sens qu’il commence à rapprocher son gland de l’entrée de mon trou. Son pote continue de me baiser la bouche et l’autre de me maintenir les mains. Il rentre d’un coup sec. Étant très serré, je ressens chaque centimètre passé et je crie de douleur dans un son étouffé par le sexe du blanc que j’avais en bouche. Le gars de derrière commence des vas et vient et prend une cadence très rapide, faisant claquer ses boules contre mes fesses. Il me démonte les fesses. Son pote commence à lâcher un gros râle et jute dans ma bouche en finissant sur mon visage. Il se retire et je m’écroule la tête au sol, les fesses en l’air en train d’être démonté par le gars de derrière. Il appuie alors sur ma tête pour que je la garde au sol et me pilonne en m’insultant. Je gémis à chaque coup. Son pote m’a lâché les mains et commence à se branler à genou à côté de mon visage. Le rebeu derrière me met un grand coup sec, puis lâche un grand râle et je sens son sexe se contracter et décontracter rapidement dans mes fesses, accompagné d’un gros jet se déversant en moi. Il se retire et laisse alors la place au dernier, qui en se plaçant derrière moi me met 2 grosses fessées bien fortes et m’empale violemment en me tirant les cheveux. J’ai les yeux qui pleurent et la bouche pleine de sperme. Il me pilonne. Son sexe est plus large et grand que celui de ses potes et chaque coup rapide me font trembler tout le corps. Ses potes nous regardent et l’un d’entre eux prend une vidéo. Le gars derrière moi se contracte et à son tour se vide en moi. Il se retire et se relève. Je reste au sol, n’arrivant pas à me relever. Ils posent mon tél. par terre devant moi et l’un d’eux me dit quelque chose comme :
– Si tu viens a balance qu’on a fqit des trucs avec toi, on publiera la vidéo ou on t’nique
Après quelques minutes, je me relève, les fesses trempées de spermes récupère mes affaires et repart a ma voiture en boitant pour chez moi au final, car je ne me la sentais pas de passer chez ma pote dans cet état.
Envoyez-moi un mail en me disant si vous pensez que l’histoire est réelle ou non et donner vos impressions/commentaire n’hésitez pas. Je vous donnerai plus de détails si vous le souhaitez.
vappab1@gmail.com
Vap
vappab1@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Retour de soirée | Le mec à lunettes | L'anniversaire | Job d'été
