Pour plus de surprise je dévoilerai si mes histoires sont réelles ou fictives par mail. Les dialogues sont approximatifs pour les histoires vraies.
Je viens d'avoir 18 ans et j'ai voulu trouver un job pour l'été. J'ai enchaîné les candidatures, sans réponse, mais un jour une entreprise cherchant un jeune motivé m'a rappelée en me proposant un entretient d'embauche le soir même. J'eus du mal à trouver le bâtiment car il se confondait aux autres dans la ruelle sombre. Je compris que le patron m'attendait dans son bureau car c'était la seule pièce éclairée à travers les vitres de l'établissement.
Je toquai et j'entendis une grosse voix grave me dire en ouvrant la porte :
- Entre va si.
Un homme baraqué d'environ 35 ans, avec un costard bleu moulant son corps, une barbe bien taillée et un sourire malicieux s'avança ers moi.
- Vas y assis toi, Tu es bien là pour le poste ?
- Bien. Oui enfin je ne sais pas vraiment en quoi cela consiste mais en tout cas je suis assez polyvalent et je...
- OK on va faire plus simple, me dit-il en riant, penses-tu être qualifié pour être mon assistant ?
Je répondis que oui et nous échangions quelques formalités. Il avait un léger accent et un regard très perçant avec des yeux de couleurs différentes. Il me posa une dernière question.
- Et selon toi pourquoi devrais-je te prendre plus qu'un autre ?
- Et bien car je suis polyvalent et capable de m'adapter aux demandes de mes employeurs, je suis respectueux et motivé, j'ai de l'ambition et...
Tout en me laissant parler il se leva de son bureau, s'approcha de la porte qu'il ferma et se posa à moitié assis sur son bureau, son bassin un peu trop proche de mon visage.
- ... de plus je suis tout le temps disponible... c'est pourquoi... je suppose que je suis... Parfait pour ce job...
Assis, je devais lever les yeux pour voir son visage tellement il était grand et proche de moi. Il reprit :
- Comment savoir que ce n'est pas juste des belles paroles ?
- Euh... Et bien...
- Car c'est du vu et du revu ce que tu me dis
- Oui mais ce n'est pas des paroles toutes faites j'ai...
- Alors prouve-moi ton dévouement.
Son ton avait changé, il était devenu autoritaire. Je commençais à être mal à l'aise et en me levant il appuya sur mes épaules en me disant de laisser "mon cul sur la chaise". Il toucha son entrejambe et baissa sa braguette. Pris de panique je courus vers la porte et tentai de l'ouvrir. Il me rattrapa et m'attrapa par les cheveux et me mit à genoux, la bouche collée sur son caleçon qu'il baissa aussitôt pour laisser apparaître son sexe.
- Tu as dit que tu étais motivé maintenant suce, me dit-il en mettant son sexe dans ma bouche.
Tout était arrivé si vite. Jamais je n'étais sorti avec une fille ou un garçon et je n'avais jamais vraiment questionné ma sexualité, mais bizarrement je n'étais pas tant dégoûté, peut-être dû au choc.
Son sexe commença à gonfler dans ma bouche et assez vite il fit des va-et-vient de plus en plus rapides. Il me bourrinait la bouche. Je m'étouffais littéralement.
- Arré...té... arré... té... tentais je de crier.
De plus en plus violent, il colla son sexe au fond de ma gorge et se maintenait un moment.
- Regarde-moi !
Quand il relâcha je m'écroulais à moitié. Il me tira les cheveux pour me relever et m'allongea sur son bureau.
- Non laisse moi partir connard !
Je sentais que mes paroles et mon corps n'étaient pas en accord car une érection commençait à se former chez moi. Il déchira mon pantalon.
- J'ai cru... Que tu étais... RESPECTUEUX !
Sur ces mots il entra son sexe d'une traite dans mes fesses sans rien, ce qui me fit crier. Il mit ses mains sur le bas de mon dos et commença des allers-retours en moi. Il me tamponna contre son bureau à une vitesse que je n'arrivais pas à suivre. Son sexe me paraissait interminable et coupait ma respiration lorsqu'il s'enfonçait.
- Soit... Respectueux ! Me dit-il entre ses gémissements. Comment je m'appelle ?
- Ahhhhh ! Je... Ah... Sais pas, criai-je
- Appelle-moi Boss
- ...
- Boss je t'ai dit !
- D'Accord boss, arrête ! Boss arr...
- Ta gueule !
Il s'enfonça en moi un grand coup en sautant. Ensuite il appuya sur ma tête et il reprit des coups de reins. Mes fesses bombées claquaient contre ses couilles et ses hanches. Elles devaient être toutes rouges vu la vitesse du claquement contre lui. Il remit un coup sec et je sentis un liquide rentré en moi. Il s'écroula sur moi et à ce moment-là je pus reprendre mon souffle. Après quelque seconde il me murmura dans l'oreille :
- Dégage d'ici.
Il se retira et s'assit sur ma chaise.
Finalement je réussis à ouvrir la porte et à sortir en vitesse dans la rue, en caleçon. Malgré le choc de cette expérience brutale et nouvelle, une partie de moi transformait cette douleur en un sentiment proche du plaisir et de l'excitation. J'avais aimé ce moment de soumission et la montée d'adrénaline m'avait même rendu accro à ce souvenir. Je n'ai jamais revu cet homme car l'entreprise a fermé.
Envoyez-moi un mail en me disant si vous pensez que l'histoire est réelle ou non et donner vos impressions/commentaire, n'hésitez pas. Je vous donnerai plus de détails si vous le souhaitez.
Vap
vappab1@gmail.com
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