Je me présente : j’ai 40 ans, gay versatile, et toujours prêt pour découvrir de nouvelles expériences.
Après d’innombrables lectures sur ce site, je vais vous raconter une histoire vraie, celle de mes premiers pas dans la sexualité…
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attiré par les hommes mûrs et leur côté rassurant et paternel. Habitant la campagne dans ma jeunesse et avec un internet balbutiant à l'époque, je devais me résoudre à être imaginatif et à avoir une sexualité uniquement remplie de caresses personnelles.
Dans mon petit village de 1500 habitants, tout le monde se connaissait et la seule personne clairement affichée gay était le patron d’un restaurant cradingue.
Ce dernier ramenait de temps en temps un nouveau copain, ou serveur c’est selon, dans son restaurant. Il ne cachait pas son homosexualité, mais ne faisait pas de drague spécialement. Il devait avoir son réseau…
Peu après mon entrée dans la majorité sexuelle, l’appel de la sexualité se fait très pressant. De plus en plus, c’est quelque chose qui vient du fond de mes tripes. Je n’essayais pas de me battre contre cela. Un jour n’y tenant plus, je me suis permis de le contacter par téléphone, lui le patron de restaurant, le seul gay connu dans mon entourage.
Pas de smartphone à l’époque, j’ai décidé d’appeler d’une cabine téléphonique, et là je lui avoue que je suis un jeune du village qui avait envie d’être guidé dans le monde de la sexualité masculine. La surprise passée, il me dit simplement de passer dans son restaurant un après-midi, au moment où il y a généralement très peu de clients.
Ceci pour qu’on puisse discuter gentiment de tout cela.
Pendant une semaine, je suis passé devant son restaurant au moins trois à quatre fois par jour sans oser franchir le pas.
Au bout d’une semaine, un dimanche en début d’après-midi, je me décide à franchir le pas.
J’ouvre la porte et le restaurant est vide… il n’y avait que le personnel qui finissait gentiment son repas. Et là subitement je me suis dit…
« T’as appelé anonymement il y a une semaine, il ne sait pas qui tu es, il n’est pas tout seul, que vas-tu faire ? T’as 3 balles en poche… »
Et là, première chance, c’est le patron qui se lève pour venir me servir, car les autres n’avaient pas fini de manger…
- Bonjour, vous souhaitez boire qqch. ?
- Heu heu… oui
- Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
- Une eau gazeuse et heu…
- Oui ?
- En fait, je vous ai appelé la semaine passée et…
Et là, ni une ni deux, ses yeux pétillent et il me dit
- Bois ton eau gentiment… dans 5 minutes, on ira discuter dans une salle tous les deux…
- Heu. Oui monsieur…
Il n’est pas très grand, un peu ventru, mais il dégage un charme, celui des cinquantenaires, que je trouve très rassurant… en même temps.
J’ai la tête qui tourne, un goût métallique dans la bouche et je ne sais pas trop ce que je suis venu faire ici. Au bout de 5 minutes, il arrive vers moi et me dit :
- Viens il y a une salle à manger à côté on pourra discuter.
La gorge nouée, je lui emboîte le pas sans rien dire. À peine entré dans la salle à manger vide, il me plaque contre lui et me roule une immense galoche.
C’était ma première avec un mec, c’était un mélange incroyable d’excitation, de découverte, mais aussi de gêne.
C’était inattendu, et lui n’était pas vraiment un femboy, il avait une barbe de 3-4 jours, assez rustique…c’était déconcertant, mais plaisant.
Mon corps était en émoi complet et assez vite, ma queue s’est mise à durcir, durcir de manière presque incontrôlée, je n’avais jamais eu une telle érection.
Expérimenté qu’il était, il a tout de suite vu que ma bite était hors de contrôle et il a commencé à me la toucher à travers mon jeans, tout en continuant de m’embrasser langoureusement… Par moment, me sentant tremblant, il me susurrait des mots doux à l’oreille, en me disant que tout allait bien, et que, si je n’étais pas bien, on pouvait arrêter à tout moment…
Conforté par ses propos et les moments que nous vivons, je m’aventure vers la bosse de son pantalon qui me semblait prendre des proportions énormes. À peine ai-je effleuré son jean, qu’il décroche ses boutons et se retrouve en slip pas ultra sexy, mais avec une bosse qui me donne vraiment envie… Et c’est à ce moment-là que j’ai su que je serais gay jusqu’à la fin de mes jours…
Je prends mon courage à deux mains et succombe à mon envie. J’aventure ma main gauche dans son slip pour entrer en contact avec son sexe. Dur, long, épais, je le branle doucement de haut en bas et lui en a fait de même avec moi.
Je descends rapidement mon pantalon jusqu’aux chevilles, et mon caleçon aussi… il en a fait de même …au bout d’un moment il s’assois sur une table et me présente sa queue…
Je me jette dessus pour l’englober, il me dirige tout en m’encourageant. Vu ses râles de contentement j’ai l’impression que j’apprends vite et bien… je me souviendrai de cette première pipe toute ma vie, il y a la découverte, la sensualité, l’excitation et quelle bite… On échange nos positions, il me suce aussi et je jouis tellement vite que je n’ai presque pas le temps de sortir de sa bouche. Je suis en extase…
Lui n’a pas encore joui et il continue de nettoyer ma bite, de me lécher les couilles, et subrepticement, il avance de plus en plus vers ma rondelle vierge… il me retourne et commence un long anulingus baveux, et, après, il introduit sa langue gentiment, longuement et de plus en plus fort… c’est incroyable… Après un long moment et sans répit, il introduit très gentiment, un, puis deux doigts qui coulissent en moi… La surprise du début est devenue une excitation totale de ma part, je rebande comme un âne et j’en veux plus…
Il me retourne, m’embrasse longuement, je m’agenouille, je le suce et, très vite, je me retrouve avec sa longue tige devant mon trou… malgré toute l’excitation et le travail effectué sur mon trou, impossible d’entrer sans douleur insupportable… Il comprend vite que ce n’est pas pour aujourd’hui. On s’allonge sur une table en 69 et il jouit dans ma bouche longuement. Nous finissons par échanger nos fluides dans un long baiser et après, on se rhabille gentiment.
C’était sensuel, hard, mais beau et respectueux… et, franchement, sentir un homme fort et expérimenté, c’était waouh…
Après être ressorti par une porte dérobée, je me suis allumé une cigarette et me suis juré de lui offrir mon cul pour mon dépucelage.
Mais comment préparer mon cul ? J’habite à la campagne, je ne peux en parler à personne, enfin si ! A mon plan, mais j’ai envie de lui offrir la surprise lors de notre prochaine baise…
D’ailleurs, en partant de notre premier rendez-vous, il m’a indiqué que le mardi, jour de fermeture du restaurant, il est toujours seul de 18h00 le soir à 08h00 le lendemain… je lui ai dit que je passerais un mardi…
Je réfléchis et je n’ai que deux jours devant moi pour être au top, car pour moi il est hors de question de rater mon rendez-vous de mardi soir. Je fais le tour des outils de mon père pour voir ce qui pourrait faire office de gode pour préparer déjà mon cul… Je trouve de la vaseline dans la salle de bain et me voilà enfermé dans ma chambre pour tenter d’ouvrir tout ça…
Et là, franchement, j’ai une révélation. Il n’y a pas une heure que je suis sorti de mon premier plan cul et j’arrive à m’enfiler des tournevis et autres objets décoratifs de taille tout à fait respectable. Je suis seul dans mon lit avec mes rêves et mes envies. D’ailleurs j’ai envie de retourner voir mon patron de restaurant… mais non, le rendez-vous est fixé à mardi et je dois attendre… je me suis longuement amusé avec mes jouets insolites et après avoir joui 2 fois, j’ai décidé de vaquer à d’autres occupations. J’étais léger, comme si un poids s’était enlevé de moi, j’avais une confirmation sur une interrogation fondamentale : oui je suis gay ! Oui j’aime les hommes mûrs et oui, cela me plaît.
Ce soir-là, ma famille m’a trouvé très guilleret… je me suis endormi paisiblement.
Le lundi matin, retour à l’école technique. Journée lambda qui passe assez lentement, et de toute façon je ne suis pas vraiment présent, mais plutôt dans mon rêve… j’ai cette sensation de toiser les gens, de leur renvoyer un regard qui dit : - moi j’ai pris mon pied hier, et demain ce sera encore mieux… et vous ?
Le soir venu, je rentre à la maison, je m’enferme dans ma chambre avec mes jouets et là, enfer et damnation, plus rien ne rentre malgré la vaseline… je remarque que ce n’est pas si simple et qu’il faut travailler son trou pour que cela puisse entrer. Pas découragé, je redouble d’efforts pour préparer mon cul correctement… cela me prend du temps et des efforts, mais en fin de soirée, mon trou accepte des objets de beaux diamètres et j’y prends du plaisir… Pour ne pas revivre le problème d’aujourd’hui, je décide de m’endormir avec le plus petit jouet dans mon orifice.
Malgré cette introduction, je passe une nuit agréable et le matin, même si le gode est sorti de mon orifice, je suis étonné de pouvoir entrer facilement des objets après graissage. J’insère ma « boite à outils » dans mon sac d’école et j’effectue quantité de passages aux toilettes pour être sûr d’être prêt à 18 heures… même plus de 20 ans après, je me souviens de chaque minute de ma fin d’après-midi…
J’entre dans le restaurant vers 18h15… il est là… il ferme la porte derrière moi et m’embrasse langoureusement, m’explique toute son envie et qu’il est très heureux de me voir. Mais aussi qu’il a du gel pour une éventuelle sodomie et qu’il ne va rien forcer… il m’invite à aller dans la chambre d’ami à l’arrière du restaurant. Cette chambre est habituellement utilisée par les serveurs pour leurs pauses lors de longues journées…
Et là, c’était surprenant pour moi, il s’est tout de suite mis nu et du coup moi aussi… mais il y a plus d’appréhension que d’excitation de mon côté. Cependant, très vite il me met à l’aise en me serrant fort dans ses bras et m’embrassant. C’est très romantique et il me dit des mots doux, parfois trop même.
Bref, je me retrouve très excité et on passe à la phase lèche - suce - 69.
Au bout d’un moment, il commence à me lécher la rondelle et là je sens que je suis prêt et lui aussi.
Très surpris de l’élasticité de mon anus il me félicite pour mon travail. Il insère un, deux, trois, quatre doigts assez facilement.
Malgré cela, il prend le temps pour être sûr de me donner du plaisir. Ce n’est qu’en entendant le bruit du plastique déchiré que je comprends que c’est le moment.
Et quel moment ! Il entre gentiment en moi, doucement, lentement mais surement. Après être arrivé au fond, il resté immobile pendant 2-3 minutes et ensuite, il commence les va-et-vient gentiment.
Puis il accélère… ensuite il vient face à moi, me surélève les fesses avec un coussin, et me prend en m’embrassant. J’ai joui longtemps sans toucher ma bite et, après un pilonnage de quinze minutes, il jouit dans la capote.
Après cela, on s’endort quelques instants dans les bras l’un de l’autre…
Je l’ai réveillé avec une pipe d’enfer puis je suis parti le cul en feu, mais tellement heureux…
La suite de mon éducation dans un prochain épisode, si vous le voulez bien…
N’hésitez pas à m’écrire. Je vis en Suisse à Bienne et toujours open pour des mecs murs, voir plus âgés et bien gaulés.
Ha oui ! Cette histoire ne comprend pas de truc vraiment extraordinaire, comme des plans à 15 dans une rue ou de l’abattage ou je ne sais pas quoi, mais elle a un avantage : elle est réelle !!!
Avec l’aimable correction de amical072
Semoussi
semoussi@protonmail.com
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