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Je suis connu par mes amis comme Robert l’hypnotiseur, car certains aiment se faire hypnotiser pour être encore plus pervers au plan sexuel. Mais j’hypnotise de moins en moins des nouveaux hétéros pour du sexe.
Sauf que j’ai dû m’y remettre avec un homophobe hétéro à 110 % avec qui je travaille. Bastien, à peine vingt ans, grand mal de six pieds est bâti comme une armoire à glace, avec des muscles de la tête aux pieds, avec une moustache et une barbe de deux jours bien entretenue. Il porte toujours des pantalons ajustés, une chemise déboutonnée au cou pour montrer ses poils du torse et prouver sa virilité. S’il met des sous-vêtements ce sont des boxers pour bien montrer aux filles qu’il porte à gauche. Il se caresse le membre et s’il voit un mec, il le classe vite comme pédé. Il est chiant avec ses remarques homophobes, mais il ne m’a jamais fait de remarques à moi. Je me suis promis de lui faire payer ses remarques homophobes. Étant plutôt ami de travail avec lui, il avait le bureau voisin du mien. Il me croyait hétéro comme lui, aussi, ai-je réussi à entrer dans son subconscient par un premier test de mon autorité sur lui. Alors qu’il allait se chercher un café, je lui suggérai, en le regardant droit dans les yeux, de m’en rapporter un. Il est revenu avec deux cafés et m’en a donné un.
Comme c’était vendredi, je lui ai suggéré de revenir lundi au travail, avec une barbe bien rasée, y compris la moustache dont il était si fier. À ma grande satisfaction, le lundi matin et à la surprise générale, il est arrivé bien rasé ! Moi tout fier, je rêvais d’aller plus loin avec lui, ce super hétéro macho. Je le voulais dans mon lit, à poil, mais il me fallait prendre mon temps. Un jour au travail, après le lunch, je lui ai suggéré de penser à la meilleure baise qu’il avait eue dernièrement et qu'il devait se caresser la queue. J’observais alors une main sous son bureau et une seule main de visible, je me suis relevé pour aller lui demander une babiole concernant le boulot.
- Dis Bastien, as-tu trouvé le problème de ce dossier ?
- Non, toi non plus ?
- Que se passe-t-il, tu as l’air ailleurs ?
- Je ne sais pas, garde cela pour toi, je suis en pleine érection.
Me montrant la grosse bosse dans son pantalon.
- Tu as l’air en manque toi !
- Pourtant pas, je me suis masturbé ce matin.
- C’est toujours meilleur à deux.
- J’aime bien les filles, mais pas au point de vivre avec, je tiens à garder ma liberté.
- Je te comprends, je suis pareil !
- Il va falloir que j’aille me vider les couilles aux toilettes, mais bandé comme je suis, ça va se voir. Ce n’est pas discret !
- Masturbe-toi ici, personne ne va s’en apercevoir.
- Reste là et fais semblant de discuter avec moi.
Il baissa son pantalon juste sous ses couilles et se mit à branler sa grosse queue, décalottant son gland devant moi pour vite éjaculer.
- Ça soulage ! Merci tu es un véritable ami !
- Tu m’en dois une.
- Pas de problèmes, un service en attire un autre !
- Un jour ce sera ton tour.
- Sûr Robert, je te paie une bière à la fin de la journée !
C’est ainsi que nous sommes allés prendre une bière après le travail et même deux. Il était fier de les offrir, mais j’ai payé la troisième. Tout en jasant de tout et de rien, comme de raison, la conversation vira au sexe.
- Tu sais moi, je baiserais bien au moins une fille par jour.
- Normal pour un homme ! Et tu n’en baises pas tous les jours, sexy comme tu es ?
- Tu sais ce n’est pas toujours facile d’amener une fille dans mon lit. Il te faut jaser des heures pour la convaincre pour du sexe.
- C'est normal, tu ne penses pas ?
- Je le sais que trop ! Mes deux meilleures sont ma main droite et ma main gauche.
- Tous les mecs se masturbent plus souvent qu’ils baisent.
- Oui, mais c’est meilleur avec une belle fille avec de gros seins.
- Pour te faire sucer la queue ?
- C’est pas toutes les filles qui sucent ; c’est même plutôt rare ! Mais c’est si bon une bonne gorge profonde !
- Mets-en que oui ! Se faire manger les couilles, c’est super bandant.
- Je ne me suis jamais fait manger les couilles. Ce n’est déjà pas facile de se faire manger la queue en gorge profonde et ne pas se limiter au gland...
- T’as raison, mais il faut bien rêver !
- Mets-en.
- Va falloir penser à partir, je commence à avoir faim.
Tout en jasant, j’avais repris ma domination sur lui. Avant de le quitter, je lui ordonnai de se raser les couilles le soir même, ainsi que son anus, sans oublier un rasage de près des poils pubiens, jusqu’au nombril. Si d’aventure, il ne pouvait pas se raser lui-même les poils du cul, il devait le demander à un ami. Cela avait déjà bien fonctionné.
Le lendemain au travail, pour un vendredi tout semblait normal, je m’attendais à ce qu’il me demande de l’aide ! Mais rien ne s’est produit. La journée se passa normalement, Bastien me semblait même un peu distant, je dois perdre de mon pouvoir ou bien il est moins réceptif que je l’avais prévu. Comme on dit, remets-toi au travail. Je vais attendre quelques jours, quitte à me reprendre lundi. Voilà la journée terminée, que Bastien m’interpelle :
- Dis Robert, on va prendre une bière ?
- Pas ce soir, on se reprend.
- Qu’as-tu de spécial ce soir ?
- Non rien de prévu.
- Voyons, viens j’ai à te parler.
- Me parler de quoi ? Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Non, juste jaser entre amis, tu es bien mon meilleur ami au travail ?
- Bien sûr que oui, mais je trouve que c’est trop ruineux au bar, au prix qu’ils nous vendent leurs bières, plus le pourboire !
- Tu as raison, on peut aller chez moi, j’ai amplement de quoi boire.
- Pourquoi pas ?
Je crois que je suis sur la bonne voie pour l’avoir, sans doute qu’il ne sait pas comment me le demander. Il hésite, il va falloir que je l’amène à me le demander. Donc nous voici arrivés chez lui pour prendre un verre, dans un beau petit logement de mâle célibataire. Il avait quelques bonnes bouteilles. Après quelques verres…
- Je suis tout en sueur, je vais aller me doucher.
- Vas-y Bastien, j’irai bien moi aussi après.
- Parfait j’y vais.
J’en ai profité pour faire fondre un Viagra dans son verre. Il fut de retour avec un bermuda me confirmant qu’il portait bien à gauche, il vida son verre d’un trait pour s’en faire un autre en me servant moi aussi.
- Je vais aller me doucher moi à mon tour, ça va me faire du bien.
- Parfait, car j’ai un grand service à te demander.
- Demander quoi ?
- À ton retour, OK.
- OK.
À mon retour, je ne portais que mon boxer moulant, Bastien commençait à être ivre, il me servit mon verre et en but encore un autre. J’ai vite compris que je l’avais sous mon contrôle.
- Cesse de boire, tu vas tomber complètement ivre.
- Non, non je suis correct et en plus je suis chez moi.
- Enlève ton short et mets-toi à quatre pattes sur le lit pour te faire raser les couilles et ton petit cul vierge.
Il enleva son short et semi-bandé, se mit a quatre pattes, les deux jambes bien écartées, m’offrant une belle vue sur son petit cul poilu, ses grosses couilles pendantes et sa queue toujours en semi-érection. Je suis allé dans sa salle de bain. J’ai récupéré un rasoir, de la crème à barbe et j’y ai trouvé du lubrifiant que j’ai apporté. Ce ne fut pas long de lui raser son petit cul. Mon macho homophobe était là à ma merci. Mon index bien lubrifié n’a pas eu de difficulté pour pénétrer ce petit cul vierge et même un deuxième doigt.
- Que fais-tu Robert ?
- Je te fais mal ?
- Non, mais je sens ton doigt en moi.
- C’est douloureux ou bien ?
- Je sens un drôle de sensation et cela me fait bander.
- C’est ton point G, la sensation sur ta prostate, je cesse si tu veux.
- Non, au contraire j‘aime cela, va plus à fond !
Ma main droite travaillant son petit cul et ma main gauche caressant sa belle queue bandée, il laissa tomber sa tête sur l’oreiller en gémissant, je l’ai retourné sur le dos pour lécher ses couilles jusqu'à son gland humide de précum et entamer une pipe que je dirais royale…
- Merde, je me fais sucer par un mec pour la première fois de ma vie, je n'y comprends rien.
- J’arrête si tu veux.
- Non continue, c’est trop bon, tu suces bien mieux qu’une fille, continue ; ne lâche pas !
- Relève tes deux jambes sur toi.
- Pourquoi pas ?
- J’ai descendu vers ses couilles et directement sur son petit cul, en le mangeant à fond.
Il gémissait de plus en plus, je me suis couché vers lui et doucement, j’ai glissé ma queue en lui, il a sursauté sur le coup, mais sans réagir vraiment.
- Tu es un pervers Robert ! Tu m’encules et c’est bon, je ne me comprends pas.
- Aimes-tu cela ? Sinon, je m’arrête.
- Non continue ! Je vais en jouir, et après c’est toi qui vas passer à la casserole !
- Tu as un super beau petit cul chaud.
- C’est la première fois que je me fais dire que j’ai un beau cul. J’avais déjà entendu que j’avais une belle grosse queue, mais pas mon cul !
- Il y a toujours une première fois à tout !
- Je vais jouir Robert.
J’ai sorti de son cul pour le sucer et faire jouir Bastien dans ma bouche.
- Je cracheeeeeeeeeeeeeeeeee que c’est bon ! Continue mon cochon, prends tout !
La bouche pleine, je me suis approché de sa bouche et je l’ai embrassé en lui donnant de son sperme en bouche, il a un peu rechigné, mais a avalé.
- Tu es pervers Robert, es-tu gai ?
- Oui, je suis gai et toi tu es maintenant bisexuel.
- Ne raconte jamais à personne ce qui vient de se passer ici ce soir.
- Sois sans crainte pour cela, c’est notre secret !
- Allons prendre une bière et après, je veux t’enculer à mon tour.
- Pas de problème !
- Je ne pensais pas jouir du cul, mais cela vient de se passer.
Après quelques autres bières, Bastien toujours à poil comme moi, se palpant la queue a vite rebandé. Me regardant avec un sourire, il est venu vers moi et vite je me suis retrouvé sur le fauteuil les jambes relevées et sans préservatif, je me suis fait enculer de plus belle, pour ne pas dire sauvagement. En vrai mâle affamé de sexe, tout en m’enculant, il me mordillait les mamelons et enchaînait directement sa langue dans ma bouche, tous en me défonçant le postérieur. Je me suis dit, je joue le tout pour le tout. Je le sors de son hypnose.
- Bastien, reviens complètement à toi !
Il releva la tête, me regardant directement dans les yeux et réalisant qu’il embrassait et baisait un mec, il resta coi quelques secondes et d’un coup sec, reprit son enculage virilement et même en m’embrassant à grands coups de langue, il me défonça comme jamais, au point de me faire jouir, il se retira de mon cul pour finir sa baise dans ma bouche.
- Avale tout de mon jus !
Il me donna quatre bonnes giclées de foutre pour finalement se laisser tomber à côté de moi, à bout de souffle.
- Je m’excuse Robert, je ne sais pas ce qui m’as pris, mais j’avoue que c’était la meilleure baise de ma vie.
- Non, ça va Bastien, pour moi aussi c’était super.
- Excuse-moi.
- Cesse de dire cela, tu dois oublier tout ça.
- Je n’avais jamais sucé ou enculé un mec et encore moins embrassé !
- Sûrement que nous avons trop bu…
- Toi, m’as-tu enculé ?
- Oui nous avons fait tout cela !
- J’ai joui trois fois ce soir, aucune fille n’aurait réussi à me faire jouir autant.
- Le principal c’est que c’était super.
- Pour cela, oui !
La soirée se termina rapidement, Bastien se disant épuisé de sa soirée, je suis retourné chez moi, hyper content de ma baise avec lui. J’avais réussi à remettre à sa place le macho du bureau qu’il était ! Je me suis couché pour passer une superbe nuit de satisfaction.
Le lundi de retour au travail, Bastien était très froid avec moi et aussi silencieux, je ne l’avais jamais vu si concentré sur son travail, c’était normal après ce que je lui avais fait vivre, le vendredi soir, la semaine se poursuivit en revenant à la normale. La seule différence, il ne sortait plus de farces idiotes sur les gays.
À ma grande surprise, le vendredi midi, Bastien est venu me demander des renseignements sur un dossier. Moi j’étais assi sur mon fauteuil de bureau et lui debout près de moi, il se pencha pour me montrer une ligne du dossier, je sentis son entrejambe collé sur mon épaule et je sentais son érection, je me suis retourné pour en être sûr. C’est alors qu’il me dit :
- Bastien Junior et le grand Bastien aimeraient être invités chez toi ce soir après le travail.
- Sérieux ?
- Déjà deux jours que Junior garde sa crème pour toi et il a ses burnes pleines à éclater.
- Nous ferons venir de la pizza.
- Tout ce que tu voudras et je paie la pizza...
JeanMarc
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