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Chapitre -09
Mon désir était simple. Profiter de Benjamin.
Celui-ci était assis sur le lit, Dimitri sur ses cuissots musclés. Leurs corps fusionnaient. Ils ne cessaient de s’embrasser. En tout cas, ils appréciaient cela. L’un comme l’autre. Je les contournai et grimpai sur le matelas.
En boxer il était si beau. Déjà qu’il l’était tout habillé, mais là, offert… Je ne pouvais résister. Derrière mon beau brun, je me mis à le caresser. Ses épaules musclées, il frémit. Ses pectoraux, frôlant ma joue à la sienne, il en soupira. Il lâcha un instant la bouche de notre rouquin pour me voler un baiser.
C’en était trop.
Je me collai à lui, dans son dos moite. Mon torse l’était probablement tout autant. Et je le fis basculer en arrière. Docile, il se laissa faire, embarquant Dimitri avec lui. Il se retrouva couché, au niveau de mon entrejambe gonflée, comme je le souhaitais. Mon camarade à califourchon comprit tout de suite et me décocha une mine de respect.
Mon beau brun réalisa rapidement également. Il avait déjà tâté cette bosse, alors qu’il ne pouvait la voir. Sa main la connaissait. Ses yeux et sa bouche, pas encore. Il l’observa un moment avant d’oser y placer à nouveau ses doigts. Il hésitait. Il toucha délicatement, la caressa comme si c’était de la soie. Ce contact me faisait frémir. Mon rouquin s’en rendit compte et m’embrassa, passant sa main sur ma nuque et sur mon torse.
Puis soudain, je me sentis humide. Benjamin, mon beau Benjamin, sortait sa langue. Une langue bien effrayée. Du bout de son muscle, il humidifia ce qui pointait dans sa direction, le gland. Je me sentais trempé, à l’intérieur. Il dut le sentir, car il se rétracta un instant, identifiant le goût inconnu, certainement, avant de revenir.
Cette fois, il avait plus d’assurance. Il lapa la hampe sur toute sa longueur en soupirant. Dimitri se mit à gesticuler sur la bosse de notre brun. Lui-même arrivait à sa limite. À un moment, même, il voulut se lever et, probablement, engloutir ce pénis qui lui chatouillait la rondelle. Je l’en empêchai. Bouleverser les sens de Benjamin n’allait que l’effrayer. Il fallait avancer pas à pas.
Et quel pas ! Il avait atteint mes boules.
En réalité, je voulais profiter seul de Benjamin. C’était égoïste, je le reconnais avec le recul, mais je le voulais pour moi.
Ses mains caressèrent mes abdominaux. Il stimula ces poils naissants à qui la tête avait été récemment coupée. Il longea la fine ligne de poil qui disparaissait dans mon boxer. Et ses doigts franchirent la limite. Il se saisit de mon élastique. Doucement, il le baissa. Mes premiers poils pubiens apparurent.
Panique à bord. D’une main, je l’arrêtai. Il me regarda, stupéfait.
- Tu-Tu es sûr ? haletai-je, tiraillé entre plaisir et raison.
Pour réponse, il plongea son regard dans le mien. Et je compris. J’écartai ma main.
Mon beau brun reprit alors sa lente exploration pendant que Dimitri caressait mon torse. L’élastique glissa contre mes poils. La bosse déformait le tissu, l’empêchait de simplement descendre le boxer. Il dut y mettre les deux mains, une de chaque côté, et libérer ma queue luisante de liquide préséminal.
J’eus l’impression de respirer. J’en soupirai longuement. Je sentis son souffle caresser la hampe de ma queue veinée. Je n’étais plus qu’une queue. Je voulais qu’il m’avale. Je voulais lui baiser la gueule. Voir ses yeux bruns se gorger de larmes à force de s’étouffer. Doux fantasmes.
Ma tige en grossit.
Je vis Benjamin se lécher les babines et inspirer. Il était encore sur le dos, gêné par Dimitri qui se tortillait encore. Mon brun tira lentement la langue et lapa une goutte qui perlait. Exquise sensation ! Il prit quelques secondes pour analyser et revint. Il aimait. Cette fois, il tourna autour du gland, gonflé de sang, se faufila à l’entrée de mon urètre.
Je me retenais de ne pas lui enfoncer jusqu’au fond de la gorge. Je l’aurais fait pour Dimitri.
Sa langue tournoya autour de ma couronne et, d’un coup, sans prévenir, il l’enfourna bien au chaud. J’inspirai. Je devais me calmer. Je devais me calmer. Mon fantasme se réalisait.
De mes puissantes mains je choppai le cou de mon rouquin et l’attira à moi. Il sentit ce désir viril et se leva de Benjamin. Celui-ci roula instinctivement, se mettant sur le ventre, face à ma queue pulsante. Il fut tout de même obligé de replacer sa queue dans son boxer. Elle le gênait. Pas pour longtemps.
Dimitri se plaça derrière moi, ayant une parfaite vue plongeante sur notre brun affamé. Il me baisait le cou, me suçotait la peau. Je sentais sa bosse contre ma raie. Ce n’était pas désagréable. C’était chaud.
Benjamin respirait avec difficulté. Il était hypnotisé. Il ouvrit à nouveau la bouche et se jeta voracement sur ce gland. J’étais au paradis. Il entama de longs mouvements de langues bien humides. Et, progressivement, commença à engloutir le reste. Je pouvais voir à quel point ses lèvres s’écartaient pour laisser passer l’épaisseur de ma tige.
De temps en temps, il s’arrêtait et se rétractait, dans un petit bruit de ventouse, le temps de reprendre son souffle. Il bavait beaucoup. Il avait les yeux rougis. Sa bouche restait entrouverte, comme un cul dilaté. Et il reprit. Chaque fois il avançait plus loin. Chaque fois mon plaisir était décuplé.
Pour une première pipe, il se débrouillait à merveille. Il devait certainement le savoir, étant donné mes râlements et grognements virils.
- Il a l’air d’un pro, me chuchota Dimitri, avant de laper mon lobe.
- Putain, si tu savais…
Il baissa le morceau de boxer qui dissimulait mon cul musclé. Je frémis. J’étais en extase de tous les côtés. Mon boxer glissa le long de mes cuisses. Sa main vint tâter ma fesse gauche, la palpa. J’avais une fine toison sur le postérieur dont je ne trouvais pas l’utilité d’entretenir, les poils n’y grandissaient pas. Et pour le peu où c’était utilisé…
Je le sentis alors se baisser, glisser dans mon dos moite, telle une goutte de sueur et venir baiser mes deux globes. Il croqua même l’un d’eux. La sensation réveilla quelque chose en moi. Je repensai instinctivement à la veille, dans mon bain.
Il s’écarta, et vint à côté de moi. Son caleçon était tordu par sa queue. Amusé, je défis les deux boutons qui gênaient et, d’un coup, jaillit sa fine queue. Je savais ce que mon rouquin voulait, mais pour l’instant, c’était moi qui l’occupai. Il devait patienter. Ce n’était pas son fort.
Je serrai cette tige bouillante entre mes doigts et lentement, je le branlai. Il réagit de suite en soupirant. Benjamin s’occupait toujours de moi. Il arrivait à présent, après de longues secondes pour habituer les muscles de sa bouche, à l’avaler aux trois-quarts. Il n’avait pas commencé par la plus petite.
Gentiment, je mis une main sous son menton et le dégagea de ma queue. Il fit une mine de dépit. Il aimait vraiment cela, le cochon. Puis, je le dirigeai vers mon partenaire qui, la queue bien dure, attendait son tour. Notre brun bougea un petit peu, fit connaissance avec la fine tige, et l’engloutit directement.
Dimitri semblait avoir atteint le septième ciel. Sa tête partit en arrière. Ses mains se saisirent des cheveux noirs de notre troisième compère. Il était plus directif que moi, je n’avais pas osé. En même temps, il avait une queue plus courte et fine. Parfaite pour débuter.
Benjamin finit par plonger son nez dans la toison pubienne de notre rouquin. Il possédait l’entièreté de la queue en bouche. Je l’entendis déglutir, s’étouffer, mais Dimitri le maintenait. Un bruit de gorge fut plus imposant que les précédents et il le lâcha. Une grosse quantité de bave s’écoula de la bouche de notre brun alors qu’il toussait. Pourtant, il ne cessait de dévisager ce gland luisant, alors qu’il haletait.
Il y retourna, lâchant des petits bruits de satisfaction. La queue pénétra dans sa bouche sans le moindre souci. Maintenant qu’il était adapté, il pouvait dégustait et qu’est-ce qu’il était beau, là, une bite entre ses lèvres baveuses. Il lécha de bas en haut la hampe, astiquant la tige sur toute sa longueur. Dimitri ne pouvait s’empêchait de lui mettre de petites biffles collantes de salive.
Quant à moi, je n’étais pas en reste. J’étais partagé entre me placer derrière Dimitri et commencer à lui travailler la rondelle ou placer derrière Benjamin et espérer faire naître un plaisir similaire. Mon choix fut vite fait. La découverte primait.
Benjamin me vit le contourner. Il me suivit du regard, la queue de notre rouquin qui faisait des va et viens entre ses lèvres. Il n’y avait aucune inquiétude dans son regard. Alors que je descendais du lit, j’en profitais pour écarter mon boxer. Il n’avait plus aucune utilité désormais.
Derrière mon brun j’avais une excellente vue sur son postérieur, dissimulé sous son boxer, qu’il ondulait instinctivement. J’étais persuadé qu’il ne s’en rendait pas compte, comme tout à l’heure. Je glissai mes mains chaudes dans son dos et arriva bien vite à l’élastique. Mes doigts se faufilèrent dessous. La température y était élevée. Benjamin ronronna. J’eus le sentiment qu’il m’autorisait.
Doucement, je lui baissai le boxer bleu foncé, juste sous les fesses. Son cul musclé et finement poilu m’apparut. Une odeur de lait d’amande chatouilla mes narines. Je mis quelques secondes à réaliser. Mes mains palpèrent ces globes de chairs offerts. Je les malaxai. Mon beau brun accentua ses mouvements.
J’eus besoin de confirmer ma pensée. Je vins baiser la fesse droite. Elle sentait bon. Aussi bon que la gauche à laquelle j’infligeai une petite morsure. Et soudain, j’eus besoin de plus. Alors que je léchai sa peau, j’errai sur cette raie. Visiblement, il ne s’entretenait pas, mais l’odeur qui s’en dégageait était des plus délicieuses.
La langue titilla cette crevasse. Benjamin gémit, la queue en bouche. Il se cambra. Son trou, bien dissimulé, m’apparut. Un minuscule bouton rosé cerné par les poils. Je n’en étais pas dérangé. Je continuai mon exploration et descendis. Je me refusai à laper son œillet, gardant le meilleur pour la fin et reprit jusqu’en bas. Je fus obligé de tirer davantage le boxer. Je sentis contre le bout de mon muscle sa fine peau frémissante.
Toutefois, malgré le plaisir que cela lui procurait, il décida de rouler sur lui-même. Je compris que sa queue était trop compactée. Elle aussi, comme les nôtres, méritait sa liberté ! Jusque-là, il se débrouillait comme un professionnel. Une récompense était fortement souhaitée.
J’étais prêt à me dévouer.
Sa tige, bien droite dans son boxer, me suppliait. Elle tremblait, trempait le boxer qui l’enveloppait telle la peau d’un fruit défendu. Mes deux mains saisirent l’élastique et le baissèrent d’un coup. Il disparut à l’autre bout de la pièce. Un sentiment de déjà-vu me prit. Nous, aux toilettes.
Je connaissais cette queue, toutefois, je ne l’avais vue qu’une unique fois. Et relativement rapidement. Elle avait l’air aussi bonne que l’autre fois. Davantage, même, car les circonstances étaient différentes. Nous étions trois. Benjamin acceptait d’essayer le sexe avec deux hommes. Que demander de mieux ?
Un long chemin parcouru. Aussi long que ma…
Je me léchai les babines et choisis de m’attaquer à la longueur de sa tige veinée. Elle était à peine plus courte que la mienne, mais avec un gland plus épais. De long en large, ma langue s’appliqua à l’humidifier. Je descendis jusqu’à ses deux boules velues. Je les aspirai une par une entre mes lèvres.
Alors qu’il avait la bouche pleine, je l’entendis gémir. Instinctivement, il écartait les jambes. J’avais une excellente vue sur son entrejambe bien fournie. Je ne pouvais voir sa raie, dissimulée par ses deux grosses boules pendantes.
Je continuai sur ses boules, ne perdant pas mon objectif de départ. D’une main, je les saisis et les soupèse, les léchant dessous. Il se mit à ronronner lorsque ma langue lapa son scrotum. Une odeur d’amande douce me prenait le nez.
Il s’était parfaitement nettoyé, le con.
Je ne pouvais en profiter de suite. Non. Alors je revins sur sa tige tremblante, bien veineuse. Je lui bouffai alors le gland, jouant avec la peau de son prépuce bien tirée. Il émettait d’étranges bruits. Un mélange de satisfaction, lorsqu’on a la bouche pleine, et des encouragements. Il était confus.
Et soudain, sa main prit mes cheveux et me retira de sa queue. Il voulait que j’arrête. Je compris qu’il eut peur de venir. C’était un rapide, je l’avais presque oublié.
Que faire, désormais ? Dimitri nous apporta une réponse à ma question.
Je l’observai retirer sa queue lentement de la bouche de Benjamin, maculant son menton de salive. D’un violent coup de tige, il le biffla sur les deux joues, un sourire narquois aux lèvres. Mon beau brun n’était pas gêné, la langue tirée. Il la voulait encore.
Toutefois, Dimitri n’était pas de cet avis. Il embrassa son suceur et le couvrit de baisers. Menton, cou, clavicules, tétons, nombril, fine ligne de poils, toison pubienne. Son objectif était parfaitement défini. Il était à quatre pattes sur Benjamin, lui offrant un magnifique soixante-neuf.
Notre brun l’arrêta d’une fessée. Il était trop dur. Il allait venir si une autre bouche s’occupait de lui. Alors, dans un élan de générosité, je croisai ma bite avec la sienne. Dimitri avait désormais deux queues rien que pour lui, dont une qu’il devait laisser. Bien sûr, mon rouquin ne se fit pas prier. Il aimait les grosses tiges. Et me le fit comprendre.
Qu’est-ce qu’il bavait ! Il suçait avidement mon gros morceau de chair, de long en large, du gland aux testicules. Il les lapa une par une, mais cela ne devait pas être ce qu’il préférait. Il n’y mettait pas la même ardeur qu’à lécher mes veines saillantes.
Benjamin, lui, continuait sur cette queue qui, parfois, s’enfonçait trop loin pour lui. Il toussait, mais, toujours, la reprenait en bouche. La croupe de Dimitri m’attirait. Ma main dans ses cheveux roux glissa sur sa nuque puis dans son dos moite. Il se courba. Son cul se dressa.
Je me penchai sur lui, enfonçai ma queue toujours plus loin dans sa gorge. À moitié sur lui, je pouvais palper ses fesses charnues d’une main. Il gesticula. Tacitement, il me suppliait. Je savais ce qu’il voulait. Je souris.
Je savais ce qu’il voulait et, spécialement pour cela, j’allais jouer avec lui. Ma main serra sa fesse. Je lui claquai une fessée. Il gémit, son étouffé par ma queue dans sa bouche. Je fis le tour de son lobe, stimula d’une caresse la fine crevasse. Il désirait plus, tentant de reculer sur mon doigt. J’entendis alors Benjamin inspirer longuement.
Non. Ce n’était pas lui qui décidait. Une nouvelle fessée retentit.
Mon beau rouquin comprit et se ravisa. Il réenfonça sa tige dans la bouche de son suceur. Je repris mon manège. Contour de fesse. Je lui titillai la raie, m’égarant parfois sur son œillet. Je ne faisais que passer dessus. Une fugace caresse. Une torture.
Je l’entendais me supplier malgré ma queue entre ses lèvres. Je choisis de mettre un terme à mes enfantillages.
Mes caresses dévièrent. De ses fesses je passai à son entrejambe, engloutie par Benjamin. D’une adroite main, je lui retirai la queue de la bouche et y plaçai mon index et majeur. Sur le coup, je le sentis circonspect. Une tige, c’était bien meilleur, je lui accordais cela. Puis, il dut comprendre. Ou s’était déjà soumis à moi.
Le sentir me lécher les doigts me rappela notre première rencontre. Il avait tant aimé, ce soir-là. Il avait suffi d’un index pour lui faire perdre ses moyens. Une fois mes doigts bien humidifiés, je pris soin de remettre la tige de mon rouquin dans son fourreau. Et elle fut à nouveau tétée comme il se devait.
Mes doigts étaient gluants de salive. Naturellement, je les guidais vers cette croupe qui ondulait sous mes yeux. À peine eus-je posé mes doigts sur ces fesses galbées que Dimitri engloutit toujours plus loin ma queue, m’arrachant un hoquet de surprise. Jusqu’où allait-elle désormais ? Allait-elle sortir par la porte que je prévoyais d’entrouvrir ?
Non, c’était impossible. Toutefois, je prévoyais de lui fracturer sa porte s’il le fallait. D’abord, d’une manière pour le moins simple, presque logique, avec une petite clé universelle. Puis, forcément, quand bien même si l’entrée allait nécessairement s’ouvrir, je comptais y aller à la batte de baseball.
Je m’emballais.
Mon index glissa dans sa raie. Je la stimulai de bas en haut. Sa bouche empalée sur mon chibre, il ronronnait. Ses fesses ondulaient. Il chercher la pointe de mon doigt. Je caressai alors son œillet. Son petit trou soyeux dont les contours avaient déjà été écartés la semaine dernière. J’essayais d’y penser le moins possible.
De mon autre main j’agrippai la chevelure de mon rouquin et le fit lâcher ma queue. La gueule ouverte, la langue sortie, il ressemblait à un toutou. D’un rapide mouvement de bassin, je le fouettai de mon chibre. Il ronronna. Ensuite, je le fis engloutir la queue tendue à la verticale à côté. Celle de Benjamin. Je l’y enfonçai jusqu’à ce que ça bloquait. Peu importait qu’il s’étouffe. Le brun en gémit.
Je grimpai alors sur le lit et me plaçai derrière Dimitri. Son trou était tendu vers moi. Ostentatoirement. Palpitant. Je pouvais voir ses deux boules se balloter au gré de ses ondulations, sa queue dissimulée entre les lèvres de Benjamin. Je passai un doigt sur cette peau très fine. Dimitri frémit.
Oh, si seulement c’était la seule fois qu’il allait éprouver un tel sentiment.
Je décidai de me concentrer sur mon rouquin. Mes doigts étaient toujours humides. Je repris mes mouvements de bas en haut sur sa raie. Il se cambra davantage, m’invitant à progresser dans mes caresses. Je ne me fis pas prier. De la pointe de mon index, je titillai son petit trou d’amour.
Je tournai autour de cette peau plissée et, naturellement, me mis à appuyer. Je sentis Dimitri expirer longuement, malgré la queue dans sa bouche. Il se détendit. Et mon doigt fut avalé. À l’intérieur, je ne m’arrêtai pas là. Imitant un crochet, je stimulai sa paroi, l’enfonçai, le rétractai, toujours pour détendre sa peau.
De longs soupirs de délice se faisaient entendre.
Alors que je m’amusai avec son anneau, je le sentis se contracter autour de mon doigt. Il avait une parfaite maitrise de ses sphincters. Telle une vraie salope. Je décidai d’y glisser un deuxième. Je rencontrai une faible résistance et, en quelques secondes, il fut avalé.
Mon index et majeur entraient et sortaient frénétiquement. J’adorai observer cette peau plissée se détendre et l’entendre gémir malgré la queue de Benjamin. D’ailleurs, alors que je lui jetai un regard, il la léchait à présent sur sa longueur, la bouche entrouverte, en proie à son extase.
Je vis alors la main de mon brun se poser sur les fesses galbées de notre troisième partenaire. Peut-être était-il temps de l’initier. Était-il curieux ? Je l’enveloppai d’une paume brûlante et, doucement, le guidait vers l’anus distordu. Vers le gouffre de plaisir de Dimitri.
Au début, il se rétracta, lorsqu’il sentit mes doigts, enfoncés jusqu’au métacarpe. Le côté humidifié n’était peut-être pas attirant. D’autant qu’il n’avait pas son sens de la vue, se trouvant face à la queue de notre rouquin. Il était condamné à se concentrer sur son toucher.
J’insistai un peu. L’encourageai d’une douce caresse. Il revint. Alors que je continuai à entrer et sortir de Dimitri, mon beau brun glissa un doigt autour des miens, sentant alors, probablement, la peau écartée. Je le laissai prendre ma place.
Il glissa un timide doigt dans ce trou frétillant, encore à moitié ouvert. Du moins, à moitié ouvert pour un début ! Après mon passage… Ce serait une autre histoire. Je m’en souvenais parfaitement.
Il tourna autour de l’œillet, explorant lentement, puis fourra son index à l’intérieur, sans crainte. Dimitri en gémit. Benjamin lui répondit par une note similaire. Ils devaient communiquer par un autre moyen que la parole. Peut-être se sentaient-ils liés par la queue de mon brun dans la bouche de notre compère.
Alors qu’il explorait son fondement, je me redressai. J’empoignai fermement la base de ma queue et fouettai la main de Benjamin. Celui-ci reconnut mon membre et délaissa le trou entrouvert pour me branler vivement. La sensation était délicieuse. J’étais gros, très gros. Si gros que je ne pouvais plus grossir.
J’admets volontiers que je profitai des caresses de mon beau brun. Sa paume était si chaude. Soudain, je le sentis bouger. Il tentait de s’extirper entre les cuisses de Dimitri. Étendu sur le dos, coincé par le corps de notre compère, il louchait sur ma tige. Son visage prit alors une expression qui m’était inconnue jusque-là. Il me regarda, fébrile, et ouvrit la bouche, la langue dehors.
- S’il te plait… fit-il, d’un soupir.
Comment refuser ?
Je la lui glissai dans le gosier. Jusqu’au fond. Il gémit de satisfaction. Il téta un long moment, continuant à titiller la rondelle de notre rouquin. Il salivait bien comme il fallait, aidant par la même occasion Dimitri qui allait déguster, étant donnée mon excitation. Je l’enfonçai une dernière fois, lui arrachant des haut-le-cœur volontaires, et la retira d’un coup. Il soupirait. Vide. Je lui assainis deux bonnes biffles. Il était mien.
La queue trempée de salive, je n’avais maintenant qu’un objectif. Ce trou palpitant sous mes yeux. Dimitri se tortillait comme une petite salope. Oh, il allait la prendre et bien la sentir passer.
Il était temps de montrer qui était le patron.
Bonjour ! Pour tout renseignement, contact privé, remarques, avis ou autre, je vous invite à m’écrire à l’adresse mail suivante : eveilleur1999@laposte.net. N’hésitez pas, j’apprécie tous messages.
J’espère sincèrement que vous prendrez plaisir à suivre cette histoire que j’en ai à l’écrire ! À bientôt.
Alex
eveilleur1999@laposte.net
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