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HISTOIRE

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Éveilleur

Chapitre -01

Je tirai lentement le rideau pourpre, plongeant délibérément la pièce dans le noir.
Cette chambre d'un hôtel trois étoiles, situé peut-être dans la rue à côté de chez vous, baignait désormais dans une lueur tamisée. Un hôtel des plus banals, en somme. J'y étais entré à 17 h, sous ma réelle identité, bien sûr. La gérante me connaît bien, désormais. Payée en espèces, cela lui permettait de ne pas payer d'impôts et, en échange, elle ne jugeait pas.

Je préparai la pièce, la débarrassai de tout ce qui pourrait trahir mon identité. Ici, celui qui était entré n'existe plus. Il disparaissait au moment où la clef était insérée dans la serrure. J'installai deux chaises au milieu, enfilai une chemise propre, bouclai mon pantalon, mis mes chaussures cirées. Et j'attendis. Dans le noir.
Certains diraient que je me prostituais. Quelle violence dans ce mot. Non. J'étais payé, certes, mais les relations sexuelles n'étaient pas obligatoires. Peu venaient pour cela, en vérité. J'étais un secours, l'appel du désespoir. Une aide inespérée à des personnes démunies. Confuses.

Des bruits timides se firent entendre dans le couloir. On frappa doucement à la porte.
- Entrez, dis-je simplement.
- Euhh... J'ai rendez-vous... Êtes-vous... ? bafouilla une voix d'homme.
- Entrez, j'ai dit.
La porte se refermait. Je m'étais habitué au noir. Je vis une forme relativement massive, courbée sur elle-même. Jeune, certainement. Sa voix était grave mais pas abîmée par l'alcool ou la cigarette.
- Venez. Asseyez-vous.
- Dois-je vous appeler ... Maître ?
Je me retins de rire. Beaucoup le voulaient, peut-être. Pas moi. Je n'installais pas ce genre de relation dominant-dominé.
- Non. Ici, tu es avant tout en sécurité. Il n'y a pas de maître. Ici, nous n'avons plus d'identité. Nous sommes simplement deux hommes, lui dis-je.
Il vint s'asseoir devant moi. Il sentait un peu la transpiration, celle du doute et de l'hésitation. Celle qui humidifie la peau lorsqu'on essaye de nouvelles choses, que l'on s'égare des sentiers battus. J'avais, moi-même, connu ce sentiment autrefois.
Dans la pénombre, où nos deux corps n'étaient que des formes, je trouvai ses mains. Moites. Tremblantes. Terriblement fines. Il me fallait le mettre en confiance. Je les serrai.
- Maintenant, dis-moi. Que veux-tu ?
- Je... Je n'arrive plus à satisfaire ma copine. Enfin, plutôt l'inverse. J'ai peur de ne plus l'aimer, elle. Elle ne me convient plus.

Il était pourtant bien jeune pour se poser ce genre de question. Son timbre indiquait moins de la trentaine, avec le manque de confiance en soi qui va avec. J'avais connu bien d'autres hommes. Certains, approchant de la quarantaine et formatés, se heurtaient à une homosexualité refoulée. D'autres, n'avaient que des pensées enfouies et n'osaient franchir le pas, préférant l'inertie. Ainsi, j'entrai en scène.
Je leur permettais d'explorer leurs capacités, le potentiel d'une relation entre deux hommes. Hors de question de céder si vite mon corps, toutefois. Ils devaient le mériter, me convaincre qu'ils étaient en plein doute. Et là, lorsqu'ils s'abandonnaient, je pouvais les aider. Les faire miens.
- As-tu eu des pensées avec des hommes ?
Cette question était banale, il s'y attendait certainement. Pourtant, il mit quelques secondes à répondre, comme gêné. Je le sentis se redresser, feindre l'offense. Il dégagea ses mains brusquement.
- Non ! Voyons... !
Typique. Il refoulait. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Nous nous sommes tous, un jour, voilés la face, pris au piège entre le désir d'épanouissement personnel et le désir de plaire à la société.
Il revint vite sur ses mots. Il replaça de lui-même ses mains, chercha mes doigts. Il avait la peau douce. Des ongles soignés. Un fin duvet sur le dos de la main mais aucun sur les doigts.
- En fait, oui... À l'adolescence. Mes camarades. Au vestiaire. Puis j'ai eu ma copine, en troisième, au collège. Depuis, nous ne nous sommes pas quittés.
Typique, encore. Tout comme les hommes qui se mariaient à la vingtaine et, au départ des enfants, à la quarantaine, se révélaient être homosexuels. Une unique longue relation qui, à son terme, réveillait le volcan endormi.
- Avez-vous des rapports réguliers ?
- Nous en avions... dit-il à voix basse.
- Qu'est-ce qui a changé ?
- Au travail... Je bosse dans une entreprise de comm ", openspace, tout ça. On a recruté un nouveau cadre. Il a éveillé quelque chose en moi. La première fois qu'il m'a été présenté... J'ai fondu.
Je me retins de sourire. Il était touchant. La situation qu'il évoquait m'était étrangement familière. Et pourtant, son timbre, son expression, m'envoûtait et me poussait à creuser.
- Quand cela s'est-il passé, cette rencontre ?
- Y a quatre mois.
Je relevai le menton, interloqué.
- Qu'a éveillé ce jeune homme en toi ?
- Un papillonnement. Une absence de contrôle. Quand je lui parle, je bafouille. Quand je le vois, je veux lui parler. Quand il rentre, je me sens seul.
- Oses-tu lui parler ?
- J'y suis obligé. Nous travaillons ensemble... Nous sommes tous les deux cadres, il s'adapte encore aux logiciels et au règlement... Et je l'aide.
Donc il le fréquentait quotidiennement. Être toujours à proximité de l'objet de son désir ne devait pas être chose facile.
- Parlez-vous de vos relations personnelles ?
- Parfois. Il n'a personne en ce moment. De simples relations sans lendemain.
Il n'y avait aucun jugement dans ses mots.
- Et ses préférences ?
- Femmes, sans doute. Il ne parle que de femmes lorsque nous buvons une bière.
- Tout comme toi, je suppose ?
- Je n'ai connu que Lucie... Parfois, j'aimerais y mettre un terme mais... Cela va faire dix ans que nous sommes ensemble.
Dix ans. En troisième, on était supposé avoir quinze ans. Il avait donc aux alentours de vingt-cinq ans. Le même âge que moi.

Je compris alors là où je pouvais l'aider, le rassurer. Le premier pas était souvent désastreux et le rejet incommodant, quand il ne détruisait pas. Un rejet mal-placé pouvait briser la vie d'un homme. Qui plus était, dans une passe d'incertitude comme lui.
- Qu'attends-tu de moi ? demandai-je.
Il hésita longuement.
- Je voudrais... Je voudrais... Savoir ce qu'est le sexe, entre hommes. Qu'est-ce qu'être homo...
Je ne l'étais pas. Si je devais me mettre une étiquette, ce serait davantage bisexuel mais je n'allais pas l'embêter avec cela. Il était curieux, je devais au moins lui attribuer ce mérite.
- Bien. Alors... Déshabillons-nous.
- Je ne veux pas aller jusqu'au bout... Je -
Je lui mis mon majeur sur la bouche pour le faire taire. Je n'allais pas le violer. Je n'en avais jamais eu l'intention. On ira jusqu'où il veut. Et si la séance devait s'arrêter à la première caresse, tel serait son désir. Je n'étais pas mû par mes pulsions, par la satisfaction de mon propre désir.
J'aimais, adorais, les relations sexuelles mais jamais, je ne l'y forcerai. Surtout pas un petit oisillon égaré comme lui.
Assis face à face, dans le noir, nous restâmes quelques secondes ainsi, mon doigt figé sur ces lèvres pulpeuses. Il tremblotait. Impatience ou peur ? Je le sus rapidement.

Contre toute attente, elles s'entrouvrirent très légèrement. Un souffle chaud, saccadé, vint caresser mon index. Je pris cela comme une invitation. Je caressai d'abord la lèvre supérieure, de droite, à gauche, de la manière la plus langoureuse possible. Arrivé au coin, je glissai vers sa lèvre inférieure, qui trésailla d'étonnement. Et je repris mon exploration. En son centre, je m'arrêtai.
Je le sentis s'entrouvrir davantage. Très progressivement. Son expire se fit plus chaud. Jusqu'à ce que je sente un mouvement, là, à l'intérieur. Il m'appelait. Et mon doigt pénétra dans cette grotte humide.
Je fis glisser alors mon membre contre l'intérieur de ses joues, jouant avec ses sens, avec sa salive qui m'enveloppait à présent. Les parois se refermèrent. Ses lèvres attrapèrent la base de mon doigt. Dans le noir, je ne pouvais voir son expression mais je sentais, à sa dévotion, une certaine volonté de bien-faire. Voire même de la satisfaction.
À l'intérieur, je sentis un bout de chair humide, trempé même, s'approcher. Timide, il lapa rapidement le gras de mon index, comme s'il espérait que je ne le remarque pas. Il m'amusait. Je touchai alors ses dents, lisses, propres, sans la moindre imperfection.
Et sa langue revint à la charge. Cette fois, avec plus d'assurance. Je sentis un piercing, une minuscule boule, certainement en métal, me heurter. Je décidai de jouer avec lui, aussi. Et lentement, je tournoyai autour de ce corps étranger, dénué de vie. Ses lèvres s'entrouvrirent à nouveau. Il respirait avec difficulté.
Dans la pénombre, j'entrevis une autre forme entre ses jambes. J'en fus directement satisfait. Il flattait mon égo.

Je ne voulais pas qu'il vienne avec simplement un doigt entre ses lèvres. Non. Ce serait trop aimable de ma part. Alors, je me retirai. Très lentement, pour qu'il comprenne ce qu'il perdait. Pour qu'il me désire. Et ce fut rapide. À peine fus-je sorti, que j'eus l'impression de lui manquer.
- Ai-je... Ai-je... Ai-je fait quelque chose de mal ? balbutia-t-il, déconcerté.
- Non. Non. Ne t'en fais pas, le rassurai-je.
Ma main vint se coller à sa joue. Il avait un fil collier de barbe entretenue. Une barbe nouvelle, pas très longue, qui s'entendait jusque dans son cou. Il se blottit contre ma main.
- Viens. Retire ton haut, si tu le veux.
Je ne voulais pas trahir mes envies. J'étais supposé lui apprendre la retenue, tout de même. J'attendis qu'il accepte, d'abord. Il le fit, bien plus rapidement que je ne le pensai. Les boutons de sa chemise furent retirés. Et son odeur corporelle m'envahit. Celle d'un parfum, aussi. Celui d'après la douche. Du lait d'amande. Elle m'était familière mais j'écartai cette idée de ma tête.
- Le... bas, aussi ? demanda-t-il.
- Seulement si tu le désires. Y es-tu à l'étroit ? demandai-je.
J'eus l'impression qu'il baissait les yeux.
- Un peu...
-
Je le sentis se baisser, délacer ces chaussures, puis les retirer. Il ne sentait rien. Il s'attarda sur ses chaussettes. Quand ce fut fait, il se redressa. Je me sentis dominé mais ne laissai rien transparaître. Il ne pouvait me voir et je savais enfouir mes émotions.
Sa boucle de ceinture se défit. Je l'entendis claquer puis râper contre son pantalon, un jean, et la retirer. Elle heurta lourdement le sol. Et il fit glisser son habit le long de ses jambes. D'ordinaire, je l'aurai aidé, pour installer une atmosphère de confort, le rassurer mais j'avais le sentiment qu'il se débrouillait bien. Qu'il était, tout de même, quelqu'un d'indépendant, malgré sa détresse.
- Tu ne le fais pas ? demanda-t-il, d'une voix gênée.
- Si, je t'attendais.
J'attrapai l'arrière de ma chemise et, sans même la déboutonner, je la retirai, exposant ma poitrine musclée. Aujourd'hui, j'avais décidé d'entièrement raser mes quelques poils. Les hommes curieux appréciaient la peau douce. Les poils incarnaient souvent la masculinité, contrairement à la douceur, davantage féminine. Évidemment, tout ceci n'était que des codes.
Je restai un instant, torse nu, face à lui.
- N'enlèves-tu pas le bas ?
Il me plaisait de plus en plus. Curieux et perspicace.
- Quelle impatience, dis-je, amusé.
- Pardonne-moi...
-
Mes chaussures volèrent, mes chaussettes, puis mon pantalon. Inutile de faire durer. Cette fois, je le dominais. Et je sentis qu'il était impressionné. Doucement, je m'abaissai à lui, me rapprochai de son corps jusqu'à sentir sa chaleur, son odeur corporelle.
- Viens.
J'approchai mes mains de ses épaules. Il tressaillit. Je continuai. Lentement, je caressai ses biceps de sportif. Probablement du tennis ou du volley. Avant de m'égarer sous ses aisselles. Et je le levai. Il me fit face, le souffle court.
- Allons sur le lit, lui dis-je.
Je caressai ses côtés, sentis sa musculature. J'étais capable de détailler la moindre de ses formes, de sa cage thoracique, dissimulées sous une très fine toison. Je découvris un grain de beauté, une simple protubérance sans pour autant en être disgracieuse, à côté de son pectoral gauche.
Je glissai également mes doigts à travers ces quelques poils, liant ses tétons, contournant ses muscles, embellissant tous ses recoins, avant de descendre probablement en sillon jusque dans son caleçon. Je préférai ne pas m'y aventurer. Et mon index se figea au creux de son nombril, cerné par de douces collines. Quatre, au moins.
Alors que je l'attirais à moi, moi-même attiré par le lit, il se raidit. Figé.
- Stop. Je... Je ne... bafouilla-t-il.
Je ne détachai pas mes mains et repris mes caresses. Je me voulais rassurant. Dans sa poitrine, je sentis son coeur accélérer.
- N'aie pas peur. Nous pouvons simplement nous allonger l'un contre l'autre, si tu ne veux pas aller plus loin.
Il se détendit progressivement.
- D'acc-D'accord...
Sans le vouloir, il me poussa presque sur le grand lit double où d'autres ébats avaient eu lieu. Il ne le savait pas. Je ne voulus pas lui dire. Sur cette housse de couette où des bateaux bleus étaient brodés, souvenir du moment où je préparai la pièce, nous nous étalâmes.
D'abord, séparés, comme si nous étions sur deux lits côte-à-côte. Puis, je le sentis se retourner. Il cherchait à me faire face.
- Tu ne m'en veux pas ?
- Bien sûr que non. Je suis là pour toi.
-
Il tenta discrètement de glisser mais était aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Amusé, je me mis sur le côté. Je sentis son souffle chaud contre mon visage, caressant mon nez comme l'embrun caresserait une falaise.
- Pourquoi faire cela pour moi ? me demanda-t-il.
Pourquoi ? Je m'étais longtemps demandé. Depuis, je préparais une réponse toute faite, répétée avec les années.
- Tu as trouvé mon numéro. Tu m'as appelé. Tu cherches à comprendre. Tu ne te contentes pas de l'inertie. Je me devais de valoriser cela. Je te viens seulement en aide. Comme une béquille. Tu fais le travail, je te soutiens.
- Suis-je le seul ?
Beaucoup espéraient. Parfois, je brisais des coeurs. Mais je ne pouvais entretenir une réelle relation de cette manière.
- Non.
- Beaucoup ?
- Assez.
J'étais évasif. Nous n'étions pas ici pour parler de moi. Et pourtant, il ne s'arrêtait pas.
- Comment t'appelles-tu ?
- Je te l'ai dit. Ici, il n'y a plus de noms. Nous sommes deux hommes.

Il s'approcha de plus belle. Je sentais à présent le creux que formait son corps, dans la housse. Je hasardai une main. Il ne me repoussa pas et glissa contre elle. Il finit par se blottir contre moi. Je l'enlaçai. J'errai le long de sa colonne vertébrale, sentis ses omoplates, ses lombaires. Il n'avait plus peur.
Son coeur battit à nouveau normalement.
Doucement, il enfouit sa tête dans mon torse, le souffle contre ma poitrine. Ses mains restèrent dans le creux de mon dos. Pour le moment, il ne voulait pas aller plus loin malgré la bosse que je lui sentis, dans son caleçon. Le mien aussi était tendu mais il n'y accorda aucune attention.
Il ne voulait que ce contact charnel, ces caresses, prémices d'une prochaine rencontre.
Nous restâmes dans cette position un long moment, engloutis dans le noir. Dans ma tête, je m'imaginais quel visage il pouvait avoir. Mon caleçon ne retombait pas. Je devais mettre fin au flux de mes pensées.
Puis il tressaillit. Il se dégagea. Il me quitta.
- Je dois y aller, me dit-il d'un murmure.
Il n'y avait pas de gêne dans ces mots. Certainement, du regret même. Il était aussi content, je pouvais le sentir. J'avais appris à étudier les gens à leur manière de parler. Je l'entendis se rhabiller.
Moi, je restai là, je profitai de ce moment, étalé dans ce lit. J'étais certainement un peu frustré, le caleçon fortement déformé. J'attendais son départ pour me soulager. Soudain, il revint vers moi. Je le sentis se pencher. Il trouva directement mon front, qu'il embrassa affectueusement.
- Merci. Je m'appelle Benjamin, me souffla-t-il.
Et j'entendis la porte claquer.

Directement, je descendis mon short de ma main droite et me masturbai, les dents enfoncées dans ma lèvre inférieure. Ma respiration s'accéléra. Ma tête s'enfonça dans le coussin.
Je ne l'avais pas vu. Seule mon imagination pouvait travailler. Son contact revint à moi. Sa peau était gravée sur mes doigts. Sa voix résonnait dans mon oreille. Son odeur se rappelait à moi. L'humidité de sa bouche trempa à nouveau mon doigt. Macula ma hampe.
Et ce nom. Ce délicieux nom que j'aurais préféré ne pas connaitre...
- Benjamin... soupirai-je.
Je me touchai un téton de ma main gauche. Le pinçai. J'accélérai le long de ma queue. De haut en bas. Je sentais à chaque fois ma fine toison pubienne contre la tranche de ma main. Je rabattis ce prépuce, étirai cette fine pellicule de peau. Je passai alors un doigt sur mon gland gonflé, gorgé de sang. Il était tout humide. J'aimais ça. J'y prenais un monstrueux plaisir. Je me mordis davantage.
- Benja - ... !

Et je vins dans un soupir d'exaltation. J'expirai longuement, soulageai cette frustration qui avait grandi en moi, faute de ne pas avoir pu le toucher, profiter de son corps. J'inspirai profondément, encore pris par la torpeur de mon orgasme. J'étais soulagé. Mais pas satisfait.
Dire qu'à ce moment-là j'étais encore inconscient de la suite. Je n'en savais rien. Ô douce ignorance...

Alex

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