Début de l'histoire imposé à tous
14 Février 2020, un soleil radieux éclaire sans partage le ciel de Casablanca, il s’infiltre peu à peu dans les ruelles, par les fenêtres.
Farouk déploie ses longs cils noirs de jais, regarde et sourit au nouveau jour.
La belle lumière projette sur le mur l’ombre, la silouhette de sa puissante érection matinale.
Son sexe bouillant, posé sur son ventre tremble aux battements de son cœur et déverse un jus transparent dans le creux de son nombril.
A ses côtés, Djibril est appelé dans son sommeil par l’énergie sexuelle de son frère, il entrouvre un œil, tend l’index puis effleure le ventre imberbe de son ainé. Son pouce tourne autour des muscles et enfin du nombril inondé. Plongeant son doigt dans le puit de semence, il le ramène à ses lèvres et se délecte du nectar viril en suçant son pouce, les yeux fermés, il se rendort.
Farouk embrasse le front de son petit frère et bondit du lit.
- Debout petite salope ! tu fais ton premier bloc aujourd’hui !
- Mais euuuuh… reviens ici Docteur.
Déjà sous la douche, Farouk annonce le programme de la journée :
1| Tu bouges ton petit cul de vierge et tu me prépares une galette au poulet
2| Tu te laves et quand je me brosserai les dents, tu viendras à genoux me vider les couilles vite fait !
3| On s’habille presto et on file à l’hôpital.
4| Tu fais honneur à la famille, Oncle Daddy s’est libéré aussi, nous serons à l’observatoire du bloc pour te voir amputer ta 1ère jambe !
5| Ce soir on sort pour fêter ça entre hommes de la famille, tu seras « Chir » comme nous, tu feras plus ta tapette hein ?!
- Connard ! C’est toi la tapette ! Même pas les couilles de faire ton comingout, dans 2 mois t'es marié à cette gazelle adipeuse... et nous dans tout ça ?
Farouk ne relève pas les dernières paroles de son frère, car en somme il savait que Djibril avait raison. Il préfère partir de la chambre tout en sommant son frère de bouger son cul.
Djibril se lève donc à contre cœur, mais la perspective de la journée lui met du baume au cœur, et c’est d’un pas décidé et guilleret qu’il se dirige nu comme un ver dans la cuisine.
A Casablanca en février on peut se promener à poil, encore plus que dans l’appartement partagé par les deux frangins la température y est douce.
Djibril n’est pas aussi bien membré que son frangin, mais sa queue au repos donnerait envie à plus d’un, et en s’agitant dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner, celle-ci se balance de gauche à droite comme un métronome.
Occupé dans sa tâche, le cuisinier naturiste n’a pas entendu son frère rentrer dans la cuisine et venir se placer derrière lui. En sentant entre ses fesses musclées et imberbes la queue vigoureuse de son frère, il eu un léger mouvement de recul qui eu comme effet de s’empaler de moitié sur le mirador fraternel.
-Putain si on avait le temps, je te défoncerais toute la matinée tellement tu es sexy quand tu cuisine.
-Comme tu l’as dit, on n’a pas le temps d’ailleurs ton petit-déj est prêt, répondit Djibril, en s’extirpant pour se diriger vers la salle de bain.
Farouk affamé se jeta sur les galettes préparées par son frère qu’il trouva délicieuses, presque meilleures que celle que prépare leurs mère.
-Djibril, cria Farouk, tu mets quoi dans tes galettes pour qu’elles soient aussi bonnes ?
Djibril sorti de la douche, arriva toujours à poil (enfin pour le peux qu’il a) dans l’encablure de la porte, et lui répondit d’un sourire narquois:
-De l’amour, beaucoup d’amoouuur….
En entendant l’insistance que donnait son frère sur le mot amour, il comprit de suite quel était l’ingrédient secret, et en eu presque un haut le cœur, mais continua de manger parce qu’il avait la dalle et que c’était bon.
-Bon je vais me brosser les dents, tu sais ce qu’il te reste à faire.
Djibril laissa passer son frère et s’avança pour ramasser et ranger le petit-déj, puis sans traîner se dirigea vers la salle de bain. Ces deux-là, avaient établi un rituel matinal réglé comme du papier à musique depuis qu’ils avaient pris cet appartement en colocation loin du cocon familial. Le temps des pipes et des sodomies silencieuses dans leurs chambres d’adolescents était bien loin, et aucun des deux ne regrettait ce temps.
Farouk s’écarta du lavabo, pour laisser passer son frère qui vient se mettre à genoux devant lui, et comme tout les matins, il allait lui juter son plein de protéines dans la gueule, et comme tout les matins Djibril n’allait pas en laisser une goutte. Il prenait un plaisir de dingue à bouffer les 22cm circoncis de son frère, et depuis qu’il se rasait les couilles, c’était un vrai régal, un énorme terrain de jeu ou pouvait glisser sa langue.
-Putain Djibril, faut qu’on se grouille, ton opération est dans 1H30, il prit son frère en dessous des épaules et comme deux gosses, ils se dirigèrent dans la chambre attenante en chahutant, s’habillèrent rapidement pour filer à l’hôpital de Casablanca où ils faisaient leurs internats en médecine.
[Comme Cyrillo n’est pas une annexe de Doctissimo, quoique parfois on se demande, je vais passer l’étape : NFS, CHIMIE, IONO :Djibril sous les regards bienveillant de son frère-amant et de son oncle Daddy réussi (sans se tromper de jambe) l’amputation de ce pauvre jeune motard, ayant eu un accident la semaine dernière et dont la jambe ne s’est pas remise.]
Farouk et Daddy descendirent féliciter Djibril pour son opération, ils le trouvèrent en grande discussion avec le Professeur Abdel, son formateur et professeur.
Djibril vit son frère arriver et lui fit un check en s’écriant de joie :
- Ça y’est bro je suis un vrai chirurgien maintenant, tu me feras plus chier maintenant.
- Les garçons restez polis et n’oubliez pas de rester humain avant tout, ajouta Daddy.
- Je suis d’accord avec votre oncle, être fier de devenir chirurgien est tout à fait normal, mais restés digne, surenchéri le Professeur Abdel.
- D’ailleurs nous manifesterons notre joie dans un lieu plus adapté ce soir, j’ai réservé un table dans mon restaurant préféré pour honorer les durs efforts de mes 2 chers neveux, peut être que le professeur Abdel pourrait se joindre à nous, qu’en pensez-vous, demanda Daddy en se tournant vers les deux jeunes chirurgiens.
- OUI pas de problème pour moi, c’est aussi grâce à lui que je suis chirurgien maintenant répondit Djibril.
- OK pour moi également, ajouta Farouk.
- Parfait, alors rendez-vous ce soir à 19h30 aux Délices du Souk, j’ai réservé une table discrète, maintenant au boulot.
C’est donc à 19h30 que nous retrouvons nos 4 chirurgiens attablés, en grande discussion liée à leur métier réciproque, les anciens donnaient des conseils et des recommandations aux plus jeunes et les plus jeunes leurs soifs de changements et d’évolution des différentes méthodes et techniques en matière de chirurgie. L’humeur et l’ambiance était douche, chaleureuse et bon enfant si bien que le temps passa très vite.
Avant que le dessert soit servi, Daddy prit la parole, d’un ton tendu et d’une voix tremblante il s’engagea :
- Mes garçons si je vous ai invité ce soir, ce n’est pas seulement pour vous féliciter dans votre travail, mais aussi pour vous annoncer quelque chose.
- Tu es malade ? demanda Farouk
- Mais non, je suis en pleine forme, laissez-moi parler ce n’est déjà pas facile pour moi.
- Ok vas-y tonton.
- Bon ….alors….je sais qu’entre vous deux, il se passe quelque chose de fort, vous êtes très complice et vous vous aimez beaucoup. Mais j’aimerais vous mettre en garde, ne faites pas les mêmes erreurs que moi dans le passé, ne vous engagez pas dans quelques choses qui ne vous correspond pas.
- Pourquoi tu dis ça ? tu penses vraiment que la médecine n’est pas faite pour nous ?
- Mais si vous êtes de très bon chirurgien, répondit Daddy, je vous parle de ce qui se passe à la maison, dans votre lit. Comment je sais çà, vous allez me demander ? Eh bien parce qu’à votre âge, je vivais la même chose que vous, certes pas avec mon frère de sang, mais avec mon frère de cœur. Mais voilà c’était dans les année 80, dans un pays du Maghreb, il était hors de question de vivre çà au grand jour, mais aujourd’hui les choses ont un peu évolué. Vous pouvez vivre votre amour plus librement que lorsque j’étais à l’université.
- Ce que tu essaies de nous dire, c’est que tu es gay ? mais tante Fatima ? s’interrogea Farouk.
- Fatima, c’était la femme de ma vie, mon âme sœur, on se connaissait depuis tout petit, elle connaissait tout de moi. Ses parents avaient arrangé un mariage avec un cousin éloigné, mais quelques semaines avant le mariage, il est mort dans un accident de la route. Fatima ne le connaissait pas vraiment, mais elle était tout de même triste. Je suis donc allé voir son père pour lui demander sa main, et connaissant ma situation professionnel, il accepta tout de suite, en ajoutant ; « je sais que tu l’aimes ma fille, tu ne lui feras jamais de mal ». Nous nous sommes donc mariés à la fin de mon internat et malheureusement nous n’avons pas pu avoir d’enfant, et puis vous connaissez la fin, ce foutu cancer l’a emporté si vite.
- Et pendant tout ce temps, tu jouais les hétéros accomplis, tu mentais à tout le monde, s’indigna Djibril.
- Oui et non, je vivais une double vie, seule Fatima le savait, et elle ne me désapprouvait pas. Pour tout vous dire, je n’ai jamais cessé de voir mon frère de cœur, et aujourd’hui étant veuf tous les deux, nous avons décidé d’emménager ensemble pour vivre enfin notre histoire telle qu’elle aurait dû être il y a 40ans.
- Mais alors c’est qui ce mec? questionna Djibril
- Farouk qui était en retrait de la conversion, pu observer à sa guise la situation et donner la réponse à son frère : je crois que le mec de tonton Daddy, est en face de nous frérot.
- Eh oui Farouk, Abdel et moi, nous nous sommes rencontrés à la fac de médecine, et ça été le coup de foudre dès les premières minutes, et depuis on ne sait jamais plus quittés, çà a été difficile parfois mais nous sommes toujours là ensemble.
Après ces révélations plus que surprenante, la conversion avait changé de sujet, pour le plus grand soulagement d’oncle Daddy qui se sentait d’un coup plus léger. Au moment où Djibril s’absenta pour aller aux toilettes, Farouk s’adressa à Daddy et Abdel :
- Avec toutes ces bonnes nouvelles, nous n’avons pas officiellement gratifié Djibril pour son entrée dans le club des Chirurgiens de Casa, que diriez vous si…..[chuchotement inaudible de Farouk]. Quand Djibril revint à table, son frère lui annonça que ces oncles venaient prendre le thé à la maison pour clôturer la soirée.
C’est donc tous ensemble qu’ils se levèrent pour quitter le restaurant pour se retrouver une trentaine de minutes plus tard devant l’appartement des garçons.
Farouk entra en premier, il ordonna à son frère d’aller dans la cuisine pour préparer le thé qu’il viendrait leurs servir au salon. Pendant ce temps les 3 complices se dirigèrent au salon, et comme prévu dans leurs plan, se dévêtirent complétement pour s’asseoir complétement nus sur le canapé, Farouk se trouvant au milieu du couple de quinquagénaire.
Farouk n’avait jusque-là pas prêté attention à la plastique de son oncle, mais en le voyant nu à coté de lui, il le trouva vraiment bien foutu pour son âge : un corps robuste, avec de jolis muscles sculptant un torse velu juste comme il faut. Et un peu plus bas, il vit pour la première fois la bite de son oncle, et en conclu que le patrimoine génétique paternel était intéressant. De l’autre côté de lui, Abdel n’était pas en reste, un peu plus fin que son oncle, ses muscles étaient plus marqués, et tout comme son corps, sa bite aussi longue que celle de son oncle mais presque deux fois plus large reposait sur une grosse paire de couilles totalement imberbes
Farouk pris l’initiative de prendre une bite dans chaque main, pour le plus grand plaisir de ses oncles qui bandaient déjà très dur, et encore plus depuis qu’ils s’amusaient à jouer avec la queue du jeunot prit en sandwich entre eux deux.
- Le thé des ses messieurs est….bordel mais qu’est ce que vous foutez à poil, s’étonna Djibril arrivant de la cuisine en portant son plateau.
- C’est un cadeau pour toi, pour la réussite de ta première opération, répondit Farouk en se levant. Comme je sais que tu aimes bien sucer ma bite, je me suis dis qu’avec deux de plus tu serais ravi. Alors pose ton plateau et vient te foutre à genoux devant nous. Djibril s’exécuta, et quand il vint se poser à genoux devant son frère, les deux autres en profitèrent pour se lever à leurs tours. C’était donc 3 beaux calibres qui se présentaient devant la bouche du jeune célébré qui était aux anges. Passant de queue en queue, sa langue venait lécher tour à tour les glands circoncis gonflés d’excitation. Et quand sa bouche ne s’occupait pas d’une queue, ce sont ses mains qui prenaient le relais, pour masturber et triturer les couilles bien gonflées des trois mâles qui eux n’étaient pas inactifs, alternant caresses, titillage de tétons ou pelles bien baveuses.
Farouk qui regardait son frère prendre du plaisir en bas de leurs ceintures, senti deux mains sur ses épaules exercer une pression vers le bas, il comprit vite ce que cela voulait dire. Il se mit donc à genoux en face de son frère, c’était donc maintenant un échange de queue, de roulage de pelle et fellation à deux bouches qui se joua. Les deux jeunes amants prenaient un très grand plaisir à sucer ces deux belles queues qui leurs étaient offertes, ils se mettaient au défis dans des gorges profondes de plus en plus longues pour le plus grands bonheurs des deux daddys qui ne manquaient pas de manifester leurs contentement par de grands soupirs.
Après un long moment de ce traitement, oncle Daddy sorti de son extase pour ordonner à ses neveux :
« - Venez vous mettre à 4 pattes sur le canapé, on aimerait vous bouffer le cul, Abdel et moi on adore les petits culs de jeunes hommes comme vous. »
Djibril qui était à genoux depuis un long moment ne se fit pas prier longtemps, surtout qu’il adorait quand son frère lui bouffait la rondelle, surtout qu’il faisait çà merveilleusement bien.
Pour Farouk, se fût un peu plus difficile, lui qui avait l’habitude d’être actif avec son frère se montra plus réticent, mais il s’y résout après que Professeur Abdel lui fit du chantage :
- Ecoute Farouk, tu es chirurgien depuis peu, et tu sais qu’à l’hôpital j’ai le pouvoir de décider qui à le droit d’opérer ou pas, ce serait dommage que tu te retrouves à faire des pansements jusqu’à ce que je décide du contraire.
Farouk rejoignit donc son frère qui était déjà à genoux, avec son cul bien cambré montrant ainsi son trou rasé bien accueillant à l’assemblée. Oncle Daddy se plaça derrière Djibril et c’est Abdel qui eu le plaisir de dépuceler le cul de Farouk de sa langue experte.
Farouk découvrit le plaisir de se faire bouffer le cul par une langue experte, et commença à se détendre et prendre du plaisir, son frère était dans le même état que lui, et à la suite d’un échange de regard, leurs bouches se rapprochèrent et ils échangèrent une longue pelle, pleine d’amour et de sensualité. Derrière eux, les deux bouffeurs de cul n’en n’avaient pas perdu une miette et en se concertant visuellement, ils décidèrent de se relever, postant ainsi leurs membres bien bandés devant les trous préalablement détendus et lubrifiés par leurs langues expertes. Djibril qui connaissait cette sensation ne broncha pas, et Farouk prit dans son embrassade avec son frère ne senti pas le frottement du gland d’Abdel contre son trou jusqu’alors inexploré. Suite à la non-réaction des deux plus jeunes, Daddy et Abdel commencèrent leurs pénétration tout en douceur, si Djibril soupira de satisfaction, pour Farouk ce fût un petit cri de douleur qui sorti de sa bouche.
Son frère le rassura d’un geste tendre accompagné de mots doux :
- Détends toi mon chéri, tu vas voir comment c’est bon de se prendre une bite dans le cul, mais j’ai bien vu que la bite d’Abdel était plus large que celle de Daddy, si tu veux on peut échanger, dit-il en se tournant vers Abdel.
Les deux mâles bien bandés échangèrent donc de place, Djibril mouillait déjà à l’idée de se prendre la queue d’Abdel. Farouk lui, était plus réservé mais se laissa faire, de toute façon, cela faisait bien longtemps que la situation lui avait échappée. Djibril savourait chaque mouvement et prenait un plaisir très différent de celui que Farouk lui procurait jusque-là, mais ne s’en plaignit pas au contraire. Pour Farouk, les longues minutes que dura les assauts de son oncle, lui semblèrent une éternité. Mais son calvaire se termina, lorsque Daddy et Abdel dans une synchronisation parfaite déculèrent et ordonnèrent à leurs partenaires de se retourner. Ce que fit Djibril, mais pour Farouk s’en était trop, il préféra se glisser vers l’autre canapé du salon, c’est donc Djibril qui reçu l’abondante semence des deux actifs. Il en avait partout sur le visage et sur le torse tellement les éjaculations furent abondante…
Une heure plus tard, Djibril et Farouk étaient de nouveaux seuls, propres et sous la couette un peu perdus et surpris de leurs soirées :
- Putain quelle soirée pleine de surprises et de révélations, commença Farouk
- C’est sûr que je ne m’attendais pas à vivre çà en me levant ce matin.
- Je ne suis vraiment pas fait pour être passif, et je pense que je ne pourrai pas assumer au grand jour d’être gay, rajouta Farouk en posant son bras sur l’épaule de Djibril qui était couché tout contre lui.
- C’est toi qui vois Farouk, mais sache que je t’aimerai toujours
- Moi aussi je t’aimerai toujours mon frérot chéris, allez on devrait dormir maintenant.
C’est ainsi que fini la journée Farouk et Djibril, mais demain est un autre jour…
Dom
domi8867@hotmail.fr
Commentaires
J’adore
Franck
Je suis partagé de pleins de sentiments sur cette histoire 5/10. J'ai failli arrêter de lire a cause de l'ennuie qui m'a gagné rapidement. Je suis lecteur et non auteur donc respect de toute façon.
Boursaud
Une journée particulière | L'Hôpital | La promesse | Un amour bien plus que fraternel | Fratricide bromance | Djibril | Journée surprenante à Casablanca | L'honneur de la famille