Premier épisode | Suite de l'histoire
Chapitre 3 | Rodolphe monte boire un verre
Les jours passent et je suis toujours entrain de tourner autour, enfin, d’essayer de tourner autour de mon beau collègue Nicolas.
On se croise au boulot, on échange des banalités, mais pas moyen d’aller plus loin.
Il le fait exprès, je pense ! En plus ça a été compliqué ces dernières semaines de le croiser à la salle de sport qui est le seul endroit où je peux l’approcher de façon plus intime. Une seule fois seulement en trois semaines et même pas dans les douches. Je rentrais dans les vestiaires, il était de dos en train de se rhabiller, alors il a retiré la serviette qu’il avait autour des hanches a levé un peu la jambe pour enfiler son slip, j’ai vu sa queue qui se balançait, juste quelques secondes avant qu’il ajuste rapidement son slip et un pantalon de survêt. Il était encore torse nu, s’est retourné, j’étais à moins d’1 mètre de lui près de mon casier, quand il s’est rapproché pour me rouler une pelle bien langoureuse !
Et non, eh non je fantasme ! ça, c’est ce que j’aurais voulu. Mais il se contentera de se retourner vers moi et de me lancer un « oh salut ça va ? »
Instinctivement, j’ai zoomé sur son sexe, mais il avait enfilé un survêt très ample, qui ne laissait absolument rien entrevoir. Dommage pour cette fois.
Ce mec me fait beaucoup d’effet et j’étais probablement en train de bander en le regardant. Pourtant, il ne ressemble pas à l’idée généralement répandue du beau mâle, ni même du beau mec gay. Il n’est pas spécialement taillé en V, il a même un bassin plutôt large et en proportion les épaules ne sont pas imposantes. Son torse est musclé, mais sans plus, pas de « 6 packs » saillant. D’ailleurs, c’est plutôt du fitness que de la muscu qu’il fait à la salle. Coté visage, bah il a plutôt un pif bizarre, les sourcils plutôt broussailleux, un grand cou étroit. Mais c’est un grand mec, très fin, une très belle peau, des yeux bleus magnifiques et un sourire qui vous fait fondre ! Ce qui fait qu’au global, le gars est vraiment très séduisant. Bref un beau mec. Enfin pour moi. Mais pas qu’en fait, tout le monde le dit, enfin je crois bien. Même les meufs. Surtout les meufs ! Quand j’ai parlé de Nico exactement dans les mêmes termes à Rodolphe, mon amant du moment, il m’a dit :
- Ah oui je te confirme que c’est un beau mec, mais tu ne serais pas un peu amoureux toi ?
- Oh mon pauvre, non sûrement pas ! je veux juste sucer sa grosse teub. il n’y a que le cul qui m’intéresse ! et lui c’est quand il veut, où il veut et comme il veut !
C’est vrai que je suis bien accro au sexe ! Plus je nique, plus j’en ai envie. En dehors des coups pris et donnés dans les saunas et les backrooms, je m’amuse pas mal avec Rodolphe que je revois régulièrement. Lui à défaut d’un chibre hors norme, mais dont il sait se servir, il a un beau cul bien ferme et surtout il a toujours des bonnes idées, ya qu’a voir comment on s’est éclaté dans sa Golf la dernière fois.
L’autre jour, je trainais chez moi, il faisait plus de 25°C la fenêtre était ouverte. J’entends une voiture qui se gare. Puis bip bip un message sur mon tel, Rodolphe m’envoie une photo de lui assit au volant la main enfoncée dans sa braguette ouverte. Chaud ! Je regarde par la fenêtre, il garé devant l’immeuble.
Pas besoin de parler, j’ai tout compris. C’est le bon timing, je viens de prendre ma douche avec un lavage complet… Très complet. J’enfile un t-shirt, j’attrape un slip… Non en fait pas besoin, je mets mon short, baskets et hop ni une ni 2 je suis dans sa caisse.
- Alors quel est le programme aujourd’hui ? dis je en commençant à baisser mon short.
- Je peux monter chez toi ?
- Euh…
- Tu n’es pas seul ?
- Si si !
- Ça te gêne ?
J’ai toujours ce réflexe stupide de dire non face à une situation inattendue. Combien de fois j’ai dit non à des mecs ou a des plans, parce que je n’avais pas anticipé l’occasion et combien de fois je l’ai regretté ! Heureusement je me soigne et je décide d’accepter.
- Euh ben non, pas de problème, vient on monte.
Dans l’ascenseur il me roule une bonne pelle en enfonçant bien sa langue et met la main dans mon short où il tombe direct sur mon zob humide en train de durcir.
- tu n’as pas mis de slip mon salop, dit il en retirant ça main pour se lécher les doigts !
Une fois dans l’appart :
- j’ai soif, dit-il, tu n’as pas un truc ?
- si bien sûr du jus d’orange, ça va ?
- parfait, je sais aussi comment l’améliorer !
- ???
Je sers 2 verres.
Il prend le sien, baisse son pantalon, sort son zob qui commence à bander, puis le plonge dans le verre. Il ressort son zob, le décalotte carrément et le refout dans le verre de jus d’orange. Ensuite il trempe bien ses couilles dedans.
Il me tend le verre :
- tiens du jus d’orange au jus de bite dit il en se marrant.
Très excitant ! Je n’hésite pas à tremper mes lèvres et tout boire d’un coup. Puis je tends mon verre pour qu’il le remplisse de nouveau.
Quand il me le rend, j’ai enlevé mon T-shirt, fait basculer légèrement la chaise en arrière et je commence à verser doucement le liquide du haut de mon torse. Arghhhh c’est froid ! Je m’arrête, mais comme je vois les yeux de Rodolphe qui brillent, je serre les dents et je continue.
Le jus est froid… Mais ça va être chaud chaud. Le jus coule doucement entre mes pecs, descend jusqu’au nombril pour le remplir et finit sa course vers mon sexe grâce à mon short que j’ai déboutonné. Tout mon attirail va rapidement baigner dans le jus.
Mon short est complètement mouillé, et ça continue de couler doucement entre les poils de mes jambes.
Je le regarde droit dans les yeux et je lui
- après le jus d’orange à la bite, une bite au jus d’orange ! ça te dit ?
Il n’en demande pas tant.
- je vais commencer par les tétons au jus me répond il.
Il m’allonge sur la table, verse doucement du jus sur mes tétons et se met à les lécher et les sucer comme jamais. J’adore qu’on me masse les tétons, mais là ça me fait un effet dingue, j’en ai des frissons.
Il continue et me fait des gros suçons. Je retire mon short pour libérer ma queue qui veut prendre l’air. Le jus commence à sécher sur mes poils sa tire un peu, mais c’est cool.
Petit à petit Rodolphe continue à mettre quelques gouttes de jus et descend progressivement sur tout mon corps. Il passe sa langue dans mon nombril pour récupérer le jus. Il verse le reste du verre sur mon sexe et mes poils pubères.
- Maintenant je vais te nettoyer la queue.
Ce qu’il fait remarquablement à coup de langue. En partant du bas de mes couilles, il remonte sur la verge il effleure le gland pour m’exciter puis recommence plusieurs fois. Il sait que j’adore ça. Puis d’un coup il se met progressivement mon gland puis toute ma verge dans la bouche en serrant de plus en plus fort et en faisant des vas et viens de plus en plus rapide. Il suce comme un dieu, mais je ne veux pas jouir tout de suite.
Je me lève de la table, tout trempé.
Je lui demande de s’installer à 4 pattes sur la table, ce qu’il fait sans demander plus d’explication. Puis je lui verse doucement le reste de la bouteille sur le haut du dos. Instinctivement il redresse légèrement les épaules et un petit ruisseau de jus d’orange se forme, trace son chemin à travers son dos musclé pour finir sa course sur la raie de ses fesses. Je les écarte pour que le jus passe sur son anus. Ça va le faire frissonner un peu à cause de la fraicheur du liquide, mais il va rapidement aimer la sensation et cette façon d’humidifier son trou.
Pour finir, le petit ruisseau orange va continuer sur ses couilles. Je lui tire la queue vers l’arrière pour qu’elle en profite aussi. Alors je prends une chaise que je mets juste sous lui, je m’assieds, renverse ma tête en arrière, j’attrape sa bite pour la mettre dans ma bouche, je prends la bouteille pour la lever et faire couler le plus doucement possible le jus, juste au niveau de la raie des fesses. Je sens Rodolphe frissonner au contact de ce liquide froid, mais si j’en juge par l’afflux sanguin qui vient encore gonfler sa queue, Il aime ça. Je vais doucement avaler ce jus qui est passé par ses fesses, son anus bouillant, ses couilles et enfin sur sa verge que je suis en train de sucer goulûment pendant que je me branle de l’autre main.
Je finis par jeter par terre la bouteille maintenant vide. Nous sommes tous les deux couverts de jus sucrés, il y en a partout sur le sol et ça commence à coller. Ça promet un beau nettoyage par la suite, mais je vais d’abord m’occuper mon amant du jour. L’excitation nous fait transpirer ce qui donne sur nos peaux un étrange mélange de sucre, de transpiration et de jus de sexe. C’est très chaud et je commence à sentir des frissons très agréables qui partent du bas du dos, habituellement signe annonciateur d’une belle éjaculation… Je me reprends, c’est un peu tôt, j’ai encore envie de m’occuper de Rodolphe et de lui planter ma queue dans son cul bien chaud.
Je me relève de la chaise et me mets face à ses fesses écartées. Il ne bouge plus, il s’abandonne et attend que je prenne les commandes.
Je retire encore une fois sa bite en arrière. Je lèche son gland sur toutes les faces, je continue sur sa verge au gout de jus d’orange, j’avale ses couilles dont les poils fournis sont collés par le sucre. Finalement je serre les lèvres et suce bien fort son gland jusqu'à faire monter son rythme cardiaque et le faire gémir.
Rodolphe est plutôt actif je dois dire, bien que lors de notre première rencontre il a adoré les 2 doigts que je lui ai plantés dans le cul pendant que je le suçais. Mais au fur et à mesure je l’ai convaincu du bien être procuré par la pénétration et le massage de prostate fait par une queue habile. Par contre il n’aime pas que je lui ouvre le cul avec les doigts, il est gêné par les ongles. Qu’à cela ne tienne, je vais tranquillement lui bouffer le cul et dilater son anus avec ma salive et des coups de langue pendant plusieurs minutes.
Le temps de mettre un préservatif récupéré à la salle de bain, Rodophe s’est assis sur la table. Il m’attend en train de caresser.
Il me regarde fixement sa bite à la main, et s’allonge sur le dos avec son cul juste au niveau du bord de la table. Il lève ses jambes et écarte les fesses. C’est une invitation on ne peut plus claire à se faire enculer !
Je passe un doigt mouillé sur son anus, il est brulant, mais a besoin de se dilater en encore un peu plus. C’est à grand coup de langue que je vais travailler ça. Puis je pique sa rondelle avec ma langue… Je pense qu’on est pas mal ! C’est au tour de ma bite maintenant. Il aime la douceur, alors j’y vais par pilonnages légers et progressifs, juste pour entrouvrir la rondelle. Avec le temps je dois dire que j’ai une bonne technique que tous mes amants reconnaissent. D’abord un peu, 1 ou 2 cm, puis un peu plus, puis toute ma queue. Une fois placé, je l’enfonce à fond jusqu’à la garde et reste comme ça 30 bonnes secondes, ça nous procure de bonnes sensations. Puis ensuite le vas et viens ou je vais alterner les rythmes rapides et lents.
Maintenant que ma queue est bien installée en lui et qu’il commence à grimacer, je lui attrape le sexe pour le branler. Il est complètement abandonné, j’ai pris le contrôle de ses sens en m’occupant en même temps de son cul et de sa queue.
Après 10 bonnes minutes je commence à accélérer les vas et viens et je sens que le sperme arrive. Il me cris :
- Putain envoie la purée sur ma gueule,
Comme je suis en train de sentir le jus monter je n’arrive pas changer de position et je le pilonne toujours. Il m’attrape les fesses avec ses mains pour me maintenir bloqué au fond de son trou. Je contracte tous mes muscles et je respire un peu. Au bout de quelques secondes je sors mon dard, retire le préservatif et je passe sur la droite de la table pour me branler devant sa bouche. Il a repris lui-même le branlage de sa queue et hurle :
- Suce-moi ! vite.
Oui bonne idée ! J’ai à peine le temps de mettre ma bouche en position que tout son corps se met à trembler et je vois le jus sortir à grande vitesse, un petit jet sur ses poils, puis un long sur ma gueule puis encore un long dans mon œil et 2 petits saccadés qui vont monter jusque sur ses pecs.
Il m’a attrapé la queue qu’il astique violemment, ça y est je sens le courant électrique et les frissons jusqu’ à la nuque, je bloque au maximum et je crache 3 salves bien épaisses qui tombent sur la table, sur son corps, partout.
Je ressors une bouteille de jus du frigo. J’en verse un peu sur son torse en sueur et copieusement arrosé de sperme. Le froid du liquide le fait un peu trembler, mais il sait que je vais lécher tendrement tout ça pour finir par lui rouler une pelle langoureuse et aux saveurs variées. Et on adore ça !
Après ce long baiser, il va rester immobile sur la table, pendant que je me pose sur une chaise en fermant les yeux pour laisser libre court à mes pensées, qui une nouvelle fois sont pour Nico, que j’imagine souriant en train de me regarder. Amoureux disait Rodolphe ? Non juste envie de lui sucer sa grosse teube à Nico.
Mais ça, c’est une autre histoire.
Olivier777
olivier.benedicte@outlook.fr
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