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J’en arrive à la moitié de mon séjour.
Depuis 2 semaines, une certaine routine s’est installée.
Le père ramène régulièrement une petite pouffe, mais elles ne restent jamais plus d’une nuit. Elles repartent toutes le lendemain, le regard baissé, après avoir empêché de dormir toute la maison.
Jano est de plus en plus souvent chez Mathilde.
Chris est très pris par son travail, je ne peux le voir que rarement.
Baptiste est toujours seul. Il se branle tous les soirs dans sa chambre. Je passe parfois pour l’aider. Ça ne va pas plus loin. Avec le recul, je pense que c’est grâce à lui que je sais faire tout ce que je sais faire avec ma langue.
Quant à JL, on passe beaucoup de temps ensemble. Niveau sexe, il en est encore à me baiser comme une salope, même s’il fait attention à moi par instant. Mais on passe aussi beaucoup de temps à regarder des films, sortir à la plage.
En ce vendredi soir, nous sommes tous réunis sur la terrasse pour l’apéro.
JL part le lendemain pour les usa pendant 2 semaines.
Alors qu’on trinque une énième fois, nos regards se croisent.
Je repense à cet après-midi, quand il m’a attiré dans sa chambre. Il m’a allongé sur le ventre, la tête dans son oreiller, et s’est servi de moi.
Rien que de penser que c’était la dernière fois qu’il me serrait dans ses bras avant 2 semaines…
Il me sourit, je lui souris en retour.
… Ma gorge se serre.
1 h du matin, je peux aller me coucher sans appeler les questions.
Je me déshabille et m’allonge dans mon lit, pensif.
Qu’est-ce qui m’arrive ?
On frappe à la porte. C’est JL.
Il entre, se déshabille, écarte mes jambes et s’allonge sur moi.
« Qu’est-ce qui se passe ? Tu as l’air tout triste… »
Ma gorge se serre un peu plus.
« C’est à cause de moi ? Parce que je pars ? »
C’en est trop pour moi. Je me cale dans sa nuque pour cacher mes larmes.
JL :" hey. T’inquiète, je reviens avant que tu partes ».
Il me fait des bisous, relève ma tête et m’embrasse.
Je le vois attraper le lubrifiant.
Il commence par me masser ma fleur. Elle est ultra sensible. Il me glisse un doigt, puis 2. Tout ce temps il continue à me câliner.
Ça a duré 1 h, j’étais aux anges.
Tout d’un coup je sens sa verge tendue qui se présente. Il rentre lentement et commence un va-et-vient lent sur même pas la moitié de son membre.
Ses mains me caressent la taille, les fesses, les cuisses.
Je gémis de plaisir, mes bras autour de son cou.
Son mouvement se fait un peu plus rapide et ample. Ses lèvres me couvrent de bisous.
Moi :" han ! J… Je… Ah ! »
JL :" vas-y, dis-le ! »
Il ralentit la cadence, mais augmente l’amplitude. Il me mordille l’oreille. Mon étreinte se resserre. Je sens sa sueur, elle m’enivre.
Moi :" je t’aime ! »
Comme s’il attendait ça, il réaugmente la cadence. Je gémis plus fort. Toute la maison doit savoir qu’on baise maintenant. Ses mouvements de bassin coupent régulièrement mon souffle.
Mes bras lâchent. Il vient me les rattraper alors que je m’accrochais aux draps et me les plaque avec douceur contre le matelas.
Je sens tout son corps contre moi.
Enfin le mouvement s’arrête et son bassin tape mes fesses un peu plus fortement.
Il grogne dans mon oreille.
Je l’enlace de nouveau.
Il se roule sur le côté et je me retrouve sur lui.
On reste un moment comme ça, ses mains se baladant sur mon corps, sa queue en moi.
Il sort enfin et je me cale sur le côté, une jambe par-dessus les siennes, la tête lovée dans son cou.
JL m’embrasse et me dit « je crois que je t’aime aussi »
On s’est endormi comme ça.
Au réveil, je suis seul.
Alors que je m’apprête à me lever, la porte s’ouvre et JL rentre avec un plateau.
Il le pose sur le lit, se déshabille et vient s’assoir derrière moi, je me retrouve dans ses bras.
Je bois mon jus de goyave. Il me couve, c’est trop mignon.
Lorsque j’ai fini, je me retourne pour être face à lui. Il me serre dans ses bras, je fais de même, on s’embrasse.
On reste comme ça un long moment, jusqu’à ce qu’on frappe à la porte. C’est Jano.
« désolé les amoureux, va falloir y aller. »
On se rhabille.
Alors qu’on sort de la chambre, il me prend la main, m’attire contre lui et me roule une pelle devant son frère amusé.
JL :" et profite de ton séjour, même si tu es à moi. Je t’aime parce que tu es toi même. Personne ne te juge ici. Tu es tellement mignon quand tu souris. »
Je rougis, Jano me fait un clin d’œil.
Il me fait un dernier bisou puis descend les marches… En me tenant la main.
On arrive en bas, Baptiste et son père attendent à côté d’une valise.
Si le père ne laisse rien paraitre, Baptiste sourit en nous voyant.
Il ne me lâche pas la main avant d’être devant la voiture, pour faire l’accolade à sa famille.
Il revient vers moi tandis que Baptiste monte place conducteur. Il m’embrasse tendrement, me presse les fesses, puis s’en va.
Jano part un peu après rejoindre Mathilde.
Je me retrouve seul avec le père.
Chacun reste dans son côté durant l’après-midi.
Vient le soir. Jano dort chez sa nana, Baptiste a une soirée, on décide de se faire des pizzas devant la télé.
Le père sort le rhum et on discute plus qu’on ne regarde la télé.
Lui :" comment tu as fait ?... Avec JL ? »
Je ne comprends pas vraiment le sens de la question.
Lui :" JL est comme moi. Les femmes bien prennent peur en voyant la bête, et les salopes ne sont avec nous que pour la queue, du coup il traite les femmes comme des sextoys et les jette quand il a fini… Avec toi, il t’utilisait au début… Mais je vous ai vu hier, il te faisait l’amour tendrement, il a de vrais sentiments pour toi, il t’a même préparé ton petit-déjeuner… »
Le genre de sujet qui te met à l’aise.
Moi : » je ne sais pas… Il a voulu me faire plaisir, comme quand je lui fais plaisir en le laissant être bestial. Et puis… La bête fait moins mal quand elle prépare sa proie… «
Il rigole.
Lui : » le problème c’est que je n’ai aucun sentiment pour mes conquêtes… Alors, prendre soin d’elles… C’est juste des salopes qui ne veulent que du sexe… C’est justement là que tu m’intrigues : tu Agus comme une salope, sans vouloir t’offenser, mais mon fils te traite différemment des autres… »
Ça, c’est dit.
Moi : » je ne peux pas vous dire… Peut-être qu’il préfère traiter avec douceur le seul mec capable de le prendre en entier, plutôt que de le faire fuir et collectionner les plans minables. »
Il rigole.
Les pizzas sont finies, on nettoie la table basse.
Lui :" bon, vu que les garçons ne sont pas là et que je n’ai pas de voiture pour aller en ville, j’avais prévu de mater un porno. Je t’oblige pas à partir, tu peux m’aider si tu veux. »
Il n’attend pas ma réponse et vire son bermuda, libérant le monstre.
D’un côté je n’ai rien à faire, d’un autre ça me parait malsain.
Lui : » aller, je vois comment tu la regardes. Tu es comme les salopes que je ramène. »
Il a raison : sa queue est trop belle.
Je me pose à côté, pose ma tête sur son épaule, et regarde sa main aller et venir sur son énorme poutre. Derrière, sur l’écran, le film a commencé : une petite blonde suce une énorme queue black dans un endroit sordide.
J’ai machinalement mis ma main dans mon short et je me doigte en regardant son membre atteindre sa taille maximum.
Lui :" je crois que je commence à comprendre… Comme une salope tu as accepté ma proposition, mais tu ne le touches pas et tu t’es juste posé contre moi… En fait tu aimes surtout le contact… »
Je ne réponds pas.
À l’écran, la blonde se fait démonter sur un canapé miteux.
Sa main descend, glisse sous mon short et vient presser l’une de mes fesses.
Moi : » je couche avec votre fils ! «
Il n’enlève pas sa main.
Lui : » il t’a demandé de profiter de tes vacances non ? »
Heureusement que j’ai l’anus encore sensible de la veille, sinon j’aurais pu craquer quand l’un de ses gros doigts s’est présenté.
Je repousse sa main, il revient sur ma fesse.
Lui :" OK… Dommage, tu as l’air d’avoir un super cul. Tu voudrais bien me biberonner, pour finir ? »
Je sens sa main libre venir appuyer sur ma tête tandis que sa main directrice accélère le mouvement.
Lui :" aller, tu le fais bien avec Baptiste. »
Son gros gland se présente devant mes lèvres.
J’ouvre la bouche et il rentre juste son gland.
Je commence à tourner autour avec ma langue. Il me recul en me tirant les cheveux.
Lui :" j’ai dit biberonner, pas lecher »
Il me recale son gland en bouche.
Je la tête. Sa main accélère.
Lui :" avale tout, c’est ton dessert »
Sa main libre augmente sa pression, son gland s’agite et je sens ma bouche se remplir. J’avale tout en continuant à téter. Je ne l’ai jamais fait avant, je ne suis pas fan… Mais ce mec a une espèce d’autorité naturelle qui fait vibrer le passif en moi.
Alors que je me redresse, il me dit :" désolé, j’aime trop me vider en bouche, et tu têtes bien. Aller, au lit. »
Et il me met une fessée.
Je m’allonge dans mon lit. Mes yeux ne sont pas encore fermés qu’il rentre dans ma chambre.
Il ne dit pas un mot, s’allonge, me met sur le côté et me prend dans ses bras, en cuillère. Je le sens ajuster le monstre entre ses jambes afin qu’il se cale dans ma raie.
Moi :" OK, mais pas plus promis »
Lui :" promis. »
On s’est endormis dans cette position.
Cali
li.cali@yahoo.com
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