Premier épisode | Épisode précédent
Le mardi soir, rebelotte.
Le mec me prend comme un sextoy une première fois.
Cette fois-ci il reste avec moi après et m'explique comment mieux gérer ma fleur. Il parle d'une voix plus douce, mais je n'ai toujours pas le droit de parler.
Il me rebaise avant de dormir, puis au sol le lendemain matin.
Idem mercredi soir.
Je me fais peur à moi même car je commence à aimer ce qu'il me fait.
Jeudi soir, je lui souri en montant dans sa voiture.
Il me baise aussi fort que les autres soirs mais, au moment de dormir, j'obtiens le droit de dormir sur le lit, dans ses bras.
Au petit matin, je bouge mon cul dès le réveil.
Il me fait un bisou dans le cou à la place de son habituelle fessée, puis me saisit par la taille et pénétre ma fleur sans soucis.
J'ai le droit à la plus puissante saillie de la semaine. Je hurle de plaisir pendant qu'il me démonte en me tenant par les cheveux.
Je m'effondre sur le lit alors qu'il jouit une dernière fois en moi, épuisé. Et dire qu'il faut encore que j'aille travailler.
J'arrive au travail une heure plus tard et je retrouve mon chéri.
Alors qu'on se change dans les vestiaires, il me cale la main au cul et glisse un doigt.
Thomas : "eh ben ! Vous vous êtes bien amusé ! Tu as aimé ta semaine ?"
Je me colle à lui, profitant du moment pour lui palper ses pec, et lui chuchote à l'oreille : "j'ai adoré..."
Direct je sens sa gaule à travers son caleçon.
Je le prends par la main et le tire vers les douches.
Je le pousse contre le mur, il se laisse faire, et lui roule une pelle en me collant à lui.
Thomas : "tu tiens vraiment à me chauffer au taf alors que ta formation n'est pas finie ?"
Je lui reprends ses lèvres. J'ai juste envie de sexe avec mon homme, je ne me soucis plus du reste.
Il utilise sa force pour nous retourner et me plaquer ventre contre le mur.
Il descend mon boxer et sort sa queue tendue de son caleçon.
Il crache dessus abondamment puis force ma fleur en me calant une main devant la bouche.
Sa queue rentre sans soucis jusqu'au fond, j'ai été bien ouvert depuis une semaine.
Je gémis à peine.
Thomas : "putain, tu as été bien formé !"
Je sens sa queue grossir encore en moi. Ça l'excite vraiment que je l'encaisse aussi "facilement".
Il bouge son bassin latéralement, je sens son engin se tortiller en moi. Il prend un pied immense à faire sa place.
Thomas : "t'es prête princesses ?"
Pas le temps de répondre.
Il ressort presque entièrement et rerentre aussitôt avec force.
Je cris dans sa main.
Il repart déjà.
Le rythme accélère, le choc de son corps contre le mien me coupe le souffle régulièrement et le mur des douches commence à être douloureux.
Il fait encore quelques aller retours puis s'arrête, au fond de moi.
Il m'embrasse dans le cou.
Thomas : "ça va? T'es pas encore prêt mon bébé..."
Il m'embrasse encore dans le cou.
Je reprends ma respiration.
Moi, d'une petite voix : "encore..."
Il m'embrasse une dernière fois puis replace sa main sur ma bouche.
Il reprend son mouvement, un peu plus doucement. Je le laisse faire quelques minutes, le temps de reprendre des forces.
Moi : "plus fort... Han ! Han! Encore !"
Il a compris malgré sa main.
Sa main tenant ma taille se crispe et il accélère.
Je hurle dans sa main et me débat. Ma fleur est écartelée malgré son entraînement intensif.
Il me prend encore quelques minutes puis tape brutalement au fond en grognant.
Je soupire de satisfaction en sentant son jus en moi.
Il me caresse partout, sans sortir, et vient m'embrasser.
Thomas : "je t'aime princesse !"
Je l'embrasse.
On reste un moment à se câliner, le temps qu'il debande, puis on revient dans les vestiaires.
Thomas : "ce weekend, tu dors avec Abel. La semaine prochaine, pas de sexe. Je te parlerai de tes vacances plus tard."
On finit de s'habiller, on s'embrasse, et on part chacun vers notre poste.
Il m'a fait mal, c'est vrai... Mais j'ai adoré son côté bestial.
J'arrive à mon poste avec un sourire niais qui a bien fait rire les collègues, sentant son sperme inondé mon boxer.
Cali
li.cali@yahoo.com
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