Amour et libertinage

Amour et libertinage | 10

Les jours passent.

Heureusement, la libido des mecs a diminué un peu.

Seul mon chéri reste infatigable, mais il ne s'occupe généralement que de Victoria. De temps en temps il vient me faire un câlin, je le remercie d'une petite gâterie.

Je passe toutes mes nuits avec Math. Il en profite pour se rapprocher toujours plus de moi, comme ce jeudi matin.

Alors que je récupère mes sens, je le découvre allongé sur moi, sur le ventre, sa tête posée dans ma nuque.

Même si nous sommes tous les deux passifs (je n'ai pas renouveler l'expérience avec Victoria, c'est vraiment pas mon truc), je dois avouer qu'il est très attachant.

Je caresse machinalement son dos.

Il remue ses fesses.

Sa tête se relève et il me fait un bisou sur la joue.

Math : "Bonjour Cali !"

Il me fixe de ses grands yeux bleus.

Moi : "Bonjour Math ! Bien dormi ?"

Math : "toujours, je dors trop bien sur toi..."

Il repose sa tête sur mon torse.

Je reste quelques minutes immobile puis je me décide à me lever.

Il s'accroche à moi.

Je le prends dans mes bras et nous emmene à la douche, c'est une brindille ce mec.

Une fois sous l'eau chaude, je le plaque contre le mur, et me colle à lui.

On s'embrasse et on se câline.

Je sens l'un de ses doigts fins pousser ma fleur.

Je le laisse faire.

Est-ce sa phalange ou ce réveil câlin ? Ma queue se réveille.

De sa main libre, il cale mon gland contre sa fleur.

Le savon aidant, je rentre sans problème, en douceur.

Je reste un peu comme ça, me contrôlant pour ne pas juter dès le début. C'est encore plus serré que chez Victoria.

Pendant tout ce temps, Math me fait des bisous dans le cou, et je fais de même.

Je commence un va-et-vient très lent.

Math lance de petit gémissements aigus.

J'arrive à me contrôler quelques minutes, puis l'excitation monte d'un coups.

Je relève ses jambes au maximum.

Math : "Aïe !"

Je le pilonne sur toute ma longueur (bien moins longue que celle de nos actifs), lui écrasant le corps contre le mur.

Math : "han ! Han ! doucemEEEENT !"

Sur ces derniers mots, je balance une dernière fois mon bassin tout au fond et finit dans un grognement.

Je reste un petit moment, essoufflé, contre lui.

Moi : "désolé. Tu vois bien sur c'est pas mon truc."

Il m'embrasse tandis que je sors et le repose au sol.

Math : "un peu rapide... Mais ça ira mieux avec de l'entraînement..."

Et il me fait un clin d'œil avant de sortir, faisant rouler son petit cul parfaitement sphérique.

Avec tous les mecs qu'il y a dans cette maison, pourquoi faut-il qu'il s'intéresse au seul passif ?

Je passe la matinée dans les bras de mon chéri, dans la piscine.

Il me couvre de bisous tout en me calant des doigts, pendant que je profite et abuse de tous ses muscles.

Après manger, Thomas me demande de monter dans sa chambre.

J'y retrouve Victoria, Benji, Djibril et mon chéri.

Il m'indique une chaise posée en face du lit.

Je m'assois et attends.

Thomas : "tu me demandes souvent comment je suis quand je suis à fond... Je vais te montrer."

Benji, déjà chaud, commence à prendre Victoria en levrette sur le lit. Il a juste relevé sa petite robe à fleur et profite de son cul pour son seul plaisir.

Pendant ce temps, Djibril et mon chéri me tendent leur queue pour que je les suce.

Benji continue pendant 10 bonnes minutes, accélérant progressivement, pour finir par de brutaux coups de hanche.

Victoria gémit comme une folle.

Il s'écrase contre elle et se vide en elle.

Il ressort puis, sans un mot, quitte la pièce.

Djibril s'avance. Il retourne sa nana et la dispose au bord du lit..

Il rentre son énorme queue d'une traite et commence à un rythme moyen un ramonage sur toute sa longueur.

Victoria ne contrôle plus et cri.

Il accélère encore, tirant les fesses de la trans vers lui tout en écrasant son bassin dessus.

Après 20 minutes de ce traitement, il baisse le haut de la robe et empoigne sans douceur les seins de la passive. Il devient, à l'image de Benji, très brutal.

Victoria hurle de toutes ses forces alors que, dans un râle, Djibril remplit son cul.

Après avoir repris son souffle, il sort de la pièce sans un mot, laissant sa chérie tremblante sur le lit, livrée en pâture à mon homme.

Thomas s'approche et relève ses jambes. Sa queue est moins grande que celle de Djibril, mais il la fourre sans ménagement tout au fond du cul de la trans.
Il commence directement par un va-et-vient intensif.

Après avoir joué avec ses seins, il lui serre la gorge de ses mains et commence une folle ruade.
Je vois le visage de Victoria devenir foncé.
Elle relève sa main vers son cou et mon homme lâche prise.

Il lui reprend les seins et, sans cesser sa ruade, lui met des gifles et lui déchire sa robe.

Bien qu'il se calme par instant pour faire un bisou ou une caresse, la demi-heure a été rude pour Victoria.
Elle respire très vite et est à bout de force tandis qu'il ralentit enfin.

Il sort et l'allonge sur le ventre au milieu du lit.
Il vient se poser au-dessus et se glisse en elle.
Elle hurle tandis qu'il plonge l'intégralité de son membre en elle, au rythme des "clac" très rapprochés.
10 minutes de traitement plus tard, il la relève et l'attrape par les cheveux.

Il la tourne volontairement vers moi, afin que je vois son visage se déformer sous les coups de rein toujours plus brutaux qu'il lui met.

Après encore 10 minutes, il lache ses cheveux et elle retombe sur le lit.
Il s'écrase sur elle et la pilonne encore un peu, par des coups secs et profonds, puis finit en elle.

Il sort.
Elle reste sur le ventre, prise de spasmes, sa robe en lambeau sous elle.
Il vient devant elle et soulève sa tête en la tenant par les cheveux.
Il met son gland dans sa bouche, et elle le nettoie, soumise.

Il commence à partir mais, alors qu'il est dans l'ouverture de la porte, il se retourne vers moi.
Thomas : "la prochaine fois qu'on baise, c'est comme ça que je te prends."
Il referme la porte derrière lui.

Pas un mot doux, pas un sourire, il nous a laissé là.

Je comprends maintenant que, s'il n'était pas à fond, ce n'était pas seulement pour une question d'endurance de ma part... Il n'avait peut-être pas envie de se servir de moi comme d'un objet.

...
Mais je ne saurais dire pourquoi, voir Victoria dans cet état m'excite...