Premier épisode | Épisode précédent
Cette fois-ci, Greg est plus tendre dans ses mouvements, son côté bestial s'est un peu calmé. Entre 2 roulages de pelles, il descend sur mes tétons pour les mordiller, les lécher, parfois il pose sa tête au-dessus de mon épaule et il me mord très fort, me faisant couiner comme jamais. Il maintient un rythme constant de coups de bite, ni trop vite, ni trop lent, il contrôle complètement son plaisir et il déchaîne le mien. Sa langue est en train de me lécher le cou, je la sens masser ma carotide, j'agrippe le matelas de toutes mes forces, je suis dans un état second, incapable de parler, je ne sais pas comment il fait pour me paralyser de la sorte tout en continuant à me procurer autant de plaisir et je ne veux surtout pas que ça s'arrête. Julien entre alors dans la cellule, je tourne difficilement la tête pour le regarder, il sourit à nous voir ainsi copuler.
- Alors Greg, tu prends ton pied ? Tu profites bien de ta dernière soirée d'actif ?
- Oh putain oui Julien, répond Greg en se redressant pour le regarder, j'ai rarement pris autant de plaisir.
- Et demain tu seras comme Yan, privé de ta queue, tu me serviras aveuglément et ton plaisir ne comptera plus.
- Oui Julien, je sais très bien ce qui m'attend, je serai à tes pieds, que ça me plaise ou non, je t'obéirai.
Julien sourit, très satisfait de ce qu'il entend, il porte ses mains à sa ceinture et l'ouvre, il baisse son jean et son boxer puis il dirige sa queue vers Greg et il pisse... Greg râle de plaisir, il en récupère dans ses mains pour se frotter le torse, il est surexcité, je sens sa queue palpiter dans mon cul alors qu'il y est immobile.
- Ah oui, vas-y, arrose-nous, je kiffe trop ça !
Julien l'arrose copieusement et remballe la queue, il se dirige vers la sortie.
- Pour l'instant tu kiffes, après une nuit passée dedans alors qu'elle est bien froide, que tu vas puer au réveil, je ne suis pas sûr que tu kiffes toujours autant, mais après tout, c'est là qu'est votre place d'esclave...
Il sort, Greg me regarde, ses yeux pétillent de nouveau, il sourit comme jamais. Je n'ai pas lâché le matelas, je fonds en voyant son visage et je sens qu'il reprend ses mouvements dans mon cul.
- On a toute la nuit Yan, après c'est fini alors je veux en profiter un maximum...
J'essaie de reprendre mon souffle, de retrouver mes esprits.
- T'es sûr de vouloir ça, Greg ? T'as l'air vraiment fait pour être actif, même Julien ne m'a pas fait monter aux rideaux comme toi...
- Oui je veux devenir un bâtard aux ordres, je veux me soumettre et être privé de ma liberté, je veux devenir comme toi, ça fait des années que j'y pense et je peux enfin réaliser ce fantasme...
Plus il parle, plus il s'enfonce avec violence en moi, il s'est redressé, il tient mes mollets dans ses mains et son pilonnage est intense, violent, je vois tout son corps se contracter, les muscles rouler sous sa peau humide, la bête se réveille à nouveau, il est trempé de sueur et de pisse totalement surexcité, je n'ai jamais vu un mec comme lui. Puis il sort de mon cul, il est essoufflé, il marque une courte pause avant de venir m'embrasser fougueusement. Il se redresse, bascule en arrière pour se mettre sur le dos, il attrape ses cuisses avec ses mains puissantes et les écarte bien.
- Vas-y, à ton tour, défonce mon cul.
Je le regarde interloqué et gêné et je me mets à genoux en lui montrant ma cage.
- Et alors, t'as des doigts, et tu avais un gode dans ton cul quand tu es venu me chercher, répond-il en le regardant posé sur mon bureau.
Je l'avais oublié celui-là. Heureusement que j'avais pensé à l'emmener lorsque j'ai amené Greg ici. Je me lève pour le prendre et reviens me mettre à genoux entre les cuisses bien écartées de mon beau barbu. J'humidifie mes doigts et commence à lui masser la rondelle lentement.
- Aller Yan, à partir de demain mon cul c'est un open-bar, je vais me faire démonter dans tous les sens alors sois pas tendre, je l'ai pas été avec toi, défonce-moi !
Je prends le gode et le présente sur la rondelle de Greg, je fais entrer le gland en plastique très réaliste, Greg grimace un peu, je vois ses tablettes de chocolat se contracter légèrement, il souffle et me regarde l'air presque suppliant alors je pousse avec force jusqu'à ce qu'il ne puisse plus aller plus loin. Greg gueule, il gueule de plaisir ça se voit. Alors je commence à faire entrer et sortir le gode rapidement et avec violence, il exulte de plaisir, sa tête part en arrière, je vois sa queue tressauter.
- Oui, vas-y, comme ça, démonte mon fion de pute !
Qu'il est surprenant de voir un mec si masculin devenir une telle salope, c'est excitant, il s'avilit lui-même et y prend un plaisir intense. Je fais tourner le gode dans son cul, il hurle toujours de plaisir alors j'alterne entre de violents coups de gode et des rotations dans un sens ou dans l'autre, je suis excité à regarder Greg prendre son pied, ce mec est incroyable, c'est une bête de sexe, il n'en a jamais assez, car je le gode au moins 30 minutes et il continue à réclamer. Ma queue me fait mal, je ne peux pas bander, mais pour autant, je la sens vouloir gonfler tant la situation me rend dingue également, tant le corps de Greg est magnifique et tant j'aime le voir gueuler de plaisir. Moi non plus, je n'ai pas envie que ça s'arrête et pourtant, je suis fatigué physiquement.
Greg se redresse, il s'est assis sur le gode et continue de gémir, il me montre le pot de préservatifs, je vais en chercher un, il le prend, le met sur sa queue et je viens m'empaler dessus. Je sautille pendant que nous nous roulons des pelles baveuses et fougueuses tout en gémissant et couinant comme 2 mâles en manque. Nous nous caressons, nous embrassons, nous enflammons comme jamais je ne l'ai vécu, ça doit faire au moins 3 heures que nous sommes dans ma cellule et le plaisir est toujours aussi intense, aucun de nous ne semble vouloir s'arrêter malgré la fatigue qui s'installe lentement. Pour autant, Greg ne s'arrête toujours pas, il a compris l'utilité des lanières du gode, il l'a solidement fixé et il me prend de nouveau dans toutes les positions, allongé, debout, assis, couché sur le dos, sur le ventre, en chandelle, je suis bien moins endurant que lui, il n'a toujours pas joui, puis il s'arrête enfin, il sort de mon cul, me caresse la joue et m'embrasse tendrement.
- Comment tu fais pour tenir aussi longtemps sans jouir ? Lui dis-je.
- Je me contrôle, c'est tout, répond-il en souriant.
- Tu t'es moins contrôlé avec Romain...
- Oh que si, je me suis contrôlé, je ne voulais pas louper le plaisir de me faire enculer par Mathieu et de recevoir le sperme de Julien. J'ai toujours rêvé d'être un vide-couilles, jusque là c'était occasionnel avec eux, maintenant ça va devenir permanent, c'est super.
- Un si beau mec, un si beau mâle viril, toi, tu veux vraiment être un vide-couilles ?
Il éclate de rires, qu'il est beau...
- Il faut être moche et efféminé pour être un vide-couilles selon toi ? T'es très mignon et pas efféminé pourtant, t'es sa pute non ?
Il marque un point, je me sens idiot, je baisse la tête, il me la relève en posant son pouce sous mon menton.
- Je veux vivre ça, comme toi tu l'as voulu et quand j'en aurai assez, j'arrêterai. Et puis l'avantage c'est que je vais te voir tous les jours Yan et ça, c'est encore mieux...
Sa bouche vient vers la mienne et il m'embrasse avec tendresse, ce baiser est différent des autres et après ces quelques mots, je me sens bizarre, je panique... Je me recule un peu.
- Qu'est-ce que tu veux dire Greg ? Dis-je sur un ton inquiet.
- Depuis que je t'ai vu l'autre jour, tu ne quittes pas mes pensées Yan.
- Mais... On ne se connait pas... On... On...
Il ne me laisse pas poursuivre et m'embrasse à nouveau avant d'ajouter.
- On va faire notre taf ici et on va apprendre à se connaître alors et quand on aura pris tout ce qu'on à prendre ici, on partira et peut-être qu'on partira ensemble. Ne panique pas, tu es tout tremblant là, tu ne me laisses pas indifférent c'est certain et je ne sais si on est fait l'un pour l'autre, on le saura plus tard.
Il lève les yeux vers le réveil, il est 2h du matin.
- En attendant, on va dormir et au réveil, je serai la pute de Julien comme toi. Mais avant mon beau, j'ai besoin que tu me vides les couilles...
Sa main puissante attrape ma tête et la mène vers sa bite tendue, il s'est mis sur le dos, cale bien ma tête sur son ventre à la bonne distance pour qu'il puisse entrer et sortir de ma gueule avec des mouvements de bassin. Il me lime la gueule très longtemps, maintenant très fermement ma tête sur ses abdos et arrive le moment où je le sens respirer de plus en plus fort, où je sens son corps se contracter et où le flot de sperme envahit ma gueule, ce flot chaud, crémeux, onctueux, délicieux dont je ne me lasse jamais.
- N'avale pas tout, j'ai envie qu'on le partage avant de dormir, dit-il sur un ton tendre.
Je garde tout, j'attends qu'il finisse de se vider les couilles et quand c'est fait, je remonte vers sa bouche et nous échangeons un baiser pour que j'y déverser une partie de son nectar accompagné de caresses sur nos corps encore chauds de cet ébat qui a duré des heures mêlant violence, passion et tendresse.
Il aura fallu que je devienne l'esclave d'un mec pour en rencontrer un autre qui me fait perdre la tête.
Nous avons servi Julien pendant 6 mois. 6 mois d'humiliations à servir de vide-couilles les soirs et les weekends, à nous demander pourquoi nous acceptions cela auprès ce mâle charismatique et sadique. Nous nous cherchions, avions besoin de lâcher prise tant la vie quotidienne est stressante et pleine de responsabilités parfois inadaptées et exagérées pour un être humain. Et nous n'étions plus des êtres humains le soir et les weekends, nous étions avilis, mais de notre propre volonté.
Et puis nous avons demandé à Julien de nous libérer, ce qu'il a fait sans la moindre réticence, mais avec les conditions qu'il avait fixé dès le départ, nous ne le reverrions plus jamais. C'était sans doute la meilleure des choses à faire et de toute façon Greg et moi n'avions qu'une chose en tête : vivre ensemble, car si le désir sexuel était toujours aussi intense, l'amour qui était né entre nous de cette expérience nous avait presque fait fusionner et pas que physiquement. Nous avons quitté notre boulot et la région pour démarrer une vie que nous pensions " normale " ailleurs loin de cette débauche même si entre Greg et moi le sexe continuait à être d'une intensité et d'une puissance bestiale... Nous pensions qu'à 2 ça suffirait... Nous le pensions...
Merci à ceux qui m'ont envoyé des messages suite à cette histoire. Certains seront déçus, la tournure prise n'est pas celle qu'ils auraient aimée et dont nous avons discuté par mail, mais il était préférable que l'histoire s'arrête là (du moins celle-ci) pour ne pas risquer de tourner en rond. Et pour ceux qui ont été choqués, c'est une fiction, pas ma vie, même si j'ai un Maître qui a toute mon admiration...
Yan
ftasm@yahoo.fr
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