Premier épisode
Bien évidemment, je suis resté dormir.
Pendant un mois et demi, je suis allé le voir chaque weekend. Nous nous organisions des sorties les vendredis soirs, puis nous rentrions nous faire de gros câlins en alternant branle et suce et ne nous endormions qu'après avoir joui.
Le samedi, nous faisions généralement une balade en ville et il me faisait découvrir ses passions et moi les miennes. Le dimanche était généralement assez calme, nous avions surtout envie de profiter des derniers instants avant que je parte dans les bras l'un de l'autre.
Un jour, tandis que nous nous faisions un câlin peu après mon arrivée chez lui, il me proposa de le prendre.
Je le savais vierge ou presque de ce côté-là, je fus donc touché par la proposition.
Je ne suis pas monté comme un âne, mais mes 19*5 m'ont parfois posé des problèmes " de taille ". Nils étant puceau, je n'avais aucune envie de lui faire subir ce que j'avais vécu en y allant comme un bourrin et me décidais donc à prendre tout mon temps pour qu'il profite au maximum.
J'ai d'abord commencé par bien le pomper, pas rapidement comme d'habitude, mais langoureusement, je ne voulais pas le faire jouir oh non ! Seulement le détendre autant que possible.
Lorsque je l'ai senti mûr, je l'ai retourné sur le ventre et je me suis approché de son petit trou pour y passer ma langue.
Je ne suis absolument pas fan de l'anulingus, ça aurait même tendance à me dégouter en temps normal, mais là, j'en avais envie, avec lui seulement, allez savoir pourquoi...
Je lui ai donc léché le trou avec application avant de faire pointer ma langue pour faire rentrer un peu de salive.
À en croire ses soupirs et ses gémissements, l'effet était là. Je lui ai bouffé le cul aussi longtemps que j'en ai eu envie, puis je suis remonté pour le prendre dans mes bras et l'embrasser. Pendant que ma langue dansait avec la sienne, ma main se frayait un chemin jusqu'à son entrejambe et j'insérais lentement un doigt en lui. Il se tendit aussitôt en inspirant fort. Je stoppais net, craignant d'avoir été trop brusque.
- Non -non, continue, c'est bon... Me souffla-t-il.
Je repris donc mon exploration de son intimité sans cesser de l'embrasser. Mon doigt étant désormais bien à l'aise, un second vint le rejoindre, puis un troisième quelques instants plus tard.
Au creux de mes bras, Nils se tortillait comme un fou en gémissant et ne tarda pas à me demander de le prendre.
Il avait beau être puceau et à jour dans ses tests, j'ai attrapé les capotes dans mon sac et me suis rapidement équipé. J'ai généreusement enduit ma queue de gel avant de la présenter devant son petit trou palpitant et j'ai poussé doucement.
Le gland est rentré sans trop de problèmes, mais après ça, je l'ai senti se crisper et sa respiration s'est accélérée. Je me suis donc penché sur lui pour lui caresser le dos, le torse (ce mec à un torse magnifique !) et l'embrasser dans le cou avant de saisir sa queue pour le branler à petits gestes pour le détendre.
L'effet a été plutôt réussi, car je l'ai senti se détendre, mais dès que j'ai essayé de m'enfoncer un peu plus, il a de nouveau eu mal, laissant échapper une petite plainte.
Je suis donc resté en lui, lui laissant le temps de s'habituer, mais les minutes passèrent et je ne vis aucune amélioration. Je décidais donc de me retirer, c'était peine perdue.
- Tu arrêtes ?
Sa voix était un mélange de soulagement et de chagrin. Soulagement de ne plus ressentir de douleur et chagrin de ne pouvoir aller au bout de l'acte.
- Oui, tu as trop mal, ça ne sert à rien d'insister.
- C'est la capote... Même avec le gel ça me brûle tu n'imagines même pas... Je suis désolé...
- T'inquiètes, mais on ne fera pas sans, désolé.
- Normal.
Je me suis allongé à côté de lui et j'ai pris dans mes bras ce petit mec que je trouvais irrésistible. Je l'ai branlé jusqu'à le faire jouir, ce qui a été assez rapide, et je me suis délecté de la vue de son corps frémissant pendant et après l'orgasme.
Il m'a fait jouir à son tour et nous nous sommes installés en cuillère devant un film.
Je n'ai jamais eu d'autres occasions de faire l'amour à Nils hélas. Les jours qui suivirent, il reçut la confirmation que sa candidature dans une école à l'étranger avait été acceptée, il allait donc devoir partir, et ni lui ni moi n'étions prêts pour une relation avec une telle distance. D'un commun accord, nous avons décidé d'arrêter là et de ne plus nous voir.
Pendant un mois il a même coupé tout contact, mais finalement nous avons continué à nous parler, même après son départ, et c'est devenu un ami sans lequel je ne me vois pas poursuivre cette vie.
Vraiment super ce petit mec ^^
Comme toujours, merci à vos avis par mail, qu'ils soient ou non positifs, je les accepte tant qu'ils sont constructifs ;) Et si vous êtes de la région lyonnaise et que vous voulez parler, n'hésitez pas !
Renart
renartraner@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : M | Incipit | L'éveil du Renart | Nils | Gabriel | Tony | Détente au Sun City