Premier épisode
Un autre petit voleur latino hétéro qui n'a pas eu le choix de se soumettre et m'offrir sa belle grosse queue et son petit cul chaud, qui est devenu en manque rapidement.
Un vendredi soir, j'ai vu un jeune introduire dans ses jeans, des sous-vêtements féminins. Comme toujours, je l'ai arrêté et amené dans mon petit bureau. Le questionnaire normal. Son nom, Alberto Ramires, 18 ans, s'excuse de son erreur, mais trop tard.
- J'ai tout sur nos caméras et le tout est enregistré, mon jeune !
- Mais Monsieur c'est la première fois que je fais cela.
- Bien oui, quand les voleurs se font prendre, ils disent toujours que c'est leurs premières fois.
- Je vous le jure Monsieur.
- Montre-moi ce que tu as volé et que tu caches.
- Voilà Monsieur, c'est juste ça, c'était pour faire un cadeau à ma copine.
- Tu choisis bien le jeune ! Tu choisis de la qualité et dans les plus dispendieux.
- Je m'excuse Monsieur.
- Je dois vérifier si tu ne caches rien d'autre sur toi, enlève ta chemise et ton jeans.
- Mais Monsieur, je vous le jure, je n'ai rien d'autre.
- Aimerais-tu mieux être fouillé au poste de police ?
- Non Monsieur pas la police !
- Déshabille-toi.
Tout timide, il se retrouve devant moi en boxer, super beau torse de jeune mâle, le boxer bien rempli, moulant une belle forme masculine et de belles fesses, belles jambes musclées.
- Enlève ton boxer pour voir ce qu'il y trouve.
- Mais je n'y cache rien Monsieur.
Colle-toi, mains au mur et les deux jambes bien écartées. Je passais mes mains sur son torse descendant à son boxer, mes deux mains sur ses fesses fermes et entre les jambes lui palpant le sexe, il était là sans rien dire, j'ai continué de plus belle à scruter son sexe qui prenait de l'ampleur, j'ai baissé son boxer.
- Mais Monsieur vous n'avez pas le droit de me faire cela.
- Toi as-tu le droit de voler ? D'accord je téléphone à la police, ils vont t'amener au poste et appeler tes parents, pour une accusation de vol.
- Surtout pas mon père.
- Tu n'as pas l'air de haïr cela ; tu bandes le jeune !
- À me faire palper les couilles, je n'y peux rien.
- Tu en as une belle grosse bite, en plus !
- Je ne me plains pas d'être ainsi bien garni.
- Je la trouve très belle et tu es en pleine forme, tu deviens tout raide...
- Et vous Monsieur, vous êtes gai ?
- Non, je suis marié, avec deux enfants, mais j'aime bien les beaux jeunes hommes dans ton genre.
- Vous allez me demander de faire du sexe avec vous, à ce que je vois ?
- C'est ton choix, te retrouver avec un dossier de vol ou bien tu te laisses aller.
- Pas grand choix.
- Alors à genoux et suce-moi !
Devant ce beau latino à genoux devant moi, je sortis ma queue de mon pantalon, surpris il me regarda directement dans les yeux, en faisant un sourire. Il pompa mon membre à fond sans souci, se la rentrant dans la gorge tout en me caressant les couilles de sa main.
- Je vois que tu as de l'expérience le jeune.
- Oui plus jeune, je m'amusais avec des garçons, mais depuis que j'ai une copine, j'ai cessé ou presque.
- Presque, cela signifie que tu baises encore avec des hommes ?
- Oui, quand je suis en manque, car les filles ne sont pas autant en manque que nous, les hommes. En plus elles ont leur semaine de menstruation.
- Tu as raison, mon jeune, relève-toi !
Je le mis sur le dos sur mon bureau et j'ai léché sa belle grosse queue, baissant son long prépuce pour y lécher son gland tout rouge dégoulinant de son précum, puis le suçant à fond, je le pris complètement dans ma gorge et lui léchant ses belles grosses couilles, le faisant gémir fortement et lui introduisant un doigt dans son rectum et deux doigts tout en lui mangeant le fion.
- Oh oui, monsieur, baisez-moi. Je suis tout à vous, je veux vous sentir en moi, cela fait si longtemps que je ne me suis pas fait pénétrer.
Je lui ai replié les deux jambes sur le torse, lui remontant le postérieur, m'offrant sa belle rosette entre ses deux belles cuisses, je me suis miss à l'oeuvre, lui mangeant son petit cul, il gémissait comme une fillette en manque, je ne me suis pas privé, pour l'enculer à fond, son rectum s'ouvrant à mon sexe, tout chaud et serré, plus je l'enculais, plus il demandait.
- Oui Monsieur ! Viole-moi, montre-moi que tu es un homme.
- Tu l'aimes ma queue petite salope !
- Oui votre grosse queue va me faire jouir. Défonce-moi !
- Prends ça petit jeune en manque. Profites-en.
- Monsieur, je vais jouir, je jouis Monsieur...
Il lâcha une bonne quantité de sperme sur son ventre, les contractions de son anus me firent jouir à mon tour en lui. Je me suis retiré et voyant sa belle queue toujours en érection son gland plein de son sperme, je me suis mis à le lécher, pour bien nettoyer son gland. C'est alors qu'il me l'enfonça dans la bouche et je me suis mis à le sucer.
- Oui Monsieur continue et je vais te donner encore de ma semence savoureuse.
J'ai continué à sucer cette jeune et belle chose et en quelques minutes, il me donnait une autre bonne quantité de sperme.
- Merci Monsieur, ce fut super, vous savez vous occuper d'un petit cul et vous sucez comme un expert.
- C'est moi qui te remercie pour cette aventure avec toi, tu peux garder ce que tu as pris par mégarde.
- Dis Monsieur, puis-je revenir voler encore pour me faire prendre aux pièges par vous ?
- Les petits voleurs comme toi, je les encule, tu sais.
- Je sais, c'est pour cela que je vais revenir pour dérober dans le magasin.
- Arrange-toi pour avoir une bonne réserve de semence à me faire déguster.
- Pas de problème pour cela.
- Comme ce soir, le jeudi je suis le seul à attraper les petits voleurs comme toi.
Le jeudi suivant, je m'étais mis d'accord avec mon gendre Sébastien, pour monter un coup à trois. Il serait lui aussi un voleur que j'allais apostropher. Comme de raison le petit pervers Alberto était face à la caméra, en train d'enfoncer dans son slip plein de choses. Je me suis pressé d'aller lui mettre la main au collet et à le forcer à me suivre dans mon local du magasin. En y entrant, Sébastien était là en slip, ses vêtements pliés sur mon bureau.
- Tu es le deuxième que j'attrape. C'est ma soirée de chance ce soir !
- Mais monsieur, je ne savais...
- Tu n'as rien à savoir, colle-toi au mur et enlève tes t-shirts et ton jeans comme l'autre que j'ai attrapé ce soir.
- Mais monsieur ce n'était pas prévu.
- Tu te déshabilles ou je fais venir la police.
Voyant que j'étais sérieux, il obéit et je le fis assoir et je me suis mis à tâter les fesses de Sébastien. En v baissant son slip, je constatais qu'il était en pleine érection devant Alfredo qui le regardait. Je voyais son slip prendre de l'ampleur.
- À toi maintenant, lève toi que je vois ce que tu caches dans ton slip qui a l'air bien plein.
- Il se leva.
Baissant son slip, je lui tâtais les couilles et l'anus, il était en pleine érection, j'avais deux beaux jeunes hommes à mon service comme prévu.
- Tu vas sucer la belle queue devant toi, penche-toi et suce-la.
Il se pencha pour gober la queue de Sébastien et moi de mes doigts lui ouvrant l'anus et pour bien lui enfiler mon membre en lui, il se lamenta comme prévu, tous en pompant, bien pris entre nous deux, pour ne pas les faire jouir trop vite, je leur fais changer de place, Sébastien suçant Alberto et moi l'enculant. Sébastien me regardant me fit comprendre qu'il voulait profiter de se petit cul, ce qu'il fit, enfilant sa queue dans Alberto qui se lamentait et en abusant à fond et se retirant poussant sa queue dans la bouche d'Alfredo qui n'avait que le choix de tous avaler, à mon tour de les faire placer sur le bord de mon bureau et ventre sur le bureau ayant devant moi deux beaux petits culs à remplir à fond à tour de rôle. Passant de l'un à l'autre pour finir par jouir dans Alfredo, qui se releva en belle érection et sans hésitation se plaçant derrière Sébastien pour le pénétrer à son tour, ne lâchant rien jusqu'à son éjaculation.
Vous pouvez tous deux partir et je vous avertis que si je vous reprends à voler ici, vous savez la punition qui vous attend...
Tous deux souriaient. Ils sont partis en me promettant de revenir se faire prendre sur le fait.
JeanMarc
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